Si les scientifiques arrivent aujourd’hui à mettre une image sur les premiers instants de l’univers (le rayonnement fossile), une réalité jusqu’alors très abstraite, il est une image qui ne trouve aucune explication scientifique, dépassant par là même toutes nos connaissances, et poussant les plus grands experts à s’arracher les cheveux…
Cette image est celle du linceul de Turin : appelé aussi Saint Suaire ou Sindon. Ce drap est un tissu de lin de 4.36 m de long pour 1.10 m de large, par endroits brûlé (à cause d’incendies), qui a la particularité de présenter l’image ventrale et dorsale du corps affreusement supplicié d’un homme crucifié (visage tuméfié, blessures au front et au cuir chevelu, flagellation, crucifixion, plaie sur le côté, coulures de sang, bilirubine, etc.) mesurant 1.81 m.
L’image de Jésus ? Le mystère de cette image se trouve dans sa formation : il s’agit d’une image en négatif, comme celle d’une pellicule photo avant son développement… procédé inconnu jusqu’à l’invention de la photographie… une « impression » négative sur un tissu de lin. Jamais dans toute l’histoire de l’iconographie, personne n’a peint une image en négatif !
Un négatif ! Autrement dit, si on prend une photo de cette image, et qu’on ne regarde que le négatif, on obtient son positif ! Ce fut la surprise de M. Secondo Pia qui le prit pour la première fois en photo le 28 mai 1898 : Au moment du développement, il fut ainsi le premier à contempler ce visage.
Rappelons-nous que la technique photographique n’a été inventé qu’à partir de 1780 (conventionnellement 1839) et on retrace le parcours du linceul avec certitude jusqu’en 1357 à Lirey en France, soit largement plus de 400 ans avant l’invention du négatif…
Qui aurait pu imaginer dans les siècles passés qu’un jour les technologies se développeraient au point d’être capables d’inverser l’image, ses couleurs, d’améliorer leurs contrastes, et de la rendre ainsi beaucoup plus précise en révélant des détails jusqu’alors invisibles à l’œil nu ?
Vidéo n°3 : CONCLUSIONS SUR LE LINCEUL DE TURIN : Aujourd’hui, avec l’accumulation de découvertes étonnantes sur cet objet qui est le plus étudié au monde (500.000 heures de recherches scientifiques de haut niveau) il est possible de conclure que ce linge est bien celui qui a enveloppé le corps du Christ après sa mort en l’an 30 à Jérusalem et d’affirmer que le rayonnement qui a provoqué l’image imprimée sur le tissu, – image stupéfiante, inexplicable et non reproductible par la science à ce jour – (négatif montrant une image nette à partir d’une oxydation acide déshydratante de densité variable indiquant une information de distance) ne peut venir que du “flash” de la Résurrection. En s’attachant à mettre en lumière 5 arguments précis qui sont tous décisifs, la présentation explique pourquoi, dans l’état de la connaissance actuelle, rester dans le doute et ne pas conclure serait une attitude idéologique, incohérente et inadaptée.
Plan de la vidéo :
00:38 : Ne pas se tromper sur la possibilité théorique de conclure 02:21 : Ne pas se tromper sur les preuves et la foi 04:04 : Les 2 thèses entre lesquelles il faut choisir 06:04 : 1/5 – Le codex de Pray prouve que le Linceul existe bien avant 944 16:40 : 2/5 – Le Linceul est un “négatif”, notion totalement inconnue avant le XIXème siècle 22:28 : 3/5 – L’Évangile de la Passion se lit étonnamment sur le Linceul avec notamment 18 détails inconnus et inconcevables au Moyen-âge 29:04 : Témoignage du photographe juif Barrie Schwortz, membre du STURP (extrait du DVD Net for God : “Il est l’image du Dieu invisible”) 32:24 : 4/5 – Un rayonnement 3D orthogonal au Linceul incompréhensible et impossible à reproduire à ce jour, qui a provoqué une oxydation acide déshydratante superficielle 37:10 : 5/5 – Une singularité absolue constatée de 1.000 manières qui conduit logiquement à mettre en rapport cet objet absolument unique et non reproductible avec une cause forcément unique et non reproductible. 38:10 : Arbre logique résumant le raisonnement qui conduit à conclure de manière certaine à une cause surnaturelle 41:44 : Extrait de réponses aux questions 41:51 : Qu’est-ce qu’une preuve ? 42:40 : Les preuves ne sont jamais contraignantes 43:50 : La foi n’est pas une affaire de connaissance 44:30 : Se décider pour la seule attitude cohérente, juste, adaptée 45:12 : Si un objet matériel devait garder une trace matérielle de l’événement de la Résurrection, ce ne pouvait être que le Linceul du Christ qui était, en cet instant décisif et absolument unique où le corps physique du Christ a été transformé en un corps glorieux, le seul objet matériel en contact direct avec lui.
Mais il y a encore bien plus intrigant…
En étudiant le linceul, les experts se sont rendus compte que l’image n’était pas formée par de la peinture… Il s’agit d’une sorte de « roussissure » d’une profondeur d’environ 40 µm (0,04 mm) au niveau d’une couche superficielle des fibres. Mais si on arrive à comprendre la couleur, celle-ci ne nous explique pas l’image. Partant de l’hypothèse que ce drap aurait enveloppé un corps, les scientifiques ont constaté que les parties les plus sombres correspondraient aux parties du corps les plus proches du linceul.
En 1976, ils eurent l’idée de l’analyser avec le VP-8 (appareil développé par la NASA pour étudier la géographie des planètes) qui permet de relever les intensités lumineuses d’un objet afin d’en déterminer son relief (uniquement le relief et non pas les altitudes).
A la surprise générale, une image en trois dimensions du corps sans distorsion fut alors révélée.
Une tridimensionnalité ! Le procédé de formation d’une image ayant cette propriété, dépasse notre connaissance, il nous est complètement inconnu ! Aucune photo au monde qu’elle soit argentique comme numérique, aucune image (peinture, etc…) hormis celle du linceul de Turin ne laisse apparaître cette tridimensionnalité…
La propriété de cette image est unique au monde : Pas de peinture, un négatif avant l’heure, un codage tridimensionnel unique…
Une image acheiropoïète, c’est-à-dire non faite de main d’homme… C’est ce que nous diraient d’anciens manuscrits.
Mais qu’en est-il de la datation ? L’analyse au radiocarbone (C14) en 1988 fut extrêmement contestée, mais il semble qu’une étude récente ait fini par trancher…
L’analyse au radiocarbone (C14) en 1988 a été très contesté, de très nombreuses raisons ont été évoquées, mais une certitude demeure, cette datation (situé entre 1260 et 1300) ne permet pas de déterminer l’âge réel du Linceul.
Voici une des principales raisons : l’échantillon utilisé, ayant été prélevé sur un coin du linceul, serait constitué d’une pièce partiellement raccommodée en coton provenant d’une de ses restaurations. La présentation du résultat d’analyse de Robert Villarreal en 2008 vient ainsi corroborer la thèse de Sue Benford et Joe Marino en 2000 et de Ray Rogers en 2005 sur le mélange de lin et de coton. L’erreur sur le lieu du prélèvement et sur sa datation est maintenant un fait avéré : pour faire simple, le coton ajoute du carbone 14 à la mesure, faussant ainsi son résultat.
Pour s’en convaincre définitivement, une gravure provenant d’un manuscrit intitulé le Codex de Pray, présente de manière symbolique des détails très particuliers (homme nu, brûlures formant un L et un P, absence de pouce, etc.) que l’on retrouve sur le linceul de Turin, et elle parvient même à expliquer pourquoi l’image dorsale est imprécise au niveau du fessier, ainsi que légèrement plus grande que l’image ventrale (pli du linceul). Le Codex de Pray a été daté de 1195 au plus tard… Cette gravure permet ainsi d’affirmer que ce linceul date de bien avant 1195 !
Mais peut-être pouvons nous le retracer encore plus loin : le visage de l’icône du Christ Pantocrator, qui se trouve au Monastère Ste Catherine (au Mont Sinaï), a un grand nombre de correspondances et s’aligne parfaitement avec le visage du linceul, mais surtout il intègre 8 marques caractéristiques parmi les 16 du linceul de Turin. Cette icône est la plus ancienne de l’histoire, elle date du VIe siècle. Sans oublier que des éléments présents sur le linceul comme les pollens, les inscriptions antiques, les pièces de monnaies, la couture du lin en chevron, etc…, tendent à prouver son ancienneté au 1er siècle.
Mais le mystère demeure sur la formation de l’image, car les roussissures associées au négatif de haute résolution laissent suggérer à un rayonnement ; et la tridimensionnalité suggère qu’il ne peut pas provenir de l’extérieur. Alors, comment cette image a-t-elle été réalisée ?
Négatif, tridimensionnalité, traces de sang séchés sans arrachement,… Si les techniques du XIIe voir du VIe siècle étaient plus compétentes que celles d’aujourd’hui, ça se saurait… et d’ailleurs, comment penser à réaliser un négatif sans connaître son procédé… sans parler de la tridimensionnalité… ? Un vrai casse tête !
Devant cette réalité, la recherche scientifique nous fait déboucher sur une explication défiant la physique ; car en s’appuyant sur les multitudes d’expertises, nous pourrions aisément imaginer le scénario suivant : Du fait des différentes phases de coagulation du sang (formation et rétraction de caillots, séparation du sérum, formation de croûtes), nous savons grâce aux experts légistes que le corps a été déposé moins de 2h30 après la mort du crucifié, et ce, sans avoir été lavé. La formation particulièrement précise de l’image proviendrait du rayonnement intense du corps même (négatif & tridimensionnalité), qui aurait ensuite mystérieusement disparu (aucune trace d’arrachement ni d’altération des traces de sang séchés ce qui exclut que quelqu’un l’ait retiré) et ce, entre 36 et 40 heures après avoir été déposé dedans (caillots de sang non dissous, pas de trace de putréfaction,…).
Alors, s’agirait-il d’une relique de la Passion ? voir d’une image fossile issue du rayonnement de la Résurrection ? Sommes-nous face au véritable linceul ayant enveloppé le Christ ? Dans cette affaire, la science se retrouve face à une réalité qu’elle ne peut expliquer rationnellement dans l’état de nos connaissances. L’Eglise catholique, pour sa part, considère cette image comme une icône. Ainsi, face à ce mystère, les investigations de la science semblent trouver réponse dans l’Acte de Foi…
Si l’humanité a besoin d’étancher sa soif par l’apport de preuves matérielles, toutes les preuves au monde n’apporteront pas la Foi, car celle-ci est avant tout l’affaire d’ouverture du Coeur.
« S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts : ils ne seront pas convaincus » (Luc 16, 31)
« Heureux ceux qui croient sans avoir vu » (Jean 20,19-31)
Aussi devant toutes les théories, mystères et évidences scientifiques, peut-être pouvons-nous raisonnablement nous poser la question : et si les évangiles disaient vrai ?
Dans ce cas, sachons contempler, méditer et rendre témoignage de l’agonie et des souffrances vécus par cet homme, le Verbe fait chair, qui, comme l’enseigne les évangiles, la Tradition et l’Eglise, s’est livré en sacrifice par Amour pour chacun de nous, en réparation de nos péchés, et pour notre Salut.
LE LINCEUL DE TURIN EST-IL UN SIGNE DE LA RÉSURRECTION DU CHRIST ?
Le Linceul n’est pas une preuve objective contraignante obligeant à croire mais il est incontestablement authentique et il fait signe de bien des manières, touchant ceux qui l’étudient ou le contemplent, et devenant pour beaucoup un chemin qui conduit au Christ et à la foi en la Résurrection.
1.Le Linceul de Turin est un drap très mystérieux, doté de caractéristiques très particulières. On suit historiquement et précisément sa trace depuis le Moyen-âge. Antérieurement, il y a des indices forts de son existence pendant les premiers siècles, sans que nous ayons de certitudes.
Le Linceul est un drap très mystérieux avec des caractéristiques très particulières
Il s’agit d’une pièce de lin d’environ 5 m² qui représente les faces ventrales et dorsales, tête bêche, d’un homme mort, à l’évidence crucifié. Quand on regarde le Linceul, on devine d’abord une image très pâle qui ne peut être discernée qu’à plus de deux mètres. Plus près, elle disparaît, car elle est sans contour et son dégradé est très progressif. Cette image est de couleur jaune paille, avec des taches sanguines concordantes. L’empreinte du corps (et non du sang) ressemble à un “négatif” photographique, réalisé plusieurs siècles avant l’invention de la photographie. Cette empreinte correspond à une projection, qui se serait faite sans déformation sur une surface quasi plane horizontale comme si le drap flottait en l’air. Ceci exclue l’hypothèse d’une fabrication venant d’un contact du linge avec le corps, car l’image aurait été déformée. Le tissu est formé de lin, filé et blanchi selon les usages en vigueur au Moyen Orient, dans l’Antiquité. Malheureusement on n’a pas retrouvé de métiers à tisser capable de réaliser ce type de tissu en chevrons. Sa principale caractéristique est sa finesse, puisque son épaisseur n’est que de 0,3 mm. La toile contient de rares traces de fibres de coton (connu en Palestine dès l’Antiquité, mais non en Europe avant le 15ème siècle). En revanche, on ne trouve aucune présence de laine, conformément aux prescriptions hébraïques du Lévitique (Lev. 19, 19) ou du Deutéronome (Deut. 22, 11).
« Une provocation à l’intelligence » (Jean-Paul II)
Le Linceul est très mystérieux parce qu’il reste incompréhensible techniquement et aussi parce qu’il illustre parfaitement la Passion du Christ. Cette illustration a déclenché des polémiques incroyables, générées évidemment par les agnostiques et athées, mais aussi par tous ceux qui ne jugent pas la chose crédible. Dire que l’on dispose de la photo de Jésus ne fait pas sérieux. Comme le disait le Pape Jean-Paul II, ce drap est “une provocation à l’intelligence“.
L’histoire du Linceul est bien connue depuis le Moyen-âge
Sur le plan historique, le Linceul est recensé pour la première fois en un document historique incontestable à Lirey à côté de Troyes en 1356. Il fut alors propriété de la famille de Charny, puis celle de la Maison de Savoie à partir de 1453. Déposé d’abord à Chambéry, il fut transporté à Turin en 1578. Ce linge a survécu aux pillages, aux guerres, à des dégâts d’eau et à de nombreux incendies comme ceux de 1532, 1973, 1997 (sauvé par le pompier Mario Trematore qui a pu pulvériser une vitre réputée incassable pour l’occasion).
Auparavant il y a de nombreuses références au Linceul du Christ, mais l’identification avec le Suaire de Turin n’est pas certaine.
Antérieurement au Moyen-âge, nous avons des indices forts de son existence pendant les premiers siècles, sans que nous ayons de certitudes. Signalons que de nombreux chroniqueurs, à partir du 4ème siècle, ont parlé de “linges du Christ“. Puis, des archives byzantines semblent montrer que le Linceul que nous connaissons était à Constantinople entre 944 et 1204 et qu’il provenait de la ville d’Édesse.
2.On retrouve sur le Linceul le film de la Passion du Christ-Jésus. Tous les détails identifiés correspondent de manière impressionnante au récit des Évangiles, à tel point que Jean-Paul II parlait de ce linge comme d’un « miroir de l’Évangile ».
Le Linceul est une représentation iconographique exceptionnelle et unique de ce que rapportent les Évangiles au sujet de la Passion du Christ
Les détails historiques, les concordances archéologiques, anatomiques, physiologiques sont d’une précision de détail absolument impressionnante. Le pape Jean-Paul II parlait, à son propos d’un « miroir de l’Évangile ». L’homme que nous distinguons n’est ni un jeune homme ni un vieillard, il doit avoir entre 30 et 40 ans. Sa taille de 1,8m est grande, mais non exceptionnelle.
Nous retrouvons sur le Linceul une parfaite illustration des sévices qu’aurait reçus Jésus dans sa Passion
On peut citer de très nombreux détails : – Le visage est tuméfié et le cartilage du nez cassé. – Le détail évangélique de la couronne d’épine se retrouve parfaitement sur le Linceul, sous la forme, non d’une couronne, comme dans les représentations habituelles, mais d’une sorte de casque. – Le crucifié a subi une flagellation atroce avec un fouet identifiable au flagrum romain, muni de boules de plomb. Avec le nombre de coups relevé (100 à 120 marques de coups) les médecins estiment que le condamné n’était plus qu’un moribond, quasiment mourant à l’issue de cette flagellation. Malgré la cruauté de ce supplice, le corps n’est pas sanguinolent, comme dans l’iconographie habituelle. – L’empreinte de l’épaule et du dos montre de larges contusions, identifiables au port du patibulum, poutre horizontale de la croix. Les experts ont découvert la présence de boue (invisible à l’œil nu) sur le genou gauche, ce qui est la preuve d’une chute. – La trace des clous se situe au niveau des poignets (espace de Destot) et non dans les paumes, contrairement à presque toutes les représentations du passé. Signalons que Rubens, comme Van Dyck, avaient déjà placé les clous au bon endroit. – Les tibias ne sont pas brisés (cf. Jean 19,32-33) – Une grande plaie est observable sur le côté droit du corps. Il s’agit évidemment d’un coup de grâce, qui correspond dans les Évangiles au “coup de lance au cœur“. Il s’agit d’une blessure sur l’oreillette droite, toujours mortelle, comme l’avait déjà consigné Jules César. Ce coup a été donné post mortem, puisque la blessure ne s’est pas refermée. De plus, la tache de sang est entourée d’une auréole de liquide clair, qui s’est avéré être du sérum. Tout est parfaitement conforme à l’Évangile de Jean (Jean 19, 34-35). – Les chercheurs n’ont constaté aucun signe de putréfaction, aucune trace de décomposition sur le Linceul. On en déduit, logiquement, que le Linceul a bien enveloppé un cadavre, mais que celui-ci est resté moins de 30 heures dans notre drap.
Il y a une correspondance totale, sans la moindre erreur, entre les Évangiles et le Linceul
Bref, l’analyse de toutes les marques et indices inscrites sur le Linceul, montrent qu’il y a une concordance totale, sans la moindre erreur, entre les analyses anatomiques et historiques avec ce que nous rapportent les Évangiles, même de façon évasive. Des détails ignorés ont été découverts et ont permis d’approfondir nos connaissances sur le crucifiement. Citons par exemple la position du corps sur la croix, la trace de pièce de monnaies et de bandes administratives, etc…
Toutes ces observations, ont été reconnues, même par des agnostiques et incroyants
Par exemple, en 1902, Yves Delage, membre de l’Académie des Sciences, spécialiste d’anatomie et agnostique, a étudié le Linceul, avec Paul Vignon, en utilisant notamment les photos de Secundo Pia de 1898. Dans sa communication à l’Académie des Sciences, Delage reconnaît honnêtement qu’il n’y a aucune erreur manifeste, par rapport à ce que décrivent les Évangiles. Mais Berthelot, secrétaire permanent de l’Académie, également agnostique, refuse contre tous les usages de publier sa communication. Delage lui répond (à travers la “lettre à Richet“) : “Si, au lieu du Christ, il s’était agi d’un Sargon ou d’un pharaon quelconque, personne n’eût trouvé rien à redire“.
3.Le Linceul a été analysé très sérieusement depuis 1978. Il est maintenant établi scientifiquement que l’empreinte du corps ne peut pas résulter d’une peinture ou d’un faux. L’origine de sa formation reste aujourd’hui absolument inexpliquée par la science.
L’étude du STURP en 1978 mobilisa 24 chercheurs américains et 6 tonnes de matériel
Le STURP fut un groupement de 32 chercheurs scientifiques américains, dont seulement 24 vinrent à Turin, lors de l’ostension de 1978. Ils analysèrent le Linceul dans un programme pluridisciplinaire, assez complet, avec 6 tonnes de matériel sophistiqué. Les chercheurs prouvèrent que la nature chimique de l’empreinte est le résultat d’une “oxydation déshydratante acide“, des molécules de la cellulose du lin. Cette oxydation est très superficielle (40 micron) et n’existe que sur la crête des fibrilles. Les images sanguines, se sont imprimées par contact et on peut distinguer les traces de sang veineux, de sang artériel ou de sang post-mortem.
Il s’agit de sang humain et l’empreinte du corps n’existe pas sous le sang
Au moyen de 13 expériences opérées dans différentes disciplines, tant physiques que chimiques, les chercheurs Heller et Adler prouvèrent la présence de sang humain sur le drap. Ils montrèrent que l’empreinte du corps n’existe pas sous les traces de sang, ce qui tend à prouver qu’elle a été formée postérieurement à ces taches.
Il est prouvé que le sang est resté rosé à cause de la présence de bilirubine, que le corps humain n’émet que lors de violents traumatismes
Les scientifiques démontrèrent la présence dans le sang de bilirubine, qui est un pigment biliaire, issue de la destruction de l’hémoglobine. Cette découverte est d’un intérêt majeur, car sa présence explique pourquoi les taches de sang sont rosées et non noires, comme c’est le cas, habituellement, pour le sang vieilli. Cette propriété est d’autant plus intéressante que cette bilirubine apparaît dans le corps après de violents traumatismes, ce qui prouve la souffrance de “l’homme du Linceul“, gravement blessé avant sa mort. C’est une des nombreuses preuves d’authenticité et c’est celle qui a convaincu Barrie Schwortz, photographe juif qui participait aux travaux du STURP en 1978. On peut voir son témoignage à 7’00 sur : http://www.youtube.com/watch?v=LupXab-6KoE&feature=relmfu “La chose qui m’a empêché d’accepter que le Linceul est authentique durant des années – 18 ans – c’est que le sang sur le Linceul est encore rouge. Le sang ancien doit être noir ou marron. Personne n’a pu m’expliquer pendant 18 ans pourquoi le sang sur le Linceul a pu rester rouge. Et en 1995, dans une conversation téléphonique avec le Docteur Adler, un chimiste juif, qui a prouvé que le sang sur le Linceul est vraiment du sang, nous étions en conversation au téléphone et là il m’a dit quelque chose dont je n’avais jamais entendu parler : quand quelqu’un est torturé sur une longue période de temps, sur 24 ou 36 heures, à peu près la durée pendant laquelle Jésus a été torturé, le corps entre en état de choc. Jésus n’a pas reçu d’eau, il a été flagellé, il est entré en choc anaphylactique. Après quelques temps, dans ce genre de choc, les parois des cellules rouges du sang commencent à se décomposer et le foie répand dans le sang une enzyme qui s’appelle la bilirubine. Et quand cela arrive, le sang reste rouge pour toujours. Quand j’ai découvert cela, c’était la dernière pièce du puzzle. Et cela m’a donné la conviction que le Linceul est authentique parce que ça m’a donné une réponse scientifique et crédible à la dernière question que j’avais”.
L’image recèle une information de “tridimensionnalité”, comme si l’image s’était imprimée par un rayonnement orthogonal émis par un corps en apesanteur à faible distance du drap
L’image recèle une information relative à la distance “corps-drap” : à un endroit donné, la densité des fibrilles colorées (autrement dit, la coloration à cet endroit) est inversement proportionnelle à la distance de la source (supposée être la surface du corps) et de l’objet (le linge). Cette caractéristique est appelée “tridimensionnalité“. Le chercheur Thierry Castex a pu illustrer celle-ci par des photos 3D et Petrus Soons par un hologramme 3D. Dans une photographie ordinaire, le relief est apporté par les ombres, ce qui n’est pas le cas du Linceul qui ne présente aucune ombre. L’image n’est pas non plus déformée, comme ce serait le cas si elle s’était produite par contact. Elle est au contraire l’équivalent d’une photo, et l’élément “3D” ne peut se comprendre que comme si un rayonnement orthogonal au tissus était sorti du corps qui aurait été en apesanteur à quelque distance du linge parfaitement plat.
L’étude sur les pollens semblait conclure à un passage au Moyen-Orient mais elle est controversée
A partir de 1973, il y eut de nombreuses études sur les pollens retrouvés sur le linge (Max Frei, Avinoam Danin, Uri Baruch, les époux Whanger et Marzia Boi et autres). L’idée était de prouver le passage du Linceul en Palestine. Malheureusement, le résultat de ces études reste controversé par manque de preuves formelles.
Il ne s’agit en tous cas en aucun cas d’une peinture ou d’une impression provoquée par un contact
Le contact aurait provoqué une image déformée et la peinture est impossible car les membres du STURP Miller et Pellicori démontrèrent, grâce à la diversité de leurs analyses (expériences de thermographie, réflectance, de spectrométrie, de fluorescence) l’absence de tout pigment (base des colorants de peinture). De même, aucune protéine, (en dehors des taches rosées), ne fut retrouvée dans la région de l’empreinte. (Les protéines servent de “liant” dans les peintures du Moyen Age). Il fut ainsi prouvé que le Linceul ne comporte aucun des éléments constitutifs d’une peinture : ni pigment de couleur, ni liant. Autrement dit, l’image ne peut en aucun cas provenir d’une peinture ou teinture. Une partie des études correspondantes a été vulgarisée par Thibault Heimburger (“Le linceul de Turin : Complément d’enquête” -2010, ainsi que le sur son site : www.suaire-science.com). Compte tenu de la finesse du tissu (0,3 mm), une peinture aurait d’ailleurs traversé le linge et n’aurait pas pu rester uniquement sur 40 micron à la surface des fibrilles. Pour les experts ayant touché ce drap, c’est une évidence.
La question de la formation de l’image reste pour la science une énigme absolue
L’un des 3 photographes de l’équipe du STURP, Barrie Schwortz, qui a suivi tous ces travaux conclut : “il est intéressant de constater qu’après tout notre travail, toutes nos études, nous pouvions affirmer que ce n’est pas une peinture, pas une photographie, pas une brûlure, pas une gravure, pas un frottement à partir d’un bas-relief. Mais nous ne pouvions pas répondre à la seule question importante “comment l’image s’est-elle formée ? “.
4.Le test de datation au Carbone 14 effectué en 1988 a donné une date de « fabrication du Linceul » entre 1260 et 1390. Est-ce réellement la bonne date et quelle explication alternative donner alors que cette étude contredit toutes les autres études réalisées jusqu’ici ? Plusieurs explications sont possibles pour rendre compatible ces résultats avec les résultats des 500.000 heures de recherches de haut niveau qui ont été effectuées sur cet objet archéologique unique, qui reste aujourd’hui – et de loin – l’objet le plus étudié au monde.
5.Le Linceul est-il authentique ? Il est établi que l’on observe sur le Linceul une vingtaine de détails précis qui sont inconnus au Moyen-âge et non imaginables à cette époque. La présence de ces 20 détails rend la conception du Linceul absolument inconcevable, invraisemblable, impossible. Avec tout cela, la probabilité d’avoir un Linceul authentique est énorme. L’immense majorité des gens qui la nie, ignore tout de ce dossier.
Affirmer l’authenticité du Linceul n’est pas la même chose qu’affirmer la réalité de la Résurrection
La question de l’authenticité revient systématiquement dans les esprits, dès que l’on évoque le Linceul. Pourquoi ? Parce que le public imagine un couplage entre les notions “d’authenticité” et de “Résurrection”. Ce couplage est un piège, à la source de toutes les controverses entre les “pour” et les “contre”. – Les chrétiens peuvent voir dans ce couplage une preuve pour asseoir et augmenter leur foi. – Les agnostiques et athées voient dans ce couplage une remise en cause de leur vision du monde et ils en viennent donc à traiter par principe l’ensemble comme une superstition à combattre.
Il faut distinguer ces deux notions qui ne sont pas sur le même plan
Ces 2 notions sont assez indépendantes et si on prend garde à bien les dissocier, le problème ne se pose pas de la même manière. Nous avons vu que la question de la foi en la Résurrection était indépendante, car elle requiert la liberté. Mais que penser de l’authenticité ? Le Linceul est-il authentique ou non ?
L’authenticité est aujourd’hui assez incontestable
Sur cette question, on trouve de nombreux arguments “pour” ou “contre”, dans les différentes disciplines comme l’histoire, les sciences, etc. Mais la réponse à cette question est précise si l’on regarde un argument que j’ai découvert dès 1950 et qui rend d’une certaine manière tous les autres “sans intérêt”. Cet argument c’est qu’on observe sur le Linceul au moins 18 détails qui sont inconnus au Moyen-âge et non imaginables à cette époque. Autrement dit, la présence de ces 18 détails rend la conception du Linceul absolument inconcevable, invraisemblable, impossible. Toutes les spéculations sur sa réalisation deviennent alors “sans objet”. Si on ne peut pas le concevoir, on ne voit pas comment on pourrait le réaliser ? Si l’on réfléchit à cet argument, le Linceul est alors automatiquement authentique. Il est piquant de constater que la plupart des auteurs ignorent cet argument, pour se focaliser sur la réalisation !
Au moins 18 détails inconnus au Moyen-âge et non imaginables à cette époque excluent absolument l’hypothèse d’un faux
Au Moyen âge, il était absolument impossible de concevoir, d’inventer, d’imaginer une empreinte : 1/ assimilable à un négatif photographique, notion inimaginable et inutile à l’époque, puisque donnant un résultat d’aspect très médiocre, flou et disgracieux. Cette notion était vraiment inconcevable à l’époque. Cette découverte, faite 4 siècles plus tard, a mis plus de vingt ans à être mise au point. Pourquoi créer un négatif illisible, alors que l’image aurait pu être faite directement en positif, comme tous les “faux” suaires connus, peints au Moyen-Age ? La réalisation d’un négatif, sans les moyens technologiques actuels (photographiques ou informatiques), est absolument impossible aujourd’hui. Que dire à l’époque, où cette notion ne pouvait pas avoir de sens ? Tous les détails que nous décelons sur le négatif, n’apparaissent pas nettement sur le drap. Notre faussaire aurait dû travailler, non pour ses contemporains, mais pour le 20ème siècle ce qui est inimaginable ! 2/ avec des teintes dégradées, sans contour, sans esquisses, technique totalement étrangère à l’esprit de l’époque et jamais utilisée avant le 19ème siècle. Cette dégradation des teintes est ce qui donne le relief de la tridimensionnalités.
L’empreinte reproduit des caractéristiques contraires à toute la culture de l’époque, alors qu’un faussaire aurait cherché à plaire à ses contemporains :
3/ nudité complète, impensable, quand on pense aux gravures représentant des ostensions au 16ème siècle, sur lesquelles l’empreinte est habillée ! Les commanditaires n’auraient jamais accepté cette nudité, car ils cherchaient à élever la spiritualité des fidèles, sans les scandaliser, 4/ couronne d’épines en “bonnet”, (ou en “calotte”) et non circulaire, 5/ clous dans les carpes et non dans les paumes, 6/ position dissymétrique sur la croix, avec un bras droit vertical, l’épaule droite plus basse que la gauche et un corps légèrement en “S”, ce qui est contraire à la totalité des représentations de la croix : crucifix ou crucifixion.
L’empreinte reproduit des caractéristiques difficiles à imaginer :
7/ tuméfaction du visage, correspondant aux sévices de la nuit et du prétoire, 8/ marques des coups d’un flagrum, instrument inconnu à l’époque, 9/ positionnement de ces marques en “double éventail”, 10/ marques du port et de la chute du patibulum, celui-ci étant inconnu, comme les modalités du crucifiement, 11/ plaie au cœur béante, correspondant à un coup donné APRES la mort, 12/ trace d’un pli à l’endroit où les pieds étaient liés, 13/ muscles fessiers ne touchant pas le linge. Aucun écrasement de ces muscles n’apparaît, 14/ duplication des muscles fessiers dus à un pli, 15/ Linceul utilisant comme support un tissu rare, très fin, en lin pur, avec tissage en chevrons (connu, mais peu courant), sans traces de laine, mais avec des traces de coton, matière inconnue en Occident, au Moyen-âge. Des tissus plus simples et plus épais, auraient été plus crédibles, 16/ empreinte ayant une connaissance anatomique inconnue à l’époque, en complet désaccord avec les représentations habituelles au Moyen âge, 17/ empreinte avec des défauts de proportions et de distorsions relevés par les “adversaires du Linceul”, comme par exemple la longueur des bras. Tous ces “défauts” ont trouvé une explication rationnelle dans des études menées spécifiquement. Ces explications se révèlent plutôt des facteurs d’authenticité, dans la mesure où elles étaient inattendues. Il n’est pas imaginable de faire des erreurs volontairement, 18/ absence d’empreinte sous les taches de sang, ce qui rend une réalisation quasiment impossible, 19/ Distinction des sangs artériels, veineux et “post mortem”, décelable par les médecins légistes.
Image présentant des détails invisibles à l’œil nu, ce qui n’est pas imaginable pour un faussaire :
20/ présence de poussière de calcaire sous les pieds, sur des écorchures aux genoux et même sur le nez. 21/ présence de pièces de monnaies, placées à proximité des yeux, frappées par Ponce Pilate en l’an 29 (dilepton lituus et lepton simpulum), même si cet argument est contesté par plusieurs spécialistes. 22/ présence d’inscriptions autour de la tête, correspondant à des informations administratives obligatoires (relatives aux ensevelissements du 1er siècle), absolument inconnues au Moyen âge. Outre cet argument sur la “conception” du Linceul, reconnaissons qu’il y a de nombreux autres arguments non listés, parce que secondaires, comme ceux relatifs à l’histoire ou à la réalisation. En définitive, on peut affirmer que la probabilité d’avoir un Linceul authentique est énorme. L’immense majorité des gens qui la nie, ignore tout de ce dossier.
6.L’authenticité du Linceul ne démontre pour autant pas la réalité de la Résurrection et il serait erroné de considérer le Suaire de Turin comme une preuve objective contraignante obligeant à croire. Ce qui est cependant frappant et certain aujourd’hui, c’est la singularité de cet objet, qui est vraiment unique au monde. Comment se fait-il qu’il n’y ait aucun autre objet de ce type ? Si l’image vient de causes naturelles, on ne comprend pas bien pourquoi il n’y en aurait pas d’autres. Mais si par contre elle a été provoquée par la Résurrection du Christ, la réponse est cohérente : à cet événement absolument singulier qu’est la Résurrection, correspond un élément matériel lui aussi absolument singulier, ce qui est très logique.
Le Linceul présente a priori l’image d’un cadavre, sans la moindre trace de vie et donc de résurrection.
Il est vrai que l’on ne sait pas expliquer comment le cadavre a pu se détacher du tissu sans qu’il y ait une rupture des filaments de fibrine du sang sur les contours des taches. Ces contours sont intacts, mais cette constatation ne constitue pas une preuve scientifique de la Résurrection. Même si le Pape Jean-Paul II a pu parler de “la plus splendide relique de la Passion et de la Résurrection”, le Linceul est davantage une icône de la Passion du Christ que de sa Résurrection.
Pour les Apôtres eux-mêmes, le Linceul vide dans le tombeau n’a pas été une preuve de la Résurrection
Par exemple, spontanément, saint Thomas n’y a pas cru. Si nous prenons le cas de Saint Jean, nous voyons qu’il est passé de la vision à la contemplation, puis à la foi, ce qu’exprime l’Évangile “il vit et il crut” (Jn 20,8). Mais il n’a jamais été dit que Jean avait considéré le Linceul comme “une preuve“, il n’a “vu qu’un signe“. Un signe sur lequel sa décision libre de croire à la Résurrection du Christ a pu s’appuyer, mais un signe qui n’est pas une preuve scientifique contraignante qui ne laisserait plus de place à la liberté.
Notre foi en la Résurrection repose avant tout sur le témoignage des Apôtres.
Cela commence avec le témoignage de Thomas touchant les plaies de Jésus. Les Apôtres ont eu la preuve certaine, quasi matérielle, d’une part de la mort de Jésus, puis de sa Résurrection qui fut inattendue. Outre les Apôtres, de nombreux disciples furent eux aussi des témoins de la résurrection : citons la déclaration de Saint Paul “Ensuite il est apparu à plus de 500 frères à la fois. La plupart d’entre eux vivent encore….” (1 Co 15, 6). Cette certitude dans la Résurrection du Christ, a conduit presque tous les Apôtres à accepter le martyre, ce qu’ils n’auraient jamais fait s’ils n’en n’avaient pas été convaincus. Aujourd’hui, personne n’a vu le Christ ressuscité, mais la foi des Apôtres, qui au prix de leur vie et du martyre n’ont pas renié leur témoignage, est suffisante pour que l’on puisse leur faire confiance.
Dans une certaine acception scientifique, un évènement n’est une preuve que s’il est reproductible.
Dans le cas de la Résurrection, on est dans le domaine du fait historique singulier, non reproductible. Nous n’aurons jamais ce type de “preuve” scientifique de la Résurrection. Notre foi est en réalité une adhésion libre qui s’appuie sur des signes adaptés à notre intelligence et sur des témoignages fiables, comme ceux des Apôtres. La foi prend appui sur des signes mais ce ne sont des preuves matérielles contraignantes qui rendraient superflus une adhésion libre.
Ce qui frappe le plus finalement c’est la singularité reconnue du Linceul : la science atteste positivement aujourd’hui que cet objet est absolument unique
Comment se fait-il qu’il soit si unique ? S’il était produit par des causes naturelles, communes ou reproductibles, il devrait exister beaucoup de linges de ce type. On peut dire que la seule explication vraiment rationnelle est que si cet objet existe de manière unique et singulière, c’est parce qu’il est en rapport avec un événement qui est lui aussi unique et singulier. En ce sens, la Résurrection du Christ correspond bien au problème car avec cette hypothèse tout s’explique parfaitement. Mais, sans elle, il n’y a aucune explication.
8.Comment conclure ? Le Linceul est assurément un signe très fort et ce qu’il représente est suffisamment impressionnant pour nous conduire au Christ.
“Le Linceul est pour tout le monde”
Comme le dit encore Barrie Schwortz : “Je ne crois pas que la réponse soit sur le Linceul, mais dans les yeux et le cœur de ceux qui le regardent“. Il conclut : “Ma vie est 1.000 fois meilleure qu’avant, parce que le Linceul est dans ma vie. En tant que juif, c’est peut-être la plus grande ironie de ma vie : Je suis un juif, qui peut dire que ma foi en Dieu a été restaurée par mon étude sur le Linceul de Turin. Donc le Linceul n’est pas seulement pour les chrétiens. Il est pour tout le monde“. Finalement, c’est l’image du Christ qui nous est révélée, qu’il faut retenir. Nous y lisons les détails de sa Passion avec tout ce que cela sous-tend. Nous sommes amenés à méditer sur les mystères : – de “l’Incarnation“, – de la “souffrance” et des “ténèbres“, – de la “mort” et des “fins dernières” et enfin – de la “Résurrection“. En résumé, comme beaucoup en font l’expérience, le Linceul nous conduit au Christ vivant et ressuscité. C’est par sa Passion et sa Résurrection, qu’Il nous sauve et nous libère.
Des photos exceptionnelles du Saint-Suaire de Turin
199 photographies scientifiques du Saint-Suaire de Turin sont désormais accessibles en ligne. Ces photos sont l’œuvre de Vernon Miller, photographe qui a accompagné la campagne de recherches réalisées de 1977 à 1981 par une équipe de physiciens, de chimistes et d’ingénieurs d’universités ou de laboratoires de recherches américains sur le linceul. Au terme de ces recherches, cette équipe avait déclaré :
« L’image du Suaire est celle de la forme humaine réelle d’un homme flagellé et crucifié. Elle n’est pas l’œuvre d’un artiste. »
Bonjour oui j’ai entendu parler de cette histoire la . J’y crois maintenant. Je pense bien je réfléchis beaucoup maintenant . Il est arrivé un attentat terroriste chez moi au Canada c’est arrivé à Québec la capitale nationale de la province de Québec. Dans une mosquée musulmane 6 personnes concernées sont mortes maintenant . Cette nouvelle va faire le tour du monde entier. Je commence à me repentir de mes péchés et j’ai mauvaise conscience aujourd’hui.. Je vais abandonner m’a mauvaise conduite. Amen amicalement vôtre Alain Gagnon du Canada Québec et que Dieu vous bénisse abondamment Amen
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Bonjour oui j’ai entendu parler de cette histoire la . J’y crois maintenant. Je pense bien je réfléchis beaucoup maintenant . Il est arrivé un attentat terroriste chez moi au Canada c’est arrivé à Québec la capitale nationale de la province de Québec. Dans une mosquée musulmane 6 personnes concernées sont mortes maintenant . Cette nouvelle va faire le tour du monde entier. Je commence à me repentir de mes péchés et j’ai mauvaise conscience aujourd’hui.. Je vais abandonner m’a mauvaise conduite. Amen amicalement vôtre Alain Gagnon du Canada Québec et que Dieu vous bénisse abondamment Amen
Père,
Avez-vous une photo du ” visage de l’icône du Christ Pantocrator, qui se trouve au Monastère Ste Catherine (au Mont Sinaï)” ?
Merci
J’ai toujours cette passion pour le Saint-Suaire