Recension par Francis Richard du livre de Jean-Dominique Michel “Autopsie d’un désastre”
Dans ce premier volume sur la pandémie de covid, l’auteur, comme le sous-titre l’indique, s’intéresse aux Mensonges et corruption autour du covid.1 Le lecteur intéressé lira avec profit ce volume, très documenté, dont ce billet n’est qu’un résumé partiel et partial.
LES MENSONGES
Premier mensonge: le SRAS-CoV-2 était un virus redoutable.
En réalité il était relativement anodin dans l’immense majorité des cas, mais […] il pouvait malgré tout générer des formes graves redoutables.
En d’autres termes la létalité par personnes infectées (IFR – Infection Fatality Rate), était faible au regard de la létalité par personnes diagnostiquées et prises en charge (CFR – Case Fatality Rate).
À cette confusion volontairement diffusée s’est ajoutée la comptabilisation, dans les décès covid, de personnes décédées pour d’autres causes :
La létalité réelle du Covid avait bel et bien été équivalente à celle de la grippe annuelle.
Deuxième mensonge: l’engorgement des services hospitaliers était inhabituel.
En réalité, de manière saisonnière, d’une année sur l’autre, les hôpitaux étaient engorgés depuis de nombreuses années en raison de la suppression de lits hospitaliers, qui s’est poursuivie pendant la pandémie…
D’autre part, sur les 1300 hôpitaux et cliniques publics et privés en France, l’entier des patients a été dirigé sur seulement 37 établissements.
Enfin, 50% des patients ont été placés en réanimation dès le premier jour, ce qui constitue une très grave erreur médicale, parce que cela a provoqué des décès en nombre : Dès qu’il y a des caillots de sang, soit de la coagulation dans les capillaires des alvéoles pulmonaires caractéristiques de la forme grave de la maladie du covid, il ne faut surtout pas ventiler en respiration artificielle.
Troisième mensonge: il y a eu de nombreuses vagues et de nombreux cas.
On a découplé le nombre de cas du nombre de malades. Pour cela, on a changé la définition des épidémies qui se mesuraient en nombre de malades : le covid a été mesuré sur le critère des tests PCR, dont le but n’a jamais été le diagnostic mais la recherche d’un agent infectieux.
Pour confirmer la présence de cet agent, on a volontairement amplifié cette recherche par un nombre de cycles qui permettait d’en trouver des traces ténues…
En conséquence, les vagues successives ont été le résultat de l’usage massif de tests… effectués sur des populations que l’on a obligé à se faire tester fréquemment.
Il n’y a donc pas eu de vagues dues au relâchement des populations mais des chocs épidémiques dus à l’apparition de variants.
Quatrième mensonge: le Covid était une pandémie.
Ce n’était pas une épidémie au sens du nombre élevé de malades. Ce ne pouvait donc pas être une pandémie au sens d’épidémie très grave. Les experts de l’OMS, dont les liens avec les laboratoires pharmaceutiques sont patents, en avaient changé opportunément la définition en 2009 à l’occasion de la grippe H1N1…
Plutôt que d’une pandémie, il s’est agi d’une syndémie : il y avait dès le début un taux très élevé de comorbidités chez les personnes décédées du covid, mais l’immense majorité de la population n’était pas à risque et pouvait donc vivre normalement.
Cinquième mensonge: les morts du Covid et avec le Covid ont été confondus.
Cette confusion avait une finalité : entretenir encore et encore et encore l’état de panique de la population pour la contraindre à accepter des mesures sans oser s’y opposer ni même les questionner.
Ainsi, quand on annonçait un jour un nombre de morts, on se gardait de dire qu’il était bien inférieur au nombre de morts en temps normal ou en cas d’épidémie grippale…
Sixième mensonge: les mesures prises étaient sanitaires.
Les confinements, les restrictions de voyage, l’interdiction de manifestations publiques, l’utilisation de masques faciaux2 , la fermeture des frontières, les passes sanitaire et vaccinal3 n’étaient pas des mesures sanitaires, mais autoritaires, qui plus est inefficaces, basées, entre autres, sur des modélisations frauduleuses :
L’expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou d’autres événements indésirables réagissent mieux et avec moins d’anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé.
En réalité, seules auraient été efficaces et sanitaires la ventilation et l’isolement des malades.4
L’exemple de la Suède, hormis le pic épidémique dû au confinement ciblé des personnes âgées, montre à l’envi que l’absence de confinement de sa population générale ne s’est pas traduite par une flambée épidémique. Dans les autres pays, les populations confinées ont été davantage contaminées …
Il faut dire que l’OMS, contrairement à l’expérience acquise, a décrété que l’immunité naturelle pouvait être obtenue par la vaccination et non pas par la propagation de la maladie…
Septième mensonge: les traitements précoces étaient inefficaces.
Toutes les études montrent au contraire qu’il était criminel d’empêcher les médecins de voir leurs patients, de les soigner avant qu’ils ne développent des formes graves et de les traiter précocement avec des molécules qui n’ont jamais été nocives.
On a dénigré tous les traitements précoces en se basant sur des essais qui tous étaient truqués afin de favoriser des remèdes toxiques – tels que le Remdesivir – ou des vaccins ARNm utilisés pendant l’épidémie comme thérapies géniques, sans parler, en France, de l’administration de Rivotril à des personnes âgées … : Un produit, rappelons-le, abrégeant la vie des personnes que l’on a décidé de ne pas soigner – et à qui l’on a même décidé de ne pas laisser la moindre chance de pouvoir le cas échéant se rétablir par elles-mêmes.
Huitième mensonge: hors le “vaccin”, il n’y avait point de salut.
Les injections géniques ne sont justement pas des vaccins puisqu’ils ne protègent pas. Ces vaccins sont des thérapies géniques [expérimentales] … De plus, les essais prouvant leur efficacité et leur innocuité ont été frauduleux et les autorisations de leur mise sur le marché ont été délivrées à la hâte, alors qu’ils étaient toujours en phase expérimentale et qu’ils auraient donc dû, avant d’être administrés, recueillir préalablement le consentement libre et éclairé des personnes …
En réalité le prétendu vaccin n’a pas stoppé l’épidémie, il n’a pas empêché d’attraper le Covid ni de le transmettre, ni même de mourir. On n’est même pas sûr qu’il ait empêché les formes graves…
À en croire les autorités et les laboratoires pharmaceutiques, il n’avait pas d’effets indésirables. Or c’est tout le contraire, parmi ces effets indésirables, il y a eu après injection :
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- des myocardites fréquentes,
- des cancers, en plus grand nombre qu’auparavant, et même fulgurants chez des personnes de moins de 50 ans,
- des troubles menstruels chez un tiers des femmes vaccinées,
- une augmentation des fausses couches.
- Etc.
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Trois mécanismes pathogènes expliqueraient la toxicité anormalement élevée de ces vaccins ARNm :
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- la toxicité chimique des nanoparticules lipidiques,
- la toxicité directe de la protéine Spike dont l’expression est induite par les vaccins,
- les effets destructeurs de la réponse immunitaire à la protéine Spike.
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Les conséquences de ces mensonges
Tous ces mensonges ont eu des conséquences graves :
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- les populations ont été traumatisées ;
- les contradicteurs ont été stigmatisés : théoriciens du complot, obscurantistes, anti-science, extrémistes de droite, supporters de Trump ;
- les entreprises, petites et grandes, après avoir été soutenues, en grand nombre ont fait faillite ;
- la dette, en France, a explosé.
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LA CORRUPTION
Le désastre du covid n’aurait pas été possible sans la corruption, légale et systémique, dans le domaine pharmaceutique : [L’industrie pharmaceutique] est la première ou la seconde plus importante entreprise dans le monde par son chiffre d’affaires, celle qui engrange les marges les plus importantes et fait les bénéfices les plus faramineux.
Jusque-là rien de répréhensible. Sauf que :
Elle a dévié depuis plusieurs décennies vers des comportements et des pratiques relevant de la criminalité, et même du crime organisé.
Les sociétés pharmaceutiques, telle Pfizer, sont d’ailleurs régulièrement condamnées à de fortes pénalités pour :
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- la promotion illégale de produits médicaux,
- des affirmations frauduleuses sur la sécurité des produits,
- la corruption de fonctionnaires et de responsables politiques,
- des essais cliniques illégaux,
- la falsification de données.
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Mais, aux États-Unis, les paiements de ces pénalités et des dommages et intérêts aux victimes une fois acquittés par la société soit-disant repentante, elle engrange un juteux bénéfice qui ne l’incite pas à cesser la commission de ses crimes…
Il n’est pas surprenant, compte tenu des sommes en jeu, que l’influence de ces sociétés s’exerce sur les résultats de la recherche, sur les publications dans les revues médicales et sur les États, avec lesquels se nouent des relations de connivence, sans parler des ordres et sociétés de médecine …
CONCLUSION
Le désastre, que ce volume autopsie, n’est évidemment pas le fruit du hasard. L’auteur, dans un volume suivant, apporte les preuves qu’il relève d’un plan méticuleusement préparé et mis en œuvre [ … ] ainsi que d’une ingénierie sociale, brutale et efficace, adaptée à la nouvelle ère de l’information, en vue de la dépopulation.
Je me réjouis de lire prochainement La Fabrication du désastre et d’en rendre compte.
Voir ci-dessous la très intéressante ENQUÊTE ayant pour titre “Covid-19, arme biologique made in USA ?“, ramification & financements sur base de l’enquête du Congrès, éclairée par Typhaine Pinsolle (docteur en microbiologie médicale) & Charles Rixey (ex-instructeur militaire spécialisé en armes biologiques).
- Je reprends dans ce billet le masculin de l’auteur, bien que, s’agissant de la maladie du coronavirus (le d de Covid est l’initiale de disease en anglais, qui veut dire maladie), s’il ne tenait qu’à moi, je l’écrirais au féminin et réserverais le masculin au virus. [↩]
- À l’origine de l’augmentation de pneumopathies, de détresse psychique chez les enfants, de maltraitance grave sur les femmes en train d’accoucher. [↩]
- Les passes sanitaire et vaccinal ne se justifiaient d’ailleurs pas puisque la prétendue vaccination ne protégeait pas et n’empêchait pas la contamination. [↩]
- Ce sont ces mesures qui m’ont été appliquées au CHUV ( Centre hospitalier universitaire vaudois) quand j’ai contracté la covid en décembre 2023, bien qu’à jour de vaccination et l’ayant contractée une première fois en décembre 2022… [↩]
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