Islam et Vérité

Une preuve de la Résurrection du Christ : le Linceul de Turin…


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Si les scientifiques arrivent aujourd’hui à mettre une image sur les premiers instants de l’univers (le rayonnement fossile), une réalité jusqu’alors très abstraite, il est une image qui ne trouve aucune explication scientifique, dépassant par là même toutes nos connaissances, et poussant les plus grands experts à s’arracher les cheveux…

Cette image est celle du linceul de Turin : appelé aussi Saint Suaire ou Sindon. Ce drap est un tissu de lin de 4.36 m de long pour 1.10 m de large, par endroits brûlé (à cause d’incendies), qui a la particularité de présenter l’image ventrale et dorsale du corps affreusement supplicié d’un homme crucifié (visage tuméfié, blessures au front et au cuir chevelu, flagellation, crucifixion, plaie sur le côté, coulures de sang, bilirubine, etc.) mesurant 1.81 m.

L’image de Jésus ?  Le mystère de cette image se trouve dans sa formation : il s’agit d’une image en négatif, comme celle d’une pellicule photo avant son développement… procédé inconnu jusqu’à l’invention de la photographie… une « impression » négative sur un tissu de lin. Jamais dans toute l’histoire de l’iconographie, personne n’a peint une image en négatif !

Un négatif ! Autrement dit, si on prend une photo de cette image, et qu’on ne regarde que le négatif, on obtient son positif ! Ce fut la surprise de M. Secondo Pia qui le prit pour la première fois en photo le 28 mai 1898 : Au moment du développement, il fut ainsi le premier à contempler ce visage.

Rappelons-nous que la technique photographique n’a été inventé qu’à partir de 1780 (conventionnellement 1839) et on retrace le parcours du linceul avec certitude jusqu’en 1357 à Lirey en France, soit largement plus de 400 ans avant l’invention du négatif…

Qui aurait pu imaginer dans les siècles passés qu’un jour les technologies se développeraient au point d’être capables d’inverser l’image, ses couleurs, d’améliorer leurs contrastes, et de la rendre ainsi beaucoup plus précise en révélant des détails jusqu’alors invisibles à l’œil nu ?

Vidéo n°3 :
CONCLUSIONS SUR LE LINCEUL DE TURIN : Aujourd’hui, avec l’accumulation de découvertes étonnantes sur cet objet qui est le plus étudié au monde (500.000 heures de recherches scientifiques de haut niveau) il est possible de conclure que ce linge est bien celui qui a enveloppé le corps du Christ après sa mort en l’an 30 à Jérusalem et d’affirmer que le rayonnement qui a provoqué l’image imprimée sur le tissu, – image stupéfiante, inexplicable et non reproductible par la science à ce jour – (négatif montrant une image nette à partir d’une oxydation acide déshydratante de densité variable indiquant une information de distance) ne peut venir que du “flash” de la Résurrection. En s’attachant à mettre en lumière 5 arguments précis qui sont tous décisifs, la présentation explique pourquoi, dans l’état de la connaissance actuelle, rester dans le doute et ne pas conclure serait une attitude idéologique, incohérente et inadaptée.

Plan de la vidéo :

00:38 : Ne pas se tromper sur la possibilité théorique de conclure
02:21 : Ne pas se tromper sur les preuves et la foi
04:04 : Les 2 thèses entre lesquelles il faut choisir
06:04 : 1/5 – Le codex de Pray prouve que le Linceul existe bien avant 944
16:40 : 2/5 – Le Linceul est un “négatif”, notion totalement inconnue avant le XIXème siècle
22:28 : 3/5 – L’Évangile de la Passion se lit étonnamment sur le Linceul avec notamment 18 détails inconnus et inconcevables au Moyen-âge 29:04 : Témoignage du photographe juif Barrie Schwortz, membre du STURP (extrait du DVD Net for God : “Il est l’image du Dieu invisible”)
32:24 : 4/5 – Un rayonnement 3D orthogonal au Linceul incompréhensible et impossible à reproduire à ce jour, qui a provoqué une oxydation acide déshydratante superficielle
37:10 : 5/5 – Une singularité absolue constatée de 1.000 manières qui conduit logiquement à mettre en rapport cet objet absolument unique et non reproductible avec une cause forcément unique et non reproductible.
38:10 : Arbre logique résumant le raisonnement qui conduit à conclure de manière certaine à une cause surnaturelle
41:44 : Extrait de réponses aux questions
41:51 : Qu’est-ce qu’une preuve ?
42:40 : Les preuves ne sont jamais contraignantes
43:50 : La foi n’est pas une affaire de connaissance
44:30 : Se décider pour la seule attitude cohérente, juste, adaptée
45:12 : Si un objet matériel devait garder une trace matérielle de l’événement de la Résurrection, ce ne pouvait être que le Linceul du Christ qui était, en cet instant décisif et absolument unique où le corps physique du Christ a été transformé en un corps glorieux, le seul objet matériel en contact direct avec lui.

Mais il y a encore bien plus intrigant…

En étudiant le linceul, les experts se sont rendus compte que l’image n’était pas formée par de la peinture… Il s’agit d’une sorte de « roussissure » d’une profondeur d’environ 40 µm (0,04 mm) au niveau d’une couche superficielle des fibres. Mais si on arrive à comprendre la couleur, celle-ci ne nous explique pas l’image. Partant de l’hypothèse que ce drap aurait enveloppé un corps, les scientifiques ont constaté que les parties les plus sombres correspondraient aux parties du corps les plus proches du linceul.

En 1976, ils eurent l’idée de l’analyser avec le VP-8 (appareil développé par la NASA pour étudier la géographie des planètes) qui permet de relever les intensités lumineuses d’un objet afin d’en déterminer son relief (uniquement le relief et non pas les altitudes).

A la surprise générale, une image en trois dimensions du corps sans distorsion fut alors révélée.

Une tridimensionnalité ! Le procédé de formation d’une image ayant cette propriété, dépasse notre connaissance, il nous est complètement inconnu ! Aucune photo au monde qu’elle soit argentique comme numérique, aucune image (peinture, etc…) hormis celle du linceul de Turin ne laisse apparaître cette tridimensionnalité…

La propriété de cette image est unique au monde : Pas de peinture, un négatif avant l’heure, un codage tridimensionnel unique…

Une image acheiropoïète, c’est-à-dire non faite de main d’homme… C’est ce que nous diraient d’anciens manuscrits.

Mais qu’en est-il de la datation ? L’analyse au radiocarbone (C14) en 1988 fut extrêmement contestée, mais il semble qu’une étude récente ait fini par trancher…

L’analyse au radiocarbone (C14) en 1988 a été très contesté, de très nombreuses raisons ont été évoquées, mais une certitude demeure, cette datation (situé entre 1260 et 1300) ne permet pas de déterminer l’âge réel du Linceul.

Voici une des principales raisons : l’échantillon utilisé, ayant été prélevé sur un coin du linceul, serait constitué d’une pièce partiellement raccommodée en coton provenant d’une de ses restaurations.
La présentation du résultat d’analyse de Robert Villarreal en 2008 vient ainsi corroborer la thèse de Sue Benford et Joe Marino en 2000 et de Ray Rogers en 2005 sur le mélange de lin et de coton.
L’erreur sur le lieu du prélèvement et sur sa datation est maintenant un fait avéré : pour faire simple, le coton ajoute du carbone 14 à la mesure, faussant ainsi son résultat.

Pour s’en convaincre définitivement, une gravure provenant d’un manuscrit intitulé le Codex de Pray, présente de manière symbolique des détails très particuliers (homme nu, brûlures formant un L et un P, absence de pouce, etc.) que l’on retrouve sur le linceul de Turin, et elle parvient même à expliquer pourquoi l’image dorsale est imprécise au niveau du fessier, ainsi que légèrement plus grande que l’image ventrale (pli du linceul).
Le Codex de Pray a été daté de 1195 au plus tard… Cette gravure permet ainsi d’affirmer que ce linceul date de bien avant 1195 !

Mais peut-être pouvons nous le retracer encore plus loin : le visage de l’icône du Christ Pantocrator, qui se trouve au Monastère Ste Catherine (au Mont Sinaï), a un grand nombre de correspondances et s’aligne parfaitement avec le visage du linceul, mais surtout il intègre 8 marques caractéristiques parmi les 16 du linceul de Turin. Cette icône est la plus ancienne de l’histoire, elle date du VIe siècle.
Sans oublier que des éléments présents sur le linceul comme les pollens, les inscriptions antiques, les pièces de monnaies, la couture du lin en chevron, etc…, tendent à prouver son ancienneté au 1er siècle.

Mais le mystère demeure sur la formation de l’image, car les roussissures associées au négatif de haute résolution laissent suggérer à un rayonnement ; et la tridimensionnalité suggère qu’il ne peut pas provenir de l’extérieur. Alors, comment cette image a-t-elle été réalisée ?

Négatif, tridimensionnalité, traces de sang séchés sans arrachement,… Si les techniques du XIIe voir du VIe siècle étaient plus compétentes que celles d’aujourd’hui, ça se saurait… et d’ailleurs, comment penser à réaliser un négatif sans connaître son procédé… sans parler de la tridimensionnalité… ? Un vrai casse tête !

Devant cette réalité, la recherche scientifique nous fait déboucher sur une explication défiant la physique ; car en s’appuyant sur les multitudes d’expertises, nous pourrions aisément imaginer le scénario suivant :
Du fait des différentes phases de coagulation du sang (formation et rétraction de caillots, séparation du sérum, formation de croûtes), nous savons grâce aux experts légistes que le corps a été déposé moins de 2h30 après la mort du crucifié, et ce, sans avoir été lavé. La formation particulièrement précise de l’image proviendrait du rayonnement intense du corps même (négatif & tridimensionnalité), qui aurait ensuite mystérieusement disparu (aucune trace d’arrachement ni d’altération des traces de sang séchés ce qui exclut que quelqu’un l’ait retiré) et ce, entre 36 et 40 heures après avoir été déposé dedans (caillots de sang non dissous, pas de trace de putréfaction,…).

Alors, s’agirait-il d’une relique de la Passion ? voir d’une image fossile issue du rayonnement de la Résurrection ? Sommes-nous face au véritable linceul ayant enveloppé le Christ ?
Dans cette affaire, la science se retrouve face à une réalité qu’elle ne peut expliquer rationnellement dans l’état de nos connaissances.
L’Eglise catholique, pour sa part, considère cette image comme une icône. Ainsi, face à ce mystère, les investigations de la science semblent trouver réponse dans l’Acte de Foi…

Si l’humanité a besoin d’étancher sa soif par l’apport de preuves matérielles, toutes les preuves au monde n’apporteront pas la Foi, car celle-ci est avant tout l’affaire d’ouverture du Coeur.

« S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts : ils ne seront pas convaincus » (Luc 16, 31)

« Heureux ceux qui croient sans avoir vu » (Jean 20,19-31)

Aussi devant toutes les théories, mystères et évidences scientifiques, peut-être pouvons-nous raisonnablement nous poser la question : et si les évangiles disaient vrai ?

Dans ce cas, sachons contempler, méditer et rendre témoignage de l’agonie et des souffrances vécus par cet homme, le Verbe fait chair, qui, comme l’enseigne les évangiles, la Tradition et l’Eglise, s’est livré en sacrifice par Amour pour chacun de nous, en réparation de nos péchés, et pour notre Salut.

Source

Voir encore :
Linceul de Turin

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LE LINCEUL DE TURIN EST-IL UN SIGNE DE LA RÉSURRECTION DU CHRIST ?

Le Linceul n’est pas une preuve objective contraignante obligeant à croire mais il est incontestablement authentique et il fait signe de bien des manières, touchant ceux qui l’étudient ou le contemplent, et devenant pour beaucoup un chemin qui conduit au Christ et à la foi en la Résurrection.
  • 1.Le Linceul de Turin est un drap très mystérieux, doté de caractéristiques très particulières. On suit historiquement et précisément sa trace depuis le Moyen-âge. Antérieurement, il y a des indices forts de son existence pendant les premiers siècles, sans que nous ayons de certitudes.
  • 2.On retrouve sur le Linceul le film de la Passion du Christ-Jésus. Tous les détails identifiés correspondent de manière impressionnante au récit des Évangiles, à tel point que Jean-Paul II parlait de ce linge comme d’un « miroir de l’Évangile ».
  • 3.Le Linceul a été analysé très sérieusement depuis 1978. Il est maintenant établi scientifiquement que l’empreinte du corps ne peut pas résulter d’une peinture ou d’un faux. L’origine de sa formation reste aujourd’hui absolument inexpliquée par la science.
  • 4.Le test de datation au Carbone 14 effectué en 1988 a donné une date de « fabrication du Linceul » entre 1260 et 1390. Est-ce réellement la bonne date et quelle explication alternative donner alors que cette étude contredit toutes les autres études réalisées jusqu’ici ? Plusieurs explications sont possibles pour rendre compatible ces résultats avec les résultats des 500.000 heures de recherches de haut niveau qui ont été effectuées sur cet objet archéologique unique, qui reste aujourd’hui – et de loin – l’objet le plus étudié au monde.
  • 5.Le Linceul est-il authentique ? Il est établi que l’on observe sur le Linceul une vingtaine de détails précis qui sont inconnus au Moyen-âge et non imaginables à cette époque. La présence de ces 20 détails rend la conception du Linceul absolument inconcevable, invraisemblable, impossible. Avec tout cela, la probabilité d’avoir un Linceul authentique est énorme. L’immense majorité des gens qui la nie, ignore tout de ce dossier.

6.L’authenticité du Linceul ne démontre pour autant pas la réalité de la Résurrection et il serait erroné de considérer le Suaire de Turin comme une preuve objective contraignante obligeant à croire. Ce qui est cependant frappant et certain aujourd’hui, c’est la singularité de cet objet, qui est vraiment unique au monde. Comment se fait-il qu’il n’y ait aucun autre objet de ce type ? Si l’image vient de causes naturelles, on ne comprend pas bien pourquoi il n’y en aurait pas d’autres. Mais si par contre elle a été provoquée par la Résurrection du Christ, la réponse est cohérente : à cet événement absolument singulier qu’est la Résurrection, correspond un élément matériel lui aussi absolument singulier, ce qui est très logique.

  • 8.Comment conclure ? Le Linceul est assurément un signe très fort et ce qu’il représente est suffisamment impressionnant pour nous conduire au Christ.

 

 

 

Vidéo n°02 :


Liens miroirs - Service externe n°1 :

Lien vidéo n°01 Lien vidéo n°02

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3 commentaires

  1. Alain Gagnon

    Bonjour oui j’ai entendu parler de cette histoire la . J’y crois maintenant. Je pense bien je réfléchis beaucoup maintenant . Il est arrivé un attentat terroriste chez moi au Canada c’est arrivé à Québec la capitale nationale de la province de Québec. Dans une mosquée musulmane 6 personnes concernées sont mortes maintenant . Cette nouvelle va faire le tour du monde entier. Je commence à me repentir de mes péchés et j’ai mauvaise conscience aujourd’hui.. Je vais abandonner m’a mauvaise conduite. Amen amicalement vôtre Alain Gagnon du Canada Québec et que Dieu vous bénisse abondamment Amen

    Réponse
  2. Claire

    Père,
    Avez-vous une photo du ” visage de l’icône du Christ Pantocrator, qui se trouve au Monastère Ste Catherine (au Mont Sinaï)” ?
    Merci

    Réponse
  3. NOUMEA

    J’ai toujours cette passion pour le Saint-Suaire

    Réponse

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