L’archidiocèse de Southwark à Londres célèbre la naissance du Christ, Mohammed et gourou Nanak, le fondateur du ikhisme :

 

Certes, le Droit canonique permet d’utiliser les églises pour d’autres manifestations que le culte, mais sans même se prononcer sur la capacité des chansons de Laurent Voulzy à édifier la foi de ses auditeurs, le simple fait que l’entrée dans l’église soit à cette occasion payante est en contradiction avec la sainteté du lieu. Jésus n’a-t-Il pas en effet demandé de ne pas faire de la Maison de Dieu un lieu de commerce (Jn 2.16) ?

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On voit ici autour du Pape les militants de « LGBT+ Catholics Westminster ». C’est le groupe d’invertis « catholiques », basé à l’église jésuite de Londres, créé par l’archevêque de Westminster, le cardinal Vincent Nichols.

C’était le mercredi des Cendres 2019. Le groupe a participé à la messe des Cendres célébrée par le Pape et avait des « sièges privilégiés » pour assister à l’audience pontificale.

Leur « pèlerinage » a duré du 4 au 10 mars. On apprend notamment que « le groupe a célébré la messe dans la chambre où est décédé saint Ignace de Loyola, fondateur des jésuites, et aussi dans l’église titulaire du cardinal Vincent Nichols – Le Très Saint Rédempteur et St Alphonse », et que « la prière du matin en souvenir des victimes d’homophobie et de transphobie a été célébrée dans l’église Saint-Barthélemy-sur-le-Tibre, qui commémore les martyrs de notre époque et qui est dirigée par la communauté de San Egidio ».

La veille de leur départ de Londres, le cardinal Nichols leur avait écrit notamment : « Que saint Pierre et saint Paul, ainsi que tous les apôtres, continuent à vous guider sur votre chemin et puissiez-vous vous ne jamais manquer d’être inspirés par leur témoignage en tant que fidèles serviteurs de notre Seigneur Jésus-Christ ».

« LGBT+ Catholics Westminster » participe à la gay pride de Londres, milite ouvertement pour une modification de la doctrine de l’Eglise sur les déviations sexuelles et pour un clergé LGBT. La page de leur site qui retrace leur histoire commence par une « prière » de Bernard J. Lynch, prêtre « marié » à un homme.

(LifeSiteNews, The Tablet)

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Benjamin Herman, qui a apostasié la foi chrétienne pour se convertir à l’islam, après avoir ainsi tué son âme, en digne serviteur d’Allah (Coran 61.4), a encore tué deux policières et un étudiant de 22 ans le 29 mai 2018 à Liège (Belgique), puis blessé quatre policiers. Il a enfin reçu les honneurs bien mérités des obsèques catholiques dans l’église du village de On, près de Marche-en-Famenne.

Ceci en totale contradiction avec la décence, la justice, et le Code de droit canonique qui interdit les obsèques religieuses aux apostats et aux pécheurs publics notoires : “Doivent être privés des funérailles ecclésiastiques, à moins qu’ils n’aient donné quelque signe de pénitence avant leur mort: 1 les apostats, hérétiques et schismatiques notoires; 2 les personnes qui auraient choisi l’incinération de leur propre corps pour des raisons contraires à la foi chrétienne; 3 les autres pécheurs manifestes, auxquels les funérailles ecclésiastiques ne peuvent être accordées sans scandale public des fidèles. Si quelque doute surgit, l’Ordinaire du lieu, au jugement duquel il faudra s’en tenir, sera consulté. Toute messe d’obsèques doit être aussi refusée à la personne exclue des funérailles ecclésiastiques. (Can. 1184 – 1185)”.

Cette fausse charité qui viole la sainteté de l’Eglise et pactise avec ses ennemis est aujourd’hui présente jusque dans le lieu saint…

NB : L’apostat assassin n’est plus de ce monde, mais son frère Dimitri, qui refuse de se désolidariser de son frère Benjamin (Cf. Mt 23.29-33), est toujours là pour nous assurer que, bien sûr, ce n’est pas cela l’islam…

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C’est par des chants que des représentants de différentes religions ont partagé le premier repas du ramadan. Musulmans, chrétiens, juifs ou athées étaient rassemblés en l’église catholique Saint-Jean-Baptiste-au-Béguinage à Bruxelles pour célébrer ce moment de paix. 18/05/2018

http://fr.euronews.com/2018/05/18/celebration-du-ramadan-dans-une-eglise

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Des chants musulmans à l’église saint Bernard de Paris

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L’archidiocèse de Berlin fait la promotion de la fornication, de l’avortement et autres joyeusetés pour des enfants de 15 ans (2017-11-08)…

 Sur le site internet de l’archevêché de Berlin est apparue une page intitulée « Conseils pratiques pour l’utilisation de méthodes dans le travail pédagogique sexuel avec les groupes de jeunes » (sic). Naturellement, il est nécessaire d’éliminer les « tabous », les « préjugés », les « stéréotypes », y compris sur l’homosexualité ou la masturbation, tout en cherchant à résoudre la « tension » entre ces comportements, qui relèvent de l’identité de la personne, et la (lamentable) doctrine « officielle » de l’Eglise.

Les Conseils pratiques répondent à la question : « Quand est-il normal d’avoir des relations sexuelles ? »

Et la réponse n’est pas simple… L’archevêché aborde donc toute une série de scénarios.

Ainsi le scénario 2 est celui d’un homme de 22 ans qui veut coucher avec une fille de 15 ans. Est-ce possible ? Réponse de l’archevêché catholique de Berlin : « En principe les personnes majeures peuvent coucher avec des mineurs, à condition qu’il s’agisse d’un acte sexuel consenti. Cela devient difficile, cependant, si l’acte sexuel est contraint. »

Scénario 5. « Laura, 15 ans, aimerait coucher avec son petit ami et envisage divers contraceptifs. » Mais elle a peur que ses parents le découvrent. L’archidiocèse catholique de Berlin déclare que, puisque Laura a moins de 16 ans, son médecin peut informer ses parents qu’elle veut des contraceptifs oraux. Cependant, Laura peut « essayer de convaincre le médecin qu’elle est assez mature pour prendre la décision ».

L’archidiocèse catholique de Berlin ajoute que « pour les moins de 14 ans il sera difficile d’obtenir une ordonnance pour des contraceptifs car les rapports sexuels pour les moins de 14 ans sont interdits par la loi ». Qu’à cela ne tienne, cependant, dit l’archidiocèse catholique de Berlin en s’adressant directement au gamin ou à la gamine : « « Les adolescents peuvent acheter des contraceptifs en vente libre comme les préservatifs et les diaphragmes dans n’importe quelle pharmacie. Si tu es gêné de les demander dans une pharmacie, tu peux les acheter de façon anonyme au supermarché. »

Scénario 6. Milena a une « grossesse non désirée ». Après quelques considérations, l’archevêché catholique de Berlin déclare : « Dans un contexte de grossesse conflictuelle, on peut donner des conseils à Milena sur la possibilité d’un avortement ». « Même les filles de moins de 18 ans ont l’opportunité en principe de pouvoir interrompre leur grossesse sans sanction au cours des douze premières semaines. » « Lors de la consultation, le père de l’enfant à naître ou même ses parents [les parents de Milena] peuvent être présents si elle le souhaite. Quoi que Milena décide, elle doit obtenir un conseil et le droit à un soutien psychologique. »

D’autres scénarios évoquent des relations lesbiennes (avec une mineure) ou un garçon qui veut consulter sur une maladie vénérienne sans que ses parents le sachent. Chaque fois ils sont dans le cadre des « droits » des mineurs.

Il y a eu une protestation de catholiques sur le scénario 6. Seulement celui-là. Parce que, quand même, on y voit un archidiocèse catholique faire ouvertement l’apologie de l’avortement.

Alors l’archevêché catholique de Berlin a consenti à ajouter un paragraphe au scénario 6, disant qu’il est « difficile » d’enseigner ce que dit la loi en étant « complètement détaché des questions morales », et que le « contexte ecclésiastique » « offre le thème de la “protection de la vie” ». Sic. Voilà qui « clarifie », a dit l’archevêque, Mgr Heiner Koch, le fait que les valeurs chrétiennes doivent être enseignées en même temps que les « conseils ». Et l’on a même ajouté, figurez-vous, pour faire plaisir aux rigides pharisiens pélagiens racornis dans leur doctrine d’un autre âge, qu’on ne doit pas faire pression sur les jeunes filles pour qu’elles avortent.”

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Un imam des Frères Musulmans invité à parler dans une église 

Le blogue Infos Bordeaux nous informe que le « Service Diocésain des relations avec les Musulmans en Gironde ». organise le jeudi 16 novembre en l’église de la Trinité au Grand Parc une conférence qui sera donnée par l’imam de Mérignac, Hassan Belmajdoub, sur “La rencontre de l’autre en toute sincérité“.

Ce service diocésain est présidé par Daniel Ambry. Le diocèse de Bordeaux sera représenté par le Père Christian Alexandre. En 2009, ce dernier, dans une lettre ouverte, signait une violente charge contre le pape Benoît XVI. Dans un article publié sur son blog le 13 avril 2016, intitulé « Des lois ou des actes », le père Christian Alexandre révélait son soutien public à « la reconnaissance légale des couples homosexuels ». Le père Christian Alexandre est également très proche de la communauté musulmane de Pessac, et de son imam intégriste Mohamed Barry dont la tentative de conférence à la mosquée du Grand-Parc avait fait grand bruit.

Hassan Belmajdoub a été l’un des membres fondateurs (avec Fouad Alaoui) de la branche locale des des frères musulmans, et il est désormais le président de l’association des musulmans de Mérignac. Lors d’un entretien donné dans sa mosquée à un prédicateur radical (Rachid Haddach), Hassan Belmajdoub énumère une liste de « personnalités » venues prêcher dans sa mosquée. La plupart appartiennent à la mouvance radicale ou salafiste comme Mohamed François, Nader Abou Anas ou Rachid Abou Houdeyfa. Rachid Abou Houdeyfa est l’imam de Brest qui déclarait que « ceux qui écoutent de la musique seront transformés par Allah en singe ou en porc » ou encore à propos des femmes qui ne portent pas le voile : « elle ne doit pas s’étonner que les frères, que les musulmans ou non-musulmans abusent d’elle » !

Toujours dans cette vidéo, le président de l’association des musulmans de Mérignac fait la promotion de « Jeunesse musulmane d’Aquitaine », association présidée par le sulfureux Hassen Abou Ilyas (voir l’article ci joint). C’est une conférence de ce dernier que le maire de Bordeaux avait interdit en 2015.

Il est possible d’interroger le Service Diocésain des relations avec les Musulmans en Gironde ou le diocèse ici : [email protected]

Source.

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« Quand on considère l’homosexualité, on ne peut pas dire que c’est une option. Si ce n’est pas un choix, si ce n’est pas une maladie, dans la perspective de la foi ce peut être seulement un don. Un don de Dieu. C’est donné par Dieu. Mais peut-être nos préjugés ne saisissent-ils pas le don de Dieu. (Mgr Antônio Carlos Cruz Santos, évêque de Caicó, Brésil (nommé par François), dans son homélie du dimanche 30 juillet.) »

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Cameroun : Mgr Bala a-t-il été assassiné par le lobby LGBT ?

Evêque du diocèse de Bafia (Cameroun) depuis 2003, Mgr Jean-Marie Benoit Balla, âgé de 58 ans, avait été signalé comme disparu par les responsables de son diocèse dans la nuit du 30 au 31 mai. Son corps fut retrouvé le lendemain dans la rivière Sanaga, à une quinzaine de km de sa voiture abandonnée, sur un pont enjambant la rivière, et dans laquelle on avait trouvé ses papiers d’identité et un message écrit disant : « Je suis dans l’eau ». On pensa donc que l’évêque avait mis fin à ses jours en se jetant dans l’eau pour se suicider.

Les résultats de l’analyse médico-légale ont infirmé la thèse du suicide. Le corps présente, en effet, de nombreuses lésions qui concluent que l’évêque a été torturé. La justice camerounaise a ouvert une information judiciaire en suspicion d’assassinat. Sans suite.

Mi-juillet, les évêques du Cameroun ont entrepris une action judiciaire afin de rouvrir l’enquête sur la mort de Mgr Jean-Marie Benoît Bala. Le 4 juillet, le Procureur général de la République avait émis un communiqué dans lequel il affirmait considérer « la noyade comme la cause la plus probable de la mort de l’évêque ». Mgr Samuel Kleda, archevêque de Douala et président de la Conférence épiscopale du Cameroun, a réaffirmé que les évêques « ne sont pas satisfaits » par l’enquête jusqu’ici menée sur la mort de Mgr Bala. C’est pourquoi la Conférence épiscopale a déposé plainte pour homicide, se constituant partie civile, « de manière à ce que la vérité soit établie ». Mgr Kleda a ajouté par ailleurs que sera également déposée une plainte contre des fonctionnaires de police, accusés d’avoir mal géré cette affaire.

Mercredi 2 août se sont déroulées les obsèques de Mgr Jean-Marie Benoît Bala. Certaines hypothèses commencent à circuler. Monseigneur Joseph Akonga Essomba, vicaire de la cathédrale Notre-Dame-des-Victoires, de Yaoundé qui a prononcé l’homélie, s’est interrogé : « Qui tue les prêtres dans ce pays ? »Et il a pointé vers des « suppôts de Satan » et des « faux membres de cette Église […] qui veulent la détruire de l’intérieur ».

L’actuel administrateur apostolique du diocèse de Bala, monseigneur Joseph Akonga Essomba, a déclaré jeudi lors de l’homélie d’une messe commémorative que l’évêque a été tué parce qu’il s’est opposé au lobby LGBT dans l’Église et le sacerdoceEn montrant les premières rangées de l’Église où se trouvaient la plupart des ministres du gouvernement et d’autres personnalités importantes, et jetant un regard radieux sur les prêtres et les évêques, Mgr Essomba a chargé:

Honte à toutes ces personnes en costumes noirs et lunettes noires toujours assises dans les premières rangées de l’Église”. “Honte à tous les prêtres qui sont venus ici, prétendant sympathiser. Ce sont les personnes qui ont tué notre évêque, parce qu’il a déclaré «non» à l’homosexualité perpétrée par ces prêtres ».

Il a dit que ceux qui ont tué l’évêque étaient des personnes occupant des postes de pouvoir, mais ce sont des prêtres homosexuels qui l’ont trahi. Il a rappelé que 14 prélats du Cameroun ont été assassinés dans le passé.

Mgr George Nkuo a ajouté de son côté :

“Les mêmes raisons pour lesquelles Christ a été crucifié s’appliquent au meurtre de l’évêque”. “Il a été tué parce qu’il défendait la vérité. Tout pasteur, tout évêque, tout prêtre qui défend la vérité devrait être prêt à faire face à l’épée. C’est une belle façon de mourir.”

 

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Deux paroisses “catholiques” au New Jersey ont organisé un pèlerinage LGBT et une Messe à la Basilique Cathédrale du Sacré-Cœur le 21 mai 2017 à Newark, dans le New Jersey. Selon le dépliant publié pour l’occasion, le pèlerinage et la Messe ont été accueillis : « Avec les bénédictions et les meilleurs vœux de Son Éminence Joseph Cardinal Tobin, C.Ss.R., Archevêque de Newark … »

La Messe prévue pour cet abominable « pèlerinage » a été dite par un certain révérend Francis Gargani, spécialisé dans l’organisation de retraites pour les « Catholiques LGBT »… La brochure pour une de ces « retraites » ne laisse aucun doute qu’elles n’impliquent pas d’appel à la conversion et à la pénitence pour le péché d’homosexualité :

« Grâce à une prière rituelle, à des séances de méditation, à une discussion partagée, à un temps personnel pour la prière et au calme et des rassemblements sociaux, cette retraite offre une occasion spéciale aux personnes lesbiennes, homosexuelles, bisexuelles et transgenres de célébrer leur identité et d’approfondir leur expérience de communauté dans le Dieu vivant ».

L’organisateur de cette retraite particulière est un groupe appelé « In God’s Image » [ À l’image de Dieu ], faisant partie de l’une des deux paroisses parrainant le dit « pèlerinage LGBT à la Cathédrale de Tobin à Newark » : la paroisse du Sacré-Cœur à South Plainfield, du diocèse de Metuchen dans le New Jersey. Le nom du groupe, ainsi que la description de sa « retraite », indiquent clairement que ses membres blasphèment affreusement en affirmant que « l’Image de Dieu » se reflète dans leurs perversions « lesbiennes, homosexuelles, bisexuelles et transgenres » et que leurs troubles sexuels constituent leur « identité » et donc quelque chose à « célébrer ».

Les membres du groupe « In God’s Image » affirment qu’ils « reconnaissent et respectent l’enseignement de l’Église Catholique Romaine ». Mais « reconnaître » et « respecter » ne sont pas les mêmes choses qu’« accepter » et « obéir ». En effet, comme tous les subversifs ecclésiaux intelligents, les membres de ce groupe qui célèbrent la déviance sexuelle nient exactement ce qu’ils prétendent affirmer. Par conséquent, le site Web de la paroisse du Sacré-Cœur, dont la page d’accueil présente « In God’s Image », a également un lien vers le documentaire favorable aux homosexuels « Owning Our Faith » [ S’approprier notre Foi ], dans lequel un homme« gay » prétend être « marié » à un autre homme « gay », et qui déclare :

« Si nous la quittons, si nous abandonnons l’Église, cela ne changera jamais. Nous devons donc continuer à vivre ici, en étant un exemple et en encourageant d’autres personnes à être l’exemple parce que c’est ce qui va changer l’Église ».

L’autre paroisse parrainant ce « pèlerinage » est celle du Précieux Sang de Monmouth Beach dans le Diocèse de Trenton. Cette paroisse « amie des gays » se vante d’un « ministère de partage de la Foi LGBT (!)» qui a été créé par une certaine Dena Walter Reger, laquelle déclare qu’en tant que « fière maman d’un merveilleux fils gay, j’ai commencé un ministère LGBT à l’Église du Précieux Sang de Monmouth Beach, New Jersey avec le soutien d’un pasteur très bienveillant. Nous avons reçu un très bon accueil de la paroisse et surtout du conseil paroissial ».

Le cardinal Tobin a déploré que « dans de nombreuses parties de notre église, les personnes LGBT se sont senties indésirables, exclues et même honteuses ». On se demande bien pourquoi ! Mais dans l’Archidiocèse de Newark, ces personnes adonnées à ces vices immondes, les proclament fièrement comme la base même de leur identité, comme un reflet de « l’Image de Dieu », et reçoivent pour cela un accueil royal de la part du cardinal Tobin, dont la bonté va jusqu’à les accueillir pour une messe en sa cathédrale !

Par contre, sont malvenus les Catholiques osant dénoncer ces graves péchés de l’ordre social décadent et libertin, comme le célèbre prêtre Père Peter West. Parmi d’autres accusations, l’article affirme que ce prêtre a vitupéré à plusieurs reprises contre l’islam, ce qui est évidemment très grave ! Les fidèles catholiques implorent le Ciel que soit enfin stoppée cette corruption ecclésiale qui se répand partout…

Bref, le cardinal Tobin semble être un prélat selon le cœur du pape François. Peut-être cela explique-t-il pourquoi il est vu si souvent en train de rire ? En tout cas, il est sûr que le diable rit aussi !

Source ici et

et plus…

« Enfin, frères, nous vous le demandons et vous y engageons dans le Seigneur Jésus : vous avez reçu notre enseignement sur la manière de vivre qui plaît à Dieu, et déjà c’est ainsi que vous vivez ; faites-y des progrès encore.
Vous savez bien quelles prescriptions nous vous avons données de par le Seigneur Jésus. Et voici quelle est la volonté de Dieu : c’est votre sanctification ; c’est que vous vous absteniez d’impudicité, que chacun de vous sache user du corps qui lui appartient avec sainteté et respect, sans se laisser emporter par la passion comme font les païens qui ne connaissent pas Dieu ; que personne en cette matière ne supplante ou ne dupe son frère. Le Seigneur tire vengeance de tout cela, nous vous l’avons déjà dit et attesté. (1 Th 4.1-8) »

Dans leur prétention à la sagesse, ils sont devenus fous : ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible contre une représentation […] Aussi Dieu les a-t-il livrés selon les convoitises de leur cœur à une impureté où ils avilissent eux-mêmes leurs propres corps ; eux qui ont échangé la vérité de Dieu contre le mensonge, adoré et servi la créature de préférence au Créateur, qui est béni éternellement ! Amen.
Aussi Dieu les a-t-il livrés à des passions avilissantes : car leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature ; pareillement les hommes, délaissant l’usage naturel de la femme, ont brûlé de désir les uns pour les autres, perpétrant l’infamie d’homme à homme et recevant en leurs personnes l’inévitable salaire de leur égarement.
Et comme ils n’ont pas jugé bon de garder la vraie connaissance de Dieu, Dieu les a livrés à leur esprit sans jugement, pour faire ce qui ne convient pas […) connaissant bien pourtant le verdict de Dieu qui déclare dignes de mort les auteurs de pareilles actions, non seulement ils les font, mais ils approuvent encore ceux qui les commettent. (Rm 1.22-32)”

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L’affaire a commencé par le fameux « Qui suis-je pour juger ? » à propos de l’homosexualité. Réflexion curieuse d’un pape dont le rôle est précisément de transmettre l’héritage spirituel et moral de l’Eglise. Enseignement remontant au sixième commandement donné par Dieu à Moïse. La justification de ce relativisme pratique était ce fameux mot de « miséricorde » visant à valider des « situations concrètes » afin «d’accompagner et d’intégrer ». Les choses auraient pu en rester là. Or nous nous trouvions face à une nouvelle forme d’éthique qui allait se concrétiser par une avalanche de faits précis qui aboutissent de fait à une nouvelle Eglise que l’on peut qualifier d’homosexuelle ; il s’agit d’une véritable avalanche apocalyptique visant à transformer l’Eglise pour la soumettre au gender, passage obligé du transhumanisme, cette idéologie voulant créer un homme nouveau.  Il s’agit d’une attaque frontale et programmée contre l’Ordre naturel voulu par Dieu dans sa création. 

*Nous avons déjà oublié le fameux texte dit Relatio de mi-parcours lors du synode sur la famille en 2014. Il avait été rejeté massivement de manière retentissante. « Les homosexuels ont des dons et des qualités à offrir à la communauté chrétienne : sommes-nous capables d’accueillir ces personnes, en leur garantissant un espace fraternel dans nos communautés ?…Est-ce que nos communautés sont capables de fournir cela, d’accepter et de valoriser leur orientation sexuelle, sans compromettre la doctrine catholique sur la famille et le mariage ? » Il s’agit donc de « valoriser l’orientation sexuelle » en l’occurrence la sodomie. C’est bien Jorge Maria Bergoglio qui a voulu insérer ce texte abominable dans le document final du synode.

* Au début de son pontificat, Bergoglio a nommé un homosexuel notoire, Mgr. Battista Ricca, comme prélat de sa propre maison papale et à la tête de la banque du Vatican.

* Le fameux « Qui suis-je pour juger » se référait à un homosexuel actif pour qui il est démontré incontestablement qu’il était impliqué dans de nombreuses relations sodomites, y compris avec un jeune homme avec qui il a été pris dans un ascenseur bloqué.

* Dans une entrevue au magazine America en septembre 2013, le pape Bergoglio se moqua de l’idée même de désapprouver la conduite homosexuelle : « Une personne m’a demandé une fois, de manière provocante, si j’avais approuvé l’homosexualité. J’ai répondu avec une autre question : «Dites-moi : quand Dieu regarde une personne gaie, est-ce qu’il appuie l’existence de cette personne avec de l’amour ou refuse et condamne cette personne ? »

* Bergoglio a depuis fait un grand spectacle en rencontrant personnellement et en embrassant physiquement un assortimentd’homosexuels et transgenres, acceptant même le « mariage » d’une femme prétendant être un homme qui « a épousé » une autre femme.

* Le pape a embrassé ostensiblement la main et concélébré la Messe avec un Don Michele de Paolis, prêtre militant pro-homosexuel notoire et animateur d’un site gay. Il s’agit d’un sacrilège public. Puis Bergoglio l’a invité à diner. Au moment du départ du prêtre il eut une phrase ambiguë : « Tout est possible ! ». Un avertissement vite oublié de tous. Et pourtant…

* Bergoglio a refusé de se prononcer contre la légalisation des « unions homosexuelles », des « mariages gay » ou même de l’« adoption par les gays » en Italie, en Irlande, aux États-Unis et à Malte. Son excuse était que « le Pape ne se place pas dans la politique concrète d’un pays ». Or il est le premier à défendre l’immigration et s’investir sur la question du « changement climatique ». Questions éminemment politiques.

 L’un des rares et francs adversaires épiscopaux de l’émergente « Église Gay » est Charles Chaput, nommé archevêque par le Pape Benoît XVI. Durant le synode dont il faisait partie, il avait présenté des directives interdisant de donner la Sainte Communion aux couples homosexuels ou aux divorcés remariés. Dans l’ordre hiérarchique, étant archevêque de Philadelphie, il aurait dû être nommé cardinal. De consistoire en consistoire, Bergoglio l’a récusé. Mgr Chaput est vivement critiqué par le père Thomas Rosica, attaché du Bureau de Presse du Vatican durant le Synode. Ce prêtre est surnommé le « chien d’attaque » de LGBT.

*Le jésuite James Martin, est un fervent défenseur du sacerdoce gay et a fortiori des unions de cette nature. Normalement il aurait dû être « crossé » par le pape. Bien au contraire, Bergoglio l’a nommé consultant du Secrétariat aux Communications Sociales du Vatican.  Il est l’auteur d’un ouvrage intitulé  « Construire un pont ». Ce pont doit relier l’Eglise à LGBT. Il y est rejeté l’enseignement du catéchisme ; la sodomie ne saurait être un péché. C’est Dieu qui a créé les homosexuels donc on ne saurait condamner leurs mœurs.

* Le Cardinal Walter Kasper, est un prélat allemand archi-progressiste. Il dirigeait le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens. Il est le  théologien préféré de Bergoglio. Il a défendu la légalisation du mariage homo en Irlande. Pour lui si la majorité du peuple est d’accord avec des lois de cette nature, il est légitime de « reconnaître ses droits ». Autrement dit c’est le peuple qui définit ce qui est vrai et bon. L’Eglise doit s’aligner au politiquement correct. Curieuse approche. Jésus nous a bien dit que « Vous êtes dans le monde, mais vous n’êtes pas du monde (Jean 17, 14-18)».

* Un autre cas est celui du cardinal Reinhard Marx le bien nommé. Concernant le « mariage gay » il a déclaré : « La position chrétienne est une chose. C’est une autre chose de demander si je peux respecter toutes les lois sur les concepts moraux chrétiens. Quiconque ne comprend pas que l’un ne conduit pas automatiquement à l’autre, n’a pas compris l’essence même de la société moderne ». Manière alambiquée pour dire que l’Eglise n’a pas à défendre sa morale face au monde actuel.

* Le cardinal Christoph Schönborn était le Secrétaire de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Il a déclaré : « Nous pouvons et nous devons respecter la décision de former une union avec une personne de même sexe, [et] chercher des moyens en droit civil pour protéger leur vie avec les lois pour assurer une telle protection ». Cependant il passe pour conservateur…C’est lui qui portait le projet d’Amoris Laetitia sur la question des divorcés remariés. Le pape le considère comme un « grand théologien ». Lequel a présenté dans sa propre cathédrale de Vienne un couple gay qui avait adopté un enfant de race noire. Ce couple a passé commande d’une petite fille de trois ans en Afrique du Sud.

*Avec Mgr Vincenzo Paglia  nous atteignons le comble. Selon le journal La Croix du 17 juin, « il a été mis en examen pour association de malfaiteurs, entrave à l’enquête, fraude contre la ville de Narni (ville d’Ombrie, en Italie centrale), exercice abusif du crédit et détournement de fonds. L’accusation est portée par la procureure de Terni, Elisabetta Massini ». Nonobstant cette situation, Bergoglio l’a mis à la tête de d’Académie pour la Vie et Grand Chancelier de l’Institut Pontifical Jean Paul II pour les Études sur le Mariage et la Famille. Il a ni plus ni moins fait exploser ces deux institutions en y introduisant des partisans de l’euthanasie et de l’avortement. Il porte des lunettes de soleil dont la monture est arc-en-ciel LGBT. Mais surtout il a fait une gigantesque fresque d’inspiration « homoérotique » dans le chœur de sa cathédrale à Terni. Poussant le vice jusqu’à se représenter lui-même avec la calotte épiscopale. Cette fresque a été réalisée par un artiste notoirement homosexuel.

* Le Cardinal américain Blase Cupich, est un LGBT soutenu activement par Bergoglio ; il a annoncé qu’il était pour la réception de la Sainte Communion par des « couples homosexuels » ; ceci lors de son installation comme archevêque de Chicago. Il se base sur le prétexte de la « conscience inviolable ». Nous sommes en plein protestantisme. Pour lui, les adultères hétérosexuels peuvent aussi communier.

* Un autre cas est celui du cardinal Dolan. Son archidiocèse est bourré de prêtres homosexuels. Un joueur professionnel du nom de Michael Sam a révélé publiquement son homosexualité 2014. L’archevêque a déclaré à la télévision nationale : « Bon pour lui. Je n’aurais aucun sens de jugement sur lui. Que Dieu le bénisse … La même Bible qui nous dit que nous enseignons bien les vertus de la chasteté et la vertu de la fidélité et du mariage nous dit aussi de ne pas juger les gens. Donc, je dirais : « Bravo ! ». Pour la Saint Patrick, les Irlandais font traditionnellement un peu partout  une parade, sorte de défilé folklorique. Dolan a été nommé « Grand Marschall » de cette parade malgré la présence d’un groupe de la « fierté gay » avec ses bannières.

*Le Cardinal Joseph Tobin, nommé cardinal par Bergoglio et placé à la tête de l’archidiocèse de Newark dans le New Jersey (grande banlieue de New York), a donné sa bénédiction en juillet à un pèlerinage gay qui s’est terminé par une messe sacrilège à la Cathédrale. L’un des homosexuels militants qui a participé à cette manifestation, a qualifié la bénédiction du cardinal de « miracle ». Le New York Times a salué l’événement sous le titre suivant: «Alors que l’Église change, un cardinal accueille les gays; ils embrassent un « miracle ». Tobin est un soutien très actif du Père Martin nommé ci-dessus. Il en est de même de Mgr Robert McElroy, évêque du Diocèse de San Diego. Cet évêque est une des recrues du corps en expansion des troupes de choc « gay » que Bergoglio installe dans les diocèses clés ; il a décerné des louanges au livre de Martin et proclame dépassé l’enseignement du catéchisme selon lequel l’homosexualité est « intrinsèquement désordonnée ». Il estime que les homosexuels peuvent communier.

*Nous ne reviendrons pas sur le cas de Mgr Cocopalmerio, président du Conseil Pontifical pour les Textes Législatifs. Dans ce qui est sûrement seulement la pointe d’un très grand iceberg, son secrétaire particulier Luigi Capozzi, a été arrêté au milieu d’une orgie homosexuelle dont les participants étaient drogués. Capozzi complètement « shooté » a été hospitalisé par la gendarmerie. Quand on regarde Saint Pierre de Rome, on voit accolé un bâtiment sur la gauche, siège de la Congrégation pour la Doctrine de la foi. C’est en cet endroit que se déroulaient ces hauts faits. Capozzi à la demande de son patron était proposé à l’épiscopat.

La caractéristique de tous ces prélats est qu’ils ont été promus par Bergoglio à l’exception bien sûr de Mgr Chaput. Il en est bien sûr d’autres comme Mgr Robert Barron, théologien américain qui dénonce l’Eglise pour avoir condamné l’homosexualité.

La seule conclusion à tirer est que Bergoglio prépare à toute vitesse l’avènement de l’Eglise Gay. Notamment en éliminant les éléments les plus conservateurs s’opposant à lui d’une manière ou d’une autre.

Jean-Pierre Dickès

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