Dans le monde musulman, il n’y a pas de punition pour les crimes commis par les hommes contre les femmes. La charia est axée strictement sur la punition des femmes. Pour les hommes comme pour les riches et les influents, la loi islamique est plus clémente. C’est ainsi que, par exemple, en Arabie Saoudite, une jeune femme violée a été jetée en prison, tandis que ses 4 agresseurs n’ont pas été inquiétés.

C’est l’Islam. C’est l’Islam et c’est, pour les hommes, l’approbation légale de leurs crimes contre les femmes. C’est la liberté d’abuser et d’utiliser les femmes comme il leur plaît, sans limites.

Plus de 70% du terrorisme sont commis par des musulmans sunnites et plus de 90% des actes de terrorisme sont commis dans les pays musulmans. Les musulmans tuent d’autres musulmans. Les pays musulmans sont dominés et gouvernés à 100% par les mâles. Cela devrait nous donner un indice sur ce qu’une société à prédominance masculine implique. Alors vous pouvez imaginer toutes sortes de brutalités barbares qu’implique cette prédominance masculine dans la vie quotidienne. L’islam rend les hommes diaboliques.

Cette barbarie est le résultat de 14 siècles de règne singulier du sexe masculin, sans boussole morale ni punition pour leurs actes. Si les musulmans sont si préoccupés par «l’honneur» pourquoi n’y a-t-il pas de crimes d’honneur d’hommes musulmans? Crimes qui devraient porter honte à la communauté musulmane.

Les images qui suivent ne sont bien sûr pas exhaustives. Elles sont un simple rappel horrible et triste du «respect» imaginaire qu’ont les musulmans pour leurs femmes. Les vies de ces femmes sont définitivement détruites tandis que les hommes se sortent indemnes.

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Irum Saeed, 30ans. Elle a été brûlée à l’acide au visage, au dos et aux épaules pour avoir refusé un mariage. Elle a subi 25 opérations de chirurgie réparatrice

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Shameem Akhter, 18 ans. Elle a été violée par 3 hommes qui l’ont ensuite brûlée à l’acide. Shameem a subi 10 opérations de chirurgie réparatrice.

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Najaf Sultana, 16 ans. A l’âge de 5 ans, Najaf a été brûlée par son père pendant qu’elle dormait, parce qu’il ne voulait pas avoir une autre fille dans la famille. Najaf est devenue aveugle et a été abandonnée par ses parents. Elle a subi 15 opérations de chirurgie réparatrice.

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Shehnaz Usman, 36 ans. Elle a été brûlée à l’acide à cause d’un différend familial. Shehnaz a subi 10 opérations de chirurgie réparatrice

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Shahnaz Bibi, 35 ans. Il ya dix ans Shahnaz a été brûlée à l’acide par un parent en raison d’un différend familial. Elle n’a jamais subi de chirurgie réparatrice.

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Kanwal Kayum, 26ans. Kanwal a été brûlée à l’acide par un garçon qu’elle a refusé en mariage. Elle n’a jamais subi de chirurgie réparatrice

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Munira Asef, 23 ans.Munira a été brûlée à l’acide par un garçon qu’elle a refusé en mariage. Elle a subi 7 opérations de chirurgie réparatrice.

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Bushra Shari, 39 ans. Bushra a été brûlée à l’acide par son mari il y a cinq ans parce qu’elle voulait demander le divorce. Elle a subi 25 opérations de chirurgie réparatrice.

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Memuna Khan, 21 ans. Elle a été brûlée à l’acide par un groupe d’homme à cause d’un différend familial. Elle a subi 21 opérations de chirurgie réparatrice

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Zainab Bibi, 17 ans. Elle a été brûlée au visage avec de l’acide jeté par un homme qu’elle a refusé en mariage. Elle a subi plusieurs opérations pour tenter d’atténuer ses cicatrices

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Naila Farhat, 19ans. Elle a été brûlée au visage avec de l’acide jeté par un homme qu’elle a refusé en mariage. Elle a subi plusieurs opérations de chirurgie réparatrice.

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Saira Liaqat, 26 ans. Elle montre une photo d’elle avant son accident. Saira a été mariée à 15 ans avec un proche qui l’a ensuite attaquée à l’acide parce qu’elle a refusé d’arrêter l’école et de vivre avec lui, alors que les familles avaient convenu qu’elle ne le rejoindrait qu’à la fin de ses études. Saira a subi 9 opérations de chirurgie réparatrice.

En 2014 Marzieh subissait une attaque à l’acide de la part d’un bassidji

 

Source

Royaume uni : un converti à l’islam jette de l’acide sur le visage d’une mère de six enfants, la défigurant et la laissant borgne
Pendant des années nous avons été témoins de femmes agressées à l’acide par des musulmans au Pakistan parce que leur habillement était jugé incorrect ou qu’elles étaient soupçonnées d’avoir porté atteinte à l’honneur de la famille. Maintenant, cette coutume barbare arrive dans les pays occidentaux. Mais personne n’aurait l’aplomb [de faire un lien et] d’évoquer ouvertement la conversion à l’islam de Billal Kidd Moudjahidine. Ces propos seraient considérés comme “islamophobes”. 

Les attaques à l’acide ont explosé ces dernières années en Grande-Bretagne, avec près de 700 en 2016, dont 431 rien qu’à Londres (170 de plus qu’en 2015), selon les données de la Metropolitan Police. Le 23 septembre dernier encore, six personnes ont été blessées dans une attaque à l’acide dans l’Est londonien dans un centre commercial. 

En 2002, le Bangladesh a adopté deux lois, l’une relative au contrôle des acides et l’autre portant sur la prévention des attaques. Ces textes visent à sanctionner les personnes impliquées dans les agressions ainsi qu’à limiter l’importation et la vente des acides. La sévérité des sanctions qui y sont prévues, qui peuvent aller jusqu’à la peine de mort, explique certainement la baisse significative des attaques dans le pays depuis cette date (diminution de 20 % par an depuis 2002 selon un rapport de 2011 du Centre mondial Avon pour les femmes et la justice). 

La réponse de la Grande-Bretagne, devant la recrudescence récente des attaques sur son sol, pourrait donc passer par l’adoption d’une réglementation plus punitive. Et cela vaut pour tout pays affecté. La France n’est hélas plus épargnée par ces attaques. Tout récemment, quatre Américaines ont été agressées à la gare Saint-Charles à Marseille. Le risque est donc réel. Toutefois, il reste minime. Mais parce que ce risque existe, mieux vaut être bien informé. Nous allons donc maintenant vous exposer les gestes qui sont prioritaires en cas d’attaque pour que les dommages, à la fois physiques et psychologiques, puissent être réduits.

Il y en a aussi pour les ex-musulmans devenus chrétiens, par exemple, tel ce pasteur ci-dessus….

Ce qu’il faut faire en cas d’attaque à l’acide

Le premier réflexe est de verser de l’eau sur les parties du corps brûlées par l’acide (quel qu’il soit : sulfurique, chlorhydrique ou nitrique) pour les refroidir. Ce refroidissement à l’eau (aussi appelé cooling) est utilisé tant pour les brûlures thermiques que chimiques. Si le visage n’est pas la seule partie du corps touchée par l’acide, il faut également immédiatement retirer tout ce qui aurait été contaminé par le produit, comme les vêtements, bijoux, montres, chaussures, etc., car tout ce qui est touché par l’acide et qui reste en contact avec la peau continue à la brûler. De la même manière, la personne qui verse l’eau sur la victime doit veiller à se protéger par tout moyen à sa disposition (par exemple linge, sac plastique, etc.) pour ne pas provoquer de nouvelles brûlures, que ce soit à elle-même ou à la victime.

L’acide est une substance concentrée que l’eau permet de diluer, mais une faible quantité d’eau ne suffit pas : il faut très largement asperger les zones concernées. Certains experts précisent qu’il faut utiliser au moins 30 litres d’eau, d’autres parlent d’une durée d’au moins 30 minutes. L’eau du robinet peut parfaitement être utilisée, à condition qu’elle ne soit pas trop fraîche. Idéalement, l’eau utilisée devrait être d’une température de 15 à 18 degrés (entre 10 et 25 degrés, c’est acceptable).

Le cooling doit être impérativement effectué le plus rapidement possible après l’attaque. A l’arrivée à l’hopital il pourrait être trop tard. Chaque minute compte, car l’acide peut causer de sévères brûlures cutanées, pouvant même entraîner la cécité dans les cas les plus graves. Le fait d’appliquer l’eau sur la brûlure chimique va diluer le produit nocif et ainsi permettre de réduire l’importance de la brûlure. Cela va également permettre de limiter la douleur. Mais encore faut-il que l’efficacité de ces gestes essentiels ne soit pas anéantie…

Ce qu’il ne faut pas faire

Il ne faut pas commencer par appeler le SAMU, mais procéder immédiatement au cooling, qui ne doit pas être arrêté avant l’arrivée des secours. L’eau ne doit pas être versée directement sur les brûlures, mais à une distance d’environ 15 centimètres, de manière à ce que l’eau ruisselle sur la plaie. Il ne faut pas non plus frotter la peau, au risque d’étendre la plaie ou d’en créer de nouvelles.

L’eau versée sur la peau ne doit pas être trop fraîche, car cela pourrait entraîner l’hypothermie de la victime. Cela signifie qu’il ne faut pas non plus appliquer de glace sur la peau, comme l’indique en 2015 le Dr Éric Dantzel (chirurgien-plasticien) dans une interview, car la glace augmente la vasoconstriction (c’est-à-dire le rétrécissement des vaisseaux sanguins), ce qui entraînerait un élargissement de la plaie.

Il est essentiel de n’appliquer aucun produit (antiseptique, crème anti-brûlure, beurre, graisse, etc.) sur les brûlures, pour éviter toute réaction chimique imprévisible. On doit également empêcher la victime de toucher son visage, car elle risquerait ainsi d’endommager ses mains et d’autres parties de son corps.Enfin, il est préférable de ne rien administrer à la victime et laisser le soin de la suite du traitement aux secours.

En définitive, même si une attaque à l’acide reste traumatisante à bien des égards, il est possible, avec de bons gestes et une grande réactivité, d’en limiter l’impact de manière non négligeable.

Ayez-en bien conscience et partagez cette information autour de vous, d’autant qu’elles sont également valables pour les brûlures à l’acide de type domestique : cela pourrait s’avérer utile à tout un chacun !