Mon Père, je sais que vous êtes plutôt critique vis-à-vis de l’islam que vous connaissez bien et vous n’employez pas de langue de bois pour en parler. J’aimerais donc vous poser une question très directe : d’un point de vue purement humain, en tant que citoyen, pensez-vous que tout est perdu ?
Oui. Pour plusieurs raisons : la démographie, l’immigration légale et clandestine, les conversions à l’islam, l’absence de stratégie missionnaire spécifique de la part de l’Église à l’endroit des musulmans, la complicité des États occidentaux à leur islamisation programmée. La population européenne de souche, vouée à l’hédonisme et au culte de Moloch dévorant plus de 600 enfants/jour en France par l’avortement remboursé et promu comme un bien, est en train de disparaître (1,4 enfant/femme en Italie, Allemagne, Espagne, Grèce, 1,3 enfant/ femme en Pologne, etc.), et parallèlement, les immigrés, dont la plupart sont musulmans, sont très féconds. Le laïcisme, s’interdisant de discriminer les religions, refuse de reconnaître la religion catholique comme l’unique et vraie religion, s’oppose de ce fait à ce que le Christ règne. Ennemi du Christ (Mt 12.30), il devient l’allié de l’islam, cette autre tête de la Bête (Ap 13.1). Il favorise l’implantation de l’islam par toutes sortes de moyens plus ou moins détournés, comme l’attribution pour la construction de mosquées de baux emphytéotiques pour un euro symbolique et 99 ans d’occupation, la modification des programmes scolaires, la suppression des symboles chrétiens de l’espace public, les dérogations à notre législation (halal, presse, voile…), l’indulgence sinon l’impunité judiciaire accordée aux racailles musulmanes, l’apprentissage de l’arabe, la création d’aumôneries, le silence sur les pratiques contraires à nos principes constitutionnels, etc..
Tout cela mis côte-à-côte fait que d’un point de vue humain, statistique, l’avenir est à l’islam.
Ce laïcisme pro-islam vient-il selon vous d’une hostilité vis-à-vis de la religion chrétienne chez les élites politiques et médiatiques en France ? Ou faut-il y voir plutôt de la naïveté ?
C’est par hostilité au christianisme. Tant de forces s’unissent en France dans une même détestation de la religion chrétienne : que ce soit la prétendue Réforme, qui a rejeté l’autorité de l’Église et de la Tradition ; la Franc-maçonnerie, qui a rejeté le fait de la Révélation et la notion même de vérité objective ; le communisme et toute la Gauche qui ont rejeté jusqu’à l’existence de Dieu et l’ordre naturel ; et enfin toute la tiédeur complice des mauvais catholiques, vivant en état de péché mortel, pendant que leurs pasteurs regardent ailleurs (cf. dernièrement l’affaire du MRJC pro-avortement financé par la CEF). La naïveté ne saurait être une excuse, car assumer des responsabilités sans en avoir les compétences est en soi coupable. De plus, la nature démoniaque de l’islam saute aux yeux de quiconque a un minimum de bon sens. L’actualité, l’histoire et la Révélation chrétienne étant là pour chasser tout doute possible à ce sujet.
Vous dîtes que l’on n’évangélise pas les musulmans à cause de la laïcité, mais c’est aux chrétiens d’annoncer l’Évangile aux musulmans comme aux autres.
Vous avez raison. Sauf que l’on n’annonce pas l’Évangile aux musulmans comme à des athées, et que la raison d’être dernière des institutions est de favoriser le salut de tous, car, comme le disait Pie XII : « De la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes (Discours pour le Cinquantième anniversaire de Rerum Novarum, 1er Juin 1941) ». A mon avis, le premier problème, le plus important, le plus grave, c’est celui du comportement de la hiérarchie catholique que beaucoup perçoivent comme lâcheté et compromission. Lorsqu’un évêque finance la construction d’une mosquée, que des évêques posent la première pierre des mosquées, prétendent que l’islam est une bonne religion, n’invitent pas à quitter l’islam, comment ces pasteurs ne nourriraient-ils pas l’indifférentisme, ne videraient-ils pas en conséquence leurs églises, et n’apparaîtraient-ils pas aux yeux des gens sains d’esprit comme des traîtres les conduisant à la mort du temps et de l’éternité ? Les non-catholiques désireux de sauvegarder leur identité voient de plus en plus l’Église comme une alliée objective de leur mise en esclavage programmée, tandis que nombre de catholiques sont désemparés, affolés, de ne plus trouver secours auprès de leur mère face à cet Antichrist, qui n’apporte que malheurs et terreurs, et devant lequel tout le monde se couche. Il faut lire à ce sujet la récente Lettre ouverte d’ex-musulmans devenus chrétiens adressée au Pape. Si l’Église elle-même ne voit pas d’inconvénient à ce que l’islam s’installe en Europe, comment voulez-vous que les États puissent trouver quelque chose à y redire ? L’Église ne joue plus son rôle de prophète, elle n’imite plus le Bon Berger qui chasse le loup de la bergerie, elle se contente de dialoguer avec lui et même l’appelle à corps et à cris à venir s’installer chez nous… Le souci du salut des hommes paraît avoir complètement déserté les préoccupations du clergé, tout occupé à célébrer la convivialité humaine, terrestre, où chacun a le droit de croire ce qu’il veut…
Même en France, des ex-musulmans cachent leur conversion à leurs familles et voisins, par peur des représailles, et cette peur se répercute dans l’Église qui ne les accueille bien souvent que du bout des doigts. J’ai l’exemple de cette jeune fille, majeure et vaccinée, dont le père est l’imam bien connu d’une ville de la région parisienne. Elle est allée demander le baptême au curé de sa ville, qui lui répondit : « Mais, votre père est-il d’accord ? »
Cela veut-il dire que l’Église de France a perdu la foi ?
L’Église de France n’existe pas plus que l’islam de France. La différence : le christianisme est d’ordre surnaturel, dont les implications dans l’ordre temporel sont laissées au discernement et à la prudence des hommes, tandis que l’islam est une loi pour ce monde. Par ailleurs, il y a l’Église qui est en France, et il y a son personnel. Ce sont là deux réalités qui ne sont pas synonymes.
J’ai déjà dénoncé la participation de l’Église catholique à la Conférence des responsables de culte en France, parce que « de telles entreprises ne peuvent en aucun cas être approuvées par les catholiques, puisqu’elles s’appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signifient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec respect sa puissance (Pape Pie XI, Mortalium Animos) ». Ce que précisément revendiquent comme leur but les membres de cette conférence, qui adhèrent « sans réserve au principe de laïcité. »
En effet, ils souhaitent, par cette conférence « mieux assumer leur commune vocation de témoins de la transcendance [exit Jésus-Christ] dans la République laïque. Le but second est de participer, au même titre que d’autres instances, aux débats sur la construction du vivre ensemble dans notre pays, grâce à la confiance mutuelle acquise [Bonjour la takiya !], dans leur unité [Relire 2 Co 6.14-18] et leurs diversités (La charte de partenariat) ». En renonçant à se présenter comme la seule vraie religion, mais seulement, selon le dogme laïciste, comme une religion parmi d’autres, la religion catholique rend inaudible son propre message, et, conséquence logique, se fait la servante de l’islam, son ennemi juré (Coran 2.193 ; 9.30) à qui elle apporte les titres de respectabilité dont il a besoin pour justifier de sa prétention à être traité comme l’Église catholique dans l’espace public. J’attends le jour où M. Macron, qui entend « poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France (Un leurre ! Il n’y a qu’un islam, qui transcende les frontières nationales.) », en fixant notamment la formation des imams et créant de nouvelles instances représentatives, voudra faire la même chose avec l’Église catholique au nom du devoir de l’État de traiter toutes les religions à égalité…
Au nom de quoi l’Église catholique pourra-t-elle s’y soustraire puisqu’elle aura déjà elle-même affirmé sa « vocation commune de témoin de la transcendance » avec toutes les autres religions ?
« La conclusion est claire : se solidariser avec les partisans et les propagateurs de pareilles doctrines, c’est s’éloigner complètement de la religion divinement révélée. (Pie XI, op. cit.) ».
Il y a malgré tout dans l’Église des prêtres comme vous, mais aussi des laïcs comme Moh-Christophe Bilek, qui œuvrent à la conversion des musulmans, qui évangélisent, qui annoncent le Christ aux musulmans. Est-ce selon vous un phénomène qui va en s’amplifiant ? Pensez-vous qu’il y ait aujourd’hui de plus en plus de conversions de musulmans en dépit de l’attitude de l’Église ?
Oui, mais cela reste vraiment très marginal. Il faut savoir qu’en France les musulmans représentent officiellement 6% de la population (Ce qui est évidemment faux ; il suffit de se promener dans les rues de France pour s’en rendre compte.), il y a chaque année 4.000 conversions de Français de souche à l’islam. Comparativement, il y aurait en France 37 % de la population à se déclarer catholique. Or il y a chaque année seulement environ 300 baptêmes d’ex-musulmans. Vous voyez la disproportion entre 6 % qui convertissent environ 4.000 personnes et 37 % qui en convertissent 300… Ce sont des chiffres officiels. Comment les expliquer, sinon parce qu’il n’y a pas de volonté de convertir de la part de l’Église, tandis qu’il y en a une du côté de l’islam ? D’ailleurs, jamais je n’ai vu un quelconque programme d’évangélisation des musulmans élaboré par un diocèse français. Cela n’existe pas. La conversion des musulmans ne semble pas faire l’objet des préoccupations de nos évêques. L’islamisation de notre pays doit leur paraître d’une fatalité inéluctable à laquelle ils sont déjà résignés.
J’ai même entendu dire que l’archevêque de Lyon, Mgr Barbarin, primat des Gaules, avait déclaré lui-même qu’il déclamait la profession de foi musulmane lorsqu’il était appelé au chevet d’un musulman mourant. Je suppose que c’est un bobard ?
Non, pas du tout. Vous pouvez trouver sur Internet la vidéo qui rend compte de ce propos lors du synode de Versailles (ici, à 1.19’).
Mais alors d’un point de vue musulman, si Mgr Barbarin prononce cette profession de foi musulmane, il est musulman ?
Pour devenir musulman, il faut prononcer la chahada devant au moins deux témoins. Et on peut supposer que, du moins pour les moins insensés, il faut tout de même aussi l’intention de se convertir à l’islam. Ce qui n’était assurément pas la volonté du cardinal. Ceci dit, je ne comprends pas pour autant que le cardinal puisse donner une telle pratique en exemple. Car à la foi se rattache non seulement la croyance du cœur, mais encore la protestation de cette foi intérieure par des paroles et des agissements extérieurs. Et c’est ainsi que certaines paroles ou certaines œuvres extérieures se rattachent à l’infidélité. Saint Thomas d’Aquin ne nie pas que celui qui, par exemple, se fait circoncire ou vénère le tombeau de Mahomet doive être réputé apostat (S. T., II-II, Q. 12, a. 1, arg. et sol. 2). N’eût-il pas été sympathique pour tout le monde que les premiers chrétiens brûlassent de l’encens devant les statues de l’Empereur romain ? En tout cas, pour ma part, je suis incapable d’inviter un musulman, fut-ce à son heure dernière, à faire autre chose qu’invoquer le Nom de Notre Seigneur Jésus-Christ comme son Sauveur, puisque il n’y a pas d’autre nom donné sous le ciel par lequel nous puissions être sauvés (Ac 4.12)…
J’ai eu aussi un entretien avec le père Samir Khalil Samir qui m’a parlé justement du problème de ces évêques catholiques qui ne cherchent pas à évangéliser les musulmans et ne soutiennent pas ceux qui le font, mais il m’a aussi dit qu’en France l’évêque de Toulon, Mgr Rey, était un peu une exception.
Il est heureux que le père Samir Khalil Samir, étant donné son autorité, puisse aussi clairement dénoncer ce scandale. Je viens de publier un livre sur l’Enfer, peut-être devrais-je en faire cadeau à chacun de ces évêques ?
Ainsi, si je reviens à un point de vue laïc, identitaire, la seule chance pour nous de ne pas être soumis à l’islam à terme ou de ne pas nous retrouver pris dans une guerre civile en France et en Europe, c’est une intervention divine ?
Absolument. Je n’espère plus de secours que de la Vierge Marie, parce qu’humainement parlant, en voyant l’Église qui ne propose plus de faire son salut « avec crainte et tremblements (Ph 2.12) », estime l’islam au lieu de le combattre, le pouvoir civil favorisant l’islamisation, imposant l’immigration et la discrimination positive (c’est-à-dire l’injustice) à l’endroit de ces populations musulmanes, l’avenir appartient à l’islam. C’est statistiquement, mathématiquement, assuré. Je reviens d’un pèlerinage à Pontmain où la Vierge nous dit : « Mais priez mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps. Mon fils Se laisse toucher »…
Je suppose que vous devez plutôt approuver l’attitude des pays du Groupe de Visegrád qui refusent catégoriquement les demandeurs d’asile parce que – et ils le disent clairement – ils ne veulent pas d’immigration musulmane pour ne pas se retrouver dans la situation de pays comme la France, l’Allemagne, la Belgique, etc.
Ces pays obéissent à Dieu. Sainte Jeanne d’Arc nous a répondu que Dieu aimait les Anglais, mais chez eux, pas en France. Nul doute qu’Il aime les Algériens en Algérie et les Marocains au Maroc. Saint Jean, le doux saint Jean, l’Apôtre de l’Amour, qui a reposé sa tête sur le Cœur de Notre Seigneur, pour qui « Dieu est amour (1 Jn 4.8,16) », commande : « Si quelqu’un vient à vous sans accepter cette doctrine [c’est-à-dire en refusant l’Évangile], ne le recevez pas chez vous. Quiconque le salue participe à ses œuvres mauvaises. (2 Jn 10-11) ». Et, de fait, « quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? (2 Co 6.14-18) ». Si l’on accepte chez soi l’islam, on fait voler en éclat l’unité nationale, la communion de la foi et la cohésion sociale. Malheureusement, après le concile Vatican II, la réalité sociale et politique ordonnée selon l’Évangile a été méprisée, rejetée. On a voulu si bien séparer la politique et la religion qu’elles ont été rendues étrangères l’une à l’autre. Or, il faut un fondement politique, humain et cohérent, pour que la foi puisse se développer. C’est la raison pour laquelle Dieu a créé le peuple d’Israël, et a voulu son homogénéité ethnique et religieuse. Il voulait sans doute donner ainsi une leçon politique spécialement à notre époque. Sans cette réalité humaine temporelle qu’est la nation, la foi reste virtuelle, et l’Église ne reposant plus sur cette réalité essentielle de l’ordre naturel, disparaît avec elle… C’est pourquoi saint Jean-Paul II appelait à défendre la nation, qu’il considérait comme la réalité « la plus importante pour l’histoire spirituelle de l’homme (Varsovie, le 2 juin 1979) ».
Je me dis parfois que les musulmans sont l’instrument dont Dieu se sert pour forcer les Européens à revenir au christianisme.
Vous avez raison. L’islam est le châtiment de l’apostasie actuelle des peuples chrétiens. Et en même temps, comme Dieu est miséricordieux, l’instrument de Sa justice peut servir de moyen pour réveiller les gens de la léthargie confortable dans laquelle ils se damnent allègrement. Si nous nous mettions à vouloir convertir les musulmans, ils seraient le sang neuf dont l’Église a besoin, et Dieu sait si les musulmans sont heureux qu’on les évangélise, tant ils souffrent dans l’islam ! Nous avons la Vérité, mais nous n’y croyons plus, eux ont le mensonge et y croient. Il faudrait faire une alliance… Que nous leur donnions la vraie foi et qu’ils se donnent « eux-mêmes, d’abord au Seigneur, puis à nous, par la volonté de Dieu (2 Co 8.5) ». Qui sait si cette alliance ne serait pas propre à rejeter la société post-chrétienne, athée et hédoniste, tuant les enfants à naître et les vieillards, mariant les invertis et pervertissant les enfants dès la maternelle ?
Que Jésus, le vrai Roi de France (dixit sainte Jeanne d’Arc), daigne prendre en pitié Son héritage !
Encore un carton plein pour l’Abbé.
L’ISLAM A DE BEAUX JOURS DEVANT LUI
L’imame danoise Sherin Khankan et Emmanuel Macron ont discuté, ce lundi 26 mars, de la situation de l’islam en Occident lors d’un entretien d’une heure à l’Elysée auquel participait également la femme rabbin française Delphine Horvilleur. Le chef de l’Etat français avait sollicité les deux femmes pour recueillir leurs réflexions sur meilleure manière, selon elles, d’améliorer le dialogue des civilisations. Connue pour avoir ouvert, à Copenhague, en 2017, la première mosquée 100% féminine d’Europe et soucieuse de modifier la perception de sa religion à travers la promotion d’un islam moderne, ouvert, progressiste et modéré, l’imame féministe Sherin Khankan a suggéré au président l’idée d’une grande conférence réunissant des femmes imam venues du monde entier, des femmes rabbin, des pasteures protestantes, des prêtres catholiques ainsi que des intellectuels des toutes les religions, notamment des musulmans, sans discrimination de sexe. « Le chef de l’Etat s’est dit intéressé par l’idée et a promis de donner suite », confie la Danoise. Cette adepte du soufisme poursuit: « Le Maroc serait parfaitement indiqué pour une telle conférence dans la mesure où ce pays forme déjà, depuis quelques années, une nouvelle génération de professeures de religion : les mushidad. » Il s’agit de femmes chargées de prêcher la bonne parole jusque dans les villages reculés, avec la mission de promouvoir un islam raisonnable, tolérant et « authentiquement conforme à sa vocation pacifique. »
La “Réforme” n’a pas eu pour objet de rejeter l’Église mais de relativiser son pouvoir institutionnel, au nom de la saine Tradition du Symbole de Nicée-Constantinople, dont elle a précisé l’article baptismale, selon la Bible, en termes de “Sola Fide”. C’est exactement le propos de la confession d’Augsbourg, vers laquelle Rome, actuellement, tourne les yeux, s’apercevant bien tard de son erreur. Seul un œcuménisme chrétien véritable, avec hospitalité eucharistique, sur la base du Symbole de Nicée-Constantinople et le la Confession d’Augsbourg, conformément aux Écritures, permettrait la revitalisation de l’Église et lui redonnerait l’impulsion nécessaire, avant qu’il ne soit trop tard. Curieusement, les U.S.A, protestants, ne sont pas en voie d’islamisation…
La “Sola fide” rejette l’institution de l’Eglise pour la remplacer par celle du libre arbitre, qu’elle place donc au-dessus de la Foi, c’est à dire de la confiance en Dieu et en Son Eglise.
L’Eglise ne peut se renier, et ayant condamné la Réforme, la Réforme reste et restera condamnée. Jésus a confié Son autorité à Pierre, et tous ceux qui refusent son autorité, comme ce fut le cas de Luther, se damnent.
“A quoi cela sert-il, mes frères, que quelqu’un dise : « J’ai la foi », s’il n’a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ?
Si un frère ou une sœur sont nus, s’ils manquent de leur nourriture quotidienne,
et que l’un d’entre vous leur dise : « Allez en paix, chauffez-vous, rassasiez-vous », sans leur donner ce qui est nécessaire à leur corps, à quoi cela sert-il ?
Ainsi en est-il de la foi : si elle n’a pas les œuvres, elle est tout à fait morte.
Au contraire, on dira : « Toi, tu as la foi, et moi, j’ai les œuvres ? Montre-moi ta foi sans les œuvres ; moi, c’est par les œuvres que je te montrerai ma foi.
Toi, tu crois qu’il y a un seul Dieu ? Tu fais bien. Les démons le croient aussi, et ils tremblent.
Veux-tu savoir, homme insensé, que la foi sans les œuvres est stérile ?
Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les œuvres quand il offrit Isaac, son fils, sur l’autel ?
Tu le vois : la foi coopérait à ses œuvres et par les œuvres sa foi fut rendue parfaite.
Ainsi fut accomplie cette parole de l’Écriture : Abraham crut à Dieu, cela lui fut compté comme justice et il fut appelé ami de Dieu. »
Vous le voyez : c’est par les œuvres que l’homme est justifié et non par la foi seule.
De même, Rahab, la prostituée, n’est-ce pas par les œuvres qu’elle fut justifiée quand elle reçut les messagers et les fit partir par un autre chemin ?
Comme le corps sans l’âme est mort, de même la foi sans les œuvres est-elle morte. (Jc 2.14-26)”
“Avant tout, sachez-le : aucune prophétie d’Écriture n’est objet d’explication personnelle. (2 P 1.20)”
Au contraire, la Réforme fait la promotion de l’Église éternelle, celle de la Tradition, non pas celle, institutionnelle, du pape de Rome. Car, en se présentant comme une précision de l’article baptismal du Symbole de Nicée-Constantinople, elle affirme la pérennité de celui-ci, conformément à Ac.5/33-42, Jd.3, Hé.13/8-9 ou Eph.4/4-7, entre autres.
En effet, le “Sola Fide” n’est que la résolution du problème dogmatique de l’un et du multiple, posé par l’article baptismal du Symbole de Foi, selon lequel, il n’y a qu’UN SEUL baptême pour la rémission DES péchés (Mc.16/15-16). De sorte que, ce n’est pas l’eau qui sauve mais l’Évangile et la Foi prêchés lors du baptême, Évangile et foi disponibles à tous les moments de la vie du baptisé. Certes, il ne faut pas oublier que le Sola Fide ne s’exerce que selon une démarche viagère de repentance, illustrée par le geste baptismal d’immersion/immersion. Autrement dit, sans repentance, pas de Foi. C’est, d’ailleurs, l’enseignement de saint Jacques, que vous tentez vainement de nous opposer, lequel affirme que le corps sans souffle est mort, la foi sans œuvre aussi, non que les œuvres fassent nombre avec la foi,, dans l’obtention du salut, mais elles la manifestent, comme la repentance.
Autrement dit, le “Sola Fide” loin d’être l’apologie du libre-examen, consiste plutôt en l’inspection intellectuelle de la Foi, selon le principe “FIDES quaerens intellectum”, à l’instar des conciles œcuméniques qui ont dû expliquer l’article théologique du Credo, à propos de l’unité divine et de la trinité des personnes, selon le concept de relation (Mt.28/19), ou bien l’article christologique du Symbole, l’unité du Christ, vrai Dieu et vrai homme, selon la notion de personne (Jn.1/14). La Foi, non le libre-examen, est donc à la base de l’approche protestante du “Sola Fide”, comme Il Pie.1/19-21 nous y enjoint.
De sorte que, la Réforme n’a pas renié l’Église. C’est plutôt le pape de Rome qui a renié le Credo, en dépit de Gal.1/8-9. C’est ainsi que votre obstination à ne pas reconnaître la légitimité de la requête protestante, conforme aux Écritures, selon l’article pascal du Credo, “juxta scriptura”, puisque si la résurrection, gage de notre foi, selon I Cor.15, doit, pour être crue, être conforme aux Écritures, alors tout le développement doctrinal de cette Foi également, est la cause de l’islamisation de la France. C’est, donc, un ultime appel à la repentance que nous vous adressons, pour vois sauver de ce péril, selon II Pie.3/9.
https://youtu.be/Ebuvo7mU_mM
Alain Rioux,
Comme les musulmans, vous osez dire que l’Eglise s’est égarée, et vous faites ainsi mentir Jésus qui a promis que “les portes de l’Enfer ne prévaudront pas contre elle (Mt 16.18)”.
A la différence des mahométanistes, nous recevons la foi catholique de l’Église chrétienne. C’est, plutôt, vous qui, à l’instar des mahométistes, avez transformé la grâce en loi, en règlements et observances.
Une religion sans loi, règlements ni observances ne peut que séduire ceux qui entendent suivre leur propre volonté… à l’instar de Satan et de son “Non serviam !”, mais les vrais disciples du Christ observent “les décrets portés par les apôtres et les anciens (Ac 16.4 ; Mt 28.20) ainsi que leurs saintes traditions (1 Co 11.2 ; 2 Co 2.15).
Qualifier de “sataniques” le chrétiens qui croient en Jésus-Christ, aux termes du Symbole de Foi, sans obédience au pape de Rome est d’un autre âge…
La foi, comme la vérité, n’a pas d’âge. Refuser un seul dogme est ne plus avoir la foi du tout, car celle-ci est une ou elle n’est pas (Lc 13.26).
“3ème session 4 février 1546 – Décret sur le symbole de foi
1500 Ce saint concile oecuménique et général de Trente, réuni légitimement dans l’Esprit Saint, sous la présidence des trois légats du Siège apostolique, a considéré l’importance des choses à traiter, particulièrement celles qui sont comprises sous les titres de l’éradication des hérésies et de la réforme des moeurs, raisons principales de la réunion, … a estimé qu’il fallait exprimer le Symbole de foi qu’utilise la sainte Eglise romaine comme étant le principe dans lequel se retrouvent nécessairement tous ceux qui professent la foi du Christ, et l’unique fondement contre lequel les portes de l’enfer ne prévaudront jamais Mt 16,18 , en reprenant les mots avec lesquels il est dit dans toutes les églises. (suit le symbole de Nicée-Constantinople 150)”
Encore faudrait-il préciser ce que peut être la Foi chrétienne, en dehors du Credo…
Pourquoi l’Eglise ne s’est-elle pas contenté du Credo des Apôtres, mais a-t-elle rédigé celui de Nicée-Constantinople ?
Le Credo des apôtres n’existait pas lors de la rédaction du Symbole de Nicée-Constantinople. De plus, seul ce dernier est l’objet d’un interdiction d’en composer un autre. Le symbole des apôtres, du VIe siècle, est, donc, nul et non avenu.
Le Catéchisme de l’Église Catholique indique que le Symbole des Apôtres est l’ancien symbole baptismal de l’Église de Rome en citant Saint Ambroise. Le fait que cette prière soit aussi utilisée chez les Chrétiens d’Orient permet de penser qu’elle date du tout début du Christianisme, avant même que les Apôtres ne se séparent pour aller évangéliser les pays avoisinants. Ignace d’Antioche (vers 35-113) fait explicitement allusion au symbole dans sa lettre aux Tralliens. Tertullien (vers 150-220) cite le symbole dans plusieurs de ses écrits (De Virginibus Velandis, Adversus Praxeam, De Praescriptione).
Je vous invite à lire le très bon livre de Kimberly et Scott Hann “Rome sweet home” qui vous expliquera pourquoi la Sola Fide n’est pas fondée dans la Bible. Pas plus que la sola scriptura.
Scott Hann, professeur de theologie , lui même en formation pour devenir pasteur reçu cette question d’un de ses élèves ” où est-ce écrit que seule la foi compte”, ^puis une autre fois , la question portait sur la sola scriptura. IAprès des recherches personnelles il constata qu’il n’ y arriva pas et dû contacter les plus grands théologiens américains.
https://www.amazon.fr/Rome-sweet-home-Luther-Pierre/dp/2353891373
L’apostasie a toujours existé…
L’Eglise du Christ, bâtie sur Pierre n’a jamais apostasié et n’apostasiera jamais (Mt 16.18).
L’Évangile du salut par la foi seule prime même l’autorité apostolique, d’après saint Paul, en Gal.1/8-9.
Précisément, la foi, la vraie foi, contient la reconnaissance de l’autorité du Pape (Ga 1.18 ; 2.2) ainsi que le montre le rôle de Pierre au sein des Douze (Mt 16.18 ; Mc 14.37 ; Lc 22.32 ; Jn 20.5 ; 21.15-17 ; Ac 2.37…).
Du moment où l’autorité du pape ne contrevient pas à l’Évangile, tout protestant est bien prêt, à l’instar d’un saint Paul, en Gal.1/8-9, à la reconnaître…
Saint Paul, pour avoir repris le premier pape, ne se croyait pas pour autant au dessus et juge du Pape.
Lorsque saint Paul dit: “si nous-mêmes annonçons un autre évangile, que nous soyons anathèmes”, en Gal.1/8-9, alors il engage l’autorité apostolique, même celle de saint Pierre. De sorte que, le rejet du Sola Fide, objet de l’épître aux Galates, discrédite même le pape de Rome.
Lorsque saint Paul dit: “si nous-mêmes annonçons un autre évangile, que nous soyons anathèmes”, en Gal.1/8-9, il ne le dit qu’en communion avec saint Pierre.
Vous marchez sur le chemin de l’Enfer à vouloir séparer ceux que Dieu a unis, et à vous vouloir plus élevé que le Pape.
Très, très bon texte de l’abbé Guy Pagès, comme d’habitude.
Ma Foi catholique m’interdit d’approuver le clônage humain, mais dans le cas du bon abbé Pagès, ne pourrions-nous pas faire une exception? Nous en aurions besoin de plusieurs centaines ici au Canada!
😉
PRIONS LA SAINTE VIERGE
CHAQUE JOUR
CHAQUE NUIT
POUR NOTRE SALUT
POUR LE SALUT DE L’EGLISE NOTRE SAINTE MERE
POUR QU’ELLE NOUS PRESERVE DE L’ISLAM QUI LA RELIGION DE SATAN
François VINCENT, Marcel
“Ce n’est pas celui qui dit mon Dieu mon Dieu qui rentrera dans le royaume des cieux ,mais celui qui fait la volonté de mon Père ” a dit Jésus .
Que faut il donc faire pour faire la volonté de Dieu ?
Assurément ,prier en fait partie ,mais si vous priez et que vous continuez d’aller à des messes où les prêtres sont à fond dans l’écuménisme ,l’accueil de l’autre ,amour amour,nous irons tous au paradis,croyez vous que Dieu entendra avec bienveillance vos prières ?
Si vous déplorez d’un côté les conséquences de l’abandon des valeurs de l’Eglise ,et que de l’autre vous n’en éradiquez pas les causes ,que croyez vous qu’il va se passer?
“François Lelièvre”
Quelques prêtres ,un tout petit nombre seulement cherche tout de même à convertir. L’abbé Pagès en fait-il partie selon vous?
Jean
Oui,c’est évident ,l’abbé Pages fait son possible pour convertir les musulmans .
Par contre je ne connais pas sa positions envers ses collègues “bisounours” qui sont à fond dans l’écuménisme ,dans l’accueil de l’autre ,ammour amour ,nous irons tous au paradis.
Perso ,je pense que les premières conversions à opérer sont les prêtres “bisounours” mais je me demande ,tant leur perversion est grande ,s’ils ne seront pas plus difficiles à convertir que les musulmans.
“jean le lièvre”
Il vaut mieux ne pas évangéliser les non-chrétiens car cette église et son pape sont totalement apostats voire hérétiques selon vous. Et nous risquerions d’aggraver, en quelque sorte, leur condition, en les évangélisant (évangéliser n’est pas convertir encore moins forcer à la conversion, vous devriez le savoir). N’est-ce pas le fond de votre propos?
Je prie pour que le Saint Esprit puisse inspirer que l’Eglise Catholique en France et que change cette attitude cette complicité de ne rien faire et accomplir d’une fois pour toute le commandement de Jesus de precher la parole de Dieu non seulement aux musulmans mais aussi aux Français athés et agnostiques qui est la première réligion de France , par rapport le Cardinal de Lyon Barbarin est lamentable et devrait être viré de l’Eglise
Heureux de retrouver votre parole, tant il est difficile de faire comprendre, de nos jours, le grand message de Jésus : Je suis le chemin, la Vérité et la Vie, car il n’y a pas d’autre vérité.
Merci, mon Père, pour vos paroles si claires, prévoyantes… et prophétiques!!
Je considère que nous sommes un peu dans la situation des aztèques du 16 siècle. Or c’était l’évêque Juan de Zumarraga qui a dit que “si Dieu n’intervenait pas, ce peuple serait perdu…” Puisqu’il y a peu d’évêques qui se rallient à la cause de l’évangélisation des musulmans (ni à celle des soi-disant catholiques..) commençons donc nous mêmes à implorer l’intervention du ciel et surtout celle de la Sainte Vierge qui anéantira toutes les hérésies!
Commençons à réciter l’Angélus, le Magnificat (!!) et le chapelet ou du moins une de ces prières pour hâter une nouvelle effusion du Saint Esprit.
Avec toute ma reconnaissance
Traudl
Très chère Traudl,
Merci de votre communion en Celui qui lutte pour nous, au désert, contre Satan !
En Lui nous sommes déjà les grands vainqueurs (Rm 8.37) ! Je vous bénis en Son Nom.
Traudl WallyRéciter l’angélus,le chapelet et aller à la messe tous les jours c’est très bien ,c’est un grand acte de foi.
Mais que vaut la foi sans les oeuvres et vice versa d’ailleurs ?
On nous parle sans cesse de foi ,mais cette foi il faut aussi la mettre en pratique ,il faut AGIR selon les commandements de Dieu et les enseignements complémentaires apportés par Notre Seigneur Jésus Christ.
Les commandements de Dieu nous les connaissons (plus ou moins)mais ils ne sont jamais rappelés .
Et les enseignements du Christ ne sont jamais commentés.
Quand nous adorerons un SEUL Dieu ,que nous honorerons nos parents ,que nous ne commettrons pas l’adultère,que nous ne commettrons pas de faux témoignages,que nous n’essaierons pas de nous accaparer du bien d’autrui ,que nous n’aurons aucunement envie d’ôter la vie à qui que ce soit ,il nous faudra encore agir selon l’exemple et les enseignements de Notre Seigneur , dans un esprit de vérité,de charité et d’humilité et à ce moment là nous serons en communion avec l’Esprit Saint qui seul peut guider nos actes.
Dieu ne fait rien sans nous impliquer dans nôtre destin ,Dieu n’a pas claqué des doigts pour chasser les Anglais hors de France au XVeme siècle ,Il a suscité Jeanne d’Arc qui elle même a entrainé (péniblement d’ailleurs)les autorités légales Françaises à AGIR militairement pour chasser les intrus.
La présence musulmane en France est due à l’apostasie. Quand le clergé fera machine arrière sur toutes les erreurs modernistes qu’il enseigne et pratique ,Dieu aura pitié de nous ,Il aura pitié de ses fils prodigues
C’est dramatique d’écouter le Cardinal (cardinal !!!!) Barbarin sur sa méconnaissance de l’islam.
« Si quelqu’un vient à vous sans accepter cette doctrine [c’est-à-dire en refusant l’Évangile], ne le recevez pas chez vous. Quiconque le salue participe à ses œuvres mauvaises. (2 Jn 10-11) »
Xavier
Le cardinal Barbarin n’a pas de méconnaissance de l’Islam comme vous dites ,il ne fait qu’appliquer les dispositions du concile et du nouveau catéchisme :
-il regarde avec estime les musulmans
-il considère que les musulmans adorent avec nous le Dieu unique
-il s’est félicité que Jean Paul II ait embrassé un coran
-il n’a pas protesté quand Benoit XVI a déposé une gerbe sur la tombe d’Attaturck
-il a participé à toutes les rencontres interreligieuses
– en fait il a agit et continue d’agir comme 95% du clergé qui tourne le dos au tabernacle
Mon Père, avant de convertir les musulmans, il faut convertir les chrétiens.
J’ai toujours pensé (comme vous, je viens de le lire) que l’islam, secte satanique par excellence, est le moyen employé par Notre-Seigneur pour faire revenir à Lui les chrétiens, redresser la Fille Aînée qui est en train de damner, comme vous dites.
L’islam et tout le cortège qui l’accompagne et dont tout le monde sait de quoi je parle dont il est inutile de rabâcher, l’islam donc, est notre purge, la purge des chrétiens.
Mais les chrétiens ne l’ont pas encore compris dans la majorité… et le pape encore moins…
Il faut sans cesse diffuser le fait que l’islam est la grande purge de l’Europe, ce (et il faut bien le préciser), dans le but de réveiller les consciences des assoiffés de laïcisme, de l’athéisme et de l’agnosticisme et aussi des chrétiens éloignés de l’Eglise.
Ils finiront par se rendre compte qu’ils sont sur la mauvaise voie.
Le rabâchage, il n’y a que ça.
J’ai l’impression d’être dans une gigantesque cour d’école dont les élèves sont de plus en plus indisciplinés et incontrôlables.
Et les parents (gouvernement, élus politiques, Vatican et clergé) ne donnent pas le bon exemple. Loin de là !…
NOUMEA
En Algérie ,ceux qui avaient copiné avec les musulmans ont été les premières victimes de leurs folies sanguinaires .
Le prix à payer pour cette totale apostasie du clergé sera exorbitant .
La mort atroce du père Hamel aurait du être un électrochoc ,mais pas du tout ,la folie de ces gens là est telle qu’ils pensent que si ça ne marche pas ,c’est qu’ils n’en font encore pas assez .
Dépenser toute son énergie pour convertir les musulmans ne sert à rien si c’est pour les convertir à une Eglise qui leur dit que nous adorons tous le même Dieu .
La priorité c’est de convertir le clergé devenu APOSTAT ,depuis l’ancien testament ,l’abandon du vrai Dieu a toujours conduit à des catastrophes,mais la folie humaine est telle que les prophètes annonciateurs de malheurs ont toujours été mis à mort .