Il y a quelques jours le pape François recevait un groupe de jeunes Roumains qui l’ont interrogé au sujet de la possible damnation de l’un des leurs, mort en état de péché mortel, selon les dires d’un prêtre orthodoxe. Il leur a répondu : « Personne d’entre nous ne peut dire qu’une personne n’est pas allée au Ciel. Nous ne pouvons même pas dire cela de Judas. ». Or, comme je l’expose, entre autres considérations, dans mon ouvrage Judas est-il en Enfer ?, la damnation de Judas a toujours été une vérité de foi jusqu’à la moitié du XXe siècle. Le Pape poursuivait : « Une brebis perdue, quand le Bon Berger la trouve, Il la rapporte à la maison. Je suis sûr, connaissant Jésus, je suis sûr que c’est ce que le Seigneur a fait pour votre ami. ». Ainsi donc, sans connaître le défunt, ni avoir reçu les conclusions d’une enquête canonique qui aurait instruit le cas (et sans craindre non plus d’offenser ce prêtre orthodoxe qui lui était inconnu), voilà que le Pape affirme le salut d’un inconnu… mais non sans avoir pris d’abord soin de nier la damnation de Judas, tant il est vrai que la foi en celle-ci est le verrou qui empêche de passer de l’espérance dans le salut du plus grand nombre possible à la croyance en un Enfer vide. Puisque, selon François, personne ne peut dire que Judas est damné, alors, comme il en donne l’exemple, tout le monde peut dire que tout le monde est sauvé. Peut-être certains vont-ils tenter de justifier son propos en supposant qu’il aurait reçu une révélation privée au sujet du sort éternel de ce jeune défunt ? Mais le Pape ne dit pas tenir sa certitude d’un tel moyen, mais de sa connaissance de Jésus. Or, il se trouve que je connais moi aussi Jésus, et que la connaissance que j’en ai m’interdit absolument de dire la même chose…
Si « personne d’entre nous ne peut dire qu’une personne n’est pas allée au Ciel. » parce que certainement elle y est, qui qu’elle soit et quoi qu’elle ait fait, et cela parce que Jésus est Jésus, alors, à quoi bon encore prêcher l’urgence absolue de fuir le péché, et la conversion à la foi catholique ? Cela n’a plus d’intérêt. La raison d’être de l’Église et sa mission se trouvent ruinées. Enfin, nous allons pouvoir chanter avec tout le monde, catholiques ou non, pécheurs ou non (à l’exception, il est vrai, des musulmans, qui croient bien, eux, à l’Enfer… mais uniquement pour les non-musulmans !) : « Nous irons tous au Paradis ! ».
Je sais que la pensée de l’Enfer est terrifiante, et je comprends que l’on puisse craindre de faire de la peine, mais la charité est d’un autre ordre que la sentimentalité : « Si je voulais encore plaire à des hommes, je ne serais plus le serviteur du Christ ! (Ga 1.10) ». Personnellement, si j’avais été à la place du Pape, j’aurais répondu : “Si votre ami se trouvait bien en état de péché mortel au moment de sa mort, il n’y a aucun doute qu’il est en Enfer. Mais comme nous ne savons pas si avant de mourir il n’a pas demandé miséricorde à Notre Seigneur, nous pouvons prier pour qu’il en soit ainsi… Et pour que le malheur absolu de mourir en état de péché mortel ne soit pas notre propre lot, faisons ce qu’a commandé Jésus : veillons et prions sans cesse pour ne pas pécher (Mc 13.33,35,37).”
Bref, ce malheureux événement révèle très éloquemment la raison même de la crise de l’Église, à laquelle je prétends apporter une solution avec mon livre Judas est-il en Enfer ?.
« Luttez pour entrer par la porte étroite, car beaucoup, Je vous le dis, chercheront à entrer et n’y arriveront pas (Luc 13.24) ».
Abbé Guy Pagès
Article paru dans Riposte Catholique, Boulevard Voltaire, Tra Cielo y Terra. Het Katoliek Forum.
Le Christ avait lavé les pieds de ses disciples .
François lave les pieds des ennemis de l’Eglise .
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 29/03/2018 à 21:03 Publié le 29/03/2018 à 18:25
EN IMAGES- Le pape lave les pieds de détenus non catholiques
Le pape François, très ému par l’univers carcéral, a célébré une nouvelle fois une messe du Jeudi saint dans une prison en lavant les pieds de douze détenus, dont deux musulmans, un orthodoxe et un bouddhiste.
Après une brève rencontre en privé avec des prisonniers malades, le pape a célébré jeudi après-midi la messe de la Cène et le rite du lavement des pied avec douze détenus de sept pays différents dans la prison romaine pour hommes de Regina Coeli. “Chacun a l’opportunité de changer de vie et ne doit pas être jugé”, a souligné le pape, notant qu’il se considère lui-même comme “un pêcheur”, dans une homélie transmise par Radio Vatican.
Dans la tradition chrétienne, le Jeudi saint commémore le jour où le Christ lave les pieds des apôtres et institue l’eucharistie lors de son dernier repas (la Cène). Le rituel a été perpétué dans le christianisme, sauf dans certaines branches du protestantisme. Il s’agit d’un temps fort de la Semaine sainte qui commémore les derniers jours de Jésus Christ. “Pour moi rendre visite à des malades, aller en prison, faire sentir au prisonnier qu’il peut avoir l’espoir de la réinsertion, c’est cela la prédication de l’Eglise”, a expliqué le pape François dans un récent livre d’entretiens.
De fait, il se rend régulièrement dans des prisons lors de ses voyages à l’étranger. Il avait décrit son accueil chaleureux en janvier dans un établissement pénitentiaire pour femmes de Santiago du Chili comme son rendez-vous le plus émouvant du voyage au Chili. L’an dernier lors du Jeudi saint, il avait lavé les pieds de détenus repentis, notamment d’anciens mafieux, dans une prison au sud de Rome. Depuis le début de son pontificat, le pape François a décidé de décentraliser cette célébration en dehors du Vatican.
En 2013, il s’était rendu dans une prison pour mineurs, l’année suivante dans un centre pour personnes malades et handicapées, en 2015 à nouveau dans une prison et en 2016 dans un centre d’accueil de réfugiés. Il a lavé à plusieurs reprises les pieds de croyants musulmans. Jeudi matin, le pape François a présidé, dans la basilique Saint-Pierre, la traditionnelle messe “chrismale” qui donne lieu à la bénédiction de l’huile sainte servant à la célébration de certains sacrements tout au long de l’année. Lors de cette messe devant des prélats et des religieux de Rome, le pape a recommandé à ces derniers d’être “des prêtres de rue”, disponibles et à l’écoute des croyants.
LES DESSOUS DU CONCILE EXPLIQUES PAR UN PASSAGE DU LIVRE : LE RHIN SE JETTE DANS LE TIBRE
« Quelques jours avant la clôture, l’abbé Hans Küng, théologien suisse de la Faculté de théologie catholique de l’université de Tubingue, fut invité à prendre la parole au U. S. Bishops’ Press Panel.
Au cours de son exposé, il mentionna que Jean XXIII, comme on lui demandait en privé pourquoi il avait convoqué le Concile, était allé à sa fenêtre, l’avait ouverte, et avait dit : «Faisons entrer un peu d’air pur dans l’Eglise».
L’abbé Küng, ne dissimulant pas sa jubilation, déclara que ce qui avait été naguère le rêve d’un groupe d’avant-garde dans l’Eglise «s’était épandu et avait, grâce au Concile, pénétré toute l’atmosphère de l’Eglise». Si pour quelque raison le Concile devait se terminer, le mouvement lancé dans l’Eglise ne s’arrêterait pas, dit-il, et un autre Concile devrait être bientôt convoqué.»
EN FAIT D’AIR PUR C’ETAIT UN AIR NOUVEAU QUI A ENGENDRE UNE ERE NOUVELLE , L’expression au grand jour de ce qui couvait dans l’Eglise et que St Pie X avait appelé en 1910 : “le MODERNISME égoût collecteur de toutes les hérésies qui circulent dans l’Eglise ”
LE PECHE N’EXISTE PLUS ,FRANCOIS N’A RIEN INVENTE ,C’EST LA NORME DEPUIS LE CONCILE
Dans le cadre des cours de religion, les élèves d’une petite école rurale se rendent dans la commune voisine pour visiter la belle église paroissiale du XIIIe siècle. Ils sont accompagnés de la “dame catéchiste”, salariée par le diocèse.
Arrivés devant l’église, les jeunes élèves sont accueillis par un historien, lui-même ancien instituteur – on ne disait pas “professeur des écoles” à son époque – qui entreprend de leur expliquer les différents éléments de l’architecture. En montrant des sculptures grimaçantes, il leur dit : « On peut imaginer que certaines de ces vilaines têtes représentaient des péchés… Vous savez ce que c’est qu’un péché ? » Lourd silence du jeune public. « Vous ne savez pas ? » « Non », répondent les élèves. Puis, se tournant vers la “dame catéchiste” : « Ils ne savent pas ? » « Non, répond la dame, on ne leur apprend pas ça au catéchisme. »
Malicieusement, l’historien ancien instituteur se tourne à nouveau vers les enfants et leur dit : « Bon. Vous ne savez pas ce que c’est qu’un péché… Mais vous connaissez le “Notre Père” ? » A nouveau, grand silence. Et la “dame catéchiste” de répondre : « Non, ils ne savent pas. Vous savez, aujourd’hui, les cours de religion, c’est très différent du catéchisme d’autrefois. On n’insiste plus sur ces choses-là : ceux qui feront leur communion verront bien après si ça les intéresse de parler des péchés ou du “Notre Père”… »
Ah, les “dames catéchistes” d’aujourd’hui ne valent de loin pas l’instituteur d’hier.
Les dernières élucubrations de François
dans Religion Catholique — par Francesca de Villasmundo — 20 mars 2018
Le pape François a ouvert, hier 19 mars 2018 le pré-synode des jeunes. 300 d’entre eux venus des cinq continents sont arrivés à Rome pour préparer le synode d’octobre prochain qui réunira les évêques sur le thème Les jeunes, la foi et le discernement des vocations.
Lors du discours que le pontife argentin leur a adressé, toujours dans son style « curé latino-américain » plutôt démagogique, on apprend que parmi ces 300 jeunes pas tous « ne sont catholiques et chrétiens, ni même croyants » : « mais vous êtes certainement tous animés par le désir de donner le mieux de vous-mêmes. Je n’ai pas de doutes sur cela » a affirmé François.
Lors du concile Vatican II, la présence massive des protestants engendra une Église que Mgr Lefebvre dénomma « nouvelle Église ». 50 ans plus tard, ce phénomène d’ouverture œcuménique aux autres religions, ouverture non dans un but de conversion des âmes à la vraie foi mais « d’unité dans la diversité », n’a fait que s’amplifier. Aujourd’hui ce ne sont plus uniquement des chrétiens protestants qui sont appelés à venir apporter leur contribution à un synode d’évêques présidé par le pape et centré sur la « vocation » des jeunes mais tout membre de la « grande famille humaine » ! Pour en revenir à ces jeunes de toute confession ou sans religion invités par le Vatican à façonner le futur synode des évêques, le pape François les a exhorté à « construire avec courage un monde meilleur », à « rajeunir le visage de l’Église ». « Vous tous, a déclaré le pape aux jeunes gens, vous pouvez collaborer à cette fécondité, que vous soyez chrétiens catholiques, ou d’autres religions ou non-croyants. Nous vous demandons de collaborer à cette fécondité, de donner la vie ». Qu’il n’y ait aucune ambiguïtés : il n’est vraiment pas question dans ces paroles du pape de la vie éternelle ni de la seule voie féconde pour conduire les jeunes au salut et à l’épanouissement personnel, le Christ…
Ce de quoi on parle c’est de réussite matérielle et d’inclusion sociale. D‘ailleurs lorsqu’on lit les compte-rendus sur les réunions préalables à ce futur synode, c’est plutôt le rendez-vous d’une ONG vouée à l’assistanat social qui semble se préparer bien plus qu’une réflexion religieuse sur la « vocation » catholique des jeunes ou la « vocation » des jeunes catholiques. Orientation reprise par le pape François qui, dans son laïus d’hier, a insisté particulièrement sur la place des jeunes dans la société civile, le chômage auquel ils sont confrontés et leur mal-être matériel qui les pousseraient assure-t-il à « s’enrôler dans Daesh »… Voilà pour El papa latino, si populaire parmi la caste de gauche et les anti-cléricaux, les préoccupations majeures auxquelles l’Église d’aujourd’hui doit faire face pour aider les nouvelles générations. La déchristianisation des âmes, les nouvelles mœurs arc-en-ciel, le nihilisme pratique, l’apostasie des nations et des peuples, tous sujets primordiaux, existentiels pourrait-on dire pour l’avenir de l’humanité et pour le bien-être spirituel et temporel des jeunes, ne font pas partie du programme synodal ! Le pape François, malgré ses envolées lyriques jeunolâtres, réduit cette pauvre jeunesse à une masse d’individus uniquement préoccupés « par leur salaire mensuel ». Triste vision bergoglienne, si matérialiste et naturaliste.
Ce pré-synode démontre magistralement que l’Église devient l’auberge espagnole de toutes les religions dont aucune n’aurait le monopole de la vérité ni le vrai sens du bien commun : mais devient une « nouvelle religion », un syncrétisme certain et un socialisme mondialiste…
Selon des informations qui paraissent sincères mais souvent invérifiables par un fidèle particulier.
– Dans l’Eglise, avant le conclave de 2013 (et même avant celui de 2005) une mafia (dixit le cardinal W. Danneels) s’est mise en place pour préparer la désignation d’un pape selon ses voeux. Cette démarche est explicitement interdite par les règles qui régissent les conclaves.
– Quand Benoît XVI a été désigné (2005) la colère du même W. D. a été publique, explicite, télévisée.
– Hors de l’Eglise, des politiciens démocrates américains (Obama et Clinton) avec l’aide de leurs moyens de pression ont travaillé à faire évoluer l’Eglise dans le sens de leurs projets.
– Juste avant la démission de Benoît XVI, les terminaux de banque au Vatican ont été bloqués. Ils ont été débloqués juste après cette démission.
– Par une indiscrétion assez connue il se dit que, durant le conclave, au dépouillement de l’avant dernier vote, un bulletin a été trouvé glissé dans un autre. Ceci aurait dû donner lieu au comptage après annulation de ces deux votes-là.
Or, on aurait procédé à un nouveau tour de scrutin, et ce, avant la destruction des bulletins du scrutin indûment annulé. Et c’est ce vote qui a désigné le cardinal Bergoglio.
Une enquête sérieuse paraît donc nécessaire pour vérifier la canonicité du conclave de 2013. Or, tout ça a été brossé sous le tapis.
Si, après enquête, les griefs se révélaient significatifs fondés, cela signifierait que le cardinal Bergoglio n’a jamais été pape. Alors, nous aurions le malheur de subir un scandale qui me semble inédit.
A l’inverse, s’ils n’étaient pas significatifs et/ou pas fondés, alors, nous avons le malheur de subir un pape lamentable.
Voyez à ce sujet, la magouille scandaleuse des 11 fascicules préparés à sa gloire par Mgr Vigano.
Etienne,
Ceux qui participent à un conclave s’engagent par serment à ne rien révéler de ce qui s’y sera déroulé, c’est pourquoi est nécessairement suspect, nul et non-avenu, tout ce qui peut en être révélé. Ce qui ne minimise pas les scandales que vous évoquez.
Merci M. l’abbé pour votre réponse.
L’engagement de ne rien révéler d’un conclave pose un vrai problème quant à cette possibilité d’un bourrage d’urnes, “bête et méchant”.
Cependant, l’obligation de ne pas anticiper (ici, de manière très durable) sur les débats d’un conclave, elle existe tout autant. Et elle n’a même pas compté pour du beurre : au moins un cardinal belge s’est donné, à mots à peine couverts, lors d’une émission télévisée, pour faiseur de pape.
C’est pourquoi on ne peut pas glisser sous le tapis les autres irrégularités signalées.
Espérant être (ou devenir) et rester un “bon” fidèle catholique, croyant et pratiquant, docile mais “nin biesse”, j’ai besoin qu’une enquête sérieuse confirme ou infirme la désignation du cardinal Bergoglio en 2013.
Du moment qu’aucun cardinal n’a rejeté la légitimité de cette élection, ce que eux seuls peuvent faire, je ne vois pas l’intérêt que vous auriez à la rejeter.
Bonjour M. l’abbé.
– De mémoire, en novembre de l’an passé, le cardinal Burke réécrivait au maître du Vatican à propos des dubia. Il y signalait que, lui, il n’était de ceux qui doutent de la validité de l’élection (du cardinal Bergoglio). C’est donc bien que d’autres en doutent.
– Cette histoire des dubia a fait la démonstration que le collège des cardinaux n’est pas bien protégé de l’esprit de courtisanerie. C’est le moins qu’on puisse en dire.
– Un conclave, c’est une opération électorale organisée à huis-clos dans un groupe de cooptés.
Cette opération-là doit faire l’objet d’un procès-verbal circonstancié comportant quelques informations indispensables pour assurer sa crédibilité. Par exemple.
a) Le nombre de bulletins disponibles avant les opérations.
b) Le nombre de jours (à 4 tours de votes prévus par jour) et le nombre de tours de votes opérés réellement.
c) Le nombre de bulletins disponibles à la clôture des opérations.
Etc.
Si ce P. V. devait manquer, ou s’il était inaccessible, ou s’il révélait des anomalies dans le déroulement des opérations…
Dans le contexte où nous sommes, la présomption de tricherie (s) serait très forte.
Une enquête sévère me paraît donc indispensable : sauf urgence dramatique, personne ne peut “donner le bon Dieu sans confession”.
Quand le cardinal Burke dit qu’il n’est pas de ceux qui doutent, 1) cela ne signifie pas pas que ceux qui doutent soient nécessairement des cardinaux, et 2) si lui ne doute pas, qui doutera ?
Etienne
Se poser la question de la légitimité de l’élection d’un pape est tout à fait normal pour tout catholique qui par définition doit être épris de vérité .
Mais si nous en sommes arrivés là ,c’est que le mal qui ronge l’Eglise est très profond .
Si vous posez la question de la légitimité de l’élection de Bergoglio ,je suppose que vous n’êtes pas satisfait de ses décisions et prestations et que vous voudriez le remplacer par un autre .
Or il se trouve que plus le temps passe et plus les cardinaux électeurs sont nombreux à avoir été nommés par Bergoglio et vous pensez bien que ce pape les a choisis à son image ,si bien qu’une autre élection dans quelques années ,ne pourra que confirmer la ligne d’action qui travaille actuellement à la destruction de l’Eglise .
La seule chose positive que nous pouvons tous faire pour arrêter ce carnage ,c’est de rechercher la vérité en remontant le temps pour comprendre à partir de quand et pour quelles raisons un nombre considérable de prélats ont dévié de la foi .
Vous pouvez remonter jusqu’à Judas.
La trahison ponctuelle de Judas n’a rien à voir avec la trahison quasi institutionalisée qui sévit aujourd’hui .
Et pourquoi donc ?
Merci Gimo.
Certains (en simplifiant beaucoup…) affirment qu’il y a une tradition non écrite des conclaves selon laquelle après un pape “de gauche” il désigne un pape “de droite”.
Quoi qu’il en soit… Cette prétendue tradition conclaviste non écrite ne tient pas bien la route : comme si le Collège des cardinaux s’enfermait dans ces catégories politiciennes, comme si le Saint-Esprit restait assis au balcon.
On verra bien.
Etienne
Je ne vois pas bien comment le Saint Esprit qui est Dieu et la perfection, puisse influencer les cardinaux pour la nomination d’un mauvais pape .
Le Saint Esprit n’agit sur nous que si nous allons le chercher ,si nous nous mettons en situation de le recevoir .
Bonsoir Gimo.
Je m’impose de croire que, dans le (naguère) “sacré” collège il y a des dizaines de cardinaux pour demander, avec insistance, l’inspiration du Saint-Esprit.
Les cardinaux peuvent être dociles aux inspirations du St-Esprit. Mais ils peuvent aussi y résister.
De mémoire, Benoît XVI s’est exprimé là-dessus, beaucoup mieux que je pourrais jamais le faire.
Quoi qu’il en soit de la période avant et pendant sa désignation… Dernièrement.
Avez-vous noté comment Mgr Vigano a “tenté d’entuber” le vieux pape en retraite ?
Demain, à Rome, une réunion de prélats doit se tenir pour se demander où va l’Eglise.
Perso. je prie pour que, enfin, ils tranchent dans le vif et nous libère des chipotages où nous sommes enfermés.
La confession ,la correction fraternelle et l’excomuniation
Lorsque l’Eglise a organisé la discipline pénitentielle, la confession n’était pas nécessaire car le sacrement de la Réconciliation concernait des fautes publiques, évidentes, connues de beaucoup.
Dans les premiers temps, le pénitent désireux de se réconcilier était exclu des sacrements et de la liturgie eucharistique. Il devait mener une vie très mortifiée et était mis au ban de la société chrétienne. Au terme d’une expiation laborieuse et pénible qui pouvait parfois durer toute la vie, le pénitent recevait l’absolution par l’imposition des mains.
Dès le premier siècle, l’Eglise apparaît détentrice de la juridiction spirituelle qu’elle exerce. On voit alors se dessiner les fondements sur lesquels repose la pratique su sacrement de pénitence mais nous n’avons pas de témoignage sur la pratique elle-même.
L’Eglise a un pouvoir judiciaire ; elle a le pouvoir de lier et de délier : il s’agit du “pouvoir des clés” confié à saint Pierre puis aux Apôtres. Elle exerce un droit pénal : des peines sont prévues et quelques principes sont énoncer afin de mieux guider les procédures.
Il est intéressant d’étudier ici quatre aspects de la pénitence chrétienne :
1. La correction fraternelle ;
2. L’excommunication ;
3. Les châtiments temporels d’origine divine ;
4. L’amorce du sacrement de pénitence.
LA CORRECTION FRATERNELLE
La correction fraternelle fait partie de l’enseignement du Seigneur repris par la communauté chrétienne primitive : « Si ton frère a péché, va et reprends-le entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère. Mais s’il ne t’écoute pas, prends avec toi une ou deux personnes, afin que toute l’affaire se règle sur la déclaration de deux ou de trois témoins. S’il refuse de les écouter, dis-le à l’Eglise ; et s’il refuse aussi d’écouter l’Eglise, qu’il soit pour toi comme un païen et un publicain. » (Mt. 18, 15-18)
La correction se fait à l’intérieur de la communauté chrétienne, comme elle se pratiquait dans les milieux piétistes et à l’inverse de ce qui se faisait au sein du judaïsme orthodoxe (pharisiens et sadducéens) qui l’ignorait.
Chez les chrétiens, elle se fait selon une série de démarches graduées.
La première est secrète et relève plus d’une oeuvre charité que d’une action à caractère judiciaire. Elle a été pratiquée, ainsi qu’en témoigne Saint Jacques : « Mes frères, si quelqu’un d’entre vous s’est laissé entraîner loin de la vérité, et qu’un autre l’y ramène, sachez que celui qui ramène un pécheur de la voie où il s’égare, sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés. » (Jc. 5, 19-20) Il s’agit là d’une sorte d’ “aumône spirituelle” visant directement l’amendement du coupable et indirectement le rétablissement de la justice au sein de la communauté.
La démarche est précédée d’un avertissement donné par ceux qui ont autorité dans l’Eglise.
L’insuccès de la démarche invite à rendre public l’avertissement.
L’EXCOMMUNICATION
L’excommunication ne peut être prononcée qu’après l’avertissement secret et l’avertissement public. De façon indirecte, Saint Paul donne quelques indications concernant les fondements de la pratique : l’accusation devra être fondée et motivée sur la base de faits exacts.
Une accusation contre un presbytre ne pourra être reçue que sur déposition de deux ou trois témoins : « Contre un Ancien n’accepte pas d’accusation, sauf s’il y a deux ou trois témoins. Ceux qui commettent des péchés, reprends-les devant tout le monde, afin que les autres aussi éprouvent de la crainte. Devant Dieu et le Christ Jésus et devant les anges que Dieu a choisis, je te le demande solennellement : garde ces règles sans parti pris, et ne fais rien par favoritisme. » (1 Tim. 5, 20-21)
Ce point est important. Il montre que la procédure chrétienne suit les modes de la justice humaine : il y a une enquête et la pénétration des conscience n’entre pas en ligne de compte. Toute l’Antiquité chrétienne agira toujours dans ce même sens : l’observation des formes judiciaires garantit les droits du présumé coupable et celui-ci peut toujours se défendre ; il n’est jamais condamné “a priori” sur une révélation directe de son supérieur : « Voici que je vais venir chez vous pour la troisième fois. Toute affaire sera réglée sur la parole de deux ou trois témoins. » (S. Paul, 2 Co. 13, 1)
L’EXCOMMUNICATION
L’excommunication est une exclusion de l’Eglise, au moins à titre temporaire. Le monde juif connaissait ce type de sentence. On en retrouve le principe dans la première Epître de Saint Paul aux Corinthiens : « On entend dire partout qu’il y a chez vous un cas d’inconduite, une inconduite telle qu’on n’en voit même pas chez les païens : il s’agit d’un homme qui vit avec la femme de son père. Et, malgré cela, vous êtes gonflés d’orgueil au lieu d’en pleurer et de chasser de votre communauté celui qui commet cet acte. Quant à moi, qui suis absent de corps mais présent d’esprit, j’ai déjà jugé, comme si j’étais présent, l’homme qui agit de la sorte : au nom du Seigneur Jésus, lors d’une réunion où je serai spirituellement avec vous, dans la puissance de notre Seigneur Jésus, il faut livrer cet individu au pouvoir de Satan, pour la perdition de son être de chair ; ainsi, son esprit pourra être sauvé au jour du Seigneur. » (1 Cor. 5, 1-5)
Comme on le voit ici, l’excommunication est prononcée en assemblée solennelle, au nom du Seigneur Jésus-Christ et avec sa puissance. La peine n’est pas seulement destinée à préserver la communauté de la contagion du mauvais exemple en faisant sortir de sa communion un membre qui agit mal ; elle est aussi une peine médicinale ordonnée à l’amendement du coupable « afin que son âme soit trouvée juste au jour du Seigneur. »
Les Epîtres à Timothée nous montrent que l’excommunication sanctionne des fautes de mœurs, des fautes de foi (doctrine), des attitudes d’opposition à l’autorité.
Si des membres inférieur de l’Eglise apostasient il est prévu que les membres supérieur puissent les recadrer et éventuellement les excommunier , l’inverse n’a jamais été envisagé , aucun tribunal , aucune assemblée canonique ne semble prévu à cet effet.
Que faut-il faire quand une majeure partie du clergé , à la suite du pape , prend des voies de perdition ?
François fait l’unanimité de la presse enjuivée,du grand public athée et des francs macs
Article trouvé sur BOURSORAMA (site des banques et de la finance)
PRÈS DE HUIT FRANÇAIS SUR DIX ONT UNE BONNE OPINION DU PAPE
PARIS (Reuters) – Près de huit Français sur dix (78%) ont une bonne opinion du pape François, qui célèbre ces jours-ci ses cinq années de pontificat, selon un sondage BVA pour Le Figaro publié lundi.
Seuls 17% des personnes interrogées ont une mauvaise opinion du souverain pontife, qui a toutefois perdu neuf points de popularité par rapport à juillet 2015, où il recueillait 87% de bonnes opinions.
Si 61% des sondés déclarent que, depuis qu’il a été intronisé en 2013, le pape François n’a pas changé leur regard sur l’Eglise catholique, ils sont 31% à estimer qu’il l’a changé “plutôt en bien”, contre 5% qui pensent le contraire.
Les personnes interrogées sont dans leur ensemble 68% à souhaiter que le pape vienne en visite en France au cours des prochaines années. Près des deux-tiers (65%) pensent en outre que le pape François devrait, comme son prédécesseur Benoît XVI, démissionner à partir d’un certain âge.
Le sondage a été réalisé les 8 et 9 mars auprès de 1.012 personnes âgées de 18 ans et plus dont 76 catholiques pratiquants réguliers, 156 catholiques pratiquants occasionnels, 271 catholiques non pratiquants, 67 personnes proches d’une autre religion et 398 personnes ne se déclarant proches d’aucune religion.
(Elizabeth Pineau, édité par Cyril Altmeyer)
Il me semble que c’est dans les écrits de Maria Valtorta que Jésus a clairement dit: Qu’il avait tout fait pour que Judas accepte sa Miséricorde …mais Judas a refuser car il se sentait indigne d’une telle Miséricorde…et pourtant Judas est celui qui a trahis notre Seigneur et a fait en sorte qu’il a été crucifié, mais notre Seigneur aimait et a toujours aimer Judas malgré ses innombrables défauts, surtout celui de l’orgueil….Si Judas avait accepter l’Infini Miséricorde de Jésus, IL lui aurait pardonner….Cela nous montre bien que Jésus ne rejette personnes, même si ses péchés sont écarlates, Notre Seigneur et notre Dieu nous aiment tellement qu’il va vraiment tout essayer pour que nous acceptions sa Divine Miséricorde….Amen !
Par contre Père Pagès, je suis très perturbée lorsque vous remettez en question les paroles du Pape François…ne vaut-il pas mieux se taire et laisser à Dieu le soin de le reprendre lorsqu’IL est en faute….Ce Pape est tellement controversé, ça va jusqu’à la haine, on le traite d’hérétique, d’antéchrist et quoi encore ??? Le Seigneur ne nous a pas demander de lui mettre des bâtons dans les roues, car qui comprend exactement la mission que Dieu lui a confiée ? Il est le Chef de l’Église Catholique il représente le Christ sur la terre, est-ce que nous serions en train de juger le choix de Dieu en la personne du Pape François ? Merci de m’avoir permis d’exprimer ma peine..
Grace,
Saint Paul ne pense pas comme vous (Ga 2.11-14).
En effet Saint Paul ne pense pas comme moi, je viens de le lire.Je suis peut-être trop sensible… je me souviens qu’on m’avait déjà écrit un mail en me disant du mal de vous, une chose que je ne tolère pas c’est la médisance, je suis donc porter à défendre celui qu’on attaque, c’est dans ma nature profonde d’être ainsi…..Je crois fermement que nous devons prier pour ceux avec qui, nous avons des doutes sur la véracité de leurs enseignements…La prière est plus puissante que les jugements et la médisance pour reprendre un frère, une soeur qui ne semble pas parler sous la motion de l’Esprit-Saint…
Ne croyez-vous pas mon Père que le Pape François a réellement été choisis par L’Esprit-Saint ?
Grace,
Pourquoi cette question ? Est-ce que saint Paul remettait en cause l’autorité de saint Pierre pour lui avoir fait remarquer “qu’il ne marchait pas droit selon l’Évangile” ?
Père Guy, c’est vrai vous avez raison…
Permettez-moi de vous dire que vous semblez exaspérer et impatient dans les réponses que vous donner ici sur votre Blog, je me sent un peu mal à l’aise d’avoir des questions à vous poser…une impression de vous déranger !
Je demande au Seigneur de nos coeurs et à Mère Marie de vous bénir !
Merci !
Grâce,
Vous ne me dérangez pas. Et vous pouvez prendre tout ce qui est sur ce site. Saint Carême à vous !
Grace
Un pape qui dit que Dieu n’est pas catholique
qui introduit une statue de Luther au Vatican
qui veut donner la communion au divorcés
qui accueille des musulmans et délaisse les catholiques
qui monte les marches d’une église main dans la main avec un prêtre pro gays
SERAIT LE CHOIX DE DIEU ???
jean lelièvre,
Pour avoir été choisi par Dieu comme Pape, celui-ci n’en reste pas moins homme et libre. Quel que soit son comportement, dont il aura à rendre compte à Dieu, cela ne remet donc pas en cause la légitimité de son élection. Il en va certainement des papes comme du reste des hommes : il y en a des bons et des mauvais. Il nous revient à nous de beaucoup prier pour notre pape, sans le juger, ce qui n’appartient qu’à Dieu. Ce qui ne nous empêche pas de lui faire respectueusement savoir ce que nous pouvons penser, comme saint Paul nous en a donné l’exemple.
Monsieur l’abbé
Je vous ai posé une question en retour de votre affirmation par laquelle François était choisi par Dieu,je me rends compte que vous l’avez supprimée .
J’aimerai en connaitre la raison ,trouvez vous ma question irrespectueuse ou tout simplement n’avez vous pas de réponse ?
Qu’est donc venu faire sur terre Notre Seigneur nous encourager au péché comme François ou au contraire nous détourner du péché ???
jean lelièvre,
Je vous ai déjà répondu x fois : pour nous faire des dons, Dieu n’enlève pas notre liberté. Il n’en va pas différemment pour le Pape. Est-ce si difficile à comprendre ?
Merci, cher Père Pagès,
De nous montrer « la marque de la Bête », le « tatouage » au front (la pensée – la conscience) ou à la main (l’action) qui n’est certainement pas un code barre ou une puce RFID, mais tout simplement ce que les « deux témoins » (Ap XI) nous en rapportent pour autant qu’on les ait reconnus et qu’on veuille bien les écouter. Et l’enjeu est conséquent :
Ap 14:9-11 : « Un autre Ange, un troisième, les suivit, criant d’une voix puissante : ” Quiconque adore la Bête et son image, et se fait marquer sur le front ou sur la main, lui aussi boira le vin de la fureur de Dieu, qui se trouve préparé, pur, dans la coupe de sa colère. Il subira le supplice du feu et du soufre, devant les saints Anges et devant l’Agneau. Et la fumée de leur supplice s’élève pour les siècles des siècles ; non, point de repos, ni le jour ni la nuit, pour ceux qui adorent la Bête et son image, pour qui reçoit la marque de son nom. “.
Encore une preuve que l’enfer existe bien. Et s’il suffisait de ne pas y croire pour qu’il n’existe pas du tout, alors, pour ne jamais mourir, il suffirait de croire que la mort n’existe pas !
Comment est-il possible que les hommes en soient venu à croire n’importe quoi et n’importe qui jusqu’à rejeter la Vérité Révélée qui pourtant nous livre plus que jamais toutes les preuves de son authenticité ?
Si on en arrive à ce point, c’est que la fin n’est pas très loin !
MT 24:39 : « Et les gens ne se doutèrent de rien jusqu’à l’arrivée du déluge, qui les emporta tous. Tel sera aussi l’avènement du Fils de l’homme. »
1TH5:3 : « Quand les hommes se diront – Paix et sécurité ! – c’est alors que tout d’un coup fondra sur eux la perdition, comme les douleurs sur la femme enceinte, et ils ne pourront y échapper. »
Et, comme pour l’enfantement, quel que soit l’état du monde, ce sera inexorablement au terme déjà fixé.
Merci pour votre présence jusqu’au bout.
Histoire de l’homme riche et du pauvre Lazare (Luc 16.19-31)
19 »Il y avait un homme riche, qui s’habillait de pourpre et de fin lin et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie.
20 Un pauvre du nom de Lazare était couché devant son portail, couvert d’ulcères.
21 Il aurait bien voulu se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche, cependant même les chiens venaient lécher ses ulcères.
22 Le pauvre mourut et fut porté par les anges auprès d’Abraham. Le riche mourut aussi et fut enterré.
23 Dans le séjour des morts, en proie à une grande souffrance il leva les yeux et vit de loin Abraham, avec Lazare à ses côtés.
24 Il s’écria: ‘Père Abraham, aie pitié de moi et envoie Lazare pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau afin de me rafraîchir la langue, car je souffre cruellement dans cette flamme.’ 25 Abraham répondit: ‘Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie et que Lazare a connu les maux pendant la sienne; maintenant, il est consolé ici et toi, tu souffres.
26 De plus, il y a un grand abîme entre nous et vous, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de chez vous vers nous, ne puissent pas le faire.’
27 Le riche dit: ‘Je te prie alors, père, d’envoyer Lazare chez mon père, car j’ai cinq frères.
28 C’est pour qu’il les avertisse, afin qu’ils n’aboutissent pas, eux aussi, dans ce lieu de souffrances.’
29 Abraham [lui] répondit: ‘Ils ont Moïse et les prophètes, qu’ils les écoutent.’
30 Le riche dit: ‘Non, père Abraham, mais si quelqu’un vient de chez les morts vers eux, ils changeront d’attitude.’
31 Abraham lui dit alors: ‘S’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader, même si quelqu’un ressuscite.’»
L’Évangile ( Jan, Marc, Matthieu, et Luc ) plus la vie des apôtres , la mission de Paul ,etc parle clairement que pour aller au ciel il faut d’abord croire en Jésus-Christ comme fils de Dieu lui c’est la porte au paradis mais en plus suivre ces enseignements par conséquent dire que même les violeurs, les pédophiles, les criminels ,etc iront au Paradis c’est FAUX , le cas plus claire c’est du pseudo prophète Mohammed par rapport à ces actions ( il a tuez , il était marié avec une fille de 9 ans ( Aïcha) c’était un acte de pédophilie,mentir ( la taqyia) ,etc ) évidement lui est dans l’enfer et tous ceux qui croient en lui .
tres bon sujet bonne analyse du péché ou est la limite quand des hommes décapite au nom de dieu a t il droit au paradis ? le pape a t il a lui seul le droit de pardonner ?
Et voilà, c’est comme ça que les chrétiens ne se donnent même pas la peine de faire des efforts pour conduire leur vie dans la droiture…
Incroyable de ne pas saisir l’opportunité pour parler de l’Enfer.
Enfin, bref, que dire de plus ?
C’est tout simplement navrant.