« Vous n’aurez pas d’autres dieux devant moi », dit le Seigneur Dieu, et c’est le premier des commandements (Ex 20:3). Donné à l’origine à Moïse et au peuple hébreu, ce commandement reste valable pour tous les peuples et pour tous les temps, ainsi que Dieu nous le dit : « Tu ne te feras point d’idoles en forme de quoi que ce soit dans le ciel, en haut, sur la terre, en bas, ou dans les eaux sous la terre ; tu ne te prosterneras point devant eux et tu ne les adoreras point ” (Ex 20:4-5). Notre Seigneur Jésus-Christ a parfaitement observé ce commandement. Lorsque le démon lui promit tous les royaumes du monde, à condition qu’Il Se prosternât devant devant lui, Jésus répondit : « Retire-toi, Satan ; car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu Le serviras Lui seul. » (Mt 4,10 ; Dt 6,13-14). L’exemple du Christ est donc de la plus haute importance pour tous ceux qui désirent « le vrai Dieu et la vie éternelle », comme nous y exhorte l’apôtre saint Jean : « Mes petits enfants, gardez-vous des idoles » (1 Jn 5, 20-21).
De nos jours, ce message revêt une importance particulière, car le syncrétisme et le paganisme sont comme des poisons qui coulent dans les veines du Corps mystique du Christ, l’Église. En tant que successeur des Apôtres, chargé de veiller sur le troupeau de Dieu, je ne peux rester silencieux face à la violation flagrante de la sainte volonté de Dieu et aux conséquences désastreuses qu’elle aura sur les âmes individuelles, l’Église dans son ensemble, et même sur le genre humain tout entier. C’est donc avec beaucoup d’amour pour l’âme de mes frères et sœurs que j’écris ce message.
2. Le 4 octobre 2019, à la veille du Synode de l’Amazonie, une cérémonie religieuse a eu lieu dans les Jardins du Vatican, en présence du Pape François et de plusieurs évêques et cardinaux, en partie dirigée par des chamans et dans laquelle des objets symboliques ont été utilisés, notamment une sculpture en bois représentant une femme enceinte déshabillée. Ces représentations sont connues et appartiennent aux rituels indigènes des tribus amazoniennes, et plus particulièrement au culte de la Pachamama, la Terre Mère ; au cours des jours suivants, les statuettes de femmes nues en bois étaient également vénérées dans la Basilique Saint-Pierre, devant la Tombe de Saint-Pierre. Le Pape François a également salué deux évêques portant en procession la « chose » Pachamama sur leurs épaules à l’intérieur de la salle du Synode où elle a été mise à une place d’honneur. Des statues de Pachamama ont également été exposées dans l’église de Santa Maria in Traspontina.
En réponse aux protestations des fidèles catholiques concernant ces rites et l’utilisation de ces statues, les porte-parole du Vatican et les membres des comités du Synode amazonien ont minimisé ou nié le caractère syncrétiste religieux évident de ces statues, mais leurs réponses étaient évasives et contradictoires ; elles n’étaient que des acrobaties intellectuelles et des négations de preuves manifestes.
L’entreprise américaine de visuels de presse « Getty Images » a réalisé une photo de presse officielle de ce rituel en y ajoutant cette description : « Le pape François et le cardinal Cardinal Claudio Hummes, archevêque émérite de São Paulo, président du Réseau Ecclésial Pan-Amazonien (REPAM), se tiennent devant une statue représentant la Pachamama (Terre Mère). Le Père Paulo Suess, participant au Synode sur l’Amazonie, n’a laissé subsister aucun doute sur le caractère païen des cérémonies autour des images en bois dans les jardins du Vatican, et il a même osé saluer ces rites païens, affirmant : “Même s’il s’agissait d’un rite païen, c’est néanmoins un culte païen rendu à Dieu. On ne peut pas rejeter le paganisme comme n’étant rien » (interview du 17 octobre, Vatican News). Dans un communiqué officiel, le 21 octobre, le Réseau ecclésial panamazonien (REPAM) a condamné l’acte héroïque de ces Messieurs qui avaient jeté les images en bois dans le Tibre en le qualifiant d’acte « d’intolérance religieuse ». Ils ont ainsi dévoilé les mensonges et les astuces dont ils se sont servis pour nier le caractère religieux des images en bois vénérées. Les volontaires de l’église carmélite Santa Maria in Traspontina, où les statues en bois étaient exposées, ont corroboré cette affirmation en affirmant : « La mère[sculptée] que j’ai ramenée du Brésil… qui était dans la procession, eh bien, nous l’avons ramenée du Brésil. Elle a été réalisée par un artiste indigène, et nous lui avons demandé une œuvre d’art qui symboliserait toute cette connexion de la Terre Mère, des femmes, l’aspect féminin de Dieu, le fait que Dieu est le protecteur de la vie et celui qui la nourrit. » Elle l’a qualifiée à la fois de symbole de la “« Terre-Mère »et de « Pachamama ».
Des sources objectives notent que la Pachamama est un objet de vénération, une déesse à laquelle certains Boliviens sacrifient des lamas, une divinité terrestre vénérée par certains Péruviens, enracinée dans les croyances et pratiques païennes incas.
3. Les catholiques ne peuvent accepter aucun culte païen, ni aucun syncrétisme entre les croyances et pratiques païennes et celles de l’Église catholique. Les actes d’adoration consistant à allumer une flamme, à s’incliner, à se prosterner ou à s’incliner profondément devant le sol et à danser devant une statue féminine nue, qui ne représente ni la Vierge ni un saint canonisé de l’Église, violent le premier commandement de Dieu : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant Moi » ainsi que l’interdiction explicite de Dieu, qui commande : « … de peur qu’élevant tes yeux au ciel, et y voyant le soleil, la lune et tous les astres, tu ne tombes dans l’illusion et dans l’erreur, et que tu ne rendes un culte d’adoration à des créatures que le Seigneur ton Dieu a faites pour le service de toutes les nations qui sont sous le ciel. » (Dt 4,19), et : « Vous ne vous ferez point d’idoles ni d’image taillée, vous ne dresserez point de colonnes ni de monuments, et vous n’érigerez point dans votre terre de pierre remarquable par quelque superstition, pour l’adorer. Car je suis le Seigneur votre Dieu. » (Lev 26:1).
Les Apôtres allaient même jusqu’à interdire la moindre allusion ou ambiguïté à l’égard des actes de vénération des idoles : « Quel rapport entre le temple de Dieu et les idoles ? » (2 Co 6, 15-16), et “Fuyez l’idolâtrie. Ce que les païens immolent, ils l’immolent aux démons, et non à Dieu. Or je ne veux pas que vous soyez en société avec les démons. Vous ne pouvez pas boire le calice du Seigneur, et le calice des démons. Vous ne pouvez pas participer à la table du Seigneur, et à la table des démons. Voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur ? Est-ce que nous sommes plus forts que lui ? » (1 Co 10, 14, 21-22).
Saint Paul, sans aucun doute, dirait ces mots à tous ceux qui ont participé activement aux actes de vénération des statues de Pachamama, qui symbolisent des choses matérielles ou créées : « Mais maintenant que vous connaissez Dieu, bien mieux, que vous êtes connus de Dieu, comment retournez-vous vers ces pauvres et faibles éléments, auxquels vous voulez de nouveau vous asservir ? » (Gal 4:9). Les païens, en effet, adoraient les éléments comme si c’étaient des êtres vivants. Et en observant les actes religieux syncrétistes ou du moins très ambigus dans les Jardins du Vatican, dans la Basilique Saint-Pierre et dans l’église de Santa Maria in Traspontina, saint Paul dirait : « (eux) qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni dans tous les siècles. »(Rom 1:25).
Tous les vrais catholiques qui ont encore l’esprit des Apôtres et des martyrs chrétiens, devraient pleurer et dire à propos des cérémonies païennes qui ont eu lieu dans la Ville éternelle, en paraphrasant les paroles du Psaume 79:1 : « O Dieu, les nations sont entrées dans ton héritage, ta ville sainte de Rome ; elles ont souillé Rome, elles l’ont réduite à des ruines. »
4. La tradition ininterrompue de l’Église a évité la moindre ambiguïté ou collaboration avec des actes idolâtres. Les explications données par les porte-parole du Vatican et par des personnes liées au Synode sur l’Amazonie pour justifier la vénération religieuse de la figure en bois d’une femme nue enceinte, étaient très semblables aux arguments donnés par les païens à l’époque des Pères de l’Église, comme le rapporte saint Athanase. Athanase a réfuté les pseudo-arguments des païens, et ses réfutations s’appliquent pleinement aux justifications invoquées par les autorités du Vatican. Saint Athanase a dit : « Ils se vanteront d’adorer et de servir, non seulement le bois et la pierre et des formes humaines, des oiseaux irrationnels, des reptiles et des bêtes, mais le soleil, la lune et tout l’univers céleste, et la terre, déifiant ainsi la création » (Contre-Gentiles, 21, 1-3) et : « Ils réuniront tout ensemble, comme constituant un seul corps, et diront que le tout est Dieu » (Contra Gentiles, 28, 2). « Au lieu du vrai, du véritable Dieu, ils ont déifié des choses qui n’étaient pas Dieu, servant la créature plutôt que le Créateur (voir Rom. 1:25), participant ainsi à la folie et à l’impiété » (Contra Gentiles, 47, 2).
L’apologiste du deuxième siècle Athenagoras a parlé de la vénération des éléments matériels par les païens : « Ils déifient les éléments et leurs différentes parties, en leur appliquant des noms différents à des moments différents. On dit que Kronos est le temps, et Rhéa la terre, et qu’elle devient enceinte de Kronos, et qu’elle engendre, d’où elle est considérée comme la mère de tous. Manquant de découvrir la grandeur de Dieu, et ne pouvant s’élever en haut avec leur raison (car ils n’ont aucune affinité pour le lieu céleste), ils se languissent parmi les formes de la matière, et enracinés sur la terre, déifient les changements des éléments » (Apol. 22).
Les paroles suivantes du Deuxième Concile de Nicée s’appliquent pleinement à tous les hommes d’Eglise qui ont soutenu les actes religieux syncrétistes mentionnés ci-dessus à Rome : « De nombreux pasteurs ont détruit ma vigne, ils ont souillé ma part. Car ils ont suivi des hommes impurs et, faisant confiance à leurs propres frénésies, ils ont calomnié la sainte Église, que le Christ notre Dieu S’est donnée à Lui-même, et ils n’ont pas su distinguer le saint du profane, affirmant que les icônes de Notre Seigneur et de ses saints ne sont pas différentes des images en bois des idoles sataniques. »
Comme l’a établi le deuxième Concile de Nicée, l’Église ne permet pas la vénération par des gestes extérieurs de culte tels que s’incliner, embrasser et bénir, d’autres symboles, images ou statues que « les icônes de notre Seigneur Dieu et Sauveur Jésus Christ, celles de Notre Dame la Théotokos, celles des anges vénérables et celles de tout le peuple saint. Chaque fois que ces représentations sont contemplées, elles amèneront ceux qui les regardent à commémorer et à aimer leur prototype. »
5. Ceux qui croient au Dieu Unique et Véritable ont toujours travaillé à l’élimination de l’adoration des faux dieux, en enlevant leurs images du milieu du peuple saint de Dieu. Quand les Hébreux se prosternèrent devant la statue du Veau d’Or – avec les encouragements et la complicité du haut clergé – Dieu condamna de tels actes. Son serviteur Moïse condamna également ces actes d’« accueil et de tolérance » envers les divinités indigènes locales de l’époque, et il réduisit la statue en poudre et la dispersa dans l’eau (voir Ex 32,20). De même, les Lévites furent félicités pour avoir arrêté tous ceux qui adoraient le veau d’or (Ex 32:20,29). A travers les âges, les vrais catholiques ont aussi œuvré pour renverser les « les dominateurs de ce monde de ténèbres » (Ep 6, 12), et la vénération des images qui les représentent.
Au milieu de la consternation et du choc face à l’abomination perpétrée par les actes religieux syncrétistes au Vatican, l’Église entière et le monde entier ont été témoins d’un acte hautement méritoire, courageux et louable de la part de quelques courageux hommes chrétiens qui, le 21 octobre, ont chassé et jeté dans le Tibre les statues en bois idolâtres de l’église de Santa Maria in Traspontina, à Rome. Tels de nouveaux Maccabées, ils ont agi dans l’esprit de la sainte colère de Notre Seigneur expulsant les marchands du temple de Jérusalem avec un fouet. Les gestes de ces hommes chrétiens seront inscrits dans les annales de l’histoire de l’Église comme un acte héroïque qui a rendu gloire au nom chrétien, tandis qu’au contraire, les actes des ecclésiastiques de haut rang qui ont souillé le nom chrétien à Rome, resteront dans l’histoire comme des actes d’ambiguïté et de syncrétisme lâches et perfides.
Le pape saint Grégoire le Grand, dans une lettre à saint Æthelbert, le premier roi chrétien d’Angleterre, l’exhorte à détruire les images idolâtres : « Supprimez le culte des idoles, renversez leurs édifices et leurs sanctuaires » (Bède, Histoire ecclésiastique, Livre I).
Saint Boniface, l’apôtre de l’Allemagne, a abattu de sa propre main un chêne dédié à l’idole Thor ou Donar, qui était non seulement un symbole religieux, mais aussi un symbole de la protection des soldats, de la végétation et même de la fertilité dans la culture autochtone des tribus germaniques.
Vladimir, le premier prince chrétien de Kiev, a fait abattre, démolir et tailler en pièces les idoles en bois qu’il avait lui-même érigées. Quant à la statue en bois du dieu païen en chef, Peroun, il l’a jetée dans le Dniepr. Cet acte de saint Vladimir rappelle l’acte héroïque de ces Messieurs chrétiens qui, le 21 octobre 2019, jetèrent les statues en bois de la culture indigène païenne des tribus amazoniennes dans le Tibre.
Si les actes de Moïse, de Notre Seigneur Jésus-Christ expulsant violemment les marchands du Temple, de saint Boniface et de saint Vladimir avaient eu lieu à notre époque, les porte-parole du Vatican les auraient sûrement condamnés comme des actes d’intolérance religieuse et culturelle, et comme des vols.
6. La phrase du document d’Abou Dhabi, qui se lit comme suit : « Le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains » a trouvé sa réalisation pratique dans les cérémonies du Vatican de vénération des statues en bois, qui représentent des divinités païennes ou des symboles culturels indigènes de fertilité. C’était la conséquence pratique logique de la déclaration d’Abou Dhabi.
7. Compte tenu de ce qu’exige le culte authentique et l’adoration du Dieu unique, la Très Sainte Trinité, et du Christ Notre Sauveur, en vertu de l’ordination qui a fait de moi un évêque catholique et un successeur des Apôtres, et dans une fidélité et un amour véritables envers le Pontife romain, le Successeur de Pierre, et envers sa tâche qui est de présider à la « Cathédrale de la vérité » (cathedra veritatis), je condamne le culte du symbole païen du Pachamama dans les jardins du Vatican in Saint Paul, dans la basilique Saint-Pierre, et dans l’église romaine de Santa Maria in Traspontina.
Il serait bon que tous les vrais catholiques, et d’abord et avant tout les évêques, et aussi prêtres et les fidèles laïcs, forment une chaîne mondiale de prières et d’actes de réparation pour l’abomination de la vénération des idoles en bois perpétrée à Rome pendant le synode sur l’Amazonie. Face à un scandale aussi évident, il est impossible qu’un évêque catholique se taise, cela serait indigne d’un successeur des Apôtres. Le premier dans l’Église qui devrait condamner de tels actes et faire réparation est le Pape François.
La réaction honnête et chrétienne à la danse autour de la Pachamama, le nouveau Veau d’Or, au Vatican, doit consister en une protestation digne, une correction de cette erreur, et surtout en des actes de réparation.
Les larmes aux yeux et avec une douleur sincère au cœur, il faut offrir à Dieu des prières d’intercession et de réparation pour le salut éternel de l’âme du pape François, Vicaire du Christ sur terre, et le salut des prêtres et fidèles catholiques qui ont commis de tels actes de culte interdits par la Révélation divine. On pourrait proposer à cet effet la prière suivante :
« Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, recevez de notre cœur contrit, par les mains de Marie, Mère Immaculée et toujours vierge de Dieu, un acte sincère de réparation pour les actes d’adoration d’idoles et de symboles en bois qui ont eu lieu à Rome, Ville éternelle et cœur du monde catholique, pendant le synode sur l’Amazonie. Répands dans le cœur de Notre Saint-Père le Pape François, des cardinaux, des évêques, des prêtres et des fidèles laïcs, ton Esprit, afin qu’il expulse les ténèbres de leurs esprits, afin qu’ils reconnaissent l’impiété de ces actes qui ont offensé ta Divine Majesté, et qu’ils t’offrent des réparations publiques et privées.
« Répandez dans tous les membres de l’Église la lumière de la plénitude et de la beauté de la foi catholique. Rallumez en eux le zèle ardent à apporter le salut de Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, à tous les hommes, en particulier aux peuples de la région amazonienne, qui sont encore esclaves des choses faibles et périssables que sont les symboles et idoles sourds et muets de la “Terre Mère terre”, à tous les peuples et surtout aux peuples des tribus amazoniennes, qui n’ont pas la liberté des enfants de Dieu, et qui n’ont pas le bonheur indicible de connaître Jésus Christ et de participer en Lui à la vie de votre nature divine.
« Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, qui êtes le seul vrai Dieu, en dehors duquel il n’y a pas d’autre dieu et aucun salut, ayez pitié de votre Église. Regardez surtout les larmes et les soupirs contrits et humbles des petits dans l’Église, regardez les larmes et les prières des petits enfants, des adolescents, des jeunes hommes et des jeunes femmes, des pères et des mères de famille et aussi des vrais héros chrétiens, qui dans leur zèle pour votre gloire et dans leur amour pour la Mère Église ont jeté à l’eau les symboles d’abomination qui la souillent. Ayez pitié de nous : épargne-nous, Seigneur, parce Domine, parce Domine, parce Domine ! Ayez pitié de nous : Kyrie eleison ! »
Une Protestation contre les actes sacrilèges du Pape François
La Pachamama n’est pas une idole ?
Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, recevez de notre cœur contrit, par les mains de Marie, l´Immaculée Mère de Dieu, toujours Vierge, un acte sincère de réparation pour les actes de vénération d’idoles et de symboles en bois qui ont eu lieu à Rome, Ville éternelle et cœur du monde catholique, pendant le synode sur l’Amazonie. Répandez dans le cœur de Notre Saint-Père le Pape François, des cardinaux, des évêques, des prêtres et des fidèles laïcs, votre Esprit, afin qu’il expulse les ténèbres de leurs esprits. Qu’ils reconnaissent l’impiété de ces actes qui ont offensé votre Divine Majesté, et qu’ils vous offrent des actes de réparation, publics et privés.
Répandez dans tous les membres de l’Église la lumière de la plénitude et de la beauté de la foi catholique. Allumez en eux le zèle ardent à apporter le salut de Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, à tous les hommes, en particulier aux peuples de la région amazonienne, qui sont encore esclaves de choses fragiles et périssables que sont les symboles et idoles, sourds et muets, de la “Terre Mère”. Allumez la lumière de la foi dans toutes les personnes, surtout parmi les membres des tribus amazoniennes, qui n’ont pas encore la liberté des enfants de Dieu, et qui n’ont pas le bonheur indicible de connaître Jésus Christ et de participer en Lui à la vie de votre nature divine.
Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, qui êtes le seul vrai Dieu, en dehors duquel il n’y a pas d’autre dieu et aucun salut, ayez pitié de votre Église. Regardez surtout les larmes et les soupirs contrits et humbles des petits dans l’Église, regardez les larmes et les prières des petits enfants, des adolescents, des jeunes hommes et des jeunes femmes, des pères et des mères de famille et aussi des vrais héros chrétiens, qui dans leur zèle pour votre gloire et dans leur amour pour la Mère Église ont jeté à l’eau les symboles d’abomination qui l´ont souillée. Ayez pitié de nous : épargnez-nous, Seigneur, parce Domine, parce Domine, parce Domine ! Ayez pitié de nous : Kyrie eleison ! » Ainsi-soit-il.
Mgr Athanasius Schneider,
Évêque auxiliaire d’Astana (Kazakhstan)
Constat PROLITURGIA
ACTUALITE
“Je vous demande d’importuner vos pasteurs, de nous déranger, nous tous, les pasteurs… ” Pape François
L’ACTUALITE
* * * * NOUVEAU Mercredi, 5 février 2020. Pour de nombreux fidèles « traditionalistes » (nous appellerons ainsi ceux qui sont attachés à la forme « extraordinaire » de la liturgie ou « messe de S. Pie V »), la crise que connaît aujourd’hui l’Église serait due à Vatican II et, plus particulièrement, à la réforme liturgique voulue par Jean XXIII et menée à son terme par Paul VI. « Le missel de Paul VI, voilà l’ennemi », disent-ils en reprenant un vieux slogan qu’on trouvait sur une ancienne affiche vantant les vertus d’un produit désinfectant, l’Anios.
Autrement dit, tout irait mieux aujourd’hui dans l’Église si l’on n’avait pas touché à la liturgie codifiée par S. Pie V à la suite de Trente ; et tout pourrait aller mieux si cette liturgie était restaurée dans les paroisses. Voir les choses de cette façon dénote pourtant d’une certaine méconnaissance des faits. Bornons-nous à n’en citer que trois.
1. La liturgie restaurée à la suite de Vatican II n’a pas été reçue partout de la même façon ni mise en œuvre partout de la même façon avec des moyens identiques. Il est tout à fait légitime de critiquer la « messe de Paul VI », mais à condition d’avoir une vue globale sur la façon dont on la célèbre : une vue qui dépasse l’horizon franco-français. Tous les spécialistes en liturgie reconnaissent que la France est le pays où le concile Vatican II – et par conséquent la liturgie elle-même – a été le moins bien reçu, le moins bien compris et le bien moins appliqué. A peine promulgué, le missel « de Paul VI » a servi de base aux expériences les plus loufoques et les opposées à ce que prescrivait de faire la « Présentation générale du Missel romain ». Aujourd’hui, on trouve encore nombre de prêtres qui n’ont jamais lu cette « présentation » et qui, lorsqu’on la leur montre, s’étonnent de ce qu’on y parle du latin et du grégorien. On ne peut donc pas accuser la liturgie « de Paul VI » d’avoir été à l’origine de la crise qui se joue actuellement dans nos paroisses et nos diocèses.
2. Avant Vatican II et alors que la liturgie « tridentine » était partout célébrée (du moins en principe, car c’est moins évident dans les faits), si la population se déclarait à plus de 95% catholique en France, peu de fidèles étaient pratiquants. Et c’était déjà le cas avant la Révolution de 1789.
En 1826, le nonce apostolique constate que « plus de la moitié de la nation est dans une ignorance complète des devoirs chrétiens et est plongée dans l’indifférence. » Et d’ajouter : « A Paris, un huitième à peine de la population est pratiquante. » S’il existe quelques régions mieux loties que d’autres (l’Ouest, le Nord, l’Est et l’extrême Sud-Est), certains départements sont considérés comme des zones de « totale indifférence religieuse » : la Seine-et-Marne, l’Aube, la Creuse…
A Paris, le nombre d’enfants non baptisés passe de 12% en 1875 à 38% vingt-cinq ans plus tard. Un peu comme aujourd’hui, on passe par l’Église pour les baptêmes, les mariages, les funérailles et éventuellement à l’occasion de Pâques, de Noël et le la Toussaint. On va à la messe des Rameaux pour… avoir un rameau chez soi. Sait-on jamais : ça protège.
Telle est la situation à une époque où Vatican II n’a pas encore eu lieu et où c’est toujours la liturgie « tridentine » qui est célébrée dans les paroisses.
3. Nous abordons là la « fine pointe » du problème. Il faut oser dire que même si Vatican II n’avait pas eu lieu, même si la forme « tridentine » de la messe romaine avait été conservée, la crise aurait eu lieu d’une façon ou d’une autre, sous une forme ou une autre. Pourquoi ? Parce que bien avant le Concile déjà, l’Église comprenait deux catégories de prêtres que nous appellerons, pour faciliter les choses, les « pieux suivistes » et les « silencieux contestataires ».
Or, de ces deux catégories, c’est la seconde qui avait pris les commandes bien avant qu’on ne parle d’un concile. Dans cette catégorie, on trouvait des prêtres pour lesquels la liturgie était pesante ; la célébrer était une corvée dont il fallait s’acquitter au plus vite chaque matin pour quelques fidèles bigots qui émergeaient de leur sommeil. Ces prêtres-là était bien décidés à « bousiller » la liturgie, à la simplifier, à la bâcler. Et ils l’auraient fait de toutes façons, que ce soit avec ou sans le missel « de S. Pie V », avec ou sans le missel « de Paul VI ».
Les « casseurs de liturgie » étaient à l’œuvre bien avant Vatican II et la restauration qui allait suivre : c’est un fait que reconnaissent aujourd’hui tous les historiens, tous les théologiens. Seule particularité : ces « casseurs » avaient su se faire discrets et patelins avant que n’arrive le Concile qui, venant s’ajouter à l’incompétence – ou à une complice indifférence – de l’épiscopat, ne leur donne l’occasion de saccager, grâce à des activités coupées de toute spiritualité, tout ce que l’Église leur demandait de conserver et de transmettre.
Conclusion : contrairement à ce qui est souvent avancé par les « traditionalistes », la crise actuelle n’est pas due à Vatican II et ne relève pas d’une question liturgique.
Elle a sa source dans un clergé dont la formation théologique et liturgique à peine suffisante avant le Concile, est devenue aujourd’hui, à quelques exceptions près, gravement déficiente.
Paul VI n’ignorait pas que la réforme liturgique allait se heurter à l’insoumission des évêques et des prêtres qui étaient restés dociles alors que depuis longtemps déjà ils ne supportaient plus les « corset rituel » de la liturgie, de quelque forme qu’elle soit. Voilà pourquoi le pape, comptant sur l’obéissance et l’intelligence des religieux, avait demander aux contemplatifs (bénédictins, cisterciens…) de conserver la liturgie latine et le chant grégorien. Dans sa Lettre « Sacrificium laudis » du 15 août 1966, il dit à ceux qui réclament l’abandon du latin et par conséquent du chant grégorien : « Dans les conditions actuelles, quelle langue, quel chant pourront-ils remplacer ces formes de la piété catholique que vous avez utilisées jusqu’à maintenant ? Il faut réfléchir et empêcher que naisse une situation pire, une fois que vous aurez rejeté votre glorieux héritage. Il y a, en effet, le danger de voir l’Office choral réduit à une squelettique récitation, dont vous seriez les premiers à éprouver la pauvreté, et qui engendrerait vite l’ennui. » Paul VI ne fit, là encore, ni écouté ni suivi : la majorité des communautés monastiques passèrent aux langues vernaculaires et adoptèrent des schémas liturgiques manquant singulièrement d’unité, de « classe », de cohésion… ce qui ne dérange pas les fidèles qui n’ont pas connu ce qui se faisait « avant ». Voyant la situation se dégrader et devenir incontrôlable, Paul VI écrivit alors personnellement au Père Abbé de Solesmes en lui demandant de faire en sorte que le monastère bénédictin sarthois s’emploie à recevoir et à mettre en œuvre dans une totale fidélité aux enseignements conciliaires la liturgie restaurée. Il fallait, dans la situation d’anarchie qui faisait suite au Concile, que les fidèles puissent trouver au moins un « refuge » où la liturgie restaurée à la suite de Vatican II fut intégralement respectée. C’est ainsi que Solesmes devint, pour beaucoup de fidèles, un point d’ « ancrage liturgique ». Cependant, le fait que les moines continuaient à célébrer en latin et à chanter en grégorien les faisait passer à cette époque, aux yeux de beaucoup qui se réclamaient du Concile sans jamais l’avoir lu, pour des « opposants à Vatican II ». De sorte que les évêques interdisaient même à leurs séminaristes de faire des retraites dans cette abbaye qu’ils qualifiaient de « traditionaliste » comme pour éviter de la dire « intégrisante » (on imagine sans peine ce qu’ils pouvaient penser de Fontgombault !)
Redisons-le : la liturgie n’est en elle-même pas le problème et la célébration de l’Eucharistie selon la forme « extraordinaire » ne saurait être en aucun cas présentée comme la panacée de guérir les paroisses et les diocèses.
Ce qui a été, qui est et qui reste le seul grand problème pour l’Église d’aujourd’hui, c’est la désobéissance des clercs venant s’ajouter à leur absence totale de formation et de spiritualité liturgique et à l’indifférence des fidèles pour lesquels le catholicisme est devenu une religion du sentimentalisme pieux.
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Bonne analyse de départ mais conclusion faussée
Toujours cette aberration de tout ramener à la SEULE MESSE sans s’occuper de la DOCTRINE et de son ENSEIGNEMENT
Toujours cet aveuglement à ne pas voir les textes conciliaires menant vers l’hérésie
Toujours le même aveuglement à ne pas voir certains chapitres du catéchisme comme menant aussi vers l’hérésie
Ce n’est pas le RITE de la messe soit de St Pie V ou rénové et bien appliqué de Paul VI qui changera quelque chose à l’apostasie quasi généralisée actuellement MAIS la rectification des textes conciliaires et du catéchisme qui laissent entendre qu’il y a du bien dans toutes les religions , qui conduisent à des discussions avec les autres religions au lieu de les CONVERTIR
QUAND LES HOMMES DE BONNE VOLONTE AFFIRMERONT DE FACON CLAIRE ET NETTE QUE JESUS CHRIST EST LE SEUL DIEU AU MONDE , TOUT RENTRERA DANS L’ORDRE .
Il deviendra alors logique de célébrer le saint sacrifice de la messe vers le tabernacle en utilisant le latin signe d’universalité de l’Eglise .
Ce n’est pas la liturgie ,aussi bonne soit-elle , qui restaurera l’Eglise ,mais la DOCTRINE enseignant la vraie FOI
La mauvaise messe n’est pas la cause du désastre mais la conséquence de l’abandon de la vraie foi
St Athanase disait à ses fidèles : ” Eux ils ont les lieux (les églises) ,nous , nous avons la FOI ,que vaut-il mieux posséder ,les lieux ou la foi ,la vraie foi absolument ,le lieu est saint quand tout s’y passe saintement” (ce qui sous entend que le lieu est hérétique quand plus rien ne s’y passe saintement)
L’ACTUALITE PROLITURGIA
* * * * NOUVEAU Lundi, 20 janvier 2020. La dernière réunion des membres du bureau de Pro Liturgia, samedi dernier, a permis d’établir un point de situation sur l’Association. Les différents échanges ont permis d’établir le constat suivant :
DESTRUCTION
1. La situation de l’Eglise est plus que tragique. La crise, qui est une crise totale (crise de la spiritualité, de la pratique, des vocations, de la doctrine…), loin de s’atténuer, semble au contraire s’accélérer d’année en année. Malgré l’évidence de la faillite complète de la pastorale menée tambour battant par les états-majors diocésains depuis plus de cinquante ans, les évêques ne semblent toujours pas prendre la mesure de la gravité de la situation et ne semblent toujours pas voir le lien pourtant évident entre l’effondrement programmé de la liturgie, la dislocation du tissu ecclésial et l’effondrement de la foi catholique.
Alors que la déchristianisation atteint désormais des niveaux catastrophiques – dans certaines régions, le christianisme est au bord de l’extinction, les taux de pratique dominicale étant en de nombreux endroits désormais inférieurs à 1% – un tel autisme épiscopal apparaît de plus en plus pour ce qu’il est : un aveuglement criminel et suicidaire.
2. Dans le domaine de la liturgie, il semble qu’il ne soit déjà plus possible, en bien des paroisses, de redresser quoi que ce soit.
L’immense majorité du clergé diocésain, même parmi les plus jeunes prêtres (souvent de bonne volonté), n’a plus aucune idée de ce à quoi doit ressembler une célébration liturgique catholique digne de ce nom. Même les savoirs-faire les plus élémentaires – chanter une préface, se comporter avec dignité durant les offices, aménager avec justesse les sanctuaires dans la conformité aux normes – semblent avoir été complètement oubliés. Le rapport capital entre la foi et le culte n’est plus compris ; partout, le sentimentalisme et l’ignorance crasse détruisent à la racine l’esprit liturgique et rendent illusoire une quelconque restauration, même partielle, d’une liturgie véritable.
Les prêtres et les fidèles qui ont encore une vision claire en matière liturgique sont rarissimes, généralement isolés les uns des autres, et bien souvent condamnés à une attitude proche de la schizophrénie, déchirés qu’ils sont entre leur lucidité ainsi que la conscience qui est la leur de la gravité de la situation et les insipides célébrations auxquelles leur conscience les contraint de pratiquer dans le cadre des « directives pastorales » ou à assister.
3. Dans un contexte aussi délétère – d’autant plus délétère que l’on sait aujourd’hui que l’on ne peut plus guère compter sur un appui des autorités romaines -, les membres de Pro Liturgia auraient toutes les raisons de baisser les bras et d’abandonner la lutte.
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Les membres du bureau de Pro Liturgia ont pourtant décidé de poursuivre le combat, coûte que coûte, vaille que vaille. L’association reçoit régulièrement – et plus encore ces dernières semaines – de nombreux encouragements venant de prêtres, de séminaristes, de religieux, qui ont vu dans l’existence et les publications de l’Association, durant ces trente années d’existence, un soutien moral considérable pour affronter la crise et persévérer dans leur ministère.
De très nombreux fidèles, meurtris par les multiples abus et affadissements liturgiques qui leur sont infligés dimanche après dimanche et célébration après célébration, ont également ont manifesté leur désir de voir l’oeuvre continuer et contribuer ainsi à un renouveau de la vie liturgique dans l’Eglise de France.
Par ailleurs, Pro Liturgia est aujourd’hui quasiment la seule association à défendre activement la vraie « forme ordinaire » du rite romain, telle que voulue par le Concile et le Magistère post-conciliaire, dans la fidélité à la Tradition bimillénaire de l’Eglise. Renoncer signifierait définitivement abandonner 95% de l’Eglise actuelle à un naufrage qui, en l’absence de réelle prise de conscience de la crise liturgique, est inéluctable.
4. La décision de continuer relève donc davantage d’un acte de foi que d’un optimisme irénique que rien, dans la situation actuelle, ne permettrait de fonder.
Afin de poursuivre et même d’intensifier le combat de l’Association en faveur d’une liturgie qui soit digne de la foi chrétienne, une assemblée générale aura lieu dans les prochains mois. Elle sera l’occasion de définir les pistes de réflexion qui permettront de donner à notre Association un nouveau départ.
Il est bien évident, toutefois, que les finalités de l’Association, définies dès 1988 dans la charte de Pro Liturgia (disponible sur ce site) serviront de base à la réflexion commune, ces orientations étant aujourd’hui et plus que jamais d’actualité. Afin de participer à cet effort au service de l’Eglise et de la liturgie romaine restaurée à la suite de Vatican II, nous invitons tous les catholiques – qu’ils soient religieux, prêtres, séminaristes ou simples fidèles – soucieux de l’avenir de l’Eglise à se manifester et à rejoindre notre Association pour continuer le combat à nos côtés.
Georges ALSWILLER
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Les pauvres … , ils se comportent comme les traditionalistes ,ils misent tout sur la LITURGIE ,certes une bonne liturgie conduit à une bonne adoration ,mais conduit-elle à une bonne OBEISSANCE aux dix commandements de Dieu et aux enseignements du CHRIST , dont le principal enseignement ,le nerf de la guerre ,si l’on peut dire c’est : “NUL N’IRA AU PERE SANS PASSER PAR MOI”
La messe comporte deux parties qui toutes les deux obéissent aux deux ordres que le Christ a donné à ses disciples :
* ALLEZ ENSEIGNER TOUTES LES NATIONS ,ET BAPTISEZ LES AU NOM DU PERE ,DU FILS ET DU SAINT ESPRIT
Cette première partie ,c’est la vocation missionnaire de l’Eglise au sein des nations ,mais aussi au sein du camp chrétien et en particulier ,pendant la messe avec la lecture de l’épitre retraçant l’enseignement des premiers apôtres et la lecture de l’évangile reprenant les propres enseignements du CHRIST ,les deux lectures devant servir de support à l’homélie du célébrant en vue de l’édification des fidèles .
Et puis pour bien marquer notre appartenance au Christ ,fils de Dieu et Dieu Lui même ,il faut que les personnes prétendant adorer Dieu se fassent baptiser en reconnaissant l’existence de Dieu dans les trois personnes de la Sainte Trinité
* FAITES CECI EN MEMOIRE DE MOI
Cette deuxième partie ,c’est l’adoration pure de Jésus à travers le don de Sa Personne et de son Sang célébrant la victoire sur les forces des ténèbres .
Que ce soit chez les tradis ou dans le mouvement PROLITURGIA ,la deuxième partie de la messe est correctement prise en compte et célébrée ,mais curieusement la première partie est négligée ou inexistante ,fade ,insipide ,affabulatrice ou déformatrice des enseignements du Christ , les clercs pensant plus à faire venir les fidèles vers EUX qu’à les faire aller vers DIEU.
AUCUN MOUVEMENT A L’INTERIEUR DE L’EGLISE N’ARRIVERA A RESTAURER CELLE CI SANS REAFFIRMER LA PREMIERE DE TOUTES LES VERITES QU’EST L’ADHESION INTEGRALE AUX ENSEIGNEMENTS DU CHRIST SEUL DIEU
Il est totalement vain d’adorer Dieu dans une bonne messe version tradi ou version proliturgia si cette messe ne comporte pas un bon enseignement conduisant les fidèles vers la vérité leur évitant tout péché
Comme il serait totalement vain de faire un bon enseignement en négligeant ou en travestissant l’adoration dans des cérémonies FOLKLORIQUES ou totalement protestantisées
Les deux ordres donnés par le Christ à ses disciples sont indisociables car complémentaires ,les deux ne font qu’UN ,faire correctement l’un et négliger l’autre c’est ne RIEN FAIRE
Le 21 décembre, dans son discours de Noël, Bergoglio a dit: « Nous ne sommes pas dans une culture chrétienne, plus maintenant ».
https://gloria.tv/post/smTdun86MBT33wAcp9gJ1ReHL
MAIS « Qu’est-ce que la « culture chrétienne » aujourd’hui selon la bien-pensance ?
Ne plus vouloir convertir ni juifs ni musulmans.
Accepter au nom de l’amour que des personnes homosexuelles pratiquent l’acte de chair abominable.
Se forcer à « vivre ensemble » avec des gens qui nous haïssent en tant que (en théorie) nous croyons et rendons culte à Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Participer à des processions idolâtres.
Applaudir une gamine de 15 ans, lgbtiste et antifa, qui bave sur la civilisation occidentale « pollueuse et raciste ».
Applaudir à l’oeuvre humaniste de féministes avorteuses.
Remplacer nos crucifix « ringards » par des croix en forme de faucille et de marteau ou avec un gilet de sauvetage dessus.
Placer sur un meuble le buste de Luther, « le remède pour l’Eglise ».
Accepter, non, désirer une immigration mahométane de plusieurs dizaines (centaines) de millions d’hommes jeunes auxquels on ne cesse de rabâcher que les blancs sont colonialistes racistes et leurs femmes des nymphomanes en puissance.
Agir selon sa conscience et faire, non ce qui est Bien, mais ce qui nous semble « bien ».
Se flageller chaque jour de notre Histoire missionnaire, croisée et civilisatrice.
Croire qu’un Dieu existe, et peu importe de quelle religion nous sommes
Croire que ce Dieu n’est pas catholique
Voilà l’aboutissement de 50 ans de REVOLUTION dans l’EGLISE, la messe qui tourne le dos au tabernacle (Jésus Tabernacle disait le Saint curé d’Ars ) a produit tous ses effets
Paul VI avait commencé par déposer la Tiare (symbole d’autorité) et rendre aux musulmans les drapeaux que nous leur avions pris lors de la bataille de Lépante
Jean Paul II organisa la sulfureuse réunion de toutes les religions à Assises puis pour bien prouver que toutes les religions sont bonnes ,10 ans plus tard il embrassa un coran
Benoit XVI ne remit rien en question il était donc logique que nous arrivions à François
la destruction actuelle de l’Eglise selon PROLITURGIA
L’ACTUALITE
* * * * NOUVEAU Lundi, 23 décembre 2019. La façon dont les célébrants massacrent la liturgie ou, dans le « moins pire des cas », la négligent, ne date pas d’aujourd’hui et n’est pas imputable à la réforme liturgique voulue par le concile Vatican II.
Quand la liturgie romaine dite « tridentine » était alors la seule en usage dans nos paroisses, les prières de l’Offertoire et du Canon étaient « dites » à voix basse. La liturgie prévoyait alors des gestes qui se répétaient. C’était, par exemple, le cas des signes de Croix sur l’Hostie et sur le Calice : « Hostiam puram, + Hostiam Sanctam, + Hostiam Immaculatam, + Panem Sanctum, + Vitae aeternae, + et Calicem Salutis perpetuae ». Entre chaque expression, les rubriques prévoyaient un signe de croix tracé par le célébrant, sur l’Hostie et sur le Calice. Or, dans une grande majorité des cas, ces signes de Croix, au lieu de permettre au prêtre de marquer une courte pause pour lui permettre de se pénétrer du Mystère qu’il célébrait, se transformaient en une « course contre la montre » : des signes de croix tracés à toute vitesse, faisant penser que le prêtre était en train de « chasser les mouches », comme disaient certains. D’où la réflexion de nombreux prêtres de l’époque (qui avaient déjà perdu le sens du sacré) : « Pourquoi tous ces signes de croix mal faits ? Ne vaudrait-il pas mieux en faire un bien fait, que cinq mal faits ? » Mais qu’est-ce qui empêchait ces prêtres de faire ces signes de Croix correctement, avec recueillement avec piété ? Personne.
On comprend qu’avec la possibilité de prières plus « brèves » et de rites « abrégés », le choix de nombreux prêtres qui ne se posaient pas de questions soit allé au plus facile. Si dans la Messe « tridentine », le fidèle ne pouvait pas se rendre compte de la manière avec laquelle les prières étaient « récitées » – et parfois « bâclées » – par le célébrant, avec le Nouvel Ordo, tout est dit à voix haute et tout est fait « face au peuple » : rien, en principe, ne devrait donc échapper aux fidèles. Or, c’est exactement le contraire qui se produit : tout échappe aux fidèles qui, ayant perdu le sens de la liturgie, ne font plus attention à la façon dont les célébrants – fussent-ils évêques – traitent les rites qui sont l’expression du sacré et forment ensemble le culte dû à Dieu.
Quelle mouche pique donc les prêtres, pour qu’ils traitent la Messe avec une telle désinvolture ? Avec une telle insouciance et un tel mauvais goût ? Peuvent-ils se pénétrer des paroles qu’ils prononcent ? Des gestes qu’ils font ? Sûrement pas si l’on prend en compte le décalage existant entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font. Le célébrant qui dit : « Il prit le pain, le donna à ses disciples en disant ceci est mon corps livré pour vous faites ceci en mémoire moi… » sans être gêné de célébrer sur un autel-caisse ou sur une table construite avec des restes d’un ancien confessionnal ou encore sous le chapiteau d’un cirque… Ce célébrant-là a un très sérieux problème avec ce qui fait l’essence de son ministère sacerdotal. Il dit s’adresser au Dieu trois fois saint – « Sanctus, Sanctus, Sanctus » – alors que tout dans ses gestes, ses attitudes et son chant, ses mimiques, révèle une inconvenance manifeste.
Parler à Dieu ? Agir « in persona Christi » ? Qui peut le croire en voyant le célébrant se tourner vers les fidèles pour présenter tour à tour l’hostie et le calice tout en prononçant (de mémoire pour bien montrer que lui, il sait) les paroles sacrées de la Consécration ? Quel est le résultat de ces simagrées pseudo-liturgiques ? D’une part, la désacralisation de la célébration et, d’autre part, la diffusion de l’idée que ce sont les fidèles qui, par leur assentiment, interviennent dans le processus de consécration du pain et du vin.
A la décharge de ces prêtre qui ne respectent pas la liturgie, il faut dire que la majorité d’entre eux n’a reçu aucune formation solide leur permettant de se rendre compte de qui se passe à la Messe, de ce que le Christ entend réaliser par leur ministère sacerdotal.
La désinvolture déconcertante qu’affichent certains célébrants au détriment du caractère sacré du Mystère qu’ils sont censés célébrer fait que les fidèles qui aimeraient participer à des messes simplement « normales » ne savent plus où aller et finissent par rester chez eux le dimanche venu.
Si nous n’avons pas à juger les ministres de l’autel, pour autant nous ne pouvons pas rester sans rien faire et assister de façon résignée à cette forme d’apostasie galopante qui, que ce soit par ignorance ou mauvaise volonté affichée de nos pasteurs, prend des proportions alarmantes au sein-même de nos paroisses.
FRANCOIS LE MONDIALISTE CONSEILLE PAR UN MEMBRE DU BILDERBERG
Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer vers une société globale sans nations souveraines ?
« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans barrières et sans frontières. »
Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour 2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande
« si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros, le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs : un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »
Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland.
Irlandais, juif de mère, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum) et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de “père de la mondialisation”. Actuellement directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs, depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…
Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment abandonné aucune de ses charges.
Peter Sutherland, analyse Blondet
« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »
Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance économique. »
Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».
Ainsi commente Maurizio Blondet
« c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme mondialiste financier ; pour lequel les “homogénéités”, c’est-à-dire les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce que le consommateur global type doit être littéralement “sans identité”, sans communauté, “ouvert” aux “expériences”, cosmopolite, nomade, sans “tabous”, sans “préjudices” (et sans scrupules), de sexe variable. »
Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste italien
« un “mépris” pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage le pape François lorsqu’il affirme que “les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants”, évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture. »
Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet
« l’”homogénéité” culturelle est un fastidieux lien qui “résiste” à l’”intégration” sans limites, un “manque de charité” envers “l’accueil”. Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines mains, l’”homogénéité” nationale d’un peuple est comparée à un mal moral, et ce sera un mal de la sauvegarder. »
Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile, la Commission Catholique pour les Migrations !
On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants, aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation, c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…
Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du « vivre-ensemble » !
Francesca de Villasmundo
Jean Paul II avait déjà bu le kawa avec les sorciers vaudous ,reçu le signe du tilac par une initiée hindoue ,embrassé le coran etc , et ça n’a interloqué personne ,pire ,ce personnage a été déclaré SAINT par ceux qui aujourd’hui crachent sur Bergoglio.
Pour avoir confiance dans ces hommes qui actuellement versent des larmes de crocodiles sur l’Egise , il faudra qu’ils soient logiques jusqu’au bout ,sinon aucune restauration véritable de l’Eglise ne pourra intervenir
Saint Jean-Paul II n’a rien voulu faire d’autre en ces situations que recevoir les signes d’hospitalité qui lui étaient offerts en la culture de ses hôtes, lesquels ne pouvaient encore lui manifester autrement leurs bienveillants sentiments. Il faut distinguer ce qui est culturel de ce qui est cultuel.
Cher Monsieur l’Abbé, avec tout le respect que je vous dois, je ne suis pas d’accord avec votre réponse. Il y a en tout premier lieu cette réplique de Jésus adressée aux scribes qui reprochent à ses disciples de ne pas suivre aveuglément une tradition ‘culturelle’ : ”Pourquoi tes disciples violent-ils la tradition des anciens ? Car ils ne lavent pas leurs mains lorsqu’ils mangent du pain. Mais Jésus leur répondit : Et vous, pourquoi violez-vous le commandement de Dieu à cause de votre tradition ?” (Mt 15, 1) Et puis, encore plus grave, car c’est un commandement divin : ”Et il leur dit : Allez dans le monde entier, et prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé, sera sauvé ; mais celui qui ne croira pas sera condamné.” (Mc 16, 15-16) N’est-ce là la toute première mission d’un pape, montrer la SEULE voie à suivre aux clergé et aux laïcs ?
Si vous le pouvez, M. l’abbé, citez-nous une SEULE occasion, ou une SEULE parole d’exhortation à la conversion de Jean-Paul II lors des nombreux voyages, en tant que VICAIRE du Christ, qui aurait condamné l’adoration des idoles, le retour à Dieu et le SEUL baptême pour être sauvé, sinon il y aura la condamnation éternelle. J’ai 75 ans et je suis témoin de Vatican II et de tous les voyages des papes à travers le monde (comme celui-ci en Amazonie, la somme de toutes les hérésies), pas une SEULE fois. Pas une SEULE parole. Tout au contraire, combien de fois a-t-on assisté aux orgies idolâtres d’Assise et d’ailleurs… tous les messages sont clairs : toutes les religions du monde conduisent au Ciel.
Je ne crois pas en la ‘’sainteté’’ de Jean-Paul II.
Mes amitiés.
Voilà : “Je ne veux pas dire avec cela que la voie de la conversion est facile. Chacun sait combien il est difficile de reconnaître ses propres erreurs. On est en effet prêts à chercher toutes les raisons possibles pour ne pas les admettre. Mais, de la sorte, on ne fait pas l’expérience de la grâce de Dieu, de son amour qui transforme et rend concret ce qui apparemment semble impossible à obtenir. Sans la grâce de Dieu, comment peut-on entrer au plus profond de soi-même et comprendre le besoin de se convertir ? (Aux jeunes du diocèse de Rome, 25 mars 1999, Solennité de l’Annonciation) Si vous cherchez bien, vous en trouverez encore beaucoup d’autres.
Votre silence en dit long ,quand vous dites qu’il y a d’autres exemples de discours de Jean Paul II appelant à la conversion et au baptême des pratiquants des autres religions ,en fait je suis au regret de vous dire que , VOUS MENTEZ , il n’y en a PAS.
L’exemple que vous citez est une tromperie puisqu’il s’adresse à des chrétiens ,dont il ne sait même pas répondre correctement à leurs trois interrogations alors qu’il avait là une occasion en or d’affirmer la supériorité de la religion du Christ sur toutes les autres religions pour obtenir la PAIX dans le monde.
Votre aveuglement vous pousse à voir ce que vous voulez voir et à ne pas voir ce que vous ne voulez pas voir. Je me rappelle que jusqu’à son assassin, Ali Agça, saint Jean-Paul II a demandé de se convertir lorsqu’il est allé lui rendre visite en prison … aux mafieux … mais surtout, saint Jean-Paul II a rappelé le devoir missionnaire des chrétiens à plusieurs reprises (par ex. Redemptoris missio ; Christifideles Laïci, etc.) Si le Pape demande aux chrétiens d’être missionnaires, comment nier qu’il le soit alors lui-même ? Vous me faites de plus en plus honte.