“La plupart des musulmans ont pour fonds de commerce le culte du ressentiment, le désir de vengeance, et la jalousie suscitée par les réussites des pays occidentaux. Ils se persuadent que leur situation d’infériorité fait d’eux d’innocentes victimes persécutées par les ennemis d’Allah. Ils refusent de reconnaître qu’historiquement l’islam n’a jamais rien apporté d’autre que la guerre et la barbarie, et que, théologiquement, il ne peut que s’identifier à l’Antichrist* (Mt 24.4,11,24 ; Jn 16.2 ; Ga 1.8-9 ; 2 P 2.1-3 ; 1 Jn 2.22-23 ; 4.2-3). En attendant le retour du Christ, Satan transforme ces pauvres gens en instruments de haine pour ajouter au malheur du monde, et leur préparer une place avec lui en Enfer. La cruauté du terrorisme islamique n’est pas due à une prétendue frustration venant des inégalités entre pays pauvres et pays riches, entre Arabes et Occidentaux, comme le prêchent, imbus de culture marxiste, les aveugles volontaires qui nous gouvernent, aussi vrai qu’il ne manque pas de gens et de pays pauvres qui ne s’imaginent pas pour autant devoir recourir au terrorisme, et que nombre d’auteurs d’attentats sont de condition sociale aisée et cultivée (Cf. les attentats à Glasgow en 2007, ou à Dacca en 2016), mais bien à l’enseignement d’Allah et de son envoyé. Le terrorisme islamique est l’outil de combat de l’islam dans sa lutte pour la conquête des territoires non encore soumis à son autorité, et le système démocratique permettant la libre expression est sans nul doute son moyen de diffusion le plus efficace en Occident. (Extrait de Abbé Guy Pagès, Interroger l’islam, DMM, 2020)
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