Journaliste : Qui a autorisé cela ?
- D’après Ahmed Ben Younès : «Aucune peine pour celui qui a des relations sexuelles avec un animal.» Mais d’après Abou Dawoud et Ishaq, le hadith est plus authentique que celui qui interdit la zoophilie. Sunan Abi Dawood (4465) ; Jami’ At-Tirmidhi (1455).
- Après l’acte, certains savants préconisent de tuer l’animal pour éviter que celui-ci donne naissance à une créature mi-homme mi-animal … Explication de sunan Ibn Majah Al Qazawini, pg 119.
- “Si l’animal donne naissance à un humain, celui-ci appartient au propriétaire de l’animal.” Nihayat almuhtaj, pg 238.
- “Il est obligatoire d’effectuer les grandes ablutions (ghusl) après avoir eu des relations sexuelles avec l’animal vivant ou mort.” Al-Kafi fi fiqh l’imam Ahmad Ibn Hanbal, v 1, pg 108 ; Explication Sahih Muslim (Al-Nawawi), v 1, pg 41.
- “Si une femme utilise le pénis d’un mort ou celui d’un animal pour avoir des relations sexuelles, elle doit effectuer les grandes ablutions (ghusl).” Kitab almajmue (Al-Nawawi), v 2, pg 151.
Cette profonde science, apanage indiscutable de la communauté musulmane, lui permettant d’ordonner le bien et d’interdire le mal (Coran 3.110 ; 2.143), ne cesse pas de susciter des savants, tels l’Ayatollah Khomeiny, qui a su combler d’insupportables lacunes du Coran en enseignant : « Si on commet un acte de sodomie avec le bœuf, le mouton ou le chameau, leur urine et leurs excréments deviennent impurs et leur lait n’est plus consommable. » ; « L’homme qui a éjaculé par suite d’un coït avec une femme autre que la sienne et qui éjacule à nouveau en faisant le coït avec sa femme légitime, n’a pas le droit de faire ses prières s’il est en sueur ; mais s’il fait d’abord le coït avec sa femme légitime et ensuite avec une femme illégitime, il peut faire ses prières même s’il est en sueur. » (Principes politiques, philosophiques, sociaux et religieux de l’Ayatollah Khomeiny, Textes choisis et traduits du persan par Jean-Marie Xavière, éditions Libres-Hallier, 1979, p.164, n°61,23)
Comment une religion proposant la fornication comme récompense céleste et suprême béatitude (Coran 36.56 ; 37.48 ; 44.54 ; 52.24 ; 55.54-76 ; 76.19), pourrait-elle engendrer autre chose que des obsédés sexuels ?
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