Mesdames et Messieurs, je m’interroge sur la possibilité pour la société civile à vouloir la protection des droits humains et en même temps à accepter la diffusion d’un enseignement pour lequel les hommes et les femmes ne sont pas égaux (4.38), les musulmans supérieurs aux autres hommes (3.139), et l’esclavage de droit divin (4.3,24,25,36,92 ; 16.71,75,76 ; 30.28).
La société dépend directement de l’idée qu’elle se fait de Dieu, car l’homme s’y construit à son image. Parce qu’Allah n’est pas lié à la rationalité, son invocation sert à justifier l’arbitraire. Aussi l’islam exige-t-il en conséquence une aveugle sujétion et engendre-t-il nécessairement des relations humaines à leur tour irrationnelles, basées sur des rapports de force et de soumission servile, d’humiliation et d’oppression, de souffrance et de révolte. Raison pour laquelle la seule forme de gouvernement possible d’une société musulmane est la tyrannie. A l’inverse, les Droits de l’homme découlent de l’enseignement de Jésus qui a révolutionné le rapport dominant/ dominé : « Si Moi, le Seigneur et le Maître, Je vous ai lavé les pieds, vous devez vous aussi vous laver les pieds les uns aux autres. » (Jn 13.14-15 ; cf. Mc 10.43-45), à l’inverse,
Jésus a libéré l’humanité de la prétention à établir sur terre la société parfaite en enseignant que son Royaume n’est pas de ce monde, parce qu’il est de Dieu, et que Dieu n’est pas de ce monde (Jn 18.36). En conséquence, Il ne promet pas à ses disciples de voir Dieu régner ici-bas (Jn 22.29). Mais les musulmans continuent à croire, en dépit du fait que depuis quatorze siècles l’islam n’a conduit aucune société au bonheur, que l’instauration de la charia leur est demandée pour qu’advienne sur terre le monde parfait. D’où le devoir du jihad qui s’impose à tout musulman. Comment parler d’éducation aux droits humains et tolérer l’enseignement divisant l’humanité entre musulmans et non-musulmans : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! » (Coran 60.4). Voilà pourquoi les musulmans se croient obligés de réclamer des régimes d’exception : ils ne doivent point se mélanger aux non-musulmans qu’ils considèrent impurs (9.28-29)… Hassan II, Roi du Maroc et Commandeur des Croyants prévenait ainsi les Français : « N’essayez pas de faire des Français avec des musulmans, vous n’y arriverez pas. Vous ne ferez que de mauvais Français et de mauvais Musulmans. ».[1] Pourquoi nos hommes politiques se refusent-ils à entendre une telle mise en garde ? Salut et Miséricorde demande à l’OSCE d’attirer l’attention des Etats sur le danger que représente l’enseignement de l’islam pour l’avenir des droits de l’homme en Europe. Je vous remercie de votre attention.
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