J’apprends d’un jeune catholique belge la tenue d’une exposition de photographies intitulée « Famille aux mille visages » en laquelle sont présentées des « familles homoparentales » en la cathédrale de son diocèse, Liège, du 21 septembre au 13 octobre « dans le sillage d’Amoris Laetitia ». C’est pourtant en ce lieu plus qu’en tout autre de cette région que devrait se manifester la vie des saints chez qui, selon saint Paul, ne sont pas même nommées « la fornication et l’impureté sous toutes ses formes (Ep 5.3) ».
L’événement consonne cependant avec la récente publication par le primat de Belgique et de quelques autres évêques belges d’un rituel de bénédiction de « couples homosexuels ». Ce jeune homme écrit : « À présent, nos évêques font la promotion de l’homoparentalité. Il n’y a pas si longtemps, les églises étaient taguées avec des slogans LGBT. Maintenant, les autorités ecclésiastiques dénoncent des “vandalismes homophobes”1 . J’ai de plus en plus de mal à me reconnaître dans cette frange moderniste de l’Église. Je me demande parfois si les sacrements, particulièrement celui de l’absolution, donnés par de tels clercs sont encore valides. » La question ne manque pas de pertinence, car s’il ne faut « point avoir de relations avec celui qui, portant le nom de frère, est impudique (…) et de ne point même manger avec lui. (1 Co 5.11) », à combien plus forte raison est-il alors impossible de partager avec lui les sacrements de l’Église. Si l’officiant appartient à une « Église » qui bénit les couples homosexuels, comment pourrait-il appartenir à l’Église catholique, dont la Congrégation pour la Doctrine de la Foi vient encore récemment de rappeler (21.02.2021) le caractère peccamineux des relations homosexuelles ? « Quand l’Église célèbre les sacrements, elle confesse la foi reçue des Apôtres (CEC 1124) », et les Apôtres ont toujours condamné la pratique de l’homosexualité. Cependant, comme les sacrements ne sont la propriété d’aucun particulier, mais des dons de Dieu, de Dieu qui est capable de Se servir même d’instruments inadéquats pour réaliser Ses chefs d’œuvres de grâce. Jésus peut Se servir de tout homme, même non-baptisé ou incroyant, pour donner validement le baptême, du moment que ce dernier veut bien rendre service, et accomplir sérieusement le rite (comme le faisaient jadis médecins et sages-femmes). Ainsi, un prêtre dont on sait qu’il n’a pas la foi peut célébrer la messe ou absoudre validement. Mais s’il infirme le rite au moment où il l’accomplit (en disant par exemple « Bien sûr, mes amis, ce que je suis en train de faire n’est qu’un symbole ») ou bien s’il se moque (messe de clowns), le rite posé perd sa signification et donc sa validité, car un sacrement est par définition “un signe qui réalise ce qu’il signifie“, et ne réalise donc pas ce qu’il ne signifie pas. Un prêtre qui ne croit pas au péché est scandaleux et doit être fui, sauf nécessité de salut (urgence de se confesser pour ne pas rester en état de péché mortel). L’absolution donnée par une prêtre validement ordonné, mais hérétique, apostat, etc., est donc valide s’il utilise le rite de l’Église, lequel donne la grâce ex opere operato (c’est à dire : de par l’action opérée), car le fait que le prêtre utilise le rite montre qu’il a l’intention de faire ce que fait l’Eglise, même s’il n’y croit pas : c’est le grand principe de l’objectivité des sacrements.
Outre le fait qu’en utilisant les catégories homosexuel/hétérosexuel, ces évêques valident la vision de l’humanité propre au lobby LGBTQ, et détruisent ainsi l’ordre naturel fondé sur la distinction homme/femme, je ne sais pas s’ils ont perçu toutes les conséquences de leur initiative, dont l’une d’elles est de rendre désormais impossible la condamnation de l’adultère et de la fornication … À moins de considérer la relation homosexuelle comme relevant d’un autre ordre que celui de la morale commune, et ses adeptes, d’une génération supérieure, au-delà du bien et du mal … Il faut dire que le Pape François a ouvert le chemin à ces évêques en n’invitant pas les homosexuels à quitter leur péché mais à se contenter du mariage civil à la place du mariage sacramentel (15 septembre 2021), et en permettant à des couples vivant dans « une situation objective de péché » de recevoir « l’aide des sacrements » (Amoris laetitia n°305 & note 351) … Saint Jean-Baptiste, priez pour nous ! Mais il est vrai que si tout le monde va au Paradis, comme l’a encore affirmé le Pape François, rien n’est finalement si grave qu’il faille prendre la peine de se mettre le monde à dos en s’opposant au péché pour sauver les âmes. Les jeunes gens belges qui voudront désormais devenir prêtre, sachant qu’il leur faudra bénir des couples homosexuels, vont-ils persévérer dans leur vocation, ou bien s’enfuir à toutes jambes du séminaire pour sauver leur âme ?2 Ainsi conduite l’Église ne peut que logiquement se vider des catholiques pour se remplir d’homosexuels trouvant encore un intérêt à se prétendre catholiques.
Me revient en mémoire la vision prophétique de sainte Catherine Emmerich : « Je vis les manquements et la décadence du sacerdoce, ainsi que leurs causes. Je vis les châtiments qui se préparent. […] J’ai eu une vision touchant les fautes innombrables des pasteurs et l’omission de tous leurs devoirs envers leur troupeau. […] Les ecclésiastiques étaient de ceux qui ont pour principe ‘Il faut vivre et laisser vivre. Il ne faut pas à notre époque affecter de se tenir à part ni faire le misanthrope : il faut se réjouir avec ceux qui se réjouissent.’ […] Je vois une quantité d’ecclésiastiques frappés d’excommunication, qui ne semblent pas s’en inquiéter ni même le savoir. Et pourtant, ils sont excommuniés, quand ils prennent part à des entreprises, qu’ils entrent dans des associations et adhèrent à des opinions sur lesquelles pèse l’anathème. […] Je vis des choses déplorables […] dans l’église, en un mot on y commettait toutes sortes d’abomination. Les prêtres laissaient tout faire et disaient la messe avec beaucoup d’irrévérence. J’en vis peu qui eussent encore de la piété et jugeassent sainement les choses. […] Il me fut aussi montré qu’il n’y a presque plus de chrétiens dans l’ancien sens du mot. Cette vision m’a remplie de tristesse. Je vis dans l’avenir la religion tombée très bas et se conservant seulement par endroits dans quelques chaumières et dans quelques familles que Dieu a protégées … »
Certes, ces prélats peuvent tenter de cacher leur sacrilège en disant que cette bénédiction n’est pas un sacrement, mais ils ne peuvent cacher que Dieu ne bénit pas, ce que, du livre de la Genèse à celui de l’Apocalypse, Il n’a cessé de condamner (Gn 19, 1-29 ; Lv 18.22 ; Mt 10.15; 11.23; Rm 1, 24-27 ; 1 Co 6.9-10 ; 1 Tm 1.10 ; Ap 22.15). Leur compromis avec le péché, qu’ils encouragent ainsi, a été dénoncé par cette prophétie de Notre Dame d’Akita : « L’action du diable s’infiltrera même dans l’Église, parce qu’elle sera pleine de ceux qui acceptent les compromis. » Si donc le Pape n’excommunie pas ces prélats, l’Église se videra des quelques catholiques qui restent et se remplira d’homosexuels (et de ceux qui, ne dénonçant pas leur péché, le partagent), qu’elle continuera de conduire en Enfer. Alors Dieu pourra châtier le monde comme Il l’a annoncé en détruisant Sodome et Gomorrhe (Gn 19.24 ; Lc 17.28-29 ; 2 P 2.6 ; Jude 1.7), et comme la Vierge à Akita nous en avertit : « Si les hommes ne se repentent et ne s’améliorent pas, le Père infligera un châtiment terrible à l’humanité entière. Ce sera alors un châtiment plus grave que le déluge, tel qu’il n’y en a jamais eu auparavant [Bonjour le conflit OTAN/Russie !]. Un feu tombera du ciel et anéantira une grande partie de l’humanité, les bons comme les méchants, n’épargnant ni les prêtres ni les fidèles. Les survivants se trouveront dans une telle désolation qu’ils envieront les morts. Les seules armes qui resteront alors seront le Rosaire et le Signe laissé par le Fils. Récitez chaque jour les prières du Rosaire. Avec le Rosaire, priez pour le Pape, les Évêques et les prêtres. » Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !
Abbé Guy Pagès, en la fête de Notre Dame du Rosaire, 2022
PS : Je demande le soutien de la prière de mes lecteurs à l’occasion de ma très prochaine comparution devant le Tribunal de Paris où me conduisent des associations LGBTQ pour que j’y réponde de l’accusation d’« Injure publique, provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre (…) » en raison de ce tweet que j’ai posté avant la Gay Pride parisienne de 2019 : « Les catholiques ne doivent pas soutenir ni assister aux événements du « Mois de la fierté » des LGBTQ. Ils promeuvent une culture et encouragent des activités contraires à la foi et à la morale. Ils sont particulièrement nocifs pour les enfants. » Le talentueux avocat Jérôme Triomphe a accepté d’assurer ma défense, et la très méritoire association AGRIF prend en charge les frais de cette folie, en sorte que c’est à elle à qui vous voudrez bien adresser vos dons si vous souhaitez m’aider à supporter les frais de ce procès. D’avance je vous en remercie.
PS : On peut aujourd’hui, dans l’Église qui est en France, être ouvertement homosexuel et être à la tête d’un établissement d’enseignement catholique… mais moi je ne voudrais pas être à la place de l’évêque d’Evry au jour de son jugement.
- Cette exposition a donné lieu à une réaction sans doute inspirée de Jésus chassant les marchands du Temple (Jn 2.16-19), mais qui a été condamnée par l’évêché. Le photographe a déposé plainte pour vandalisme « avec circonstance aggravante d’homophobie ». On ne rigole pas avec ce qui est sacré ! [↩]
- Et ce n’est certainement pas à l’Institut catholique de Belgique qu’ils vont pouvoir trouver leur chemin puisqu’il est désormais dirigé par un musulman ! [↩]
Ma petite-fille (en Belgique) m’a un jour appris qu’elle avait participé à une sorte de cérémonie religieuse avec sa classe et qu’on lui avait servi une hostie … verte.
Je n’ai pas eu plus d’information à ce sujet.
L’hostie verte c’est la symbolique de la nature ,de “mère gaïa” intronisée officiellement au Vatican par Bergoglio lors d’une cérémonie blasphématoire ça fait trois ou quatre ans .
La préservation de la nature, vue sous l’angle de “mère gaïa” c’est du paganisme pur et dur voire même de l’ésotérisme en lien direct avec le club des mondialistes de Soros et de Klaus Schab du forum de Davos
Cette préservation de la nature qui en soit n’est pas un mal ,est détournée pour des buts politiques de domination du monde par une élite pédo sataniste qui veut contrôler les humains par un méga PASS qui rassemblerait un pass écologique ,un pass sanitaire et un pass bancaire dans une même carte ou dans une même puce RFID que chaque personne devra posséder pour acheter ou pour vendre ,c’est à dire pour avoir droit de VIVRE
Ceci nous amène tout droit dans ce qui est écrit dans l’apocalypse de St Jean et ce avec la grande complicité de la tête de l’Eglise
UNE EGLISE EN FIN DE VIE
Un évêque hollandais dit que “Dieu est hors du cadre de cet IGNOBLE procès synodal”
« Les contours du processus synodal deviennent de plus en plus clairs. Il fournit un porte-voix pour les points de vue non religieux… Ce que le document de travail semble suggérer, c’est de compiler une liste de griefs et d’en discuter ensuite. Mais la mission de l’Église en est une autre. Il ne s’agit pas d’examiner toutes les opinions et de parvenir ensuite à un accord. Jésus nous a commandé autre chose : proclamer la vérité… À ce jour, le processus synodal ressemble à une expérience sociologique qui n’a que peu à voir avec l’Esprit Saint qui devrait résonner en chacun. Tout cela pourrait presque être qualifié de blasphématoire ».
Ces évaluations proviennent d’un évêque, Monseigneur Robert Mutsaerts, auxiliaire du diocèse de ‘s-Hertogenbosch aux Pays-Bas, qui les a publiées sur son blog annonçant qu’il avait abandonné le synode avec une raison très claire : « Dieu est hors du cadre de cet ignoble procès synodal. Le Saint-Esprit n’a absolument rien à voir avec cela. Parmi les protagonistes de ce processus il y a pour moi un peu trop de défenseurs du mariage homosexuel, des gens qui ne pensent pas vraiment que l’avortement est un problème et ne se montrent jamais vraiment en défenseurs du riche credo de l’Église, car ils veulent avant tout être appréciés à leur environnement séculier. Tout cela n’est pas pastoral, ce n’est pas aimer. Les gens veulent des réponses honnêtes. Il ne veulent pas rentrer chez eux avec plus de questions. Vous éloignez les gens du salut. C’est pourquoi j’ai abandonné le procès synodal ».
…
La rhétorique de l’accueil et de l’inclusion selon Mgr Mutsaerts cache cependant des objectifs pervers.
« Le mantra du processus – écrit l’évêque néerlandais – est : écouter. Qui? Tous ». Ce qui se traduit en fait par offrir un mégaphone aux points de vue les plus éloignés de la doctrine de l’Église. Quand le document affirme que l’Église « apprend, par l’écoute, à renouveler sa mission évangélisatrice à la lumière des signes des temps, afin de continuer à offrir à l’humanité une manière d’être et de vivre dans laquelle chacun puisse se sentir inclus comme protagoniste » , c’est déclarer quelque chose qui n’a rien à voir avec la proclamation de la vérité.
Le paragraphe 39 est explicatif, où, à propos des « exclus », on lit : « Parmi ceux qui demandent un dialogue plus significatif et un espace plus accueillant, on trouve aussi ceux qui, pour diverses raisons, ressentent une tension entre l’appartenance à l’Église et leurs propres relations amoureuses, telles que : les divorcés remariés, les parents célibataires, les personnes vivant dans des mariages polygames, les personnes LGBTQ, etc. ».
Mais la mission de l’Église, commente l’évêque néerlandais, n’est pas d’écouter tous ceux qui vivent en dehors de ses enseignements. La mission de l’Église « n’est pas d’examiner toutes les opinions et de trouver ensuite un accord. Jésus nous a commandé autre chose : proclamer la vérité ; c’est la vérité qui vous rendra libre ».
Particulièrement curieux, note Mutsaerts, est le point où l’on dit que l’Église ne fait pas attention à la polygamie. Mais, d’ailleurs, le document ne fait même pas attention aux traditionalistes. Et eux aussi se sentent exclus. En effet, ils le sont littéralement du pape François ( Traditionis custodes ). Apparemment, il ne peut y avoir aucune empathie pour eux ».
D’où le jugement clair de l’évêque, qui parle du synode comme d’une « expérience sociologique » qui « n’a pas grand-chose à voir avec l’Esprit Saint », alors que « ce qui devient de plus en plus clair, c’est que le processus synodal sera utilisé pour changer certaines positions de l’Église, jetant l’Esprit Saint dans la mêlée comme un soutien ».
« Surtout, ce qui ressort des écoutes, c’est une foi évaporée, qui n’est plus pratiquée, qui n’accepte pas les positions de l’Église. Les gens se plaignent que l’Église n’accepte pas leurs positions. Mais ce n’est pas tout à fait vrai. Ce sont les évêques flamands et allemands qui prennent leurs distances avec le peuple, ce qui est en réalité bien plus tragique. Ils ne veulent plus appeler le péché par son nom et donc on ne parle plus de conversion et de repentance ».
…
« La phase finale du processus synodal ne peut s’avérer qu’une confusion dans la Tour de Babel. Comme on pouvait s’y attendre, quiconque n’a pas de place pour son opinion dira qu’il a été exclu. Et c’est une recette pour le désastre. Si chacun a le droit de faire ce qu’il veut – ce qui est en fait impossible – le désastre est complet. Alors l’Église se sera niée et gaspillée son identité ».
…
https://www.aldomariavalli.it/2022/11/10/il-vescovo-mutsaerts-abbandona-il-sinodo-e-dice-non-ha-nulla-a-che-fare-con-lo-spirito-santo/
Merci de cette information … rafraichissante !
Oui ça bouge dans l’Eglise au fur et à mesure que la démarche de démolition se fait de plus en plus claire.
Qu’un Paul VI envoie sa tiare à l’ONU ,qu’il rende aux musulmans les drapeaux pris à Lépante ,qu’il troque l’autel du sacrifice pour une table du repas,qu’un Jean Paul II embrasse le coran et dise que les musulmans adorent le même Dieu que nous ,qu’un cardinal Ratzinger se fasses sacrer pape avec une mitre sur laquelle ne figure aucun symbole catholique mais que des symboles kabbalistes ,maçonniques et satanistes ,ça n’émouvait personne ,ça ne touchait pas DIRECTEMENT aux fondements de la doctrine du Christ ,c’était pourtant prémonitoire d’une dérive plus grande ,mais curieusement ça n’ébranlait personne.
Mais avec Bergoglio tout ce qui avant n’était que théorique ,avec lui tout devient pratique, l’abandon du Christ et le sabordement de l’Eglise pour plaire aux kabbalos mondialistes est de plus en plus clair ,de plus en plus visible et indigeste pour ceux qui ont encore gardé un peu de foi
Jésus dit qu’il fera tout ce qu’on demande en Son nom (Jean 14:13-14). Et pourtant, la realité c’est que certaines prières faites au nom de Jésus restent sans réponse.
Si Jésus dit qu’il fera ce qu’on demande et qu’il ne le fait pas, alors comment etre sûr que quand il dit qu’il nous réssuscitera, il le fera vraiment (Jean 6:54) ?
Cher Blaise,
Si Jésus n’exauce pas une prière, c’est donc qu’elle n’est pas faite en Son Nom, c’est à dire que Jésus ne peut pas la faire sienne. Pourquoi ? Parce qu’elle ne correspond pas à la Volonté de Dieu. La prière païenne demande à ce que la divinité, l’énergie, le démon, etc. fasse ce que le païen demande. La prière chrétienne demande à ce que la Volonté de Dieu soit faite (cf. Mt 6.10 ; 26.39) et implique donc une conversion, et l’union à Dieu pour participer à la plénitude divine et non à un petit bonheur mensonger.
Le denier du culte est le nerf de la guerre. Ce n’est pas un don mais un du nous explique t on. Certes mais face à des diocèses qui utilisent mal l’argent ou rendent des comptes très opaques rien n’empêche de donner à l’église universelle dans le diocèse de votre choix. Sachant que par ailleurs les frais courants de la paroisse (chauffage etc) sont couverts non par les dons defiscalisables mais par les quêtes non defiscalisables.
Merci Père de votre texte