Alexandra Henrion-Caude, scientifique, chercheur spécialiste de l’ARN, directrice de Recherche de l’Institut SimplissimA

52 généticiens/immunologues/cancérologues cosignent une lettre qui exhorte le 1er Ministre à suspendre IMMÉDIATEMENT les doses d’ARNm contaminés par l’ADN posant les risques de :
INSTABILITÉ GÉNOMIQUE
CANCERS
SYSTÈME IMMUNITAIRE PERTURBÉ
EFFETS INDÉSIRABLES HÉRÉDITAIRES

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Idem pour Dr David Cartland, mise à jour (22 sept. 2024) des chiffres sur les dommages causés par le vaccin Covid 19 . Ne s’agit-il pas d’un génocide ? :

Myocardite : en hausse de 2 800 %
Cancers : en hausse de 300 % à 900 %
Infertilité (les deux sexes) : en hausse de 500 %
Fausses couches : en hausse de 300 %
Troubles neurologiques : en hausse de 1 000 %
Troubles démyélinisants : en hausse de 1 000 %
Sclérose en plaques : en hausse de 600 %
Syndrome de Guillain-Barré : en hausse de 500 %
VIH : en hausse de 500 %
Embolie pulmonaire : en hausse de 400 %

 

Transcription de la vidéo numéro deux :

Je suis l’une des infirmières qui a été sévèrement blessée par le vaccin COVID. Au cours des quatres dernières années années, notre objectif et ce que nous avons fait, c’est de construire une communauté de personnes blessées par le vaccin. Et dès que vous le pouvez, j’aimerais que vous unissiez vos forces aux miennes pour que nous puissions arrêter ces criminels.

– Bien sûr, parce ce que ce n’est pas quelque chose où je vais juste m’asseoir ici et laisser passer quelques mois et faire comme si tout était revenu à la normale. Ce sera quelque chose pour lequel je me battrai toute ma vie dès que je pourrai à nouveau me tenir debout. Je ne peux même pas rester debout plus d’une minute sans que tout mon corps ne se mette à convulser. Alors dès que j’aurai retrouvé un peu de force, au moins même si je dois me déplacer en fauteuil roulant pour toujours, je me battrai et je me joindrai à toux ceux qui en auront besoin pour mettre de l’ordre dans tout cela parce que c’est absolument terrifiant. Et si ça arrivait à n’importe quel membre de ma famille ou à des amis, j’aurais le coeur plus brisé que je ne le suis par ce qui m’arrive. Je ne peux pas imaginer, je suis ici pour aider à lutter, surtout à mon âge je pense que cela aidera les gens de ma génération ont plus de mal à être convaincus que ces choses peuvent mal tourner parce que les médias influencent fortement la façon dont les gens de mon âge pensent. Et malheureusement, il fallait que ce soit moi. Mais si c’est moi qui dois parler et faire comprendre aux gens de mon âge, je me battrai, je ne reculerai jamais, jamais, jamais.

 

Transcription de la vidéo numéro trois :

NON, JE N’OUBLIERAI PAS

Bonjour. Je voulais mettre une voix sur un texte, sur des mots, un texte qu’une personne a laissé, le besoin de laisser une trace écrite de tout ce qu’elle ressentait. Ce texte est en rapport avec les événements que nous vivons depuis 2020. Je pense qu’il parlera à un bon nombre d’entre nous. Peut-être que certains l’ont déjà lu, il s’intitule : « Je n’oublie pas ».

Je n’oublie pas la date du 12 juillet 2021 qui a marqué ma vie à jamais, qui a détruit ma confiance en mon pays, ma confiance en la démocratie.

Je n’oublie pas que la devise de la France « Liberté Égalité Fraternité » s’est transformée en « quoi qu’il en coûte » oui, quoi qu’il en coûte des dégâts collatéraux…

Je n’oublie pas que la fin aura justifié tous les moyens, même les plus ignobles.

Je n’oublie pas que la « Liberté » est devenue « condition », « l’Égalité » a disparu pour laisser place à la « discrimination », la « Fraternité » a volé en éclat et est devenue « division ».

Je n’oublie pas la fracture du peuple, les discussions houleuses, les amitiés brisées…

Je n’oublie pas les victimes du covid, les victimes collatérales de certaines mesures : les suicides, les faillites, les enfants à qui on a volé l’insouciance et qu’on a culpabilisés, les citoyens vaccinés, dès 12 ans, contre leur volonté profonde.

Je n’oublie pas ma cousine, dans son centre de rééducation depuis 7 mois qui se bat pour tout réapprendre suite à sa 2e injection Pfizer.

J’espère la justice pour elle et les autres victimes des injections expérimentales qui sont trop nombreuses et qui sont les oubliées de cette crise, réduites au silence.

Je n’oublie pas les personnes âgées mortes de solitude pendant les confinements, enfermées pour certaines dans leur chambre en EHPAD, les obsèques en comité restreint, l’impossibilité des proches de dire adieu à un défunt.

Je n’oublie pas les soignants suspendus SANS SALAIRES depuis le 15 septembre 2021, avec la complicité des syndicats et des institutions. À qui on a même retiré le droit de démissionner, qu’on refuse de licencier, laissés SANS RESSOURCE, dans le mépris le plus total et l’indifférence générale, alors même qu’on les applaudissait tous les soirs pendant la première vague. Ils sont 15 000 soignants et 5000 pompiers. En pleine crise sanitaire, comment accepter de se passer d’eux quand des soignants vaccinés positifs au covid, eux, peuvent exercer ?

Je n’oublie pas le masque sur le visage de mes enfants, 10 heures par jour, en intérieur comme en extérieur, y compris en cours de sport, dans l’indifférence des adultes, au mépris de leur santé mentale et de leur bien-être.

Je n’oublie pas les réprimandes subies par mon fils au collège, les mots dans le cahier de liaison, la punition qu’il a reçue pour avoir osé baisser son masque pour respirer convenablement. Le devoir de 3 pages à remplir pour démontrer « les bienfaits du port du masque » et la culpabilisation induite dans ce travail de vouloir contaminer ses petits camarades. Depuis, il ne baisse plus jamais son masque par peur de sanctions. Il est rentré dans le moule, il a abdiqué. Je ne peux pas m’en réjouir.

Je n’oublie pas la complicité des enseignants, des directeurs d’école, des institutions au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant. Un masque n’est pas normal et n’a jamais empêché un virus de circuler, virus qui ne concerne d’ailleurs pas nos enfants…

Je n’oublie pas d’avoir été interdite d’accompagner mon fils à ses matchs de foot, même en extérieur, de l’accompagner au guichet du cinéma pour acheter sa place pour qu’il profite d’un film avec un copain.

Je n’oublie pas l’humiliation ressentie ce jour-là d’avoir dû rester dehors et veiller à ce qu’il achète bien son billet à travers la vitre.

Je n’oublie pas les médecins, soignants qui ont bafoué leur serment d’Hippocrate en Hypocrite, conditionnant l’accès aux soins, refusant d’opérer ou de prendre en charge des patients non injectés. La maltraitance physique et verbale (vécue par un proche avant une intervention chirurgicale, parce que non vacciné).

Je n’oublie pas que les riches se sont enrichis, les pauvres appauvris, les profits des labos, la corruption des États, les conflits d’intérêts, la censure des discours scientifiques contraires à la parole officielle, les traitements efficaces interdits encore aujourd’hui.

Je n’oublie pas la pression sociale, le mépris que j’ai ressenti, les regards accusateurs, les phrases assassines.

Je n’oublie pas d’avoir été considérée comme une sous-citoyenne, irresponsable, égoïste et inconsciente, d’avoir été désignée comme une ennemie, un danger.

Je n’oublie pas qu’on m’a culpabilisée de réfléchir par moi-même, de douter, d’exercer mon libre arbitre et de faire appel à mon sens critique.

Je n’oublie pas d’avoir été traitée de complotiste.

Je n’oublie pas le pass sanitaire, le pass vaccinal, de constater avec désolation l’acceptation de la majorité, comme hypnotisée.

Je n’oublie pas d’avoir été, mes enfants et moi, empêchés de vivre normalement, d’avoir été mis en isolement social.

Je n’oublie pas d’avoir été insultée par le Président : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder… On va continuer de le faire jusqu’au bout ». « Un irresponsable n’est plus un citoyen. »

Je n’oublie pas la guerre psychologique faite dans les médias, la manipulation par la peur, les propos honteux, les insultes de médecins, philosophes, politiques, journalistes, célébrités : « il faut confiner les non-vaccinés », « les non-vaccinés ont du sang sur les mains », « faut-il soigner les non-vaccinés ? »,
« vu le nombre de gens qui se sont fait vacciner, même si on doit tous crever je préfère, plutôt que de rester sur terre avec les pauvres connards qui ne sont pas fait vacciner », « dites à vos amis non-vaccinés qu’ils commencent à nous saouler ».

Je n’oublie pas que plus rien ne sera jamais comme avant, que la société est abîmée, que je suis abîmée. Cela m’a profondément changée.

Je n’oublie pas que le QR code a laissé place au bon sens et fera partie de nos vies. Une nouvelle vague, un nouveau virus, une guerre, une crise écologique… justifiera son retour.

Enfin, et je veux garder surtout ça au fond de moi : Je n’oublie pas les manifestations dans la joie et la bonne humeur, les nouvelles amitiés, les valeurs partagées, le convoi de la liberté, les associations, la solidarité, les groupes d’entraide et tous les résistants.

Auteure inconnue
Merci.