Loué soit Jésus Christ !
En Coran 97.1 ; 44.3, Allah dit que le coran a été donné en une nuit: “En vérité nous avons révélé le coran dans la nuit de la destinée.”
Et nous retrouvons cela exprimé aussi à la sourate 44.3. Or dans la sourate 2.185 Allah dit que le coran a été donné en un mois, le mois du ramadan. Tandis que les musulmans disent eux que le coran a été donné durant les 23 années de l’activité de leur prophète Mahomet.
Alors qui dit vrai ? Le Coran a-t-il été donné en une nuit ? En un mois ? Ou en 23 ans ? Pour ceux qui n’auraient pas déjà trouvé la réponse celle-ci est donnée dans l’une de mes précédentes vidéos.
Voici une question à laquelle doivent réfléchir les musulmans : si les versets du Coran ont été donnés aux dires de la tradition musulmane sur un laps de temps de 23 ans, quel est le principe qui a présidé au choix de leur ordre actuel dans le Coran par le troisième calife Othman ? Autrement dit, dans quels buts des versets révélés indépendamment les uns des autres ont-ils été accolés les uns avec les autres ? Quel est le principe qui a présidé à leur organisation ? Car l’organisation, a elle-même du sens….
C’est si vrai que les chiites, par exemple, affirment qu’il existe un Coran reçu de Fatima contenant des propos que ne contiendrait pas le Coran de Othman… Abou Bassir rapporte qu’il a demandé à l’Imam Dja’far : « O Abou ’Abdallah, qu’est-ce que le coran de Fatima ? » Il me répondit : « C’est un Coran trois fois plus grand que vôtre. Et par Allah, il ne contient pas une simple lettre de votre Coran. » (Al-Kafi, Vol 1, p.457). Les chiites à l’unanimité soutiennent que des sourates ont été délibérément amputées par les compagnons de Mahomet et que d’autres devaient être ajoutées. C’est dire que une chose est la descente des versets, et autre chose leur organisation dans le Coran…
Deuxième question donc : comment peut-on dire que le Coran a été révélé seulement à Mahomet si le choix et l’organisation des sourates et versets l’ont été à Othman ?
Encore une contradiction de plus dans le coran.
Bravo monsieur l’abbé