En islam, les femmes sont si bien toujours suspectes (64.14) qu’en cas de plainte pour viol, Allah a établi nécessaire le témoignage d’hommes seulement, musulmans cela va sans dire, et au nombre de quatre : « Appelez quatre témoins que vous choisirez, contre celle de vos femmes qui ont commis une action infâme. S’ils témoignent enfermez les coupables, jusqu’à leur mort, dans des maisons, à moins qu’Allah ne leur offre un moyen de salut. » (4.15)… On voit dans ce précepte qu’il n’est pas question de l’homme ayant fauté, mais seulement de la femme… Cela en dit long de la considération dont jouit la femme aux yeux d’Allah… comme du sens de la justice d’Allah ! Car quelle femme violée peut présenter quatre hommes témoins de son viol  ? Et même si par impossible elle le pouvait, Allah a établi que ce n’était pas à elle de présenter des témoins pour sa défense, mais aux détenteurs du pouvoir : « Appelez quatre témoins que vous choisirez », ce qui leur permet, évidemment, de choisir qui ils veulent… Les violeurs en islam n’ont donc pas trop de souci à se faire et les femmes qu’à se laisser violer et se taire, car si elles portent plainte, ce sont elles qui se retrouveront condamnées. Mais Allah n’avait pas prévu qu’un jour ces “chiens de non-musulmans” (8.22,55 ; 9.28 ; 98.6) découvriraient l’ADN — ce qui doit certainement être compté au nombre des miracles du Coran, ce qui a conduit un de ses fidèles disciples, l’imam Abdul Makin, de la banlieue de Londres, à être dernièrement écroué pour viol, avec ses sept complices, jurant leur grand Dieu que pendant ce temps leur imam n’avait pas cessé de prêcher pieusement en leur mosquée.
Ailleurs, le Coran ne cherche même pas à cacher sous d’aussi grotesques et monstrueuses apparences de justice la légitimation du viol puisqu’Allah et son prophète y affirment chose normale de violer ses esclaves (4.3 ; 23.1-6 ; 70.29-30) et que les malheureuses soient mariées ne change évidemment rien à l’affaire (4.24). Or, quelle femme, à part celle d’un autre musulman, n’est pas destinée à devenir l’esclave d’un musulman (4.25 ; 8.41,69,70 ; 16.71 ; 23.6 ; 48. 20 ; 33.26,50,52 ; 70.30) ?
Le Coran se ressent si bien de sa composition hasardeuse que s’il établit ici l’enfermement jusqu’à ce que mort s’en suive des femmes réputées fautives, ailleurs il prescrit leur flagellation (24.2). Mais les pieux musulmans préfèrent aujourd’hui les lapider, certainement pour offrir aux victimes le moyen de salut d’Allah le plus approprié, et en référence à un verset aujourd’hui disparu, parce qu’écrit selon Aisha (Sunan Ibn Majah, n°1944) sur un bout de parchemin rapidement mangé par un mouton. Comme quoi, on a beau être Allah et voir sa parole toute puissante être abrogée par un simple mouton (El-Bukhârî 6830 et Muslim 4394).
Bref, chacun peut apprécier le sens de la justice d’Allah… Comment croire que des femmes puissent vouloir se convertir à un tel Dieu ? En comparaison, lorsque des juifs amenèrent à Jésus une femme prise en flagrant délit d’adultère, ce qui lui valait aux termes de la Loi de Moïse la lapidation, Jésus lui sauva la vie en invitant celui qui n’avait jamais péché à lui jeter la première pierre et la malheureuse à ne plus pécher (Jn 8.1-11).
Jésus est le vrai Dieu venu non pas pour nous accuser et condamner, mais pour nous sauver. Bienheureux ceux qui savent reconnaître en Lui le vrai Dieu qui donne Sa vie pour ses enfants (Jn 10.1+) et fuir le Démon qui ne peut cacher son injustice et sa haine des enfants de Dieu !

 

Selon la loi d’Allah le Miséricordieux, à chaque fois qu’un village ou une tribu étaient conquis au moyen du djihad (guerre sainte) après avoir opposé une résistance à Mahomet et son armée, les musulmans avaient l’autorisation de prendre les femmes et les enfants comme esclaves. Pour les femmes et les petites filles, ils avaient même la permission de commettre des violences sexuelles.

Le titre du chapitre 29 du livre 8 des hadiths du Sahih Muslim dit:

«Il est permis d’avoir des rapports sexuels avec une femme captive après qu’elle soit purifiée (après une période de menstruations ou un accouchement); dans le cas où elle a un mari, son mariage est abrogé après qu’elle soit devenue une captive.»

Immédiatement après le titre nous avons le hadith qui explique quand et pourquoi ce décret a été révélé:

Sahih Muslim Volume 2, Livre 8, 3432

«Lors de la bataille de Hanain, le messager d’Allah avait envoyé une armée à Autas, où il rencontra l’ennemi et se battit contre lui. Après les avoir vaincus et faits prisonniers, les compagnons du messager d’Allah semblaient se retenir d’avoir des relations sexuelles avec les femmes captives à cause de leurs maris polythéistes. Alors Allah, le Très Haut, fit descendre [un nouveau verset/Coran 4:24]: [Vous sont interdites] parmi les femmes, les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété. (elles leur étaient autorisées après que leur Idda (menstrues) était passée).»

Comme nous le voyons, et comme dans beaucoup d’autres occasions, Mahomet utilise des « révélations » pour son propre intérêt, et dans ce cas pour donner une prime à titre d’incitation aux membres de son armée (évacuer les instincts sexuels, même avec le viol), afin de les encourager à continuer à faire la guerre.

Voir aussi:

Sahih Muslim Volume 2, Livre 8, 3373:
Abu Sa’id al-Khoudri a rapporté:

« Nous avions pris des femmes captives, et nous voulions pratiquer ‘azl (coït interruptus) avec elles. Nous avons alors demandé au messager d’Allah (que la paix soit sur lui), et il nous dit: « En vérité faites-le, en vérité faites-le, en vérité faites-le, parce que toutes les âmes qui doivent naître jusqu’au Jour du Jugement naîtront quand même.»

Sunan Abu Dawud-B5N2150:
Abu Sa’id al-Khoudri a dit:

« L’apôtre d’Allah (que la paix soit sur lui) a envoyé une expédition militaire à Awtas lors de la bataille de Hunain. Ils ont rencontré leur ennemi et se sont battus avec eux. Ils les ont vaincus et les ont emmenés prisonniers. Certains des compagnons de l’apôtre d’Allah (que la paix soit sur lui) étaient réticents à avoir des relations avec les femmes captives en présence de leurs maris qui étaient mécréants. Alors Allah, exalté soit-il, envoya le verset coranique: «Et vous interdit les femmes mariées, sauf les (esclaves) que votre main droite possède.» (Coran 4: 24)»

Et encore:

Mouwatta B.29 N.95:

Je suis allé à la mosquée et j’ai vu Abou Saïd Al-Khoudri, donc je me suis assis avec lui et je lui ai demandé à propos du coitus interruptus. Abou Saïd Al Khoudri a dit: « Nous sommes sortis avec le Messager d’Allah, paix soit sur lui, pour l’expédition contre (la tribu) Banu al-Mustaliq. Nous avons pris quelques prisonniers arabes, et nous avons désiré les femmes car l’abstinence était dure pour nous. Nous voulions la rançon, ainsi nous voulions pratiquer le coitus interruptus. Nous nous sommes demandé: « Tant que le messager d’Allah est parmi nous, allons-nous pratiquer le coitus interruptus avant de lui demander? ». Donc, nous le lui avons demandé et il a dit « faites-le, car toutes les âmes qui doivent naître jusqu’au Jour du Jugement naîtront de toute façon.»

Comme nous l’avons vu dans les hadiths que nous avons mentionnés, le Coran lui-même fait référence aux femmes prisonnières qui étaient à la disposition de leurs maîtres, bien qu’à ce moment-là, elles étaient mariées:

Coran 4:24: «Et vous sont interdit les femmes mariées, sauf celles (captives) que votre main droite possède [vos esclaves].»

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Récemment, comme cela arrive souvent au Pakistan et en d’autres pays musulmans, un homme de 44 ans a kidnappé une chrétienne de 13 ans, la force à se convertir à l’islam et l’épouse de force; le mariage a été confirmé par la justice …

Arzoo Raja a été enlevée chez elle à Karachi le 13 octobre 2020 et, deux jours plus tard, son “mari” a produit un certificat de mariage indiquant qu’elle avait 18 ans et s’était convertie à l’islam.

L’affaire a donné lieu à des protestations à Karachi et à Lahore, mais un tribunal pakistanais a confirmé le mariage après que son mari a affirmé qu’elle s’était convertie de son plein gré.

Il a été rapporté qu’Arzoo Raja a essayé de courir vers sa mère pendant l’audience, mais que son mari l’a tenue fermement pour l’empêcher de partir.

Le père d’Arzoo, Raja, a déclaré que sa fille avait été enlevée dans la maison familiale de la colonie ferroviaire de Karachi après que ses parents furent partis travailler.

Lorsque la police a contacté la famille deux jours plus tard, elle a déclaré que le “mari” avait déjà obtenu un certificat de mariage, selon un groupe chrétien appelé le Centre d’aide juridique, d’assistance et d’établissement (CLAAS).

“Très souvent, les jeunes filles sont menacées pour faire des déclarations au tribunal disant qu’elles se sont mariées et converties à l’Islam de leur plein gré”, a déclaré Nasir Saeed, directeur du CLAAS UK. […]

L’organisation caritative affirme que les parents d’Arzoo ont perdu leur emploi et sont menacés par les ravisseurs depuis la perte de leur fille.

Vous n’imaginez pas l’Enfer que peuvent vivre les chrétiens en pays musulmans.

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