Cela fait six mois qu’au Nigéria plus de deux cent jeunes étudiantes chrétiennes ont été enlevées par Boko Haram pour être vendues comme esclaves sexuelles. Deux à trois mille jeunes Chrétiennes et Yézidis dont certaines n’ont pas douze ans, connaissent le même sort en Irak sous les auspices de l’État islamique. En Jordanie, dans les camps de réfugiés syriens, des filles mineures sont livrées à la perversion de riches Saoudiens venant les épouser par un mariage temporaire tout à fait halal. En Angleterre même, à Rotherham, de 1997 à 2013, plus de 1400 jeunes filles, parfois âgées de seulement onze ans, ont été sexuellement exploitées par un gang de Pakistanais, musulmans. Les policiers et les notables ont fermé les yeux sur ces abominations de peur d’être accusés de « racistes » ou d’« islamophobes ». Nous pouvons nous aussi gommer le lien entre l’islam et ces actes abominables de peur d’être accusés de « racistes » ou d’« islamophobes ». Mais les faits sont là.
Et c’est un fait que le mouvement d’émancipation des esclaves n’aurait jamais pu avoir lieu en Islam, parce qu’Allah enseigne que les Musulmans sont des hommes supérieurs aux non-musulmans (Coran 3.139), et parce qu’il interdit explicitement l’abolition de l’esclavage (Coran 16.71). L’esclavage est ainsi institué par Allah (Coran 4.3,24,25,36,92 ; 16.71,75,76 ; 30.28)[1]. Mahomet lui-même s’est enrichi de cet abominable commerce (Coran 8.70 ; 16.71 ; 33.52)[2].
Et non seulement l’exemple de Mahomet sert à justifier l’esclavage, mais encore la pédocriminalité, du fait que, selon la Sunna, il a épousé, âgé de 53 ans, une enfant de six ans, Aïsha, qu’il a déflorée à l’âge de neuf ans. C’est pourquoi le Dr Ahmed Al-Mub’i, Officiant saoudien du mariage, cite l’exemple de Mahomet pour enseigner qu’« Il est permis d’épouser une fillette d’un an, si les relations sexuelles sont reportées »[3]… précision qui nous rassure ! Suite à ces enseignements, nombre de Musulmans conduisent aujourd’hui leurs enfants dans leur pays d’origine pour les y marier.
Recommandation : L’association Salut et Miséricorde demande au BIDDH d’intervenir auprès des États membres afin qu’ils retirent leur capacité à enseigner aux institutions musulmanes qui diffusent et valorisent de tels enseignements au détriment de la promotion des droits de l’enfant et de l’égalité des droits entre hommes et femmes.
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[1] Que l’Arabie Saoudite ait interdit la « vente publique » des esclaves en 1962 ne dit rien de leur « vente privée », ni de celle des eunuques, dans tout le golfe Persique, aujourd’hui. (Cf. Enyo, Anatomie d’un désastre, Denoël, 2009, p. 140.)
[2] « Quand il fut en position de force, Mahomet tira l’essentiel de ses revenus de la traite d’esclaves, considérant comme butin les veuves et les orphelins qu’il capturait et qui furent vendus par dizaines ou par centaines à la fois. Il fut ainsi le plus grand esclavagiste d’Arabie, sinon du monde de son temps. »Moussa ‘Abdallah-Yaacoub, Moi, Mahomet, F. X. de Guibert, 2008, p. 404.
[3] LDC TV le 18 juin 2008
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