Cet été, une cheftaine scout déclarait que devenir musulmane ne lui faisait en rien renoncer à la foi catholique, à l’instar de l’imam de la mosquée de Millau qui l’accueillait, lui aussi un catholique apostat. Le dimanche 15 Décembre 2024, dans l’émission musulmane de la chaîne de télévision France 2, le père Antoine Guggenheim, délégué pour les relations avec l’Islam du diocèse de Paris, déclarait reconnaître Mahomet comme un envoyé de Dieu. Pour ne citer que deux exemples attestant que, tranquillement, la France s’islamise … Quel rôle y joue l’Église ?
L’Église a validé le dialogue interreligieux (DIR), et islamo-chrétien (DIC) en particulier, dans sa déclaration Nostra Aetate du concile Vatican II, au motif qu’« À notre époque le genre humain devient de jour en jour plus étroitement uni et [que] les relations entre les divers peuples se multiplient », et parce qu’elle estime avoir la « tâche de promouvoir l’unité et la charité entre les hommes [en examinant] ce qu’ils ont en commun et qui les pousse à vivre ensemble leur destinée (…) tout en témoignant de la foi et de la vie chrétiennes ». Nous notons qu’il y est encore question « de témoigner de la foi et de la vie chrétiennes » – ce qui ne sera bientôt plus le cas, comme on va le voir. Puis vient dans cette déclaration la mention des musulmans, distingués, avec les juifs, des membres des autres religions non-chrétiennes, en raison de ce qu’ils auraient en commun avec l’Église … et non en raison du fait que venant APRÈS le Christ, ils rejettent explicitement le Christ et Son Église. Comme si l’accueil ou le rejet de la foi chrétienne comptaient pour rien dans l’évaluation du fait religieux !
Alors que les religions d’avant la venue du Christ s’expliquent par la recherche de ce qui fait la grandeur de l’homme, et leurs erreurs par leur possible ignorance invincible, judaïsme et islam, venant APRÈS le Christ, n’ont, théologiquement, pas d’autre raison d’être que leur refus de la Révélation chrétienne. Ce qui les définit littéralement comme antichrists (1 Jn 2.22). C’est ce que nous enseigne la grille de lecture de l’histoire offerte par le Christ dans la parabole de l’ivraie, en laquelle Il distingue : le monde, l’Église, et la génération diabolique qui la suit et la persécute (Mt 13.36-43). Difficile d’être plus clair. Malheureusement, pour fonder son dialogue avec juifs et musulmans, l’Église passe sous silence l’incompatibilité absolue posée par le Christ dans cette parabole entre Lui-même et Satan, entre « les fils du Royaume » et « les fils du Mauvais », pour rendre juifs et musulmans non pas seulement semblables aux membres des religions d’avant la venue du Christ, mais participants de sa propre grâce ! Comme dans d’autres textes du concile Vatican II, apparaît ici un fléchissement libéral, une nouveauté, conduisant à concéder qu’il y a des réalités surnaturelles « imparfaites » en dehors de l’unique réalité surnaturelle qu’est l’Église, bâtie par le Christ sur Pierre. Or, on ne peut pas être un peu ou même beaucoup à Jésus, mais seulement tout entier ou pas du tout.
Pour le cardinal Arinze, qui fut président du Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux (CPDI), « le DIR n’est ni l’histoire comparative des religions, ni une discussion démonstrative ou apologétique, ni une tentative de convertir l’autre à sa propre religion. »1 Propos que n’a pas démenti le cardinal Tauran, un de ses successeurs à la présidence du CPDI, pour qui : « Le dialogue n’est pas une stratégie ou un moyen pour convertir, bien qu’un tel dialogue puisse favoriser la conversion. Le dialogue, pour être sincère, doit être mené sans arrière-pensée. 2 » Pour ces deux éminences, il n’est plus question de témoigner de la foi chrétienne, et le désir de convertir est exclu de la pratique du DIR… Or, si la fin de l’Église est le salut des âmes, est-il possible à un chrétien de renoncer à l’idée de convertir ? Si Dieu veut le salut de tous (1 Tm 2.4), et si un chrétien se caractérise par sa communion avec Lui, un chrétien peut-il ne pas avoir toujours l’« arrière-pensée » du salut de son prochain ? Est-il possible à la lumière mise sur le lampadaire de ne pas éclairer tous ceux qui la voient ? Est-il loisible à un chrétien de ne pas vouloir toujours le salut de son prochain, en toute circonstance et de façon efficace ? Le canon 211 du Code de Droit canonique en fait un devoir : « Tous les fidèles ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l’univers. », et le canon 225 ajoute : « cette obligation est encore plus pressante lorsque ce n’est que par eux que les hommes peuvent entendre l’Évangile et connaître le Christ. » Dès lors, le DIR est-il encore chrétien ? Comment ne pas avoir compris que ce refus public d’évangéliser allait finir par gangrener tout le corps ?
L’Église catholique qui est en France, sur son site internet, promeut : « Le dialogue entre les chrétiens et les autres religions réalisé dans un respect de liberté, d’ouverture, d’écoute afin d’apprendre à se connaître, à apprécier à la fois nos différences et les valeurs communes qui nous lient les uns aux autres. 3 » Outre l’amalgame encore fait ici entre personnes et religions, ce propos fait le lit du funeste relativisme en appelant à estimer « les différences » entre religions. En effet, le sens du verbe apprécier est bien ici celui d’estimer, puisqu’il est question d’apprécier aussi les valeurs communes, et que l’on ne peut pas ne pas estimer ses propres valeurs … Aussi le père de la Hougue, directeur de l’Institut de science et de théologie des religions (ISTR) à l’Institut catholique de Paris, milite-t-il pour que les chrétiens aient « une vraie estime de la foi des musulmans »4 … C’est ainsi que nous sommes très religieusement et doctement invités à estimer la foi qui blasphème la Sainte Trinité, et tous les mystères de la Révélation chrétienne … Faut-il s’étonner dès lors que les églises se vident ? Cet amour des différences a été particulièrement promu par Mgr Américo Aguiar, qui déclara peu avant l’ouverture des JMJ 2023, dont il était le responsable à Lisbonne, que leur « message principal » était le respect des différences, car « la différence est une richesse ». La différence de l’islam haïssant rien tant que la foi chrétienne (Coran 4.48 ; 9.28-33) serait donc « une richesse » … Or, si les différences sont une richesse dans l’ordre naturel, les contradictions s’opposant à la Vérité révélée sont des hérésies ! Et les hérésies conduisent en Enfer ! Mais pour Mgr Américo Aguiar, depuis lors fait cardinal, la conclusion logique de cet amour des différences excluant Jésus-Christ est que : « Nous ne voulons pas convertir les jeunes au Christ, ni à l’Église catholique …5 » Faut-il s’étonner que les églises se vident, et que pullulent sectes et hérésies, malheurs et damnations ?
Un des malheurs du DIR est d’avoir été présenté comme une nouveauté du Concile, et bientôt comme une fin en soi, déconnectée de la fin dernière de toute activité de l’Église : la recherche du salut des âmes. Les chrétiens n’avaient pas attendu Vatican II pour dialoguer, que ce soit pour évangéliser – la Foi étant une adhésion libre de l’intelligence, ou dans la vie courante, voulue la plus paisible et religieuse possible. Mais jamais, jamais ! il n’avait été officiellement demandé, ni même imaginé, qu’en toutes ces occasions, il eût fallu rejeter l’« arrière-pensée » de la conversion d’autrui !
On dira que le dialogue sert à maintenir la paix civile, en permettant à chacun d’exprimer sa pensée aussi rationnellement que possible, délesté de l’influence des passions. C’est certes un art difficile que de savoir parler de choses qui fâchent sans se fâcher, de ne pas trahir l’Évangile pour complaire à ses ennemis, mais lorsqu’en France l’Église catholique participe à la Conférence des Responsables de culte (CRCF), quel message envoie-t-elle à la société ? Celui d’être l’unique voie de salut instituée par Dieu pour le salut de tous, ou bien celui d’être une religion parmi d’autres, dans le grand marché libéral des spiritualités et superstitions ? En ne siégeant pas à cette assemblée, que perdrait-elle ? L’estime du monde ? Mais serait-ce trop cher payé pour rester fidèle à Dieu (Jc 4.4 ; 1 Jn 2.15) ? Et que gagnerait-elle, sinon la reconnaissance de sa mystérieuse différence ?
La paix civile ne relève pas, directement, de la mission de l’Église, mais de celle du pouvoir politique. L’oubli de cette vérité et la confusion qui s’en suit ne peuvent qu’avoir de graves conséquences, à commencer, pour les chrétiens, par le malheur de devenir eux-mêmes des apôtres de la Tolérance, pour qui le Christ, venu apporter en ce monde « non la paix mais la division (Lc 12.51) », ne peut qu’être insupportable … Comment le DIR pourrait-il ne pas bannir la liberté de secouer la poussière de ses sandales (Mt 10.14 ; Jn 6.67 ; Tt 3.10) ?
Je ne dis pas qu’il ne faille pas dialoguer avec des musulmans ou avec les représentants de l’État laïc, mais qu’il faut se garder de jamais cautionner l’un et l’autre, si peu que ce soit, car l’un et l’autre ne se sont forgés qu’en haine de la chrétienté et que pour régner sur ses ruines.
La recherche de l’unité entre tous les hommes promue par Nostra Aetate et portée par le DIR a produit un enseignement de contre-vérités toujours plus énormes, et des actes toujours plus scandaleux visant à colmater la béance tenant lieu de communion imparfaite entre qui est au Christ et qui Le refuse. Ainsi, par exemple, Nostra Aetate loue la vie morale des musulmans, alors qu’elle en est une parfaite négation (nonobstant ce que peut être tel comportement individuel), aussi vrai que l’islam ne se réfère pas à la loi naturelle, aux notions de bien et de mal accessibles à la raison humaine, mais aux notions de licite et d’illicite, décrétées arbitrairement par Allah, révélées par le Coran, et explicitées par la charia. De même, le Concile loue leur attente du jugement, alors qu’il en est une monstrueuse caricature : Allah ayant prédestiné la fin de chacun (Coran 6.39 ; 7.178,179,186 ; 13.27 ; 14.4 ; 17.97 ; 18.17 ; 30.29 ; 32.13 ; 35.8 ; 39.23 ; 40.33 ; 74.31). Et ainsi en va-t-il pour chaque aspect de l’islam loué par le Concile ! Comment ces faussetés ne fausseraient-elles pas les esprits endormis ? Jusqu’à leur demander « d’oublier le passé » … Quel meilleur moyen de les vouer à répéter les erreurs et connaître les mêmes malheurs ?
En affirmant que « Dieu nous sauvera tous (15.09.2021) », le Pape François a résolu tous les problèmes débattus par le DIR : rien n’étant finalement grave, il n’y a plus lieu d’œuvrer au salut d’autrui, non plus qu’à organiser la société pour que chacun y fasse facilement son salut, et les musulmans non pas à devenir chrétiens, mais à suivre l’enseignement du Coran (20.01.2014) …
Un point culminant du DIC a certainement été atteint à Abou Dhabi en février 2019 par le pape François et le Grand Imam d’Al-Azar avec la signature de la « Déclaration sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune ». Passons sur le pléonasme de la coexistence commune, cette déclaration, comme vous savez, affirme que « le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains ». Si cette phrase est une hérésie pour la foi chrétienne, elle ne l’est pas pour l’islam, qui ne distingue pas la nature (race, sexe …) de la culture (langue, religion), car il s’identifie à la nature (Coran 30.30 ; 7.172) … pour se rendre ainsi aussi bon, nécessaire et évident que ce que l’est la nature. La schizophrénie d’Allah crée effectivement plusieurs religions (Coran 7.16 ; 22.66) … pour que l’islam les détruise (Coran 2.193 ; 9.30,33) ! En islam la division spirituelle et morale de l’humanité est voulue par Allah (Coran 7.168 ; 22.66), qui est l’auteur du bien et du mal (Coran 15.40 ; 32.13 ; 38.82 ; 91.8 ; 113.2). Mais en régime chrétien, la division spirituelle de l’humanité est due au péché de l’humanité (Gn 11), non à Dieu ! Mais ce rejet de la précieuse distinction entre l’ordre naturel et l’ordre surnaturel apparaît aussi dans le discours du pape François lorsque ce jour-là, aux membres du Conseil musulman des Anciens à la Grande Mosquée du cheikh Zayed, il dit : « La fraternité certainement exprime aussi la multiplicité et la différence qui existent entre les frères, bien que liés par la naissance et ayant la même nature et la même dignité. La pluralité religieuse en est une expression. ». Si la pluralité religieuse est une expression de la fraternité liée à la naissance, alors Jésus en est exclu, car Il ne connaît d’autre fraternité que celle de l’obéissance à la Volonté divine (Mc 3.32-35). La reconnaissance du « pluralisme et les diversités de religion » qui découleraient d’« une sage volonté divine » fondant « le droit à la liberté de croyance et à la liberté d’être différents », a pour corollaire l’impossibilité pour l’Église d’affirmer qu’elle est la seule vraie religion voulue par Dieu en laquelle tous doivent s’efforcer d’entrer (Mt 28.18-19 ; Lc 14.23) … N’est-ce pas trop cher payé pour elle de ne plus pouvoir dire que la division spirituelle de l’humanité ne vient pas de Dieu, mais du péché, et qu’au prix de Sa croix Jésus est venu rassembler les enfants de Dieu dispersés (Jn 11.52 ; Jn 17.21) ? La division spirituelle et morale de l’humanité n’a rien à voir avec la diversité des couleurs de l’arc en ciel !
Un peu plus tard, en 2021, en Irak, le Pape François chercha encore en dehors de Jésus un lieu commun où bâtir la fraternité universelle … en proposant Abraham comme figure d’un monothéisme supra-confessionnel : « Aujourd’hui, nous, juifs, chrétiens et musulmans, avec nos frères et sœurs d’autres religions, nous honorons notre père Abraham en faisant comme lui. (…) » Quelle est cette foi commune que juifs, chrétiens, musulmans et membres d’autres religions auraient en Abraham ? Jésus n’a-t-Il pas dit aux Juifs qui refusaient de L’adorer qu’ils étaient non pas enfants d’Abraham, mais du Diable (Jn 8.44) ? Saint Paul, pour évangéliser, renonça « à la sagesse du langage », c’est-à-dire aux arguties, au double-sens, aux compromissions « afin de ne pas rendre vaine la croix de Christ (1 Co 1.17 ; 2.1-16 ; 1 Co 3.18-19) », car il ne connaissait, lui, « que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié (1 Co 2.2) », « scandale pour les juifs et folie pour les païens (1 Co 1.23) ». Le Pape continua : « Celui qui a le courage de regarder les étoiles, celui qui croit en Dieu, n’a pas d’ennemis à combattre. […] D’où le chemin de la paix peut-il alors commencer ? Du renoncement à avoir des ennemis. » Or, Jésus a eu des ennemis. Ne croyait-Il donc pas en Dieu ? Et n’avait-Il pas le courage de regarder les étoiles ? Outre qu’avoir des ennemis ne dépend pas nécessairement de soi, Jésus, qui a commandé d’aimer ses ennemis (Mt 5.44), a donc si bien supposé que nous en aurions, qu’Il a même déclaré maudits ceux qui n’en ont point (Lc 6.26) … C’est dire si nos pires ennemis ne sont pas là où on les imaginerait …
L’inauguration de la Maison de la famille d’Abraham à Abou Dhabi le 21 février 2023, a matérialisé l’avènement de cette fraternité universelle, ayant pour but déclaré de prendre soin de la maison commune, la Terre-Mère. Cette fraternité terrestre est la religion de la franc-maçonnerie, une religion sans Jésus-Christ, sans Son Dieu, sans vérité absolue, sans dogmes ni sacrements pour recevoir la grâce salvifique … C’est pourquoi l’Église a toujours dénoncé la franc-maçonnerie comme satanique. Les perspectives du DIC sont donc claires : tel un fleuve se jetant dans la mer, il conduit à devenir membre de la fraternité universelle prêchée par l’encyclique Fratelli tutti, encyclique accueillie avec enthousiasme par tous les francs-maçons du monde, lesquels travaillent à établir « une religion universelle, sur laquelle tous les hommes sont d’accord, consistant à être bons, loyaux, modestes, gens d’honneur, quelle que soit la dénomination ou la croyance particulière qui les distingue6 ». Sur leur site de partage ledifice.net, ils se font gloire « de rechercher ce qui nous rapproche et non de polémiquer sur nos différences, ce qui nous autorise à réellement considérer Abraham comme le précurseur des trois religions monothéistes révélées, et le père des peuples croyants, en nous permettant de nous retrouver tous pour former une grande fraternité universelle. » Ce langage est-il différent de l’enseignement donné par François en septembre dernier à Singapour : « Toutes les religions sont un chemin vers Dieu. » ?
Ainsi donc, l’Église a commencé par justifier sa pratique du DIR sur la base de ce que les hommes ont déjà en commun, pour en arriver à célébrer leur fraternité en Abraham, fraternité par laquelle l’islam se définit lui-même (Coran 2.135 ; 3.67-68,95 ; 4.125 ; 6.161 ; 16.123), et que promeut la franc-maçonnerie. Cette évolution de l’Église vis-à-vis de l’islam suit celle qu’elle a connue vis-à-vis des États nés de la Révolution : l’affirmation de la Vérité révélée et la revendication de ses droits s’est transformée en simple défense de « valeurs » communes … aussi équivoques, douteuses et discutables que ce que l’État moderne et l’islam rejettent tous deux aussi bien l’autorité de Jésus-Christ que la loi naturelle.
Le pape Pie XI, dans l’encyclique Mortalium animos (1928), nous avait prévenus : « Convaincus qu’il est très rare de rencontrer des hommes dépourvus de tout sens religieux, on les voit nourrir l’espoir qu’il serait possible d’amener sans difficulté les peuples, malgré leurs divergences religieuses à une entente fraternelle sur la profession de certaines doctrines considérées comme un fondement commun de vie spirituelle. C’est pourquoi, ils se mettent à tenir des congrès, des réunions, des conférences, […] invitant tous les hommes indistinctement, les infidèles de tout genre comme les fidèles du Christ, y compris ceux […] qui nient la divinité de Sa nature et de Sa mission. De telles entreprises ne peuvent, en aucune manière, être approuvées par les catholiques, puisqu’elles s’appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables […]. En vérité, les partisans de cette théorie s’égarent en pleine erreur, mais de plus, en pervertissant la notion de la vraie religion ils la répudient […]. La conclusion est claire : se solidariser des partisans et des propagateurs de pareilles doctrines, c’est s’éloigner complètement de la religion divinement révélée. »
Abbé Guy Pagès
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