Le burqini n’est pas un vêtement, c’est le jihad
En raison du politiquement correct et de cette vaste intimidation qu’est l’invention de l’islamophobie, Yves Daoudal constate que les anti-burkinis ont de piètres arguments :
“Le débat à propos de l’interdiction du burqini sur les plages paraît absurde à beaucoup. D’abord aux libéraux conséquents avec leur idéologie aveugle, pour qui chacun se vêt et se dévêt comme il veut : il n’est pas plus extravagant d’être couvert de la tête aux pieds sur le littoral qu’y être nu comme un ver. Aux libéraux s’adjoignent éventuellement les cathos tradis (et pas forcément tradis), pour qui le burqini est plus décent que le bikini, n’est-ce pas. Et l’on doit ajouter les professionnels de la subversion, qui sont prêts à soutenir tout ce qui peut détruire le conformisme ou supposé tel.
Face à cet alliage pour le moins hétéroclite, les adversaires du burqini sont incapables d’un discours cohérent et argumenté. Quand on leur demande la raison de leur opposition, nombreux sont ceux qui se donnent le ridicule de mettre en avant « l’hygiène ». Les plus courageux parlent des « valeurs de la République » (comprenez-moi à demi-mot), et les plus héroïques évoquent la laïcité. Impossible d’aller plus loin, on sombrerait dans le péché mortel de l’islamophobie.
Il est manifeste que la chape de plomb du politiquement correct et du vivre ensemble fait que beaucoup n’osent même pas penser à la signification du « burqini ». Et les rares qui y pensent n’osent pas le dire. Mais la raison non formulée de l’opposition au burqini est fortement imprimée dans l’inconscient, assez fortement pour que des arrêtés soient pris, et validés par la justice.
Cette raison, il faudrait tout de même que quelqu’un ose la dire ouvertement. Le burqini n’est pas un vêtement, de même que le minaret n’est pas un clocher. « Les minarets sont nos baïonnettes », comme dit le poème cher à Erdogan. Le minaret est le signe visible de la conquête d’un territoire par l’idéologie islamique : c’est pourquoi les Suisses ont sagement interdit la construction de tout minaret sur leur territoire. Or les burqini ne sont rien d’autre que de petits minarets sur les plages : l’affirmation de la conquête de ce territoire par l’islam. Et le jour où il y a assez de « burqinis », on peut chasser les kouffar de la plage devenue halal. Comme à Sisco, par exemple.
Le burqini aussi, c’est le jihad, l’effort de conquête dans le sentier d’Allah, qui est une obligation pour tout musulman, comme le souligne à plusieurs reprises le Coran. C’est si difficile à comprendre ?Pour certains musulmans, une femme n’a pas le droit de se baigner sans burkini (apparu il y a peu), l’alternative étant la plage réservée aux femmes. Impossible en Occident !La vie des fidèles du Prophète est régie par le halal (licite), le haram (illicite), le makrouh (répréhensible mais possible). Pour déterminer la catégorie dans laquelle entre un acte, il faut se reporter au Coran ou aux hadith (commentaires ou actions de Mahomet rapportés oralement). On ne peut pas contester le Coran, tandis que les hadith ont des gradations d’authenticité. Certains sont sûrs, d’autre considérés avec plus ou moins de suspicion. Il existe nombre de contradictions, entre hadiths, entre versets du Coran (par exemple, sur la mise à mort d’un apostat). C’est le verset le plus récent qui prime. Mais, parfois, on ignore totalement la chronologie et, du coup, chacun a son opinion ! On est censé trouver dans le Coran un avis sur l’intégralité de la vie d’un fidèle, même sur des inventions qui n’existaient pas du temps de Mahomet ! Les « sages musulmans » triturent donc les versets et les hadiths afin d’en tirer une opinion sur un problème moderne. D’où une cacophonie générale. On trouve tout et son contraire. Par exemple, des muftis libéraux (très peu nombreux !) affirment qu’une musulmane peut épouser un mécréant du moment qu’il n’est pas polythéiste (ce qui n’exclut même pas les hindous !), boire de l’alcool (sans s’enivrer), voire manger du porc !
Au-delà du burkini, la complexité du halal et du haram
L’opinion majoritaire interdit de manger de la main gauche (pour ne pas imiter Satan). Le fait d’être gaucher n’est pas une excuse. Seule la perte d’un membre ou la paralysie permet de passer outre. Boire un verre d’eau debout plonge les savants dans un abîme de perplexité. En effet, un verset du Coran l’interdit mais, dans des hadith, Mahomet se désaltère debout ! On ignore laquelle des deux attitudes est la plus récente, d’où des discussions sans fin ! L’épilation est haram (verset coranique !) mais les libéraux l’autorisent si la femme a des sourcils trop épais, de la moustache ou de la barbe, au grand dam des traditionalistes. Il est haram, selon le Prophète, de posséder un chien, sauf pour la chasse et garder son troupeau. Le poil du canidé est pur mais sa bave est impure. Des extrémistes pensent que regarder la météo est illicite car faire des prédictions est interdit. Néanmoins, nombre de fatwas décrètent que prévoir le temps est scientifique, donc permis. Comme représenter des visages est haram, dessiner est interdit ; mais certains vont plus loin : faire des photos, lire des BD, regarder des dessins animés, voire la télévision sont proscrits ! Assurer sa maison ou sa voiture serait illicite car on prend un pari (interdit en islam) et on doute d’Allah. Si une catastrophe arrive, Dieu pourvoira à vos besoins ! Et, pour finir, selon un livre édité par la grande université (réputée modérée) al-Azhar, il est halal de manger un apostat mort, du moment que vous ne le faites pas cuire ou griller !
Ouf l’Abbé Pagès n’est pas le seul à crier dans le désert:
https://youtu.be/t2s0KZWi3VM
@Juvenal. Dans l’Ancien Testament, les interdits et les notions de pureté et d’impureté avaient pour but de préserver les Israélites de l’influence des religions pratiquées par les peuples païens, et d’affirmer l’originalité du message dont était porteur le Peuple Élu et pour cela il était nécessaire que ce dernier se démarque des coutumes, souvent sanguinaires, de ses voisins.
Mais avec le Christ, la Loi est accomplie et a été parfaite par Lui. Le peuple-enfant qu’était le peuple juif et qui devait, à ce titre, se conformer à certaines pratiques dans son propre intérêt, devenait adulte grâce au Christ. Que les Juifs aient refusé de Le suivre et de croire en Lui, c’est une autre histoire…
Mais il demeure que c’est le Christ qui nous a libérés des contraintes alimentaires et il a fallu que vienne Mahomet pour rétablir des obligations alimentaires et d’autres pratiques en faisant reculer l’humanité de plusieurs siècles.
Par contre chez les chrétiens on enseigne :
“Il n’est nulle nourriture qui entrant en l’homme puisse le souiller, mais ce qui sort du coeur de l’homme, c’est ce qui le souille….
car la nourriture n’entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, puis s’en va dans les lieux d’aisance qui purifient tous les aliments”
Evangile de Marc, 7/15-19
HALLAL UN RACISME DISSIMULÉ
L’astuce de présenter les interdits alimentaires comme une émanation d’une volonté supérieure est observée aussi bien dans l’Ancien Testament que dans le Coran. Affirmer plus franchement que ces prescriptions ont pour seule finalité l’enfermement du croyant dans une norme culpabilisante où, à chaque instant, celui-ci craint l’égarement, aurait vu la diffusion des sectes monothéistes beaucoup moins couronnée de succès. Le judaïsme a réalisé un travail pesant dans la distinction entre le licite et l’illicite dans le Pentateuque et l’islam se contentera d’en reprendre une bonne partie. Mille quatre cents ans après l’invention de l’islam par un chamelier analphabète reconverti en chef de bande, les phobies alimentaires demeurent toujours extrêmement prégnantes dans le monde musulman. L’obsession du halal devient même une mode aux allures revendicatrices chez de nombreux jeunes musulmans : exécrer le porc devient un symbole de vertu alors que n’importe quel bon vivant non frustré par une religion castratrice s’égaillera à l’idée que “dans le cochon tout est bon“. Quel consommateur non halal ne s’est jamais senti insulté ou méprisé quand un obsédé du halal affiche son dégoût du porc ? Lorsqu’un fanatique des interdits coraniques demande, inquisiteur, la composition précise du met qui lui est aimablement proposée, comment ne pas être vexé par cette suspicion qui se porte aussi sur celui qui offre ? Spécificité culturelle ou progression rampante d’une idéologie de rejet ? Ce que les pleutres acceptent comme une prétendue spécificité culturelle (la véritable culture n’enferme pas l’individu) est en fait la progression rampante d’une idéologie de rejet de la différence. Récemment, une campagne d’affichage d’Isla Délice pour la promotion des produits halal montre divers animaux clamant qu’ils sont “fièrement halal“. Quand on sait que ces bestioles finiront égorgées par un mystique persuadé qu’Allah tient son couteau, on mesure mieux le caractère provocateur de cette campagne dont le slogan décrypté serait plutôt : “le halal est l’étendard de l’islam“. Ce qui, incidemment, montre aussi que les amateurs de halal sont encore loin d’avoir pris conscience de la nature barbare et archaïque du rituel imposé. Le concept de nourriture halal ne se limite pas à la distinction, qu’on pourrait juger anecdotique ou simplement gastronomique, entre les aliments autorisés et ceux interdits. Opposer le halal au haram relève de la même phobie de l’altérité qui a poussé l’islam à scinder le monde en deux parts, le monde de l’islam et le monde de la guerre. C’est l’un ou l’autre, sans zone alternative où les non musulmans pourraient vivre en paix. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. La dichotomie du “comme moi ou différent de moi” est en fait celle du “avec moi ou contre moi” qui constitue un très efficace facteur de haine et de guerre. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. Dans le verbiage islamique qui se repaît de nourriture “autorisée“, le non musulman est à l’image des mets qu’il consomme : un impur. On sait, depuis la Bible, que l’impureté se transmet par contact : le texte assène que, lors des règles, l’impureté de la femme dure une semaine et se transmet à quiconque la touche ainsi qu’au lit ou au siège qu’elle utilise et à tous ceux qui touchent ce lit ou ce siège (Lévitique, 15.19-30). Comme l’islam se réclame du mythe abrahamique, la sentence vaut donc aussi pour lui : on comprend bien que quiconque aura ingéré un aliment déclaré impur sera, physiquement, lui aussi affecté par la souillure. Une saucisse de Toulouse accompagnée par un Cahors, quelques huîtres non égorgées en direction de La Mecque aux côtés d’un Jurançon ou le foie gras d’un canard tué sans l’invocation d’Allah et c’est l’assurance d’être relégué dans l’infamant statut des koufar face aux pieux croyants, immaculés et purs par la seule vertu de leur nourriture. Personne d’autre que ces derniers ne montre autant d’empressement à examiner la liste complète des ingrédients d’un yaourt aux fraises pour s’assurer que n’y figure aucun émulsifiant d’origine animale, aucun colorant à base de cochenille, aucune gelée de porc, aucun alcool. L’infidèle qui n’a que faire des phobies alimentaires musulmanes n’est qu’un sous-individu que le Coran sait accabler dans d’innombrables versets de haine et de mépris. Et scinder l’humanité entre des individus purs et supérieurs et d’autres impurs et inférieurs a un nom : le racisme.
@Juvénal. Merci de votre Intéressant commentaire.
Sur le choix du mot “racisme”
Il s’agit d’un suprémacisme plutôt que d’un racisme. Les membres du “club” islamique seraient supérieurs à tous les autres non pas par leur ethnie ou leur race mais par leur croyance. C’est un sentiment de supériorité fondé sur la religion, un pouvoir légitimé par la foi.
Ce sentiment non-universaliste, où une poignée de crapules manipulent un tas d’imbéciles, est par essence antéchristique. Toute organisation suprémaciste, non universaliste, fait entrer sur elle l’ombre du Mal tout en se parant d’humanisme.
L’élevage intensif avant l’égorgement hallal.
Si nous réagissons au hallal avec l’industrialisation de l’égorgement à vif, qui est le paroxysme de l’horreur dans la maltraitance animale, qu’avons-nous compris de ces pratiques inouies du consumérisme : broyage des poussins mâles par millions, usines concentrationnaires de tortures pour tous les animaux d’élevage, abattage rituel cacher, castrations à vif des porcs, becs coupés à vifs, coupages des queues, meulage de dents, cages surpeuplés, gavages délirants es canards, … Tout ça existaient bien avant l’islamo-mania, le hallal vient juste couronner le tout de cet enfer pour le vivant.
Un suprémacisme peut en servir un autre.
Si l’islam est un suprémacisme facilement identifiable car ostensiblement conflictuel, d’autres s’en servent comme outil pour effectuer la sale besogne d’érosion du christianisme. Les sociétés discrètes que sont la Maçonnerie et ses rejetons plus discrets ont prospéré pour mettre en place leur vision d’un monde “libéré” de Dieu et favorable au talmudo-kabbalisme.
Goy, profane, dhimmi… Pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font.
Et tout cela avec la bénédiction urbi et orbi de tous nos pasteurs dont le chef lui même .
Les catholiques devraient se réjouir de l’interdiction du burkini et de la burka mais ne nous leurrons pas cette interdiction préfigure aussi la future interdiction du port de la soutane et des habits religieux.
Vous me direz que l’Eglise n’a pas attendu tout ça pour “déshabiller prêtres ,religieux et religieuses ,tiens… y aurait il eu connivence ?
Je partage votre désarroi Marie C. Car les tenues de nos religieux seront interdites, alors que ce ne sont pas vraiement celles qui nous dérange, mais celles des musulman-e-s provocateurs/trices elles seront tolérées par nos abrutis de décideurs.
Il est donc nécessaire de faire comprendre à tous ces hypocrites et traitres de toutes natures, notre colère lors des prochaines élections.
Marie C.
Vous accusez l’Eglise, alors que l’Eglise est sainte. Vous devriez indiquer des noms et référencer vos affirmations, vous seriez plus crédible, et cela vous éviterait de pécher par calomnie.
Avec tout le respect que je vous dois Monsieur l’abbé ,n’accusez vous pas vous même l’Eglise
D’ENTRETENIR L’HERESIE DE L’ISLAM
L’Eglise qui entretient une hérésie n’es ce pas la pire des calomnies ???
C’est plutôt une amère constatation
Rassurez vous je suis entièrement de vôtre avis ,mais ne faut il pas faire la distinction entre l’Eglise et les hommes d’Eglise ,pape compris .
Certains disent qu’il y aurait eu 50 anti papes ou faux papes ,il y a même eu de longues périodes de vacance entre le décès d’un pape et une nouvelle élection et ça n’a pas empêché l’Eglise d’exister .
La période que nous vivons est douloureuse ,prêtres évêques et même les différents derniers papes agissent comme s’ils n’avaient plus la foi ,la vraie foi enseignée par le Christ n’est plus visible chez eux .
ILS N’AGISSENT PLUS SELON LA TRADITION DE L’EGLISE .
Un catho se faisant passer pour plus “tradi” que les “tradis” eux-mêmes – mauvais déguisement, affreuse caricature – qui passe plus de temps à critiquer l’église que les traditionnalistes eux-mêmes, avec les mêmes tics de pseudo en pseudo (Gautron/Marion/Hermine/Maric C./
Prochains pseudos; Germain D ou Marie-Chantal, qu’en pensez-vous?
OU UN NON-CATHOLIQUE PARTICULIEREMENT MANIPULATEUR? CHERCHANT A CASSER CE QU’IL EST CENSE ADORER ET PROTEGER? OU CRITIQUER EN PETIT COMITE ETCERTAINEMENT PAS SUR UN TEL SITE DONT CE N’EST PAS LE THEME?
Combien de temps notre modération tolérera que notre père et notre religion soient attaqués par celui qui n’est certainement pas des nôtres?
Votre dévoué
LA MODERATION PEUT SUPPRIMER CE MESSAGE A LA CONDITION DE NE PLUS NOUS IMPOSER CE XXXXXXX…
Bonjour,
Le burkini est bien plus que cela. La décision du conseil d’Etat est un marqueur, un tournant historique.
Elle est la preuve essentielle pour comprendre que la laicité n’a pas vocation à limiter le fait religieux dans l’espace public mais spécifiquement la chrétienté au sens civilisationnel. Les déclarations de Vincent Peillon ne laissaient guère de doute, mais voilà un acte décisif clairement posé par l’institution, qui met en évidence le deux poids deux mesures et la valorisation à venir de l’islam politique au sein de la République.
Cette polémique voit une jonction impossible se réaliser : la splendide alliance entre les bobocrates et les musulmans prosélytes. Alors qu’il n’y avait que rencontre lorsque les premiers se ravitaillaient en herbe marocaine chez les enfants des seconds, c’est aujourd’hui une embrassade qui est possible, les antithétiques superbement réunis d’une façon improbable et les médias de célébrer cette alliance avec l’appui de “médias étrangers” :
https://www.youtube.com/watch?v=njERcgAT7U8
les ultra-féministes avec les misogynes,
les sophistes avec les rhéteurs dissimulateurs,
les pseudo-laiques avec les prosélytes islamiques,
les libéral-libertaires avec les totalitaires chariatanesques,
les masses athées virulentes avec les hordes mahométanes conquérantes,
les porn-idiocrates dépravés avec les vertueux de pacotille,
les adultères avec les mariés à la nuit,
les traitres à la mémoire de leurs ancêtres avec les truqueurs d’Histoire,
les avorteurs avec les égorgeurs à vifs d’animaux d’élevage (hallal),
les pro-mariage gay avec les polygames,
les loueurs de ventres féminins avec les exciseurs,
les multi-culturalistes naifs avec le monolithe culturel arabo-mahométane,
les enfants des frères-maçons avec les enfants des frères musulmans (emblème avec deux sabres pour promouvoir la paix par la miséricorde),
les brebis , victimes consentantes avec les loups affamés de revanche anti-coloniale,
les crétins avec les hypocrites,
ceux qui se prennent pour Dieu avec ceux qui le caricaturent.
Avec le burkini, c’est l’improbable union des bourreaux de la civilisation chrétienne qui est réalisée… De cette jonction naîtra une vassalité dont l’on devine aisément le perdant grâce à l’antériorité de nations s’occidentalisant mais effondrées par le cancer islamique (Turquie, de l’Egypte, de l’Iran,…)
Les bobocrates appelleront bientôt à l’enseignement de l’arabe dans l’école républicaine, la destruction des églises vidées pour construire des logements sociaux, des hôpitaux avec quotas minima d’avortements dans un premier temps et salle de circoncisions dans un second, les cimetières chrétiens seront profanés pour faire de la place aux défunts musulmans et aux mosquées, la séparation H/F dans certains espaces publics sera tolérée, de la viande égorgée à vif pour tous, … Dans un étrange syndrome de Stockholm, certains réaliseront avoir été trop loin et acceptant l’idée de Dieu, jugeront les quelques saines valeurs restructurantes de l’islam comme étant des garanties pour le reste.
Une bien belle France, promise à devenir un bel asile de tarés. A côté de Paris, Sodome et Gomohre paraît être une ville d’enfants de choeur. Une bien belle dégustation de la connaissance du Bien et du Mal en perspective pour les européens.
Benoit, Vous avez tout à fait résumé la poubelle religieuse et dictatoriale que va devenir notre beau et cher pays envahi de tarés. À cause de nos inconscients de politicards à deux sous, je dirais plutôt que nos abrutis d’élu-e-s et ou traitres au pays acceptent pour quelques poignées d’électorat musulman et surtout islamiste d’islamiser notre pays et se voir imposer leur sharia. Que ceux qui souhaitent partager ces baignades avec leur pollution de burkinis aillent et ou continuent d’aller dans ces pays mais ne nous l’impose pas. J’espère bien qu’ils se prendront une raclée magistrale aux prochaines élections. Bien que rien n’est moins sûr vu que la plupart des électeurs ont la mémoire très courte en matière d’élection et les méfaits de bon nombre de personnages politiques. Dont certains se font financer leurs campagnes électorales par ces pays islamistes ; sarkozy par la maudite arabie saoudite. Et pour finir j’apporte mon soutien aux maires qui ont osé interdire la,présence de ces burkinis sur les plages. Mais il est aussi nécessaire de les interdire en tous lieux publics et commerciaux.
Car eux pourront toujours s’éxilés dans les iles et ailleurs pour échapper à leur ultra et débiles vindictes religieuses. Que nous n’aurons pas forcément le choix pour y échapper.
Bonjour,
Avant la deuxième GM et dès 1930, la militarisation de l’Allemagne était impossible à cacher aux Français à moins d’une connivence étendue d’individus à des postes clés (commission de défense, médias, politiques) . Quelle institution selon vous, aurait pu être l’instrument de cette connivence, permettant un silence total sur l’instauration du 3 Reich (réunions de masses à Nuremberg, Munich,…, arrêt des processions mariales, embrigadement massif de la jeunesse) ?
Avant la 3 ème GM et dès 1995, l’islamisation de l’Europe était impossible à cacher aux Français à moins d’une connivence étendue d’individus à des postes clés. Quelle institution selon vous, va être l’instrument de cette connivence, permettant un silence total sur le niveau d’infiltration
avant l’instauration ou du Califat d’Europe ou de l’Hyper-Empire Kabbaliste ?
Vous trouverez sur cette chaine youtube “recommandable pour vous”, une série de 7 vidéos sur l’état des lieux de la France. Rassemblant les meilleurs déclarations démontrant que nos grands élus et responsables clés (administration et médias) sont tout sauf abrutis ou incompétents : nombreux croient en un Dieu mais le cachent, les autres les miment par ambition et vanité.
Les pays islamiques finançant nos représentants n’ont de l’argent que parce que nous voulons bien leur en donner grâce à notre société de consommation/pollution et de vente d’armes de hautes technologie tout autant antichritiques que l’islam.
Pour ma part, je ne crois ni au string au burkini.
Interdit de boire du vin (ce qui a permis de ruiner quelques juifs qui avaient le monopole de son commerce). Mais le coca cola ?
Perso, je trouve que c’est une bonne idée comme maillot de bain, on peut se baigner en pudeur et si on ne souhaite pas montrer son corps.
A quand un maillot de bain chrétien?
Inutile. Jésus ne se baignait pas puisqu’il marchait sur l’eau !
C’est vrai , maintenant que j’y pense ,
je n’ai jamais vu une famille musulmane avec un chien à la maison !
Ben ça alors !
Pas étonnant qu’à subir toutes ces contraintes moyenâgeuses ils deviennent un peu “tarés”, obsédés, coincés… Ces privations de libertés sont débiles, mais leurs esprits naïfs ou pervers s’y contraignent. On ne veut plus voir progresser cette religion qui tape sur les nerfs, on ne veut plus voir ces femmes réduites à esclavages avec leurs accoutrements. L’Europe a des siècles d’avance sur leur culture et refuse de les perdre.
et pour le patin à glace, qu’est-ce qu’il en dit, Mahomet ?