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Dans la première vidéo, Catherine Austin Fitts, ex-banquière ayant travaillé au Secrétariat d’Etat au logement sous l’administration George W. Bush, à l’origine de la dénonciation de nombreuses fraudes, et qui a fondé la société de Conseil Solari qu’elle dirige, explique en détail le plan des banquiers qui dirigent ce monde, les raisons de l’utilisation du coronavirus, le rôle des gouvernements corrompus, la mission assignée aux forces de la répression, la tâche des médias dans la tromperie et la manipulation des esprits, les émeutes gigantesques à venir et la violence dont nous allons être victimes, le rôles des immigrés dans une opération de division pour régner, et les raisons abjectes de la vaccination criminelle qui feront de nous des êtres sous surveillance informatique dans une dictature pire que le régime chinois qui sert d’exemple à la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.
La deuxième vidéo est une illustration de la manipulation de masse des esprits par la peur et le mensonge. Il s’agit d’une remarquable et minutieuse analyse statistique des chiffres de l’état civil selon les données officielles. Pour les moins de 50 ans, l’effet COVID est nul ; il est quasi nul pour les 51 à 65 ans ; au-delà, il est visible mais n’ampute vraisemblablement pas de façon sensible l’espérance de vie.
Dans la troisième vidéo, Jacques Attali dévoile le plan macabre de la dictature sanitaire actuelle quarante ans à l’avance (1979) …
La quatrième vidéo ci-dessous est un documentaire intitulé “MAL TRAITÉS – Covid-19” qui montre comment les malades ont été volontairement privés de remèdes efficaces en raison de la gestion surréaliste de la pandémie du covid …
“Le citoyen est obligé en conscience de ne pas suivre les prescriptions des autorités civiles quand ces préceptes sont contraires aux exigences de l’ordre moral, aux droits fondamentaux des personnes ou aux enseignements de l’Evangile. Le refus d’obéissance aux autorités civiles, lorsque leurs exigences sont contraires à celles de la conscience droite, trouve sa justification dans la distinction entre le service de Dieu et le service de la communauté politique. ” Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu ” (Mt 22, 21). ” Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ” (Ac 5, 29) :
Si l’autorité publique, débordant sa compétence, opprime les citoyens, que ceux-ci ne refusent pas ce qui est objectivement demandé par le bien commun. Il leur est cependant permis de défendre leurs droits et ceux de leurs concitoyens contre les abus du pouvoir, en respectant les limites tracées par la loi naturelle et la loi évangélique.
La résistance à l’oppression du pouvoir politique ne recourra pas légitimement aux armes, sauf si se trouvent réunis les conditions suivantes : (1) en cas de violations certaines, graves et prolongées des droits fondamentaux ; (2) après avoir épuisé tous les autres recours ; (3) sans provoquer des désordres pires ; (4) qu’il y ait un espoir fondé de réussite ; (5) s’il est impossible de prévoir raisonnablement des solutions meilleures. (Catéchisme de l’Eglise Catholique n°2242 & 2243 )”
Bref, il est indispensable et urgent que les responsables syndicaux et politiques décrètent le devoir de désobéir par l’ouverture immédiate des commerces et des entreprises en disant M… au gouverne-ment ! C’est une question de vie ou de mort, de liberté ou d’esclavage !
Chers amis,
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.
Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit non moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement. Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05 % ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.
On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.
C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.
Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.
Christian PERRONNE
Pro ou anti vaccin : l’avis du psychiatre Frédéric Badel, de Bordeaux, spécialisé dans les stress post-traumatiques :
C’est un texte particulièrement intéressant rédigé par le psychiatre Frédéric Badel dans le journal catalan, au sujet de la fracture (une de plus) dans la société française entre les pro et les anti vaccin Covid-19. Ce dernier y évoque une « population désormais scindée en deux ».
Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin. Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu’il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes. Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits.
On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.
Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l’influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification, etc.). Ces personnes ont également intégré qu’une vaccination n’exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.
Ces deux groupes sont désormais séparés par une ligne qu’il sera difficile de faire bouger. La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer, sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits.
Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.
Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité – opportunité ? – désormais envisageable. Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables, et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l’obéissance à la règle.
Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n’est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d’élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences. Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins.
Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.
Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres – ici au virus mortel -, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.
Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun car simpliste, et hélas adoptée.
Le cap est franchi. Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n’a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Il a fait tout son possible dans le domaine de la manipulation, il a mobilisé toutes les sphères d’influence tout en restant crédible auprès d’une partie importante de la population. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d’autres méthodes plus coercitives encore s’imposent.
Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu’un gouvernement démocratiquement élu puisse se retourner contre son peuple ?
Aujourd’hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.
Demain, n’importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes. Et si les tests actuels sont encore utilisés -contre toute logique-, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle.
Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates d’apparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés. Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.
Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d’assurer leur salut. Ce qui fait l’humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé. Le tissu social s’est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires. La dictature est en marche.
Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n’en est que le prétexte, le catalyseur. Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donne du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d’instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels.
Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau. »
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> Le blog de Jeanne Smits
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> Pamela Acker précise et source ses affirmations sur l’utilisation de cellules provenant de bébés avortés pour produire de nombreux vaccins COVID-19 (traduction intégrale)
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> Posted: 23 Feb 2021 02:51 PM PST
> A la suite de l’entretien accordé à la mi-janvier par Pamela Acker à John-Henry Westen pour LifeSite, Pamela Acker a vu certaines de ses affirmations sur l’inacceptabilité de l’utilisation de lignées cellulaires trouvant leur origine dans des fœtus avortés contestés par des lecteurs. D’autres ont demandé des éclaircissements et des précisions.
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> Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale de sa réponse publiée vendredi dernier par LifeSite, où figure la totalité des sources citées par Pamela Acker par le biais de liens actifs. Il est donc possible à chacun de vérifier le sérieux de ses dires. – J.S.
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> Un certain nombre de questions ont été posées à LifeSiteNews à propos d’une interview que j’ai donnée à John-Henry Westen le 12 janvier 2021 [traduction française intégrale ici]. On m’a demandé de répondre à certaines de ces questions, en commençant par des interrogations sur l’origine de la lignée cellulaire HEK-293, qui a été utilisée dans le développement de nombreux vaccins COVID actuellement à l’essai.
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> Frank Graham, le chercheur qui a développé cette lignée, a tiré son nom de son origine (rein embryonnaire humain) et aussi de la méthode qu’il a utilisée pour numéroter ses expériences (c’était la 293e). Dans l’interview accordée à LifeSite, j’ai émis l’hypothèse que cette lignée cellulaire pourrait avoir été le fruit de centaines d’avortements. D’aucuns ont remis cette hypothèse en question, affirmant que Frank Graham lui-même a déclaré que ladite lignée cellulaire était basée sur un seul avortement et deux expériences. Il est allégué que par conséquent, c’est l’affirmation selon laquelle un seul avortement a été pratiqué qui est correcte, ce que cela a des répercussions sur la nature morale de la décision d’utiliser ou non ces vaccins entachés par l’avortement.
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> Plusieurs aspects de ce raisonnement doivent être abordés. Le premier est celui qui concerne le développement d’une lignée cellulaire.
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> Lorsqu’une lignée cellulaire est développée (qu’il s’agisse d’une lignée cellulaire humaine ou animale), elle est généralement produite à partir d’un échantillon de tissu provenant d’un seul individu (les lignées cellulaires hybrides font exception). Ainsi, d’une part, il est techniquement correct de dire que la lignée cellulaire a été développée en utilisant un seul bébé avorté. Cependant, cela ne donne pas une idée exacte du nombre de vies qui ont été réellement sacrifiées dans le processus de développement d’une lignée cellulaire de fœtus avorté.
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> Une analogie peut être utile ici. Supposons que je fasse un gâteau pour l’anniversaire d’un ami. Je ne suis pas excellent pâtissière, alors la première tentative échoue parce que j’ai ajouté une mauvaise quantité de farine. Ensuite, j’essaie une deuxième fois de faire un gâteau et j’oublie d’ajouter la levure chimique ; ce gâteau ne monte pas et je dois le jeter. La troisième fois, un enfant en bas âge le fait peut-être tomber par terre. Finalement, au quatrième essai, je parviens à produire une pâtisserie comestible. Maintenant, il serait techniquement vrai de dire que le gâteau nécessite exactement la quantité d’ingrédients que j’ai mis dans le quatrième gâteau, mais il serait plus exact (surtout si je dois comptabiliser les achats dans le budget familial) d’admettre que les matières premières nécessaires comprennent également celles des trois gâteaux ratés.
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> Malheureusement, comme John-Henry Westen l’a montré récemment au travers d’un document, il n’est pas rare que les chercheurs en vaccins dissimulent de la même façon en évoquant l’utilisation de tissus fœtaux avortés dans leurs recherches. Le Dr Stanley Plotkin, qui a fait une déposition de neuf heures sur son travail avec des tissus de fœtus avortés dans des vaccins, a publiquement affirmé que seuls deux avortements étaient impliqués dans la création des lignées cellulaires utilisées dans les vaccins. Bien qu’il ne s’agisse pas techniquement d’un mensonge manifeste, cette affirmation ignore les 74 autres fœtus avortés qui ont été utilisés dans les expériences menées par le Dr Plotkin lui-même alors qu’il travaillait sur la mise au point de vaccins à base de cellules de fœtus avortés. En fait, il ne compte que les avortements qui ont abouti au « produit fini » et non ceux qui ont été impliqués dans la recherche et le développement qui ont rendu les lignées cellulaires possibles. Cela induit en erreur ceux qui tentent d’évaluer la gravité de l’utilisation de ces lignées cellulaires.
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> L’affirmation selon laquelle la lignée HEK-293 a été développée en utilisant un seul bébé avorté est tout aussi imprécise. Les carnets de Frank Graham de l’époque où il travaillait à l’université de Leyde n’ont pas été publiés, mais il y a des indices dans d’autres documents de recherche publics qui montrent que son travail a impliqué davantage que le seul spécimen final dont HEK-293 a été dérivé. Un article de 2002, par exemple, traite des expériences réalisées sur HEK-218 et HER-224 (rétine d’embryon humain), qui ont toutes deux été attribuées à M. Graham et qui suivent son schéma de désignation. À l’heure actuelle, on ne sait pas exactement combien de bébés ont été avortés pour ses recherches, et il est probable que le public n’en saura rien, à moins que M. Graham ne décide de rendre ses carnets publics.
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> L’utilisation de multiples bébés avortés pour développer des lignées cellulaires (en raison de multiples tentatives infructueuses de produire quelque chose de viable et de suffisamment robuste) a été régulièrement documentée. De nombreuses lignées cellulaires de fœtus avortés (et toutes les lignées cellulaires de fœtus avortés utilisées dans les vaccins actuellement autorisés) sont l’aboutissement d’une série d’expériences qui ont inclus de multiples fœtus avortés. Ces informations sont publiées dans leur intégralité sur le site web « Children of God for Life », mais une brève liste suffira pour nos besoins :
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> a. La lignée cellulaire WI-38 (utilisée dans les vaccins ROR et contre le zona) provient du 32e bébé qui a été utilisé dans une série d’expériences. Les autres lignées cellulaires qui sont sorties de l’Institut Wistar comprennent la lignée WI-26 (provenant du 20e bébé) et la lignée WI-44 (du 38e bébé).
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> b. La lignée MRC-5 (utilisée dans les vaccins contre l’hépatite A, la rougeole et le zona) a nécessité 5 avortements avant de se développer.
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> c. WALVAX2, la lignée cellulaire fœtale avortée la plus récente, provient du 9e bébé avorté d’une série.
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> d. RA273, qui est le virus utilisé dans le vaccin contre la rubéole, provient du 27e bébé avorté dans le but de trouver le virus. Les mères qui ont été infectées par le virus de la rubéole pendant leur grossesse ont été activement encouragées à avorter. Quarante autres avortements volontaires de bébés exposés à la rubéole ont été pratiqués par la suite, bien que la souche RA273 soit celle qui a finalement été utilisée dans la préparation finale du vaccin.
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> Bien que le nombre d’avortements impliqués dans la production de ces lignées cellulaires devrait nous consterner, il convient de souligner ici qu’un seul avortement suffit à rendre illicite l’origine d’une lignée cellulaire. Nous ne devons pas nous bercer d’illusions en pensant que moins d’avortements rendraient la chose plus acceptable. Comme je ne suis pas un théologien moral, je renvoie le lecteur aux déclarations du père Phil Wolfe, du père Chad Ripperger, du père Michael Copenhagen et de Mgr Athanasius Schneider à ce sujet. C’est un point d’une importance capitale pour les catholiques : il ne suffit pas de prétendre que la participation au processus d’avortement est « matérielle » et « lointaine » lorsque les sous-produits de ces avortements sont acceptés et utilisés.
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> Une autre question soulevée à propos de l’utilisation de cellules foetales avortées dans les vaccins COVID consiste à dire que cette utilisation ne provoquerait pas un scandale suffisant pour qu’elle soit interdite aux fidèles, et qu’elle n’entraînera certainement pas une utilisation accrue de foetus avortés dans la recherche sur les vaccins. Hélas, ce n’est tout simplement pas vrai.
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> L’utilisation de lignées cellulaires de fœtus avortés dans la recherche médicale, à quelque niveau que ce soit, alimente une acceptation croissante de l’utilisation de bébés avortés dans d’autres types de recherche médicale – tant en termes de quantité de recherches effectuées que de l’escalade dans la monstruosité. Ce problème est indépendant du nombre initial d’avortements engagés pour obtenir une lignée cellulaire et ne pourra qu’être exacerbé par l’acceptation des vaccins COVID dérivés du HEK-293.
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> Quelques exemples devraient suffire, mais on pourrait en citer beaucoup d’autres :
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> a. L’histoire est longue des nouvelles lignées cellulaires fœtales avortées qui ont été développées pour remplacer des lignées cellulaires plus anciennes et sénescentes (les lignées cellulaires provenant de fœtus avortés s’éteignent et ne sont pas véritablement immortelles). Les lignées IMR-90 et IMR-91, développées à la fin des années 1970 et au début des années 1980, sont des lignées cellulaires sur mesure obtenues à partir d’avortements afin d’imiter les lignées WI-38 et MRC-5. WALVAX2, qui a été développé en 2015, visait à offrir aux chercheurs un remplacement à ces deux mêmes lignées cellulaires, qui étaient désormais en diminution ou difficiles à obtenir au niveau international.
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> b. L’utilisation croissante de lignées cellulaires de fœtus avortés conduit à s’intéresser à la recherche sur les cellules souches embryonnaires (E.S.), qui implique la création et la destruction de la vie humaine en continu. Un article paru dans le Scientific American rapporte ainsi : “Les lignées de cellules fœtales du commerce sont d’une utilité limitée pour les scientifiques car elles n’imitent pas fidèlement les tissus natifs et ne représentent qu’un sous-ensemble des types de cellules : WI-38 et MRC-5, par exemple, ont été dérivées de poumons de foetus. Les lignées peuvent également accumuler des mutations après s’être reproduites in vitro au fil du temps”. En 2018, après la résiliation d’un contrat fédéral portant sur les tissus fœtaux humains, 64 institutions médicales et scientifiques ont signé un appel au Congrès pour qu’il ne perturbe pas leur approvisionnement en tissus fœtaux.
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> c. La législation autorisant la recherche sur les tissus fœtaux avortés et les cellules souches embryonnaires s’est considérablement développée au cours des dernières décennies. En 1993, le président Clinton a annulé un moratoire de cinq ans sur la recherche sur les tissus de fœtus avortés. En 2001, le président Bush a ouvert le domaine de la recherche sur les cellules souches embryonnaires (CSE) en autorisant l’expérimentation sur des « embryons déjà existants ». En 2009, le président Obama a encore assoupli les restrictions sur la recherche sur les cellules souches embryonnaires, permettant aux chercheurs d’obtenir délibérément davantage de cellules souches embryonnaires. Les décrets de Bush et d’Obama ont permis le financement fédéral de la recherche sur les cellules souches embryonnaires ; dans le même temps, les universités trouvaient déjà des moyens de contourner la législation gouvernementale qui restreignait la recherche, et elles utilisaient les CSE sans tenir compte des réglementations fédérales.
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> d. Des sondages Gallup indiquent que le pourcentage de la population américaine qui pense que la recherche sur les cellules SE est moralement acceptable a augmenté de 14 % entre 2002 et 2020 – si bien qu’aujourd’hui près d’un tiers de tous les Américains affirment n’être en rien gênés par cette recherche.
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> e. Planned Parenthood a été accusé de manière répétée de faire du trafic de tissus provenant d’avortements pratiqués dans ses installations, et indépendamment du fait que la société « tire profit » ou non de ces tissus, elle les fournit certainement aux chercheurs sous le couvert de « dons de tissus ».
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> f. Des tissus fœtaux avortés sont maintenant utilisés dans des expériences qu’il serait contraire à l’éthique d’effectuer sur des êtres humains vivants et qui ne peuvent être décrites que comme monstrueusement grotesques : comme fabriquer des souris « humanisées » pour mener des expériences sur les lésions à long terme des organes dans des modèles de maladie. Selon un rapport publié en 2015 dans Scientific American, « Chaque mois, Lishan Su reçoit une petite éprouvette sur glace d’une entreprise de Californie. On y trouve un morceau de foie provenant d’un fœtus humain avorté entre 14 et 19 semaines de grossesse ». Dans une recherche publiée par Yash Agarwal et al. en 2020, la peau, le cuir chevelu, le foie, le thymus et la rate de fœtus avortés ont été récoltés et greffés sur des souris. Les images de cheveux de bébé sur le dos des animaux, qui ont été publiées dans le cadre de l’article de recherche, sont profondément troublantes.
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>
> Deux autres points concernant le témoignage de M. Graham sur la lignée HEK-293 méritent d’être mentionnés : le fait que les cellules qu’il a utilisées pour son expérience étaient dans le congélateur au moment de son arrivée au laboratoire et qu’il avait cru comprendre que l’avortement avait été pratiqué à des “fins thérapeutiques” car l’avortement n’était pas légal dans le pays à l’époque. Aucun de ces faits ne change la nature de la lignée cellulaire HEK-293 ou son statut moral douteux.
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> En particulier, le fait que les cellules aient été conservées dans le congélateur donne plus de crédit à la déduction selon laquelle HEK-293 provient d’un fœtus avorté. Le succès et la longévité de HEK-293 suggèrent que le spécimen était remarquablement bien adapté à la culture. En raison de l’impossibilité biologique de créer une lignée cellulaire vivante à partir de tissus morts, et de l’improbabilité pratique et biologique d’obtenir des tissus vivants à partir d’un fœtus avorté (fausse couche), il est beaucoup plus probable que le bébé dont HEK-293 est issu ait été avorté et vivant au moment de l’extraction du tissu – ou tout au plus décédé depuis quelques instants seulement. Dans une interview donnée à ALL, le Dr. C. Ward Kischer, embryologiste et professeur émérite d’anatomie du Collège de Médecine de l’université de l’Arizona, a déclaré ce qui suit concernant les cellules obtenues pour des lignées cellulaires de fœtus avortés : « Pour pouvoir maintenir 95 % des cellules, le tissu vivant devrait être préservé dans les 5 minutes suivant l’avortement. (…) En moins d’une heure, les cellules auraient continué à se détériorer, rendant le spécimen inutile. »
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> Pour finir, je sais qu’un certain nombre de questions ont également été posées à LifeSite au sujet des avortements par césarienne, et cela rejoint la déclaration de M. Graham sur les avortements thérapeutiques. Je vais citer directement un article de Children of God for life qui comprend des sections d’articles scientifiques décrivant comment ces avortements « thérapeutiques » sont pratiqués :
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> Les scientifiques ont noté qu’il s’agissait de fœtus intacts (et non d’embryons, soit dit en passant, puisque la plupart ont largement dépassé le stade embryonnaire). Tout comme les avortements de New York obtenus par césarienne, ceux pratiqués à l’hôpital Lying-in/Women’s Hospital de Boston entre la fin des années 1940 et le début des années 1950 étaient également réalisés ainsi.
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> Selon les docteurs Enders et Wells, qui ont remporté le prix Nobel pour leurs recherches sur la polio :
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> Cela a été obtenu sous précautions stériles au moment d’une hystérotomie abdominale pour des raisons thérapeutiques. Des embryons de 12 à 18 semaines de gestation ont été utilisés. Rarement, des tissus ont été obtenus à partir de fœtus mort-nés, ou de prématurés lors de l’autopsie… Dans les expériences sur la propagation prolongée du virus, trois sortes de matériaux embryonnaires ont été utilisés : des éléments de peau, de tissu conjonctif et de muscle ; du tissu intestinal ; du tissu cérébral. Les tissus embryonnaires étaient préparés de la manière suivante. Chaque fois que cela était possible, l’embryon était retiré de la poche amniotique en prenant des précautions stériles, transféré dans une serviette stérile et maintenu à 5° C jusqu’à la dissection. [11]
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> Pour expliquer cela plus en détail, le type d’avortement pratiqué – « hystérotomie abdominale » – qui est un type de césarienne, et non une hystérectomie – était un indice révélateur de ce que faisaient ces médecins. Selon le Journal of Obstetrics and Gynecology, parce que l’hystérotomie abdominale est considérée comme une chirurgie majeure et non comme une méthode de routine pour mettre fin à une grossesse précoce, ils ont précisé : « Elle n’est pratiquée que dans des circonstances particulières, par exemple lorsqu’une stérilisation est nécessaire en plus de l’interruption de grossesse, comme dans le cas d’une maladie cardiaque, du diabète, de la tuberculose ou d’une maladie mentale. Sinon, elle est employée après le deuxième trimestre. »
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> Le Dr Gonzalo Herranz, professeur d’histologie et d’embryologie générale à l’Université de Navarre, en Espagne, qui est un fervent défenseur de la vie et s’oppose catégoriquement à ce type de recherche, décrit comment les avortements devraient idéalement être pratiqués lorsque du matériel fœtal est utilisé :
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> « La bonne manière consiste à avoir recours à la césarienne ou à l’ablation de l’utérus. C’est la seule façon de garantir la stérilité bactériologique. Dans les deux cas, donc, pour obtenir des cellules embryonnaires à mettre en culture, il faut adopter un avortement programmé, en choisissant l’âge de l’embryon et en le disséquant de son vivant pour prélever des tissus à placer dans un milieu de culture ». [12]
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> Citation 11 : Thomas H. Weller, John F. Enders, Frederick C. Robbins et Marguerite B. Stoddard ; Studies on the Cultivation of Poliomyelitis Viruses in Tissue Culture : I. The Propagation of Poliomyelitis Viruses in Suspended Cell Cultures of Various Human Tissue ; Journal of Immunology 1952;69;645-671
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> Citation 12 : Pietro Croce, MD, Vivisection or Science – a choice to make, Fetal Experimentation-Over the top ; Part 1, p. 99-108.CIVIS, 1991, Fondation Hans Ruesch.
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> En raison de la nécessité de maintenir une culture stérile de tissus pour le développement d’une lignée cellulaire, il semble raisonnable de conclure qu’il aura fallu – au minimum – un arrangement préalable pour obtenir des tissus stériles et non macérés du foetus utilisé pour la HEK-293. Le moyen le plus simple et le plus sûr d’y parvenir est la méthode chirurgicale d’extraction du fœtus entier que j’ai décrite dans mon interview et qui est citée ci-dessus.
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> En tant que catholiques, nous devons nous en tenir à l’instruction selon laquelle nous avons l’obligation de nous opposer au mal moral que représentent les lignées cellulaires de fœtus avortés dans les vaccins. Je terminerai par les mots du Catéchisme du Concile de Trente, qui enseigne si clairement quelle doit être notre réponse aux vaccins liés à des foetus avortés, dans son explication de la pétition “délivrez-nous du mal” qui nous a été donnée dans le Notre Père (c’est moi qui souligne) :
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> Il faut engager fortement les Fidèles, à l’exemple du Prophète, à prier de cette manière vraiment salutaire, et bien leur montrer la différence qui existe entre la prière des infidèles et celle des Chrétiens.
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> C’est qu’en effet les infidèles prient aussi et avec ardeur. Ils demandent à la Divinité la guérison de leurs plaies et de leurs maladies, ils la supplient de les faire sortir des maux qui les accablent, ou qui les menacent. Mais en même temps, ils placent le principal espoir de leur délivrance dans les remèdes de la nature ou de l’art. Ils vont plus loin même, car ils acceptent sans scrupule les remèdes du premier venu, quand même ils sauraient que ces remèdes ont été préparés avec sortilèges, magie et intervention du démon. Il suffit pour les déterminer qu’ils aient le moindre espoir de recouvrer la santé.
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> Mais la conduite des Chrétiens est bien différente. Dans leurs maladies, dans leurs adversités, Dieu est leur principal refuge et, à vrai dire, leur seul soutien. Précisément parce qu’ils Le reconnaissent, et L’adorent comme l’Auteur de tout bien, et leur Libérateur, ils n’oublient point que les remèdes n’ont de vertu curative que celle que Dieu leur a donnée, et par suite qu’ils ne sont utiles aux malades qu’autant que Dieu le veut. La médecine en effet vient de Dieu, qui l’a donnée Lui-même aux hommes pour guérir leurs maladies. De là ces paroles de l’Ecclésiastique: « Le très Haut a fait produire à la terre les remèdes, et l’homme prudent ne les dédaignera pas. » Aussi ceux qui appartiennent à Jésus-Christ ne mettent point dans ces remèdes leur principal espoir de guérison ; mais ils se confient surtout en Dieu qui est le Créateur même de la médecine.
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> C’est pourquoi nos Saints Livres reprennent fortement ceux qui ont trop de confiance dans la science, et ne demandent aucun secours à Dieu. Il y a plus, ceux qui mènent une vie conforme aux préceptes du Seigneur, s’abstiennent de tous les remèdes que Dieu n’a pas destinés à cette fin ; quand même ils seraient assurés de guérir par ce moyen, ils ne laisseraient pas de les avoir en horreur comme des artifices et des enchantements du démon. [C’est moi qui souligne.]
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> Il ne devrait pas être nécessaire de recourir à une argumentation extraordinaire pour établir que Dieu n’a pas voulu que les corps des bébés assassinés soient utilisés à des fins médicales. Abstenons-nous donc de ces vaccins souillés par l’avortement et ne soyons pas coupables de refuser de suivre les lois de Dieu.
> Pamela Acker
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> © leblogdejeannesmits pour la traduction.
Le livre « Tactique du Diable » paru en 1941, est une véritable intuition prophétique à la lumière des événements que nous vivons aujourd’hui
Extrait: – Et comment as-tu fait pour amener autant d’âmes en enfer à l’époque ?
– Grâce à la peur.
– Oh, oui. Excellente stratégie: vieille et toujours actuelle. Mais de quoi avaient-ils peur? Peur d’être torturés? Peur de la guerre? Peur de la faim?
– Non. Peur de tomber malade.
– Mais personne d’autre ne tombait malade à l’époque?
– Si, ils tombaient malades.
– Personne d’autre ne mourait?
– Si, ils mouraient.
– Mais il n’y avait pas de remède à la maladie ?
– Il y en avait.
– Alors je ne comprends pas.
– Comme personne d’autre ne croyait ou n’enseignait sur la vie éternelle et la mort, ils pensaient qu’ils n’avaient que cette vie, et ils s’y accrochaient de toutes leurs forces, même si cela leur coûtait leurs affections (ils ne s’embrassaient plus, ne se saluaient plus, ils n’ont eu aucun contact humain pendant des jours et des jours!); leur argent (ils ont perdu leur emploi, dépensé toutes leurs économies, et pensaient encore avoir de la chance parce qu’ils n’avaient pas à gagner leur pain!) leur intelligence (un jour, la presse disait une chose et le lendemain elle se contredisait, pourtant ils croyaient à tout!), leur liberté (ils ne sortaient pas de chez eux, ne marchaient pas, ne rendaient pas visite à leurs proches… C’était un grand camp de concentration pour prisonniers volontaires! Ahahahahah !). Ils ont tout accepté, tout, tant qu’ils pouvaient prolonger leur misérable vie un jour de plus. Ils n’avaient plus la moindre idée que c’est Lui, et Lui seul, qui donne la vie et la termine. Ça s’est passé comme ça! Ça n’avait jamais été aussi facile.
Article complet :
https://guyboulianne.com/2021/01/17/le-livre-tactique-du-diable-paru-en-1941-est-une-veritable-intuition-prophetique-a-la-lumiere-des-evenements-que-nous-vivons-aujourdhui/
Ce sont là, les douleurs de l’enfantement d’un monde terrible.
Je me demande si la Mère de Dieu n’a pas prophétisé à Fatima, ces événements qui annoncent une dictature à venir sans précédent.”
Ce sont là, les premières douleurs de l’enfantement d’un monde terrible. Une dictature sans précédent. Je me demande si la Sainte Vierge ne l’avait pas annoncé à Fatima.
On voit toutes sortes de vidéos complotistes circuler sur le net. Je demande à voir des preuves solides avant d’y croire. Y a-t-il des preuves de se qu’avance Mme. Fitts?
L’Eglise a-t-elle raison d’encourager tout le monde à se faire vacciner?
Les preuves que tout cela est bel et bien une des plus grande mascarade sont dans les incohérences du gouvernement.
Port du masque inutile puis obligatoire… Confinement pour éviter l’engorgement des hôpitaux dans lesquels le nombre de lits à été revu à la baisse… Interdiction d’administrer des remèdes qui ont faits leurs preuves contre le coronavirus… Un vaccin fabriqué et administré en masse en très peu de temps sans aucun recul quant à ses effets… Vaccin trouvé sans connaître l’origine d’un virus qui mute…
Et toutes ces mesures qui nous enlèvent petit à petit toutes nos libertés, non pas seulement celles de cette république mais, inaliénables ainsi que notre libre-arbitre !
N’avez-vous pas remarqué une convergence du propos, de l’idée principale, entre le témoignage de Catherine Austin Fitts et Jacques Attali à des dizaines d’années d’intervalle? C’est un élément de preuve.
Vous parlez de toutes sortes de vidéos complotistes. De quels auteurs parlez-vous? Il y a les experts autoproclamés et des scientifiques dont la réputation universitaire de rigueur et d’honnêteté intellectuelle ne peut pas être mise en doute : le professeur Perronne, la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Je vous invite à l’écouter sur TV libertés dans “la généticienne Alexandra Henrion-Caude nous dit tout”.
Il faut discerner le bon grain de l’ivraie.