L’islam accuse tous les non-musulmans de blasphème du fait qu’en refusant de se convertir à l’islam, ils disent implicitement que Mahomet est un imposteur… mais qui blasphème plus que l’islam ?
Asia Bibi, comme d’autres personnes un peu partout dans le monde musulman, est condamnée à mort pour blasphème, à la fois par la justice du Pakistan, et par la haine de ses fervents concitoyens musulmans, bien décidés à l’exécuter eux-mêmes si elle venait à être graciée. Elle a en effet osé demander à ses collègues de travail, qui l’accusaient d’être impure parce que chrétienne (Coran 9.28), ce que Mahomet avait apporté au monde…
Les non-musulmans vivent constamment sous la menace d’être accusés de blasphème par les musulmans, parce qu’en refusant de se convertir à l’islam, ils désignent par le fait même, implicitement, Mahomet comme un imposteur… C’est pourquoi la seule existence d’un non-musulman est insupportable à un fervent musulman. Le Coran ne lui enseigne-t-il pas que les chrétiens en particulier ne sont « qu’impureté » (Coran 9.28), les « pires de la création » (Coran 98.6), « plus vils que des bêtes » (Coran 8.22), et tous voués au feu de l’Enfer éternel (Coran 9.17) ?!
Mais le comble est que les musulmans ne se rendent pas compte que tandis qu’Allah leur fait un devoir de venger sa gloire outrageusement offensée par l’existence des non-musulmans (Coran 8.39 ; 9.4,5,14,111 ; 47.4 ; 66.9), ― et alors même qu’il est censé les avoir lui-même créés ainsi (Coran 4.88,143 ; 6.149 ; 74.31 ;5.48) ― l’islam transforme les musulmans en blasphémateurs… En effet, voilà que l’islam débarque six siècles après le Christ et ose affirmer que la Sainte Trinité n’est pas le seul et vrai Dieu, que Jésus n’est pas Dieu, qu’Il n’est pas mort, ni ressuscité, que la Rédemption du monde, promise par Dieu et annoncée par les prophètes, n’a donc pas eu lieu, que Dieu est donc un menteur, et un incapable ayant laissé Sa parole être falsifiée durant tant de siècles (Is 40.6 ; Lc 21.33 ; Coran 2.59,75,79 ; 3.78 ; 4.46 ; 5.15,41) ! On ne saurait davantage blasphémer ! Et pourtant l’islam a réussi à persuader les musulmans du contraire : eux pratiqueraient la religion pure de tout blasphème, et les chrétiens seraient des blasphémateurs ! Et malgré cela, les chrétiens ne vont pas humilier les musulmans ni les racketter en échange de leur survie, les persécuter à mort, incendier leurs maisons ou détruire leurs mosquées, comme les musulmans le font partout où ils sont suffisamment nombreux pour imposer la légitimité de leurs forfaits…
Pourquoi les musulmans punissent-ils jusqu’à la peine capitale le soi-disant crime de blasphème, sinon pour imposer Allah et son « envoyé » aux foules ainsi terrorisées ?Ce faisant, ne donnent-ils pas la preuve qu’Allah est une idole, car que serait une idole sans le secours de ses adorateurs (Jr 10.5) ? A l’opposé, le comportement de Jésus refusant l’usage de la violence meurtrière pour imposer le respect auquel Il avait droit, révèle Sa nature divine. Personne ne peut en effet rien contre Dieu… C’est pourquoi à Son Père Jésus n’a pas demandé les légions d’Anges qui auraient combattu pour Lui (Mt 26.53). C’est pourquoi Il a interdit à Pierre de Le défendre au moment de Son arrestation (Mt 26.52). Et c’est ainsi que chacun se juge en fonction de l’attitude qu’il prend à l’égard de Jésus… et de ceux qui Lui sont unis (Col 1.18) ! Si donc Jésus ne S’est pas défendu, c’est parce que la violence est la force des faibles, quand la patience est celle des forts, et parce que Dieu est Amour (1 Jn 4.8 & 16), et que l’Amour ne s’impose pas… mais ne peut que Se proposer… Malheur donc à celui qui ne reconnaît pas la force de Dieu dans Sa faiblesse ! Personne ne sera plus malheureux que celui qui aura méprisé et persécuté l’Amour ! Au lieu de vouloir par le sabre faire régner l’Imposture, d’autant plus démoniaque qu’elle se prétend divine, et dont ils sont les premières victimes, les musulmans ne feraient-ils pas mieux de dépenser leur zèle au service des pauvres ? Car, de la mesure dont ils mesurent pour les autres, Dieu mesurera pour eux (Mt 7.2)…
Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !
Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils changeraient de vie !
L’ISLAM BLASPHÉMATEUR
Le 17 octobre, au Pakistan, Adnan, Arfan et Mushtaq Masih, à la suite de nombreux autres chrétiens, ont été accusés de blasphème. C’est un fait: les non-musulmans, en pays musulman, vivent sous la menace constante d’être accusés de blasphème, crime puni jusqu’à la peine de mort, que la sentence soit exécutée par la «Justice» du pays ou par le zèle des adorateurs d’Allah (Coran 4.89; 8.12-18). Ainsi, vient d’être assassiné à Mogadiscio Abdikhani Hassan, un pharmacien chrétien, parce qu’étant chrétien, nécessairement «il diffusait une fausse religion au peuple somalien». A ce sujet, je voudrais faire remarquer d’une part que :
- si pour un musulman, tout non-musulman est toujours coupable de blasphème, puisque refusant de devenir musulman, il affirme implicitement que Mahomet est un imposteur…
et d’autre part que :
- pour un chrétien, le vrai blasphémateur est l’islam, puisque celui-ci se fait gloire de nier la Trinité (Coran 5.75, 116; 6.100-102; 9.31), la divinité de Jésus (Coran 3.59-61; 4.171), Sa mort et Sa résurrection (Coran 4.157-158), et donc le salut du monde, l’inerrance de la Bible (Coran 2.59,75,79; 3.78; 4.46; 5.15,41), et donc la fidélité de Dieu à Sa parole (Is 40.8; Lc 21.33). Et cependant, bien que l’islam soit pour les chrétiens le blasphème et l’Antichrist par excellence, ils ne haïssent pas pour autant ni ne tuent les musulmans, ni ne violent leurs femmes, incendient leurs maisons et leurs mosquées… Mais la perversion de l’islam n’est pas tant de blasphémer la Vérité, révélée une fois pour toutes (Jude 3), que d’en accuser à tort autrui, et ce afin d’endosser à son encontre le beau rôle de redresseur de torts… Ce comportement semble relever en psychiatrie de la«perversion narcissique».Vérifions.
Pour le psychiatre P.-C. Racamier, le pervers narcissique se caractérise «par la capacité à se mettre à l’abri des conflits internes, […] en se faisant valoir au détriment d’un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir»[1]. Et de fait l’islam manipule le christianisme pour en faire si bien un faire valoir que Jésus serait le prophète de Mahomet (Coran 61.6), et les chrétiens des imposteurs à «anéantir» (Coran 9.30), qui ne seraient «qu’impureté» (Coran 9.28), «au même titre que l’excrément, l’urine, le chien, le vin» précise l’ayatollah Khomény[2], les «pires de la création» (Coran 98.6), «plus viles des bêtes» (Coran 8.22), tous voués au feu de l’enfer (Coran 5.72). Cette haine des chrétiens vient encore de s’exprimer par la demande de la Libye à l’Église Catholique de quitter le territoire national…
Quelle tragique et pitoyable comédie de voir les non-musulmans, et en particulier les chrétiens, si compréhensifs à l’endroit de la «sainte» colère musulmane, qu’ils sont tout disposés à s’en croire au moins involontairement responsables… Cette attitude, apparentée au Syndrome de Stockholm, se manifeste par la condamnation unanime de «l’islamophobie», et jusqu’à la mise en œuvre de la charia par les institutions occidentales elles-mêmes! Ainsi Elisabeth Sabaditsch-Wolff a-t-elle été condamnée par la Justice autrichienne pour avoir affirmé que Mahomet était un pédophile, au motif que si Aïcha avait bien six ans lorsque Mahomet l’épousa et neuf ans lorsqu’il la déflora, elle était cependant toujours son épouse à sa mort…
Alberto Eiguer fait ainsi parler le pervers narcissique: «Il faudrait que vous agissiez de sorte qu’il ne reste aucun doute que vous êtes moi… et que tout ce que vous faites, dites ou éprouvez, confirme que je suis le seul, moi, le plus grand et cela même au prix de votre propre disqualification.»[3] De fait, pour l’islam, il n’y a jamais eu que l’islam (Coran 3.19), en sorte qu’il ne doit y avoir que l’islam (Coran 2.193). Quatre chrétiens viennent d’être condamnés en Iran à 80 coups de fouets pour avoir bu du vin lors de leur célébration de la Cène… L’autre doit être disqualifié, fautif, car sa prétendue faute sert à l’islam de marchepied pour tenter de s’élever au dessus de son néant. Elle lui sert à bâtir, en s’y opposant, sa propre image, valorisante! Que cette image soit fausse ne lui importe pas: «Quelle que soit l’énormité du mensonge, le pervers s’y accroche et finit par convaincre l’autre.» prévient Marie-France Hirigoyen.[4] Et en effet, qui, avec le père Michel Lelong, personnage vénéré de l’officiel dialogue islamo-chrétien, n’est pas convaincu que «l’islam est une des trois grandes religions de la Révélation de Dieu»[5]?
«Vérité ou mensonge, cela importe peu: ce qui est vrai est ce qu’ils disent dans l’instant.»[6] Cette phrase pourrait être une définition de la takyia, principe permettant aux musulmans de mentir jusqu’à dissimuler leur foi, voire la renier, afin de sauver leur vie ou leurs intérêts, lesquels s’identifient évidemment à ceux de l’Islam (Coran 3.28; 16.106)[7]. «Le Coran permet au musulman de cacher la vérité au chrétien et de parler et agir contrairement à ce qu’il pense et croit.», dénonçait courageusement Mgr Beylouni, archevêque d’Antioche, au Synode pour le Moyen-Orient, à Rome en 2010. «Ces falsifications sont parfois très proches d’une construction délirante. Le mensonge correspond simplement à un besoin d’ignorer ce qui va à l’encontre de son intérêt narcissique. C’est ainsi que l’on voit les pervers entourer leur histoire d’un grand mystère qui induit une croyance chez l’autre.»[8] Il suffit d’avoir écouté les propos de «savants» musulmans pour se rendre compte de cette perversion. Ainsi Malek Chebel n’a pas honte d’écrire à propos de la Trinité que «le Coran invite fermement à ne point y recourir, le trithéisme étant un associationnisme de fait»[9], faisant ainsi croire, après deux mille ans de théologie chrétienne, et alors même qu’il est docteur en science des religions, que les chrétiens adorent trois dieux! Pourquoi l’islam calomnie-t-il ainsi la Foi chrétienne, sinon pour justifier à leurs propres yeux les musulmans de n’être pas chrétiens?
Bref, s’«Il n’y a rien à attendre de la fréquentation des pervers narcissiques, on peut seulement espérer s’en sortir indemne.»[10], comment gérer nos rapports avec l’islam?
Peut-être P. C. Racamier nous fournit-il une solution: «Tuez-les, ils s’en foutent, humiliez-les, ils en crèvent!»[11] Il est vrai que la perspective de la mort ne saurait désarmer un bon musulman, qui n’attend que d’aller jouir des houris qu’Allah lui a préparées, mais si humilier l’islam lui serait fatal, alors pourquoi ne pas commencer par lui dénier le titre de religion? En effet, l’islam ne mérite pas d’être regardé comme une religion, et ce pour plusieurs raisons:
- Il ne relie pas à Dieu (Allah est trop grand);
- Il ne respecte pas la liberté de conscience (Allah commande de tuer l’apostat: Coran 4.89; 8.12-17). Il est facile d’entrer dans l’islam, mais impossible d’en sortir, l’islam n’est donc pas une religion, mais une secte;
- Il fait de la haine le principe de sa relation à autrui (Coran 60.4);
- L’islam incarne en fait un projet politique, la charia, régentant méticuleusement tous les aspects de la vie, publique et privée. M. Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, dans sa «Déclaration islamique» a le mérite de la clarté: «Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique.» Qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende!
Bref, il est urgent, vital, de dénoncer l’islam comme une imposture avançant sous le masque benoît de la religion, non seulement pour se situer en vérité face à lui, décomplexer les Résistants dans le combat qu’ils mènent contre notre islamisation programmée, mais encore contribuer à rétablir la religion chrétienne dans son statut d’«unique et vraie religion» (Dignitis Humanae, n°1). A ce sujet, je me permets de signaler ma Lettre ouverte au Pape au sujet de son Message aux musulmans pour la fin du ramadan. Cela paraîtra paradoxal au regard de qui n’est pas chrétien de dénoncer l’islam comme système totalitaire, et de revendiquer pour le christianisme le statut d’unique vraie religion. Mais outre qu’il n’y a qu’un seul Dieu, que le christianisme a été la première religion à vocation universelle et qu’il ne saurait y en avoir deux, le christianisme ne saurait être assimilé à un totalitarisme aussi vrai que Jésus S’est laissé crucifier, après nous avoir commandé de nous aimer les uns aux autres, à Son exemple (Jn 13.14)… Il suffit de comparer l’histoire du peuple juif ou celle des autres peuples, pour se rendre compte que l’amour du prochain commandé et incarné par Jésus, manifesté notamment dans le souci des victimes, a modifié le climat que nous respirons. Face à la perversion talmudique de la Révélation divine qu’est l’islam, il est urgent de retrouver l’originale, l’authentique Révélation!
http://www.fides.org/fr/news/36650-ASIE_PAKISTAN_Alarme_parmi_les_chretiens_apres_une_recrudescence_des_accusations_de_blasphemes_quatre_en_un_mois#.Upc6OMTuJEI
http://ripostelaique.com/qui-blaspheme.html
[1] Cortège conceptuel, Apsygée, 1993.
[2] Ayatollah Khomeny, Principes politiques, philosophique, sociaux et religieux, Éditions Libres Hallier, Paris, 1979.
[3] Le pervers narcissique et son complice, Dunod, 2012.
[4] Marie-France Hirigoyen, Le harcèlement moral, p.94.
[5] Père Lelong, Salon International du Monde Musulman, 2011, 2’10’’, http://www.youtube.com/watch?v=ANbQqvaB2zk
[6] Marie-France Hirigoyen, Le harcèlement moral, p.94.
[7] «Le Prophète a dit: ‘Par Allah et s’il plaît à Allah, quand je fais un serment et plus tard trouve quelque chose de mieux, je fais ce qui est mieux et expie mon serment» Sahih Al-Bukhari Vol 7, 67, 427.
[8] Marie-France Hirigoyen, Le harcèlement moral, p.94.
[9] Dictionnaire des symboles musulmans, Albin Michel, 2005, p.425.
[10] P.-C. Racamier, Le Génie des origines, Psychanalyse et psychoses, Paris, Payot, 1992.
[11] Idem
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