N.B. : Les chiffres placés entre parenthèses (…) désignent une citation coranique, dont le premier chiffre, suivi d’un point, indique le numéro de la sourate, et le suivant, celui du verset (ex. 62.14). Lorsque le premier chiffre est précédé d’une abréviation lexicale, la citation est tirée de la Bible (ex. Jn 3.12), et lorsqu’il est précédé d’une seule lettre majuscule, il indique un article d’un des vingt six chapitres de cette série “Réponses aux musulmans” (ex. L 11).
— 1 Si, pour l’islam, Jésus n’est pas Dieu (3.59-61 ; 4.171), il en va de même pour nombre d’hérétiques, et cela dès la naissance du christianisme. Mentionnons :
- Le docétisme, pour qui le Verbe de Dieu n’avait pris qu’une apparence humaine ;
- Cérinthe (fin du premier siècle ?) pour qui Jésus, conçu par Joseph et Marie, avait reçu une grâce spéciale lors de son baptême, avait été abandonné par Dieu au moment de la Passion, n’était donc pas ressuscité, mais le serait au jour venu de son règne sur terre, parmi les voluptés charnelles, dans l’attente de quoi le salut impliquait la circoncision et l’observance de tels préceptes (cf. Saint Augustin, Des hérésies, §8) ;
- Les ébionites ou nazaréens (Ibid… §10 ; voir Z 12+, IIe -IVe siècles), qui ont vécu en Palestine et en Syrie. Ils s’abstenaient de vin dans l’attente du retour du Messie, qui n’était que le fils de Joseph ;
- Sabellius et les modalistes, condamnés par le concile de Rome de 262, pour qui Jésus n’était qu’un aspect de l’Être divin ;
- Paul de Samosate, évêque d’Antioche (+ 272), condamné par le Concile d’Antioche (268), et l’adoptianisme, pour qui Jésus n’était qu’un homme adopté par Dieu (cf. Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, VII, XXX) ;
- Arius (280-336) et l’arianisme, pour qui Jésus n’était qu’un homme, condamnés au concile de Nicée (325) ;
- Acace de Césarée (300-366), et l’homéisme, pour qui Jésus est seulement semblable au Père ;
- L’homoiousisme, pour qui Jésus est de nature semblable au Père ;
- Aece (+370), et l’anomisme, pour qui le Fils est dissemblable au Père ;
- Apollinaire, évêque de Laodicée (310-390), fondateur de l’apollinarisme, pour qui le Verbe de Dieu remplace l’esprit humain du Christ ;
- Nestorius, patriarche de Constantinople, déposé par le concile d’Éphèse (431), pour qui Jésus était deux personnes ;
- Eutychès, et le monophysisme, pour qui la nature divine avait absorbé la nature humaine du Christ, condamnés au concile de Chalcédoine (451) …
Bref, quoi d’étonnant à ce que saint Jean Damascène (676-749) ait placé l’islam à la centième place de son catalogue des hérésies (Liber Haeresorum) ?
— 2 Jésus ne pouvait pas être Dieu du fait qu’Il accomplissait ses besoins humains, considérés comme des actes indignes de Dieu, qui, Lui, ne mange, ne boit, ni ne dort. À cela il faut répondre que tous les actes de la condition humaine présentés par le Coran pour nier la divinité du Christ (5.75) n’affectent pas la nature divine, et ne peuvent donc pas servir à la nier en Jésus, et que d’autre part, il n’y a d’indigne de Dieu que le péché. Si les hommes mangent, boivent, dorment et font d’autres choses inhérentes à leur condition de créature, c’est parce que Dieu l’a voulu ainsi. Dieu devrait-Il donc avoir honte de ce qu’Il a créé ? Au point de refuser de l’assumer ? En jugeant indigne de Dieu la condition humaine, les musulmans méprisent la Création, et donc eux-mêmes (raison pour laquelle ils ne peuvent pas être heureux, ni rendre les autres heureux), et ils blasphèment le Créateur. La vérité est que la Création est digne de Dieu et que Dieu n’en a pas honte, et c’est pourquoi l’Incarnation du Fils de Dieu n’est en rien contradictoire avec la grandeur de Dieu ; bien plutôt, en Se rendant proche de nous, Dieu nous offre de pouvoir mieux Le connaître. Comment ne pas rappeler ici ce propos de saint Jude : « Quant à eux, ils blasphèment ce qu’ils ignorent ; et ce qu’ils connaissent par nature, comme les bêtes sans raison, ne sert qu’à les perdre (Jude 10) » ?
— 3 Jésus ne serait pas Dieu du fait qu’Il priait, Dieu ne pouvant Se prier Lui-même (Voir À 27). Or, le Verbe de Dieu fait homme (Jn 1.1 ; Coran 3.45 ; 4.171 ; 19.34), devait-Il cesser d’aimer Son Père, ou bien L’aimer humainement et ainsi nous enseigner comment L’aimer divinement ?
— 4 Comment le Jésus coranique, qui n’a d’autre crédibilité que celle des révélations privées de Mahomet, survenues plus d’un demi-millénaire après la vie et la mort du Jésus historique, pourrait-il être plus réel que Celui-ci ?
— 5 Il est courant d’entendre les musulmans oser prétendre que le dogme de la divinité de Jésus (et parfois aussi celui de la Rédemption et de la Trinité) a été introduit dans la foi chrétienne par l’empereur Constantin au Concile de Nicée en 325 (voir H 1). Or, que Constantin ait eu le souci d’unifier l’Empire par une même religion est une chose, que l’Église ait accepté de renier le Christ en est une autre. C’est souvent la négation d’un point particulier de la vérité révélée qui amène l’Église à expliciter celle-ci en dogmes, définitions officielles exemptes de toute erreur possible. Au Concile de Nicée, 286 évêques sur 318 ont défini le dogme de la divinité du Christ parce qu’une partie importante des chrétiens, conduits par le prêtre Arius, s’étaient mis à en douter. Par ailleurs, ne suffit-il pas de lire la Bible, saint Ignace d’Antioche, saint Polycarpe, saint Irénée de Lyon, ou d’autres Pères de l’Église, qui ont vécu et écrit bien avant l’an 325, pour se rendre compte que l’Église n’a pas commencé à croire à la divinité de Jésus à ce moment-là ? Et qui peut croire qu’une Église sortant de trois siècles de persécutions allait abandonner sa foi pour complaire à un empereur ?
— 6 Le Coran donne comme preuve de divinité le fait de créer (16.17,20-21 ; 25.3). Or, il montre Jésus créant, comme Dieu, à partir de l’argile (3.49 ; 5.110) … Que le texte s’empresse de préciser que Jésus faisait cela avec la permission de Dieu ne saurait remettre en cause l’affirmation de Sa divinité, puisque Jésus en Sa nature humaine était effectivement soumis à Dieu Son Père, et que d’autre part, Dieu ne pouvant jamais rien créer que par Sa parole (6.73 ; 16.40), qui est Jésus (4.171 ; 19.34), l’interdépendance entre eux est totale … Chaque personne de la Trinité n’agit jamais qu’en communion parfaite avec les deux autres. Le terme créer n’implique-t-il pas en soi l’exercice d’une liberté absolue et d’une puissance infinie ?
— 7 Comment Jésus pourrait-Il n’être qu’un mortel semblable à nous (3.84 ; 5.75 ; 9.30 ; 19.35) alors que les réminiscences de la foi chrétienne contenues dans le Coran Le désigne comme la Vérité (6.73 ; 16.40), la Parole de Dieu (3.45 ; 4.171 ; 19.34), le Miracle de Dieu (3.47)1 ?
— 8 « Ô Marie ! Allah t’a choisie et t’a purifiée. Il t’a choisie parmi les femmes du monde. (3.42) » Pourquoi la mère de Jésus devrait-elle être préférée à toutes les femmes, sinon parce qu’elle est la Mère de Dieu fait homme ? Et si Marie est ainsi préférée, comment Allah peut-il dire aux femmes de Mahomet : « Vous n’êtes comparables à aucune autre femme (33.32) » ?
— 9 Si Jésus est la Parole de Dieu (4.171 ; 6.73) et que tout a été créé par la Parole de Dieu (6.73 ; 16.40), alors Jésus n’a pas été créé, ou S’est créé Lui-même. Dans les deux cas, peut-Il ne pas être Dieu ?
— 10 Puisque le Coran reconnaît que Jésus est la Parole de Dieu (3.45 ; 4.171 ; 19.34), par Qui tout est créé (4.171 ; 6.73 ; 16.40), est-ce que le musulman peut adorer Dieu autrement que par Jésus ?
— 11 Si la Parole de Dieu, Jésus (3.45 ; 4.171 ; 19.34), n’est pas Dieu, alors Dieu aurait besoin de quelque chose de distinct de Lui pour créer (3.47), mais s’Il est seul, que cela peut-il être ?
— 12 Les musulmans croient que le Coran est la Parole de Dieu, qu’il est donc parfait et éternel. Or, si Jésus est la Parole de Dieu (3.45 ; 4.171 ; 19.34), comment ne serait-Il pas éternel, et donc Dieu Lui-même ?
— 13 Le Coran fait dire à Jésus : « Je confirme ce qu’il y a dans la Thora, et je vous rends licite une partie de ce qui y était interdit (3.50) ». Qui d’autre que Dieu a autorité sur la Loi ?
— 14 Nier que Jésus soit Dieu tout en affirmant qu’Il est la Parole de Dieu (3.45 ; 4.171 ; 19.34) revient à introduire en Dieu une division. N’est-ce pas piquant pour une religion qui se présente comme le héraut de l’unicité divine ?
— 15 Le Coran reconnaissant que Jésus a fait des miracles (2.87 ; 3.46,49 ; 5.110,112-115 ; 43.63 ; 61.6 ; 19.24-26,30), et que Mahomet n’en a point fait (6.37 ; 7.203 ; 13,38 ; 20.133), atteste donc que la mission de Jésus est divine, mais pas celle de Mahomet… À celui qui avance que saint Jean-Baptiste n’a pas fait non plus de miracle, tout prophète qu’il fût (Jn 10.41), il faut rappeler que le Messie l’a désigné comme étant plus qu’un prophète (Mt 11.9), en sorte que saint Jean-Baptiste n’a pas eu besoin de faire des miracles pour attester de l’origine divine de sa mission : ceux du Messie lui suffisaient ! De plus, reconnaître Jésus comme l’Agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde (Jn 1.26-36), puisque telle a été la mission de saint Jean-Baptiste (Jn 1.31), n’est-ce pas en soi un miracle (Mt 16.17 ; Jn 6.44 ; 1 Co 12.3) ?
— 16 « Attendent-ils qu’Allah leur vienne sous l’ombre d’un nuage avec les anges et que l’affaire soit décidée ? (2.210) » Pour le Jugement dernier, le Coran annonce la venue d’Allah (2.210), et celle de Jésus dont la seigneurie sera alors reconnue par tous (4.159). N’est-ce pas une affirmation de la vérité de l’associationisme et de la nature divine de Jésus ?
— 17 L’islam a gardé de la Révélation chrétienne la foi dans le Retour de Jésus comme Juge des vivants et des morts (Mt 25.31-46 ; Lc 18.8 ; Ac 3.20-21) : Il n’y aura personne, parmi les gens du livre, qui n’aura pas cru en lui [Jésus] avant sa mort. Au jour de la résurrection, il sera témoin à leur encontre (4.159) ; Abû Houraïra a rapporté que Mahomet a dit : ‘Le Messager d’Allah a dit : “Par Celui qui détient mon âme entre ses mains, le fils de Marie descendra bientôt parmi vous et il jugera l’humanité avec justice.’ (Boukhari 4.55,657 et Muslim 2.58)’’2 ; Le prophète a dit : ‘Je jure par Allah, ‘Issa Ibn Maryam descendra jugeant (l’humanité) avec la justice.’ (Boukhari 2222 & 3448 ; Muslim 155). Affirmer que Jésus doit revenir juger les hommes, alors que Dieu seul le peut, n’est-ce pas dire que Jésus est Dieu ?
— 18 La tradition musulmane affirme le rôle déterminant de Jésus à la fin du monde (4.159) : « Allah dépêchera Jésus fils de Marie qui apparaîtra sous la forme d’Orwa Ibn Massoud et il se lancera à la recherche de l’Antichrist et le fera périr. (Muslim n°5223 ; Boukhari 3,43,656 ; 4,55,657 ; Muslim 1,287,289,291,292 ; Voir Q 17-21) » Si Mahomet est « le sceau des prophètes (33.40) », pourquoi est-ce Jésus qui doit clore le combat final contre le mal (Mt 13.41 ; 4.158-159 ; 43.61,66) ? Et pourquoi ce combat est-il mené contre l’Antichrist et non pas contre l’Antimahomet, si Jésus n’est qu’un prophète comme un autre (4.171 ; 5.75) ?
— 19 Si la sainteté du Christ assure Sa crédibilité : « Qui de vous Me convaincra de péché ? (Jn 8.46 ; Coran 19.19) », il en va autrement pour Mahomet à qui même Allah est obligé de reprocher sa cruauté (80.1-4), sa cupidité (80.5), sa veulerie (80.6), sa lubricité sans bornes (33.52), le désignant comme pécheur (cf. 33.56 ; 40.55 ; 47.19 ; 48.2). Par qui convient-il à Dieu de Se révéler : par un homme sans péché, ou par un pécheur ?
— 20 Bien que le Coran rejette par endroits la divinité du Christ qu’il imagine ne pouvant que s’ajouter à celle de Dieu (4.171-172 ; 5.17,75,76,116-119 ; 10.68), il en garde cependant des affirmations, comme celle de la conception virginale (19.15-21). Pourquoi Jésus a-t-Il été conçu ainsi ? L’islam n’apporte pas de réponse à cette question, ni n’en tire de leçons. Interrogés à ce sujet, les musulmans se contentent d’assimiler ce miracle à la création d’Adam, en sorte que Jésus ne serait rien de plus que ce que pouvait être Adam : un homme (3.59). Or, la conception virginale de Jésus ne peut pas être assimilée à la création d’Adam, puisqu’Adam étant le premier homme, ne pouvait pas être engendré par un autre homme… tandis que Jésus, s’Il avait été un homme comme les autres, aurait dû être engendré comme eux. C’est pourquoi la comparaison de la conception virginale de Jésus avec la création d’Adam ne vaut pas. Celle de Jésus est non seulement un miracle unique, mais LE miracle. La comparaison de Jésus avec Adam, tout à fait légitime et déjà évoquée par saint Paul (Rm 5.12-21), amène à reconnaître que, de même qu’Adam est, par son péché, principe de l’humanité soumise à la mort, de même Jésus est principe, mais principe d’une humanité nouvelle (Col 1.18). Ainsi, alors que l’humanité dont Adam est le principe a en partage le péché et la mort, celle dont le Christ est le principe a en partage le salut et la vie éternelle. « Le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur (Rm 6.23) ». Cette nouvelle humanité reçue par le baptême (Mt 28.19) est la descendance promise par Dieu à Abraham (Gn 17.15-17 ; Lc 19.9 ; Jn 8.56). Puisque la conception du Christ est au-delà des lois régissant la Création, c’est donc que le Christ n’est pas créé. S’Il n’est pas créé, c’est donc qu’Il est engendré. S’Il est engendré, Dieu est Père et Jésus est le Fils de Dieu. Si Dieu n’était pas le Père de Jésus, qui donc le serait ?
— 21 Alors que les musulmans nient que Jésus soit Dieu, ils donnent cependant à Allah les noms que porte Jésus : Le Saint (Al-Qouddoûs / Mc 1.24 ; Lc 1.35), La Résurrection (Al-Baeth / Jn 11.25-26), La Paix (Al-Salàm / Mi 5.4 ; Ép 2.14), La Vérité (Al-Haqq / Jn 14.6), La Lumière (Al-Nour / Jn 8.12), Le Premier & Le Dernier (Al-Awwal & Al-Akhir / Ap 2.8 ; Is 44.6 et 48.12), Le Roi (Al-Malek / Mt 25.34,40), Le Clément (Al-Halim / Mt 11.29). Mais suffit-il de nommer Dieu pour Le connaître (Jn 8.54-55) ?
— 22 Puisque les musulmans sont déjà capables de croire que Dieu a parlé par l’humanité des Prophètes (2.87,213), pourquoi ne pourraient-ils pas croire que Dieu a conduit Sa Révélation à sa perfection définitive en nous parlant non plus par une humanité d’emprunt, marquée par le péché, mais par la Sienne propre, reçue de la Vierge Marie ?
— 23 Puisque Dieu a déjà habité le Temple de Jérusalem (Is 6.1 ; 2 Ch 7.1), pourquoi n’aurait-Il pu habiter le corps de la Vierge Marie ? Pourrait-il y avoir un temple plus beau pour Lui que l’Immaculée Conception ? La nature humaine n’a-t-elle pas été créée dans la forme la plus parfaite (95.4), en sorte que l’Incarnation de la Divinité est espérée par le Coran lui-même (43.81) ?
— 24 Les musulmans refusent de croire que Jésus a deux natures, la nature divine et la nature humaine, qu’ils imaginent opposées ― comme si Dieu pouvait Se contredire en créant ! Sa création ne peut pas Lui être antagoniste puisqu’elle procède de Lui. En S’incarnant, non seulement Dieu ne cesse pas d’être Dieu, mais assumant Son œuvre, Il la divinise. Mépriser l’une exalte-t-il vraiment l’autre ?
— 25 L’islam refuse que Dieu Se fasse homme parce que ce faisant, Il sortirait de sa plénitude, épousant les limites du créé, du fini, de l’imparfait, Il cesserait d’être parfait. Or, refuser que Dieu puisse sortir de Lui-même, c’est Le vouloir « enfermé » à jamais en Lui-même, où, certes, Il est plénitude absolue de joie, mais d’une plénitude conforme à notre conception de la transcendance. Aussi, accepter de croire que Dieu puisse quitter la jouissance éternelle de Sa gloire infinie pour vouloir la trouver en sa créature, voilà qui dépasse les limites de notre raison et rend vraiment gloire à Dieu qui est toujours « plus grand » que ce que l’homme peut le concevoir ! Si la vie de l’homme, c’est de contempler Dieu (1 Co 13.12 ; 1 Jn 3.2), pourquoi la gloire de Dieu ne serait-elle pas de rendre l’homme participant de Sa nature divine (2 P 1.4) ? Les chrétiens osent croire cela. Par son renoncement à la distance infinie qui nous sépare, Dieu dépasse ce qui est pour nous indépassable … et ainsi nous dépasse vraiment ! Qu’est-ce qui est le plus digne de Dieu : croire qu’Il est capable de combler la distance qui sépare l’homme de Dieu, ou penser qu’Il reste enfermé dans la jouissance éternelle de Lui-même ? Si Dieu était vraiment étranger à la Création au point de ne souffrir aucune relation avec nous, comment l’islam peut-il croire que Dieu nous a parlé, comblant ainsi l’abime infini qui nous séparait de Lui ? Si Dieu nous a parlé, ne nous a-t-il pas déjà réconciliés avec Lui ? Si Dieu est sorti de Lui-même pour nous adresser la Parole, pourquoi ne pourrait-Il pas venir alors Lui-même jusqu’à nous, et dépasser ainsi vraiment nos conceptions à Son sujet ?
— 26 Si les dons de Dieu sont toujours en eux-mêmes inestimables, celui de Son amour le sera plus que tout autre. Or, est-ce dans l’islam, ou dans le christianisme, que Dieu Se donne Lui-même ?
— 27 Les musulmans veulent croire qu’en confessant l’engendrement du Fils de Dieu nous abaisserions Dieu à l’acte d’une génération charnelle (39.4). Or, lorsque l’esprit formule une pensée, il y a bien génération de cette pensée, de même, lorsque Dieu, qui est Esprit, Se pense Lui-même, Il engendre une pensée qui est un autre Lui-même, en tout semblable à Lui, que l’on appelle la Parole (Jn 1.1), ou le Fils (Jn 14.13 ; 1 Jn 5.12), parce que c’est par son enfant que le père se connaît père (voir H 6). Les chrétiens professent chaque dimanche : Il est Dieu né de Dieu, Lumière née de la Lumière. La personne du Fils de Dieu ne commence pas à exister lorsqu’Il S’incarne : « Avant qu’Abraham existât, Je suis, dit Jésus (Jn 8.58) » En S’incarnant grâce à la foi et à l’amour de la Vierge Marie, Il ne reçoit d’Elle que la nature humaine, non pas la nature divine, qu’Il ne pouvait pas ne pas avoir. Il naît temporellement d’une mère, sans père, comme Il naît éternellement d’un Père, sans Mère. Comment un médiateur pourrait-Il ne pas participer des deux termes qu’il unit ?
— 28 Dieu a donné des indications claires pour reconnaître la venue de Son Verbe sauveur. Par exemple, dès Gn 49.1, Il annonce que cela surviendra lorsque les Fils d’Israël auront perdu « le sceptre », et, de fait, au temps de Jésus, régnait à Jérusalem Hérode, premier roi de Judée à n’être pas de la descendance de Jacob. Puis, en Dn 2.39-45 Il annonça que le Messie viendrait lors d’un « quatrième empire », qui fut après celui des Babyloniens, celui des Perses et celui des Grecs, celui des Romains. En Dn 9.21, le Prophète Daniel prédit l’Avènement dans « soixante-neuf semaines d’années », soit dans 483 ans, ce qui, à compter d’alors marqué par la reconstruction du Temple (-457) conduit en l’an 27 de notre ère. Quoi d’étonnant dès lors à ce que « le peuple était dans l’attente (Lc 3.15 ; Jn 1.19-20 ; 3.28 ; Ac 13.25) » et que Jésus annonce que « le temps est accompli (Mc 1.15) » lorsqu’Il Se manifeste ?
— 29 La venue du Messie n’avait pas seulement été promise aux Hébreux (Lc 3.15 ; 7.19), mais le monde non-juif portait lui aussi cette attente (Jn 4.29). Ainsi, chez les Romains, l’historien Suétone rapporte qu’« il régnait dans tout l’Orient une vieille tradition : les Destins avaient prédit que ceux qui viendraient de la Judée, à cette époque, seraient les maîtres du monde. (Vie de Vespasien, ch.4) ». Tacite prédit que de Judée viendra « le Dominateur du monde (Historiae, livre 5) », tandis que Virgile perçoit « la Vierge qui doit enfanter (IVe Églogue, à Pollion) », car : « du fond des âges, un grand ordre est en train de naître, déjà revient la Vierge […], déjà du haut du ciel nous descend un nouveau rejeton (idem) », en sorte que « cessera l’âge de fer, et [qu’]à la face du monde entier s’élèvera l’âge d’or […] un enfant nouveau-né apportera l’âge d’or sous le règne de l’Empereur Auguste (Prophétie de la Sybille de Cumes, IVe Églogue des Bucoliques) »… Chez les Grecs, Socrate soupire : « Il nous faut attendre jusqu’à ce que paraisse celui qui nous apprendra comment nous devons nous conduire vis-à-vis de Dieu et des hommes (Alcibiade majeur (109c-113b) » … Les Sages babyloniens ont reconnu le moment de Sa venue (Mt 2.1-12) annoncée à l’aube de l’humanité (Gn 3.15), et dont l’attente était portée par la vénération universelle de la « Virgini Pariturae, la Vierge qui doit enfanter », que ce soit à Longpont, à Chartres, à Nogent-sous-Coucy, et ailleurs. Si « rien n’est impossible à Dieu (Lc 1.37) », pourquoi le Saint-Esprit n’aurait-Il pu concevoir Jésus (Mt 1.18) grâce à la foi d’une vierge à Lui consacrée (Lc 1.34) ?
— 30 Dieu a préparé le peuple juif à accueillir Son incarnation en apparaissant sous une forme visible. À Abraham Il apparaît en trois personnes (Gn 18.1-15 ; 19.1-24). À Jacob sous la forme d’un ange et dans un corps à corps (Gn 32.29-31). À Moïse en un buisson embrasé qui ne se consumait pas (Ex 3.2+), image de l’union hypostatique des deux natures du Christ. À Manoah et à sa femme sous une forme telle que ceux-ci L’adorent comme Dieu lui-même (Jg 13.15-23). Le Messie que contemple le prophète Daniel a les caractéristiques suivantes : 1) Il est divin, comme l’indique sa venue sur les « nuées des cieux » toujours associées dans la Bible à Dieu lui-même ; 2) Il a une forme humaine qui le fait appeler « Fils d’homme » ; 3) Sa jeunesse le distingue de « l’Ancien des jours » ; 4) Il est intronisé au Ciel ; 5) Son royaume est universel et éternel (Dn 7.13-14 ; voir N 12). L’historien juif Daniel Boyarin affirme que « l’idée d’un second Dieu, vice-roi de Dieu le Père, est l’une des plus anciennes idées théologiques en Israël (Le Christ juif, le Cerf, 2013) », en sorte que l’idée de double nature du Messie et de multipersonnalité de Dieu sont bien d’origine juive (Ibid.).3 Jérémie Lui reconnaît lui aussi le nom divin : YWHW Notre Justice (Jr 23.5-6), et Isaïe Le nomme Dieu fort (Is 7.14 ; 9.6). Puisque Dieu est donc déjà apparu, pourquoi ne pas croire à la Présence réelle parmi nous de l’Emmanuel (Is 7.14), Dieu avec nous (Mt 1.23) ? Pourquoi Jésus ne pourrait-Il pas être l’Image du Dieu invisible (Col 1.15) … qu’avait déjà vue Moïse (Nb 12.8)4 ? L’Écriture interroge : « Qui est monté au ciel et qui en est descendu ? Qui a rassemblé le vent dans le creux de ses mains ? Qui a serré l’eau dans son manteau ? Qui a fixé les limites de la terre ? Quel est son nom et quel est le nom de son fils ? Le sais-tu ? (Pr 30.4) »
— 31 À la différence des fondateurs de religion, Jésus présente le mystère de Sa propre personne comme objet et centre de Sa prédication (Jn 8.24,28,58 ; 13.19). Or, il était totalement exclu au sein du peuple hébreu, si attaché au monothéisme et à la transcendance divine, que quelqu’un pût professer un tel blasphème (Mc 2.7), et encore moins être cru. Aussi, la seule explication rationnelle permettant de comprendre que certains Hébreux aient cru que Jésus était Dieu, n’est-elle pas que Lui-même l’ait révélé ?
— 32 « Qui est-il celui-là qui va jusqu’à remettre les péchés ? (Lc 7.49) » La prétention de pardonner les péchés (Mc 2.1-12 ; Lc 7.48-49 ; Mt 9.1-7), œuvre proprement divine (Is 43.25 ; Lc 5.20 ; 7.48), a valu à Jésus d’être condamné à mort pour blasphème (Jn 10.33). Quel intérêt aurait eu Jésus à S’affirmer Dieu en pardonnant les péchés s’Il ne L’avait pas été ? Cette prétention n’est-elle pas suffisante pour répondre à ceux qui doutent qu’Il ait jamais affirmé Sa divinité ?
— 33 Jésus a-t-Il imité les Césars se déclarant d’origine divine ? Si la prétention à la divinité devait Lui amener le pouvoir, pourquoi l’a-t-Il fui (Jn 6.15) ? Pourquoi a-t-Il préféré la Croix (Mt 17.22 ; 20.18 ; 26.2). et invité à régner par le service (Mc 9.35) ? Si Jésus avait menti, comment expliquer la perfection morale de Son enseignement ? Et s’Il n’a pas menti en Se disant Dieu mais était simplement fou, comment expliquer tout le bien fait en Son Nom ?
— 34 Au jeune homme Lui demandant : « Bon Maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? » Jésus répondit : « Pourquoi M’appelles-tu bon ? Il n’y a de bon que Dieu seul. (Mc 10.17-18) » Ce texte prouverait que Jésus aurait refusé d’être reconnu Dieu. Or, non seulement Jésus n’a pas dit qu’Il n’était pas Dieu… mais Il a placé son interlocuteur devant ce dilemme : soit renier ce qu’il vient de confesser de la Bonté de Jésus en reconnaissant que si Dieu seul est bon, et que si Jésus n’est pas Dieu, alors Jésus n’est pas bon… soit continuer à confesser que Jésus est bon, et alors, Dieu seul étant bon, confesser que Jésus est Dieu… Quelle est l’alternative que Jésus aurait aimé voir le jeune homme choisir ?
— 35 Le terme hébreu de Messie, qui se traduit en grec par Christ, signifie Oint, du verbe oindre, en raison de l’onction d’huile qui consacrait prêtres, prophètes et rois en Israël. Pour accomplir sa mission (Jg 9.18 ; 1 S 9.16 ; 10.1-10 ; 16.10), l’élu était investi de l’Esprit du Seigneur par l’onction (Is 61.1). Chaque roi jouissait ainsi de la protection et des bénédictions divines, et par lui Dieu prenait soin de son peuple. Mais devant les insuffisances, les échecs et les péchés des différents Messies, les Prophètes5 orientèrent peu à peu l’espérance d’Israël vers un Messie à venir, capable de donner enfin le salut et la prospérité tant désirés (Ac 10.43). Cette attente (Jn 4.29) portait pour certains sur la restauration temporelle du Royaume d’Israël, pour d’autres sur l’instauration du Royaume de Dieu, et pour beaucoup sur les deux événements ensemble. Le Messie est alors présenté sous la figure d’un Fils d’homme, bar ènosh (Dn 7.13), expression araméenne n’ayant rien à voir avec l’hébreu ben Adam, fils d’Adam, qui désigne un être humain (Éz 2 ; Dn 8.17). C’est parce que l’expression en Dn 7.13 dépeint un être mystérieux venant sur les nuées, une figure apocalyptique que Jésus l’utilise pour Se désigner. Elle Lui permet d’éviter que soit donnée à sa mission, d’ordre spirituel, une interprétation d’ordre politico-religieux. Ce nom codé de Dn 7.13 était d’autant plus pertinent pour les Israélites qu’il annonçait la venue d’un Prince Messie, un messie supprimé (Dn 9.24), en écho aux prophéties du Serviteur souffrant (Is 49.1-7 ; 50.6-7 ; 52.13-15 ; 53.1-12 ; Dn 9.26 ; Jon 2.1 ; Za 12.10 ; 13.1) apportant le Salut non pas seulement à Israël, mais au monde entier (Is 2.3-4 ; 11.10 ; 42.6 ; 45.22 ; 49.1,5-7 ; 51.4-5 ; 56.3-7 ; 60.3-9 ; 62.2,11 ; 65.1 ; 66.1,18-23 ; Jr 4.1-2 ; 12.16 ; Am 9.7 ; So 3.9 ; Mi 4.1-3 ; Ml 1.5,11 ; Ps 22.28-29 ; Ps 71 ; Ps 96 ; Ps 98.4-9 ; Ps 102.23). Les choses n’étaient pas très claires jusqu’à ce que la sainteté, l’autorité et la puissance de Jésus amènent ses contemporains à se demander : « N’est-il pas le Messie ? (Cf. Mt 12.23 ; Jn 4.29 ; 7.26,42 ; 10.24) » … Pour déjouer les attentes d’une espérance toute terrestre (Jn 6.15 ; Mt 22.41), Jésus recommande de ne pas dire qu’Il est le Messie (Mt 16.20 ; Lc 4.41) jusqu’à ce que Lui-même le confesse lors de son procès religieux dans une perspective toute transcendante (Mt 26.63), ce qui entraînera sa condamnation à mort. Ce n’est qu’après Sa résurrection que ses disciples comprendront que le salut n’est pas de ce monde : « Ne fallait-il pas que le Christ souffrît toutes ces choses pour entrer dans Sa gloire ? » Le repentir et la rémission des péchés seront alors « prêchés en Son Nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem (Lc 24.26 ; 24.46) ». En ajoutant au nom de Jésus le terme Christ, les chrétiens affirment leur foi que Jésus de Nazareth EST le Christ, le Messie, promis à Israël (Ac 5.31 ; 17.3), le Sauveur du monde (Jn 4.29,42 ; 1 Jn 4.14 ; Ac 5.31). Pourquoi le Coran dit-il de Jésus, et de Lui seul, qu’il est Le Messie (4.171 ; 5.17,72,75) ?
— 36 Le nom de Jésus, Yéshoua’ en hébreu et Yasoua’ pour les Arabes chrétiens, qui signifie YHWH sauve, est changé dans le Coran en Issa (Voir N 19), qui ne veut rien dire, parce que l’islam, en vrai antichrist (18.4-5 ; 1 Jn 2.21-22), ne veut pas du Sauveur Jésus (Ac 4.12), et s’il lui garde le titre de Messie (3.45 ; 4.171-172 ; 5.72,75 ; 9.31), il le vide de signification (voir N 20). Ce procédé de dépersonnalisation, typique de la magie, est d’ailleurs utilisé pour d’autres personnages bibliques mis pareillement au service de l’islam (voir I 7). Le mot Messie est conservé dans le Coran à la seule fin d’en détourner la gloire au profit de Mahomet, dont Jésus aurait annoncé la venue (61.6). Les musulmans ont beau inventer toutes sortes de significations au mot Messie, ils ne peuvent en cacher le sens déjà donné par les Hébreux et les chrétiens, qui ont en commun les mêmes prophéties à Son sujet. Mais ne se fondant que sur lui-même pour réfuter la foi chrétienne, et montrant de plus qu’il ne l’a pas comprise, comment l’islam serait-il crédible ?
— 37 Pour justifier leur refus d’adorer Jésus, certains avancent qu’Il n’aurait jamais dit : « Je suis Dieu, adorez-Moi ! (Voir A 15 ; N13) ». Ce faisant, ils se disent donc prêts à adorer le premier venu proférant pareil blasphème … Bel aveu ! Et s’ils ne l’adoreraient pas, pourquoi adoreraient-ils Jésus ? En fait, ils répètent ce que les Juifs disaient à Jésus crucifié : « Que le Messie, le roi d’Israël, descende maintenant de la croix, afin que nous voyions et que nous croyions ! (Mc 15.32) » La vérité est que la Divinité ne Se montre pas à qui refuse a priori de la voir – raison pour laquelle Jésus parlait en paraboles (Mt 13.10-17) … Mais qui d’autre que Dieu peut Se déclarer « Maître du sabbat (Mc 2.23-28) », guérir un aveugle de naissance (Jn 9.35-39), pardonner les péchés (Mc 2.7) ? Jésus commanderait-Il d’être « parfaits comme votre père céleste est parfait (Mt 5.48) » s’Il n’était pas Dieu ? Et si Jésus ne disait pas qu’Il était Dieu, pourquoi les Hébreux L’en ont-ils accusé (Jn 10.33) ? Quant à l’expression scripturaire « fils de Dieu » (2 Sm 7.14 ; 1 Ch 17.13 ; 22.10) — « et l’Écriture ne peut être récusée (Jn 10.35) » — qui ne pourrait Le désigner en propre parce qu’elle avait déjà été utilisée pour d’autres personnes qui, évidemment, n’étaient pas Dieu, il faut comprendre que Jésus a fait de cet usage un palier, un intermédiaire, pour conduire, par analogie, à la reconnaissance de Sa divinité. En effet, comment désigner une réalité unique en son genre, tel le mystère du Christ, sinon en usant d’un vocabulaire analogique, donnant la liberté d’interpréter (Lc 17.18) ? Si les anges ont reçu l’ordre d’adorer Jésus Christ (He 1.6), que le Père appelle « Dieu (He 1.8) », ne le serait-Il pas ? En vérité, seul un cœur humble reconnaît Dieu en Jésus (Mt 11.29), tandis que l’orgueilleux n’aura jamais assez de preuves (Mc 8.11-12). L’homme doit-il imposer à Dieu la façon de Se révéler ?
— 38 Du commencement à la fin de l’Évangile (Jn 8.25), Jésus a affirmé, sans équivoque possible, qu’à la différence de tous les autres hommes, Il n’avait pas une origine humaine : « Vous Me chercherez, et ne Me trouverez pas ; et où Je suis, vous ne pouvez venir. (Jn 7.34) ». À quoi Jésus fait-Il ici allusion, sinon à Sa divinité ? « Vous, vous êtes d’en bas ; Moi, Je suis d’En-Haut ; vous, vous êtes de ce monde, Moi, Je ne suis pas de ce monde (Jn 8.23) ». Qu’y a-t-il d’impossible à ce que Dieu aime sa Création jusqu’à descendre du Ciel pour l’épouser, comme l’humanité l’a toujours désiré, et comme Il l’avait annoncé (Ex 3.4-10 ; 2 Ch 6.18 ; Is 30.20 ; 35.4 ; 54.5-7 ; 62.4-5 ; 63.19 ; Jr 14.8-9 ; Ba 3.38 ; Ez 34.11 ; Os 2.21-22 ; Ps 18(17).10 ; 45(44).7 ; Sg 1.1 ; Mi 1.3 ; Za 2.9,14-15 ; Jb 9.32-33) ?
— 39 Jésus n’a jamais dit qu’Il n’était pas Dieu, en sorte que les musulmans ne peuvent Le citer pour nier qu’Il Le soit … Par contre, Il a appelé Dieu Son propre Père (Jn 3.16,18), Se déclarant Le Fils unique de Dieu (Jn 8.19 ; Mt 11.27) en fonction de qui seul s’opère le salut : « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la Colère de Dieu demeure sur lui. (Jn 3.36) » Jésus a toujours témoigné avoir une relation incomparable avec Dieu : « Je monte vers Mon Père et votre Père, vers Mon Dieu et votre Dieu. (Jn 20.17 ; cf. Jn 5.22-23 ; 8.33-36 ; 10.33-36 ; Mt 11.25-27 ; 12.39-41 ; 18.37 ; 21.37 ; 24.36 ; 25.31 ; Lc 20.9-16) » Il revendiquait si bien une relation particulière avec Dieu qu’Il refusa aux Juifs le droit d’appeler Dieu leur Père (Jn 8.41 ; Lc 3.8). Comment expliquer que l’appellation fils de Dieu ne choquait pas les Hébreux (Ex 4.22 ; Dt 14.1 ; 2 Sm 7.14 ; Os 2.1 ; 11.1), mais les fâchait si Jésus Se l’attribuait, sinon parce que Jésus Se l’attribuait non au sens figuré, mais au sens propre : « Les Juifs cherchaient avec encore plus d’ardeur à Le faire mourir, parce que, non content de violer le sabbat, Il disait que Dieu était Son Père, Se faisant ainsi égal à Dieu (Jn 5.18 ; cf. 8.59 ; 10.33) ». Pour sceller le destin de Jésus, le Grand Prêtre ne posa qu’une seule question : « Es-tu le Christ, le Fils du Béni ? (Mc 14.61) » C’est dire si le titre de Fils de Dieu ne s’entendait pas pour lui de façon ordinaire ! Et lorsque Jésus expiera leurs péchés sur la Croix, ils ironiseront : « Il S’est confié en Dieu ; si Dieu L’aime, qu’Il Le délivre maintenant ; car Il a dit : Je suis Fils de Dieu ! (Mt 27.42-43) » À l’inverse donc revendiquer de ce que veulent croire les musulmans, les Juifs ne doutaient pas de la prétention de Jésus à se dire Dieu : « Nous avons une Loi et d’après notre Loi, Il doit mourir, parce qu’Il S’est fait Fils de Dieu. (Jn 19.7) » L’islam n’est pas le premier à nier la divinité de Jésus : la plupart des Juifs du temps de Jésus ont fait la même chose, et beaucoup à leur suite se sont ainsi damnés : « Pourquoi ne reconnaissez-vous pas Mon langage ? Parce que vous ne pouvez entendre Ma parole. Le père dont vous êtes issus, c’est le diable. (Jn 8.43-44 ; 3.18 ; Cf. Coran 5.18 ; 10.33) » Aux musulmans comme aux Juifs incrédules, Jésus dit : « Vous n’êtes pas de mes brebis. Mes brebis entendent Ma voix ; Je les connais, et elles Me suivent. Je leur donne la vie éternelle (Jn 10.26-28 ; 6.40) ». Qui peut prétendre connaître et aimer Jésus-Christ sans garder Sa parole (1 Jn 2.3-6) ?
— 40 Jésus S’est attribué le Nom divin révélé à Moïse, JE SUIS (Ex 3.14) : « Lorsque vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous connaîtrez que JE SUIS (Jn 8.28) »6 ; « En vérité, en vérité, Je vous le dis, avant qu’Abraham existât, JE SUIS (Jn 8.58) » ; « Je vous le dis dès maintenant, avant que la chose n’arrive, afin que, lorsqu’elle arrivera, vous reconnaissiez que JE SUIS (Jn 13.19) » ; « Si vous ne croyez pas que JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés (Jn 8.24) ».7 Le salut implique, pour Jésus, la reconnaissance de Sa divinité. Et, de fait, si Jésus n’était qu’un homme, Il ne pourrait nous sauver. Pour recevoir la connaissance de Dieu qui est vie éternelle (Jn 17.3), les chrétiens ne mettent pas leur foi en un homme, comme le font les musulmans avec Mahomet, mais en Dieu fait homme. Jésus a si bien affirmé Sa divinité que les Juifs voulurent Le lapider pour cette raison : « Ce n’est pas pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème : parce que toi, qui n’es qu’un homme, tu te fais Dieu ! (Jn 5.18 ; 10.33 ; 19.7) » Imagine-t-on quelqu’un accepter sa condamnation à mort sur la base d’une mauvaise interprétation qu’un mot de sa part suffirait à dissiper ?
— 41 Outre qu’il appartient à Dieu de Se révéler comme Il l’entend, et non comme les incrédules le prétendent, Jésus a clairement affirmé Sa nature et Sa filiation divines à plusieurs reprises. Par exemple : « Dieu n’a pas envoyé le Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par Lui. Celui qui croit en Lui n’est pas jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au Nom du Fils unique de Dieu (Jn 3.17-18) ». Apprenant que Lazare était malade, Jésus dit : « Cette maladie ne va pas à la mort, mais elle est pour la Gloire de Dieu, afin que le Fils de Dieu soit glorifié par elle (Jn 11.4) ». Avant sa Passion, Il prie ainsi : « Et maintenant, Père, glorifiez-Moi auprès de Vous, de la Gloire que J’avais auprès de Vous avant que le monde fût (Jn 17.5) ». Ou encore, aux Juifs qui voulaient Le lapider, Jésus dit : « “J’ai fait devant vous beaucoup de bonnes œuvres venant de Mon Père : pour laquelle voulez-vous Me lapider ?” Les Juifs Lui répondirent : “Ce n’est pas pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème ! parce que toi, qui n’es qu’un homme, tu te fais Dieu !” Jésus leur répondit : “Comment pouvez-vous dire à Celui que le Père a envoyé dans le monde : ‘Tu blasphèmes !’, parce que J’ai dit : Je suis le Fils de Dieu ? Si Je ne fais pas les œuvres de Mon Père, ne Me croyez pas. Mais si Je les fais, lors même que vous ne voudriez pas Me croire, croyez à Mes œuvres, ainsi vous reconnaîtrez que le Père est en Moi et que Je suis dans le Père“ (Jn 10.31-38 ; Quelques autres témoignages scripturaires relatifs à la divinité de Jésus : Mt 14.33 ; 16.15-20 ; 17.24-27 ; 26.63-64 ; Lc 10.22 ; 22.70 ; Jn 1.1,14 ; 7.37-38 ; 9.35-38 ; 14.6 ; 16.15 ; 18.36-37 ; 20.22-23,28-30…) ». Jésus sait qu’Il est le Fils de Dieu et Dieu même (Jn 8.14), aussi acquiesce-t-Il quand on Lui rend ce témoignage (Mt 14.33 ; Mc 1.24 ; Jn 20.29). Quelle belle expression de foi que celle de saint Thomas s’extasiant devant les plaies glorieuses de Jésus ressuscité : « Mon Seigneur et mon Dieu ! (Jn 20.28) ». Dieu, qui nous a créés doués de liberté, veut-Il que les hommes L’aiment librement, guidés par Son Esprit (Jn 15.26 ; 16.8-15), ou bien la soumission forcée que l’islam assimile à l’adoration lui convient-il également ?
— 42 Pour guider, avec quelque chance de succès, la pensée de ses contemporains vers la reconnaissance libre et personnelle de Sa divinité, Jésus Se devait de citer l’Ancien Testament (Mt 12.41-42). Ainsi, lorsqu’Il annonce qu’Il jugera les vivants et les morts (Mt 25.31-46), pour un Juif de l’époque, cela signifiait clairement s’identifier à Dieu. Lorsqu’Il cite le psaume 110(109) en lequel le roi David confesse que le Messie est son Seigneur, aucun homme n’étant supérieur au roi (Mc 12.35-37), Jésus en déduit la divinité du Messie.8 Jésus a accompli bien des actions et prononcé bien des paroles qui pour la culture de l’Ancien Testament Le présentaient à l’évidence comme Dieu. Lorsque les musulmans confessent que Jésus est le Messie (4.171), quelle conclusion en tirent-ils ?
— 43 Lorsque Jésus Se présente comme le Nouveau Législateur (Mt 5.22+), et justifie ses disciples de transgresser la Loi aux yeux des Pharisiens en affirmant que le Fils de l’homme est maître du sabbat (Lc 6.5), ne S’est-Il pas placé Lui-même au-dessus de la Loi, et donc au rang de Dieu ? En déclarant n’être pas assujetti au paiement de l’impôt du Temple parce que les impôts sont acquittés non par les enfants des rois mais par les étrangers, ne Se désigne-t-Il pas Lui-même ainsi Fils de Dieu (Mt 17.22-27) ? Et lorsqu’Il dit : « Tout M’a été remis par Mon Père, et nul ne connaît le Fils sinon le Père, comme nul ne connaît le Père sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut Le révéler (Mt 11.27) », n’affirme-t-Il pas Sa nature divine ?
— 44 Est-ce que les auteurs du Nouveau Testament auraient pu, dès le Ier siècle, proclamer la divinité de Jésus si celle-ci n’avait pas déjà largement été admise par les premiers chrétiens ? Malgré le témoignage que Lui rendent les Écritures (Dt. 18.15 ; Is 26.19 ; 35.4-7 ; 42.1-4 ; 49.1-6 ; 50.4-9 ; 52.13-15 ; 53.1-12 ; Za 12.10 ; 13.1) 9 et Ses miracles, hier (Mt 11.2-6 ; Jn 3.2 ; 5.36 ; 11.25-26 ; 1 Jn 3.18) comme aujourd’hui, beaucoup ne voient pas (Mt 13.15) briller en Jésus la plénitude de la Divinité (Col 2.9). « Si notre Évangile est encore voilé, c’est pour ceux qui se perdent qu’il reste voilé, pour ces incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence (2 Co 4.3-4) ». Ils ne veulent pas de la délicatesse de Dieu Se révélant comme l’humble aurore d’un jour nouveau, le sourire d’un enfant, qui attend d’être accueilli et aimé (Ap 3.20). À l’instar des Juifs préférant Barabbas à Jésus, ils préfèrent Allah et sa cruauté. « Quant à ceux qui n’ont pas cru, je les châtierai d’un dur châtiment, ici-bas et dans l’au-delà ! (3.56) » Le fait que les non-musulmans ne soient pas spécialement châtiés ― au contraire même ! ―, malgré l’ardeur de ses dévots, n’est-ce pas une preuve qu’Allah ment, et n’est donc pas le vrai Dieu ?
— 45 La raison humaine a le pouvoir non seulement « de démontrer avec certitude l’existence d’un Dieu personnel » mais encore « de prouver victorieusement par les signes divins les fondements de la foi chrétienne elle-même, d’exprimer exactement la loi que le Créateur a inscrite dans l’âme humaine et enfin de parvenir à une certaine intelligence des mystères, qui nous est très fructueuse (Pie XII, Humani Generis, n°22) ». Ainsi, au sujet de Jésus, l’union de la crédibilité rationnelle et de la foi s’enracine dans des signes : signes intérieurs à la conscience (satisfaction des plus nobles aspirations de l’humanité et paix profonde que le monde ne peut pas donner) et signes extérieurs (miracles, prophéties, sublimité de la doctrine du Christ et fécondité de l’Église). Quand Jésus pardonne les péchés et manifeste Son autorité à le faire par un miracle (Lc 5.17-26), ne montre-t-Il pas (au risque d’être accusé et condamné pour blasphème) qu’Il est Dieu ? Quel plus grand réconfort pouvait-Il donner que l’absolution des péchés ?
— 46 Puisque, sous l’instigation de Satan, l’homme s’est voulu Dieu, pour faire contrepoids au péché, le réparer et sauver sa créature, Dieu S’est fait homme ! Il est important de se rappeler qu’il n’y a pas de temps pour Dieu et que tout ce qui allait survenir dans le cours du temps Lui était présent au moment de la Création, en sorte que Dieu a créé l’homme en fonction de son rachat à venir. Ce rachat allait être possible en vertu de la parenté qui lie l’image au modèle : si le modèle se réfléchit en son image et si l’homme est créé à l’image de Dieu (Gn 1.27), qu’y a-t-il a priori d’impossible à ce que l’Image éternelle de Dieu (2 Co 4.4 ; Col 1.15) assume la nature humaine pour qu’aussi librement qu’il a été créé, l’homme soit appelé à la vie éternelle ?
— 47 Parce que le péché avait été commis par l’homme, il fallait que l’homme réparât. Or, la révolte de l’homme contre Dieu étant d’une infinie gravité, l’homme, de par sa nature finie, et de plus corrompue par le péché, était incapable d’offrir une compensation à la mesure de l’outrage. Dans cette situation, Dieu seul pouvait secourir l’homme. Alors Dieu décida de révéler Sa miséricorde, de manifester Son cœur de Père, Sa responsabilité de Créateur : Il envoya Sa Parole assumer notre humanité, pour la sauver, allant la chercher aussi bas qu’elle était tombée. Que l’on songe à la situation de l’humanité au sortir du Paradis terrestre, aux temps préhistoriques où les hommes vivaient presque comme des bêtes, et l’on comprendra que Dieu ne pouvait relever l’humanité que progressivement jusqu’à ce qu’elle puisse incarner la sainteté du Christ ; il eût été vain de leur demander, par exemple, d’aimer leurs ennemis (Mt 5.44).10 Après l’alliance avec Adam et Ève (Gn 3.15), avec Caïn (Gn 4.15), Dieu fit alliance avec Noé (Gn 6.18), avec Abraham (Gn 15.1), avec Moïse (Ex 19) à qui Il donna la loi du talion œil pour œil, dent pour dent (Ex 21.24), qui nous paraît aujourd’hui barbare, mais qui représentait à l’époque un grand progrès : elle faisait intervenir un juge et limitait la vengeance. Tout n’était plus possible ! Il y avait une loi… Dans ce contexte, parce que le trésor de la promesse dont était porteur le peuple juif devait être protégé des contaminations idolâtriques venant du contact avec les peuples encore soumis au pouvoir du Démon (cf. 2 Ch 36.14-16), Dieu exerça Sa justice en vouant ces peuples à l’anathème en raison de leurs péchés (Gn 15.16 ; Dt 18.12 ; Voir L 102 ; U 25-26). Il prépara ainsi les conditions d’avènement de la Nouvelle et Éternelle Alliance (Jr 31.31 ; Ba 2.35 ; Is 4.2 ; 11.1-10 ; 55.3 ; Ez 36.25-27 ; Ml 3.1), scellée par le sacrifice volontaire de Son Verbe incarné (Lc 22.19-20), et offerte à l’ensemble de l’humanité aussi gratuitement que l’est cette vie d’ici-bas. La vie d’ici-bas trouve ainsi son sens dans la communion au Christ mort et ressuscité (Ga 2.20), qui nous fait échapper à la Justice révélée par l’Ancienne Alliance. En attendant le Jugement Dernier, Dieu veut que nous méritions notre salut, en étant miséricordieux comme Il est miséricordieux (Mt 5.7 ; Lc 10.37). Peut-il y avoir un problème humain qui ne trouve sa solution dans la Mort et la Résurrection du Fils de Dieu (Jn 1.29) ?
— 48 Certes, Dieu est le Très-Haut, absolument transcendant, sans rien de commun avec ce que nous sommes par nous-mêmes. Mais peut-on dire que Sa grandeur ne peut s’abaisser jusqu’à notre misérable bassesse, lorsqu’en Dieu grandeur et petitesse s’identifient en Son unité ?11 C’est la raison pour laquelle rien n’est petit dans l’amour… Si les savants découvrent chaque jour davantage aussi bien les grandeurs démesurées de l’infiniment grand que les profondeurs insoupçonnées de l’infiniment petit, qui ira dire que Dieu cesse d’être infini en S’incarnant ?
— 49 La pensée musulmane, qui entend affirmer l’absolue transcendance divine sans commune mesure avec notre humaine finitude, devrait cependant reconnaître que les chrétiens ne la nient pas lorsqu’ils affirment l’Incarnation de Dieu, car celle-ci n’implique pour eux aucune modification, aliénation ou altération de la Substance divine. En Jésus-Christ, Dieu ne S’est pas mué en un être humain, ni n’est devenu un mélange mi-humain mi-Dieu. Avec saint Thomas d’Aquin (Somme Théologique, III, Q.19, a.1) nous pouvons considérer qu’un instrument a une double action : celle qu’il tient de sa forme propre, et celle qu’il reçoit de l’agent qui l’utilise. Ainsi le ciseau par sa forme coupe, et, utilisé par le sculpteur, produit une statue. L’opération qu’une chose possède par sa forme lui est propre, mais peut devenir celle de l’agent qui l’utilise pour sa propre opération. Faire une statue n’est pas pour le ciseau une opération séparée de celle du sculpteur ; chacun d’eux agit en communion avec l’autre : le ciseau participe de l’opération du sculpteur tandis que le sculpteur utilise l’opération du ciseau. De même, chez le Christ, Sa nature divine et Sa nature humaine ont chacune une forme propre qui est principe d’opération. La nature humaine possède une opération distincte de l’opération divine, et de même pour la nature divine, qui se sert de l’opération de la nature humaine à la manière dont l’artisan utilise l’opération de son instrument. La nature humaine participe alors à l’opération de la nature divine. La nature divine et la nature humaine accomplissent ce qui leur est propre en communion l’une avec l’autre, étant entendu que dans le Christ la nature humaine n’est pas séparée de la personne du Verbe comme l’est le ciseau du sculpteur, mais lui est unie, comme la main est unie à l’âme. Le Verbe opère ce qui appartient au Verbe, et la chair exécute ce qui est propre à la chair, et ainsi la main du Christ touche un malade, tandis que Sa puissance divine le guérit. Il y a deux opérations distinctes relevant des deux natures dont la seule personne du Christ est l’auteur. Dire qu’il n’y aurait chez le Christ qu’une seule opération attribuable à la fois à la divinité et à l’humanité serait nier que la nature humaine a une forme et une vertu propres. Il s’ensuivrait qu’il n’y aurait chez le Christ que l’opération divine, ou que la vertu divine et la vertu humaine se fondraient en une seule. Or, ces deux hypothèses sont inadmissibles, car, dans le premier cas, la nature humaine du Christ serait imparfaite, et dans le second cas, les deux natures feraient de Jésus un monstre, mélange de Dieu et d’homme, qui ne serait donc ni l’un ni l’autre, en sorte que Jésus n’aurait pas assumé une vraie nature humaine et n’aurait donc pas pu nous sauver. La vérité est qu’il y a dans le même Seigneur Jésus-Christ deux opérations naturelles, sans division, sans changement, sans confusion, sans séparation : l’opération divine ET (Voir W13) l’opération humaine (Cf. Mt 17.22-27). Une image traditionnelle des deux natures du Christ unies en Son unique personne divine est celle du fer en fusion : le métal et le feu sont si unis qu’ils se communiquent leurs propriétés : le métal perd sa couleur, devient malléable et brûle, tandis que le feu prend la forme du métal. De la même façon, Dieu, qui est un feu dévorant (Ex 3.2 ; Dt 4.24 ; Is 33.14 ; He 12.29), a aimé la nature humaine jusqu’à l’assumer. À l’instar du fer transformé en feu, pourquoi l’homme ne pourrait-il pas devenir participant de la nature divine (2 P 1.4) ?
— 50 Les musulmans ne veulent pas être chrétiens parce que le Coran leur enseigne que la foi en la divinité de Jésus est le plus grand des péchés (4.48). Or, puisqu’au seul plan humain, Jésus est un maître de sagesse incomparablement supérieur à Mahomet, comment ne pas faire le même raisonnement que Napoléon : « Le plus grand miracle du Christ a été de fonder le royaume de la charité : Lui seul a été jusqu’à élever le cœur de l’homme à des hauteurs inimaginables, à l’annulation du temps ; Lui seul, créant cette immolation, a établi un lien entre le Ciel et la terre. Tous ceux qui croient en Lui ressentent cet amour extraordinaire, supérieur, surnaturel ; phénomène inexpliqué et impossible à la raison. […] Je connais les hommes et je vous dis que Jésus n’était pas [qu’] un homme. Les esprits superficiels voient une ressemblance entre le Christ et les fondateurs d’empires, les conquérants et les dieux des autres religions. Cette similitude n’existe pas : entre le christianisme et les autres religions, il y a la distance de l’infini. Tout du Christ m’étonne ; Son esprit me dépasse et Sa volonté me confond. Entre Lui et quoi que ce soit au monde, il n’y a pas de terme possible de comparaison. […] Dans toute autre existence que celle du Christ, que d’imperfections, que de vicissitudes ! Quel est le caractère qui ne fléchisse, abattu par certains obstacles ? Quel est l’individu qui ne soit modifié par les événements ou par les lieux, et qui ne transige avec les mœurs et les passions, avec quelque nécessité qui le surmonte ? Je défie de citer aucune existence semblable à celle du Christ, exempte de la moindre altération de ce genre, qui soit pure de toutes ces souillures et de ces vicissitudes. […] Qu’Il parle ou qu’Il agisse, Jésus est lumineux, immuable, impassible. Le sublime, dit-on, est un trait de la divinité. […] Jésus ne pactise pas davantage avec les autres faiblesses humaines. Les sens, ces tyrans de l’homme, sont traités par Lui en esclaves faits pour obéir et non pour commander. Les vices sont l’objet de Sa haine implacable. Il en parle en maître à la nature humaine dégradée, en maître courroucé qui exige une expiation. Sa parole, tout austère qu’elle est, s’insinue dans l’âme comme un air subtil et pur ; la conscience en est pénétrée et silencieusement persuadée. […] Ceux qui examinent les Évangiles ne trouvent rien à critiquer dans Sa vie. Si le titre d’imposteur s’accole facilement au nom de Mahomet, il répugne tellement avec celui du Christ, que je ne crois pas qu’aucun ennemi du christianisme n’ait jamais osé l’en flétrir ! Et cependant il n’y a pas de milieu : le Christ est un imposteur ou Il est Dieu. […] Il n’y a pas de Dieu dans le Ciel, si un homme a pu concevoir et exécuter, avec plein succès, le dessein gigantesque de dérober pour lui le culte suprême, en usurpant le nom de Dieu. […] Il bâtit Son culte de ses mains, non avec des pierres mais avec des hommes. On s’extasie devant les conquêtes d’Alexandre ! Eh bien, voici un conquérant qui confisque à son profit, qui unit, qui incorpore à Lui-même, non pas une nation, mais l’espèce humaine. Quel miracle ! L’âme humaine avec toutes ses facultés devient une annexe de l’existence du Christ. Et comment ? Par un prodige qui surpasse tout prodige. Il veut l’amour des hommes, c’est-à-dire ce qui est le plus difficile à obtenir : ce qu’un sage demande vainement à quelques amis, une épouse à son époux, un frère à son frère, en un mot le cœur : c’est là ce qu’Il veut pour Lui, Il l’exige absolument, et Il y réussit tout de suite. J’en conclus Sa divinité. (Napoléon Bonaparte, Conversations sur le Christianisme, Le Rocher, 2014, p.51-53) » Une autre raison qu’avait Napoléon de glorifier Jésus-Christ n’était-elle pas, sur le tard de sa vie et dans la retraite forcée de son exil, à l’instar de saint Paul et de tant de grands pécheurs repentis, la gratitude pour sa propre conversion ?
— 51 Noël, fête de la naissance de Jésus, ou bien de Mithra, ou bien encore du solstice d’hiver ? Pâques, fête de la résurrection de Jésus, ou bien de l’équinoxe de printemps ? Autant de prétendus arguments, parmi d’autres du même tonneau, pour nier l’historicité et l’originalité du christianisme. Lorsqu’en 354 le pape Libère arrêta le 25 décembre comme jour de naissance du Christ,12 il savait cet anniversaire entrer en concurrence avec celui de la naissance de Mithra et de Sol Invictus (Soleil invaincu), mais cela ne prouve pas que Jésus ne soit pas né à cette date-là, et d’autre part, quel meilleur jour que celui du solstice d’hiver pour que naisse la Lumière venant dissiper les ténèbres de ce monde actuel et mauvais (Jn 8.12 ; Ga 1.4) ? La correspondance de la Révélation chrétienne avec des mythes païens est présentée comme preuve du caractère idolâtre du christianisme,13 alors qu’elle est une preuve de la justesse de la réponse apportée par Jésus à l’attente universelle d’un Sauveur,14 promis à l’aube de l’humanité (Gn 3.15), dont toutes les cultures et civilisations ont plus ou moins obscurément gardé le souvenir. Leur intuition, éclairée par cette lointaine lumière, les a toujours conduits, à se représenter Dieu à partir de ce qu’ils connaissaient, appelant ainsi inconsciemment Son Incarnation. L’Église sait lire dans les paganismes la Tradition Primordiale révélée à Adam et Ève, et elle a la joie de leur en annoncer l’accomplissement ! Bref, « il y a cette différence entre le Christ et les autres hommes que ceux-ci naissent soumis à la nécessité du temps, et que le Christ, comme Seigneur et Créateur de tous les temps, a choisi la date à laquelle Il naîtrait, ainsi que Sa mère et le lieu de Sa naissance. Et parce que ce qui vient de Dieu est parfaitement ordonné et merveilleusement disposé, il s’ensuit que le Christ est né au moment le mieux choisi. (St Thomas d’Aquin, ST, III, Q 35, a.8) » Quoi d’étonnant à ce que les événements de la Rédemption coïncident avec des événements cosmiques, si le Rédempteur est aussi le Créateur ?
— 52 Le mystère du Christ se décline en quatre affirmations, aussi unies entre elles que les quatre directions de la Croix sont accordées à jamais dans le Cœur du Crucifié :
- Jésus est vrai Dieu. Les prophéties, Son enseignement, Sa sainteté, Ses miracles le montrent ;
- Jésus est vrai homme. L’Histoire en témoigne : c’est ainsi qu’Il est apparu à tous ceux qui L’ont connu. Les musulmans n’en doutent pas ;
- La nature divine et la nature humaine ne sont en Lui ni confondues ni séparées, mais distinctes et unies (Voir G 23 ; 43). Tantôt Jésus S’exprime selon Sa nature divine et tantôt selon Sa nature humaine. Si l’on ne sait pas cela, alors on ne peut rien comprendre à la lecture de l’Évangile, car on ne saurait jamais comprendre qu’un Dieu puisse avoir faim, dormir, mourir ou dire : J’ignore la date de la fin du monde ( Mc 13.32), ni qu’un homme puisse ressusciter les morts, marcher sur l’eau, dire Tes péchés sont remis (Mc 2.1-12 ; Lc 5.17 ; 7.49) ou Se ressusciter (Jn 10.17-18) ;
- Ces deux natures appartiennent non à une personne humaine, mais à une Personne divine, la deuxième Personne de la Sainte Trinité, faite chair. En sorte que c’est le même Je qui peut dire à la fois : Je suis Dieu et Je suis homme.
Pourrait-il y avoir plus parfait médiateur entre Dieu et l’humanité ?
« Nous savons que nous sommes de Dieu,
et que le monde entier est sous la puissance du malin.
Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu,
et qu’Il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ;
et nous sommes dans le Véritable, en Son Fils Jésus-Christ.
C’est Lui qui est le Dieu véritable, et la Vie éternelle.
Petits enfants, gardez-vous des idoles ! (1 Jn 5.18-21) »
- Les traductions musulmanes en français du Coran ne manquent pas de traduire ici par un prophète, une parole, une vérité… [↩]
- Ces hadiths ont pour degré d’authenticité celui de mutawatir, c’est-à-dire le plus haut qui soit. [↩]
- Ce passage relatif au « Fils de l’homme » du Livre de Daniel a connu un immense succès et a donné une théologie de la double nature du Messie, tant au sein du judaïsme pré-rabbinique que dans la littérature juive postbiblique (Cf. Hén. 48.2-3 ; IV Esdras 13), pour ne rien dire de la prédication de Jésus (Mt 8.20 ; 9.6 ; 12.8 … Ap 1.13). [↩]
- Le professeur juif Benjamin Sommer reconnaît que les Juifs attendaient un Messie-Dieu et croyaient en un Dieu multi-personnel. Le bibliste Nahum Sarna fait remarquer que dans plusieurs textes la distinction entre Dieu et son Ange s’estompe (Gn 16.7-9,11 ; 22.11-12,15-18 ; Ex 3.2, 4 ; Jug 6.11-23). Lors de l’Exode, c’est tantôt Dieu (Ex 13.21), tantôt son Ange (14.9) qui conduit les Israélites (Nahum Sarna, Genesis, The JPS Torah Commentary, p. 383) [↩]
- Le prophétisme est une réalité propre à Israël. Elle implique la notion d’alliance entre l’unique et vrai Dieu et son peuple élu, auquel Dieu envoie les prophètes pour lui rappeler les exigences de l’Alliance. Parce que le prophétisme suppose l’existence du peuple élu, Moïse est le premier prophète (NB 12.6-8 ; Dt 34.10-12) et saint Jean-Baptiste le dernier (Lc 7.24-30). Contrairement à ce que dit le Coran, ni Adam, Noé ou Abraham ne sont prophètes (3.33). [↩]
- Attention, il arrive que des traducteurs ajoutent le Messie après JE SUIS, tel le chanoine Crampon dans la Bible qui porte son nom, tandis que d’autres paraphrasent encore autrement. [↩]
- D’aucuns, qui certes ne sont pas musulmans, avancent que Jésus, en revendiquant le Nom divin, n’aurait fait qu’affirmer faire partie de Dieu, à l’instar de nous tous. Or, une telle conception est totalement étrangère à la foi hébraïque, pour laquelle Dieu est absolument transcendant, totalement étranger à ce monde, lequel n’est que son œuvre, et non pas Dieu, comme le croit le panthéisme et le New-Age. [↩]
- Jésus aurait pu citer encore d’autres passages de l’Ecriture, tel celui-ci : « Qui est monté au ciel et puis en est descendu ? qui dans ses poings a recueilli le vent ? qui dans son manteau a serré les eaux ? qui a affermi toutes les extrémités de la terre ? Quel est son nom ? quel est le nom de son fils, si tu le sais ? (Pr 30.4) » ; « Quel est le nom du Roi-Messie ? Rabbi Abba Bar-Kahana a dit : ‘YHWH est son Nom, ainsi qu’il est écrit : Voici le Nom dont on L’appellera, YHWH notre Justice. (Midrash Rabba Sur les Lamentations, ch. 1, v. 16 ; Talmud de Babylone, Baba Bathra 75b) ». [↩]
- Pourquoi ne pas citer aussi Les Testaments des Douze Patriarches (rédigés en araméen entre 200 et 174 av. J.-C. et retrouvés dans les grottes de Qumran), dont voici quelques extraits : « Après cela, se lèvera pour vous le Seigneur Lui-même, lumière de justice, la guérison et la compassion seront dans ses ailes. C’est Lui qui délivrera de la captivité de Béliar les fils des hommes et tout esprit d’égarement sera foulé aux pieds ; et il convertira toutes les nations pour qu’elles le servent avec zèle. Et vous verrez Dieu sous la forme d’un homme qu’aura choisi le Seigneur dans Jérusalem, à cause de son Nom (Testament de Zabulon 9.8) » ; « [Vous serez dans la dispersion] jusqu’à ce que le Très-Haut visite la terre et vienne Lui-même et qu’il écrase la tête du dragon sur l’eau. C’est Lui qui sauvera Israël et toutes les nations, Dieu parlant par l’intermédiaire d’un homme (Testament d’Aser 7.3) » ; « Alors, un signe sera glorifié, car le Seigneur Dieu, le Grand d’Israël, paraissant sur terre, viendra comme un homme et sauvera par lui le genre humain… Car Dieu a pris un corps et, mangeant avec les hommes, il a sauvé les hommes (Testament de Siméon 6. 5,7) » … [↩]
- Deux mille ans après la venue du Christ, c’est encore si difficile pour la plupart… Au sujet de la Bonté de Dieu qui serait niée par les massacres commandés par Dieu au peuple juif, voir A 25 ; E 11-12. [↩]
- Si seulement ceux qui crient Allah akbar ! Allah est le plus grand comprenaient que cela n’a pas de sens, tant la création nous montre que Dieu est aussi grand que petit… [↩]
- Certains se font un devoir de dénigrer la fête de Noël au motif qu’elle ne serait que la christianisation des Saturnales. Or, les Saturnales étaient célébrées le 17 décembre, puis, sous l’empire romain, entre le 17 et le 23 décembre et ce jusqu’en 380 ap. J.-C., année où le christianisme devint religion d’État à la place du paganisme. Si donc Noël n’avait été placé le 25 décembre que dans le but d’inciter les païens à abandonner les Saturnales au profit de la Nativité du Christ, le Christ aurait dû naître du 17 au 23 décembre… Quant à ceux qui veulent n’y voir que la reprise de la fête de la naissance du Soleil Invaincu (Dies Natalis Solis Invicti), il faut leur rappeler que cette fête fut créée par l’empereur Aurélien en 274 ap. J.-C.… Certes, nous n’avons pas retrouvé de trace écrite de la célébration de Natalis Dies (Noël) avant l’an 336, mais cela ne signifie pas pour autant que Noël n’était pas célébré auparavant. Rappelons encore qu’en 221 l’historien chrétien Sixte Jules l’Africain dans ses Chronographiai nous apprend que les catholiques célébraient déjà l’Annonciation le 25 mars. Le fait que selon l’Évangile de saint Luc, au moment de la Nativité, les bergers vivaient aux pâturages ne désigne pas le printemps pour autant, car non seulement les moutons supportent très bien le froid, mais le climat à Bethléem en hiver ne connaît pas de température négative, ce qui permet de vivre dehors, à l’abri de quelque étable de circonstance. Les contradicteurs de cette date ne peuvent donc pas prouver que Jésus n’est pas né un 25 décembre… De plus, selon le savant israélien Shermanyahu Talmon ayant retrouvé le calendrier liturgique de la secte de Qoumran, il apparaît que la famille d’Abias, à laquelle appartenait le prêtre Zacharie, père de saint Jean Baptiste (Lc 1.5), devait accomplir son service aussi du 24 au 30 septembre. Ce n’est donc pas sans raison que les “six mois” annoncés par l’ange à la Vierge Marie coïncident avec la fête liturgique du 25 mars, trois mois avant la naissance du Baptiste le 24 juin, et neuf mois avant le 25 décembre… [↩]
- Par exemple encore, la relation de Jésus et de Marie est souvent présentée comme la reprise de celle de la déesse égyptienne Isis et de son fils Horus… Or, contrairement à ce que veulent croire les calomniateurs de la foi chrétienne, Horus n’est pas né d’une vierge, sa naissance n’a pas été annoncée par des anges, il n’est pas né dans une grotte, et il n’avait pas non plus douze disciples… [↩]
- A cet égard, combien stupéfiante est la révélation aztèque de Quetzalcoatl, le Serpent à plumes (ayant donc, comme le Christ, deux natures), qui, changé en homme blanc, porterait une grande croix, et dirait : « Vous observerez ce signe. Cet Arbre est la Vérité et la Vie. La branche centrale unit le Ciel et la terre. Un de ses bras est l’amour et l’autre est la douleur. » ! [↩]
abbé Pagès: vous avez dit ” Jésus, dès l’instant de sa conception, voyait Dieu ” . Comment sait-on qu’il voyait Dieu des sa conception ? Y a-t-il un verset biblique ou article du CEC qui le dise?
La foi implique de croire en raison de l’autorité de celui qui révèle. Or, personne ne pouvait apprendre à Jésus quelque vérité que ce soit. Donc Jésus ne pouvait avoir la foi.
Mais comment sait-on qu’il avait la vision beatifique dès sa conception ?
Parce que la vision béatifique, de par sa nature, est totale.
Son message a deux mille ans, et n’a pas pris une ride. En fait c’est plus que cela, son message est brûlant d’actualité. Toujours.
Son message est transposable à tout le monde il est éloquent même pour le dernier des derniers.
Son message n’est pas connoté culturellement, il est universel, c’est d’ailleurs la première fois qu’un “Homme” a su produire une pensée absolument universaliste, capable de traverser les frontières sans efforts. Je ne parle pas ici de maths, ou de science car le message du Christ n’est pas neutre, il prend au contraire activement parti ! Sa propagation a été une réussite incomparable.
Son message s’est diffusé sans autre sang versé que celui de ses Martyrs, c’est dire la pertinence du propos.
Il est Dieu et Fils de Dieu car son message est incroyablement trop parfait et robuste pour être venu des Hommes et seulement d’eux.
En effet, quand on lit l’Evangile,on a l’impression que le texte est vivant et rempli de l’Amour infini de Dieu.
D’ailleurs, le Christ a dit que ses paroles sont Esprit et Vie
Donne moi un verset prouvant la divinité de Jésus , l article de mr Pages est pas du tout convaincant en plus d avoir deja été réfuté des milliers de foi
arretez de raconter des conneries sur le coran et de faire des fausses traductions . ca ne marche uniquement que pour les idiots et les ignorants.
concernant jesus comment il va juger les gens c’est pas ce que vous dites . en effet lisez le hadith jusquau bout et jesus sera temoindu j jugement ce qui veut que seul dieu est juge voila ( nuance)Sahih al-Bukhari livre 55 Hadith 657 pour exemple
L’apôtre d’Allah a dit: “Par Lui entre les mains de qui mon âme est, sûrement (Jésus), le fils de Marie descendra bientôt parmi vous et jugera l’humanité avec justice (en tant que souverain juste),
il va casser la croix et tuer les cochons et il n’y aura pas de Jizya (c’est-à-dire une imposition prélevée sur des non-musulmans). L’argent sera en abondance pour que personne ne l’accepte, et une seule prosternation envers Allah (dans la prière) sera meilleure que le monde entier et tout ce qui s’y trouve. “Abu Huraira a ajouté” Si vous le souhaitez, vous pouvez réciter (ce verset du Livre Saint): – ‘Et il n’ya pas de peuple des Écritures (Juifs et Chrétiens), mais il faut croire en lui (c’est-à-dire que Jésus est un apôtre d’Allah et un être humain) avant sa mort. Et au Jour du Jugement, il sera témoin contre eux. “(4.159) (Voir Fateh Al Bari, Page 302 Vol 7)
secondement concernant la naissance de jesus relisez la sourate mariam et vous trouverez vos reponses. en clair dieu a commandé la creation de jesus et lenfant jesus est né car dieu lavait commandé . rien d’autre. soit et elle est. dieu ne s’est pas reicarné selon cette sourate.
Jésus a été créé par Allah, par sa parole (« Sois! »), et implanté en Marie par la puissance de Dieu. Jesus n’est qu’un être humain. (3:59; 5:75; 5:116-117)
merci d’arreter de recopier des traductions ou des interpretations du coran bidon
mou
Jésus est Dieu .
Voici la preuve :
https://www.youtube.com/watch?v=tIshWO7je1s
mou
Si l’islam est la vérité, pourquoi les minorités chrériennes sont persécutées dans tous les pays musulmans ?
D’autant que l’islam est antichrist , selon 1 jean 2:22, 1 jean 4:2.
mou
Vous admettez vous-meme que la jyzzia est imposée aux juifs et aux chrétiens ( parfois aux sabéens ).
Vous trouvez ça juste ?
Vous dites que Jésus va briser la croix ? Laquelle ?
Vous que Jésus va tuer les cochons ? Pourquoi ne l’a-t-il pas fait , il y a 2000 ans ?
Tout ça n’est pas cohérent.
Lisez le nouveau testament ( vous ne l’avez pas lu, sinon , vous ne diriez pas de telles aneries )
et vous verrez que le Jésus-Christ de la bible, n’a absolument rien à voir avec le faux jésus- isa du coran qui est une création talmudique et judéo-nazaréenne.
NB: Jésus-Christ ne se prononce pas isa en arabe.
Les arabes chrétiens l’appelle Yassua, nom dérivé de l’araméen Yeshua et de l’hébreu Yehoshua.
Isa ramène à isso, autrement dit à esau, le frère ainé de jacob qui a vendu à son frère son droit d’ainesse pour un plat de lentilles.
L’origine talmudique du coran est évidente. Constatez vous-meme:
https://www.youtube.com/watch?v=p_2vo6RU660
Ali a mon avis laisser tomber car il n’y a pas pire que l’ignorance
Jésus psl a lui même dit ce qui est la vérité est tous ces gens apaisent leur cœur en traduisant ces paroles comme sa leur tante. Bien sur qu’Il est plus facile de vivre dans ce monde mortelle dans une autre religion que l’islam.
Certaine disent que le coran ni le christianisme mais quel mensonge . D’autre montre des vidéos de YouTube! sérieux j’ai bien hâte au jugement dernier! et j’aurais bien voulu voir vos visages quand vous allez enfin apprendre la vérité. Vous croyez au torah a la bible et pk pas au coran. Et comment osez vous insulté une autre religion en n’ayant aucune preuve réel de ce qui est la VÉRITÉ.
Qui insulte qui ? Qui dit que la Trinité n’est pas le seul vrai Dieu, que Jésus n’est pas Dieu, qu’Il n’est pas mort, ni donc ressuscité, que la Bible a été falsifiée, que “les chrétiens et les Juifs ne sont qu’impureté (Coran 9.28)”, “les pires de la Création (Coran 98.6)”, etc. ?
Okay donc interpréter la Bible à votre manière mais éviter de nous dire que le Coran dit du Christ (psl) qu’il est Dieu. Le Coran est ce livre qui interdit celà dans toutes sa largeur.
La vérité est dans les deux livres et quand nous lisons chacun est libre de dire ce qu’il veut !
Alors vous me parlez de quelle vérité ? Votre vérité à vous ? Vous me cité de versé qui souvent non rien à voir avec le Christ oubien souvent interpréter littéralement c’est pas comme ça que la parole de Dieu s’interprète.
Jésus (psl) serait Dieu venu sur la terre qu’il a créé, il a été terrassé par l’un de ses créatures qui est la mort, il avait des besoins humains alors que Dieu ne peu en aucune manière avoir des besoins…
Alî,
1) Si le Coran se contredit, il ne faut pas faire comme s’il ne se contredisait pas, mais reconnaître qu’Allah se trompe si bien qu’il doit se corriger, et donc abroger certains de ses versets de parole immuable et éternelle (Coran 2.106 ; 16.101)…
2) Comment pouvez-vous nous prétendre savoir comment interpréter le Coran puisqu’Allah dit qu’il est seul à savoir l’interpréter (Coran 3.7) ?
3) Le vrai Dieu, à la différence d’Allah, n’a pas fait la mort.
4) Si vous aviez pris la peine de lire le texte que nous vous avons indiqué, vous auriez appris que Jésus, le Verbe de Dieu, a deux natures, en sorte que selon Sa nature humaine, Il est un vrai homme, et comme tel soumis aux nécessités humaines.
Attention, la Bible n’est pas le Coran, terminologies coraniques à ne
pas dénaturer. Cette rubrique, est à ne pas négliger car elle fait partir d’une astuce néfaste utiliser par le diable pour égarer les gens du droit chemin.
Le Judaïsme ne croit pas au Christianisme, le Christianisme et le Judaïsme ne croient pas à l’Islam mais l’Islam croit aux deux. Pour paraphraser, pour les Juifs Judaïsés, ils ne croient pas en la venue de Jésus Christ et pour les Chrétiens, le salut est en Jésus Christ seulement. Mais pour l’Islam, tous les Prophètes sont considérés et que la dernière révélation de la parole de Dieu, est le Saint Coran en incluant que le Prophète Muhammad est le dernier Messager.
En Islam il est d’une importance vitale et de foi de ne pas démentir un seul messager car cela reviendrait ainsi à rejeter et à mécroire à tous les prophètes.
Wath Sides,
Les musulmans veulent croire que parce que l’islam est survenu historiquement après le christianisme, il lui est nécessairement supérieur, et que c’est une raison suffisante pour justifier le fait d’être musulman. Cette croyance s’évanouit à la considération des vérités suivantes :
Tout ce qui est chronologiquement postérieur n’est pas nécessairement supérieur ou meilleur. La preuve en est que la décadence, la déchéance, la perversion, la pourriture, viennent nécessairement elles aussi APRÈS une période de perfection qu’elles corrompent.
Alors qu’il prétend s’appuyer sur le progrès de la Révélation divine, l’islam le renie aussitôt en revendiquant n’être rien d’autre que ce qu’était le christianisme, comme s’il n’y avait pas entre eux une différence que seule l’histoire peut produire et expliquer.
En reniant l’histoire, et donc la mémoire et l’identité, l’islam se révèle néant anhistorique, n’ayant d’autre justification que son discours. Apparaît ainsi au grand jour son œuvre propre : l’anéantissement de la personne humaine, douée de conscience de soi dans la relation au vrai Dieu, Lequel Se révèle dans et par l’histoire.
Une autre preuve que l’islam renie l’histoire est que sa seule raison d’être, ouvertement proclamée, est de ramener l’humanité à son âge d’or, l’époque de Mahomet, à Médine, au VIIe siècle, point zéro de l’histoire où tout était parfait… Or, est-ce vraiment le cas ? Mahomet et ceux qui le suivaient, ont-ils vraiment vécu en paix ? Tout musulman est cependant tenu de croire que si l’idéal de l’islam n’est pas encore réalisé, il le sera un jour… puisqu’il l’a déjà été ! Et en attendant, il doit accepter tout ce qui lui est imposé au nom d’Allah (voir W 7-10)… Bref, en reniant l’histoire, l’islam détruit du même coup l’argument de sa prétendue supériorité qu’est sa venue APRÈS le christianisme.
Les musulmans pensent pouvoir tirer sécurité pour leur salut du fait qu’ils suivent Mahomet parce survenant APRÈS Jésus. Mais, suffit-il de se mettre à la remorque du dernier prophète autoproclamé pour faire la volonté de Dieu ? Dans ce cas, ce n’est pas de Mahomet qu’ils devraient être les disciples, mais de Joseph Smith, qui fonda l’Église des Saints des Derniers Jours, en 1830, ou, mieux, de Mirza Husayn Ali, parce qu’il fonda la religion bahaïe en 1863, ou bien d’un autre faux prophète encore plus récent, qui ne manquera pas lui aussi d’assurer que Dieu l’envoie.
Comment les musulmans peuvent-ils penser assurer leur salut du fait que Mahomet est survenu APRÈS Jésus, alors que Jésus nous a mis en garde contre les antichrists et faux prophètes à venir (Mt 24.4,11,24 ; 1 Co 15.1 ; 2 Co 11.4 ; Ga 1.9, 4.28-31 ; 1 Jn 2.22-27 ; 4.2-3 ; 2 Jn 7-11 ; Jude 18-19 ; voir I 16) et que les livres qui en portent témoignage datent de bien AVANT la venue de Mahomet, en sorte que l’on ne peut pas les soupçonner d’avoir été falsifiés pour dénigrer l’islam ?…
Lorsque Jésus annonçait qu’après la prédication de l’Évangile engendrant des fils de Dieu, viendrait le Diable semer « la zizanie » et se donner une progéniture maudite, ne pensait-Il pas à l’islam (Mt 13.24-30,36-43) ?
— 2 Au temps de Jésus-Christ, Israël attendait la venue du Messie (Gn 3.15 ; Dt 18.15 ; 2 S 7.1 ; Ps 20.7 ; Is 7.14 ; 1.1-9 ; Mi 4.14 ; Os 2.20), c’est-à-dire de Celui par qui les promesses de Dieu s’accompliraient, par qui la Nouvelle et Éternelle Alliance serait scellée (Is 55.3 ; 61.8 ; Jr 31.31-33 ; 32.40 ; Ba 2.35 ; Ez 16.60 ; 34.25 ; 36.25-27 ; 37.26 ; Os 2.20). Si le peuple juif, dans la personne de ses chefs, ne l’a pas reconnu en Jésus de Nazareth et confesse encore L’attendre, les chrétiens, eux, ayant accueilli en Jésus de Nazareth le Messie promis par les Saintes Écritures hébraïques (Gn 49.10 ; 2 S 7.8-17 ; Mi 5.1-4 ; Is 7.14), n’attendaient personne lorsque Mahomet est venu… C’est pourquoi, en dépit de ce que les musulmans disent, la situation des chrétiens vis-à-vis des musulmans n’est pas analogue à celle des Juifs vis-à-vis des chrétiens. Comment cette mystification n’engendrerait-elle pas les difficultés relationnelles, troubles du comportement, sentiments de persécution, jalousies et violences, caractéristiques de l’existence musulmane dans son rapport aux chrétiens ?
Ali
Le jésus du coran , appelé issa est un faux jésus.
Selon le coran, il n’a pas été crucifié, n’a pas de nature divine et ne sauve pas.
Jésus-Christ de nazareth nous avait déjà prévenu dans le nouveau testament
( 600 ans avant le coran ) qu’il y aurait de faux christs après lui. Jésus-Christ dit en :
-matthieu 24:4-5 : ” Jésus dit: prenez garde que personne ne vous séduise, car plusieurs viendront sous mon nom en disant : je suis le christ. Et ils en séduiront plusieurs “.
-matthieu 24:23-24:” Si quelqu’un vous dit: voici, le christ est ici, ou , il est là, ne le croyez pas. Car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes …”
La bible est la vérité car toutes les prophéties de ce livre ainsi que la mort et la résurrection du Christ ont été prophétisés ( par Esaie ) 700 ans avant la venue du Christ sur la terre.
Le coran refuse de croire à la mort et à la résurrection du Christ, attestée dans la bible; donc le coran n’est pas la parole de Dieu, car Dieu ne se contredit pas.
En s’incarnant sur terre , Jésus possède une double nature
( divine et humaine ). Mais cela, vous ne pouvez pas le comprendre, car, vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit.
Jésus-Christ est mort sur la croix dans sa nature humaine reçue
de la vierge Marie, car il est l’Agneau de Dieu expiatoire sacrifié pour le salut de ceux qui croit en lui.
Vous dites que l’on cite des versets qui n’ont rien à voir avec le Christ ?
Veuillez les citer s’il vous plait.
Apparemment, vous n’avez aucun argument à nous donner.
Vous parlez dans le vent sans jamais apporter la moindre preuve de vos allégations.
Merci… Pour ton intervention. Le Coran n’est la parole d’un demon! Sinon comment Mohamed qui n’est jamais allé à l’école puis connaître la formation du fœtus humain dans le ventre de la femme ancêtres. Il a fallu le 20 ieme siècle avec l’arrivée des scanner pour savoir cela. Voici le verset en question : Nous avons certes créé l’homme d’un extrait d’argile, puis Nous en fîmes une goutte de sperme dans un reposoir solide. Ensuite, Nous avons fait du sperme une alaqah (sangsue, chose suspendue, caillot de sang), et de la alaqah Nous avons créé une moudghah (substance mâchée)… 1 (Coran, 23:12-14).
Aussi tien toi que la science moderne à découverte que la terre à un pourcentage de 29% et les océans un pourcentage de 71% dans notre planète…. Figure toi que
mer est écrit 32 fois terre est écrit 13 fois dans le coran
mer + terre = 45 fois
La part du mot mer sur le total est de 32/45 = 71,1111… %
La part du mot terre sur total est de 13/45 = 28, 8888… %
71,1111 % est exactement le pourcentage d’eau à la surface de notre planète.
28,8888 % est exactement (à la virgule près !) le taux de terre à sa surface !!!
IL est impossible que le prophète sache il y a 1400 ans que la mer représente 71,1111 % du globe à sa surface. L’Amérique n’etait même pas découverte !!!.
Sur ce débat Jésus Christ est le seul bien placé pour nous départager sur la question de sa divinité et je pense que ce sont ce qu’il a dit qu’il faut prendre en compte pas ce que les humains veulent que nous nous croyons…. Donc lisons sa parole
Et il n’a jamais enseigné de croire à sa mort sur la croix…
Le prophète nous dit que le Christ n’est pas mort qu’il a été enlevé auprès de son créateur et qu’il reviendra pour brisé la croix.
Vous nous inventé une des doctrines sur la croyance de la mort du Christ sur la croix donc j’ai une question d’après vous là mission du Christ consistait à se faire tirer sur la croix ou non ??
Ali,
Au sujet des miracles du Coran, voir ici les n°80-82, et cette vidéo tirée de Oumma.com, et ici encore si vous voulez.
Merci
Ali
Concernant , le développement du foetus,il arrivait souvent que les femmes du 7ème siècle fassent des fausses couches.
De toutes façons le médecin philosophe gallien avait travaillé sur la question 500 ans avant l’arrivée de l’islam et les médecins grecs avaient travaillé sur le sujet 1000 ans avant l’islam..
Quant aux autres miracles scientifiques vous ne faites que du concordisme.
Le coran n’a jamais été un livre scientifique.
Par exemple,l’homme n’est pas créé d’une goutte de sperme,mais à partir d’un ovule féminin et d’un spermatozoide. Concernant les faux miracles scientifiques, regardez
ceci:
https://www.youtube.com/watch?v=6zc_CiznQK8
Jésus – Islam » Le Coran » le Coran contient-il des merveilles mathématiques ?
Beaucoup de musulmans soutiennent que le Coran contient des merveilles mathématiques qui ne pourraient avoir pour auteur que Dieu lui-même. Un exemple de ces merveilles mathématiques, dit-on, est le parallélisme numérique : le mot mois apparaît douze fois dans le Coran, le mot jour apparaît 365 fois, les mots homme et femme apparaissent un nombre égal de fois, de même, les mots ange et Satan apparaissent un nombre égal de fois, quant aux expressions ce monde et l’autre monde, ils apparaissent aussi un nombre égal de fois. Un tel parallélisme numérique ne pourrait être que le résultat d’un esprit divin comme auteur du texte.
Outre ces motifs numériques récurrents, il y a dans le Coran un code caché. Le Dr Rashad Khalifa, érudit musulman vivant aux États-Unis, a écrit un livre intitulé The Perpetual Miracle of Muhammad. Il raconte qu’il a été fasciné par le verset du Coran (Sourate 74:30) qui déclare : « Au-dessus, il y a dix-neuf ». Lorsqu’on analyse le texte du Coran à la recherche de motifs numériques, on commence par trouver le nombre dix-neuf partout. Nous n’en donnerons que quelques exemples : le nombre total de chapitres dans le Coran est divisible par dix-neuf ; la première révélation du Coran contenait dix-neuf mots ; et le premier chapitre révélé, dans l’ordre chronologique, contient dix-neuf versets et un nombre total de mots qui est divisible par dix-neuf. Des dizaines d’exemples de ce genre peuvent être trouvés, or le nombre dix-neuf n’est pas le moindre des nombres premiers, ce qui rend très peu probable l’apparition de ce motif numérique dans un texte. Étant donnés : la présence de ce verset coranique concernant le nombre dix-neuf, la rareté du nombre, et la prévalence du motif numérique, nous pouvons avoir confiance qu’Allah est bien l’auteur du texte.
RÉPONSE : DE QUELLE FAÇON CE NOMBRE EST-IL PARTICULIER ?
Bien que de nombreux Musulmans trouvent l’argument des motifs numériques convaincants, honnêtement, cela n’a jamais été mon cas. Toutes sortes de motifs numériques étonnants peuvent être trouvés dans le monde autour de nous, il suffit de les chercher. Si vous cherchez bien, et si vous choisissez vos paramètres, vous trouverez de tels motifs numériques.
Et nous savons que c’est exactement ce qu’a fait la personne qui « a découvert » le motif numérique dix-neuf dans le309956 Coran. Il a fallu à Rashad Khalifa, qui a publié un texte sur ce motif numérique, environ 250 pages pour soutenir que le nombre dix-neuf a été trouvé sous cinquante-deux formes différentes dans le texte du Coran ! Selon un érudit musulman connu, Bilal Philips : « La plupart des musulmans ont accepté aisément et sans arrière-pensée les revendications de Khalifa présentant son argumentation avec l’aura d’un fait scientifique »[1]. Mais certains musulmans ont critiqué l’argument du dix-neuf, en mettant en avant les défauts majeurs qui se trouvent dans le raisonnement de Khalifa. Philips en personne a écrit tout un traité contre lui intitulé The Quran’s Numerical Miracle: Hoax and heresy (Le miracle numérique du Coran : duperie et hérésie). Il y réfute toutes ces absurdités, et démontre, preuves à l’appui, que les chiffres donnés par le Dr Khalifah sont bien loin de la réalité.
Philips y déclare : « La théorie « des dix-neuf » est un canular mal conçu et incapable de résister à un examen scientifique sérieux. »[2] Une partie de la réponse de Philips à Khalifa se rapporte au verset que Khalifa cite, 74.30-31. La lecture du texte en entier, dans le cas qui nous préoccupe, indique que le nombre dix-neuf se réfère au nombre d’anges qui veillent sur le feu de l’enfer, et non à des motifs numériques miraculeux qui se trouveraient dans le texte du Coran. Tout comme nous avons vu d’autres le faire avec les « prophéties » coraniques, Khalifa a simplement tiré les mots hors de leur contexte et essayé de les adapter à sa théorie.
Une autre partie de la réponse de Philips concerne la méthode inconséquente et les sélections arbitraires dans les textes utilisés pour argumenter en faveur du nombre dix-neuf. « En utilisant la méthode inconséquente du Dr Khalifa, qui consiste à concocter des multiples, » affirme Philips, « il est également possible d’établir le chiffre 8 comme l’axe du code numérique miraculeux du Coran »[3], et il poursuit en donnant huit raisons.
La majeure partie de la réponse de Philips à l’argument de Khalifa fait une analyse systématique des publications et des calculs de Khalifa, et conclut que Khalifa a « fabriqué de toute pièce certaines données pour créer artificiellement des totaux de nombre de lettres qui sont des multiples de dix-neuf »[4]. Non seulement Khalifa fait un compte inconséquent des lettres et des versets, suivant « un système aléatoire d’identification de mots qui contredit totalement les règles classiques et modernes de la grammaire arabe », mais de plus il va jusqu’à rejeter deux versets du Coran afin de permettre à ses calculs de fonctionner. Les arguments de Philips contre les « motifs numériques miraculeux » sont convaincants, tout comme sa conclusion que Khalifa était disposé à modifier le texte coranique simplement pour en rendre les données utilisables.
De même, l’argumentation en faveur des « merveilleux parallèles numériques » semble traiter le texte de manière inconséquente et en altérer la formulation verbale. Par exemple, le Coran n’utilise pas le mot jour 365 fois. Il l’utilise 360 fois, et pour que cinq autres occurrences soit comptabilisables, les partisans de l’argument sont obligés de trafiquer les données afin de permettre à des mots qui ne sont pas exactement le mot jour d’être comptabilisés. Il en est de même pour le nombre d’occurrences du mot mois, de même que les occurrences censées être parallèles des mots homme / femme et ce monde / l’autre monde. Puisque l’arabe est une langue sémitique et utilise un système racinaire trilittéral, différents mots sont très semblables dans leur orthographe, ce qui est souvent utilisé par ceux qui sont prêts à manipuler les données pour rendre crédible leur argumentation.
Pour résumer notre réponse à l’argument des « merveilleux motifs numériques », je citerai les derniers mots de Philips : « On peut conclure que la théorie du nombre dix-neuf comme code numérique miraculeux du Coran n’a aucune base dans les textes coraniques. Quant aux quelques exemples où le nombre dix-neuf et ses multiples apparaissent, ce sont de simples coïncidences qui ont été gonflées de manière disproportionnée. »[5]
————————————–
[1] Abu Ammeenah Bilal Philips, The Quran’s Numerical Miracle: Hoax and heresy, page 15
[2] Ibid
[3] Ibid
[4] Ibid
[5] Ibid, page 102
Amel
Vous admettez que Jésus-Christ dit la vérité. Donc, la vérité étant par définition unique, c’est Jésus-Christ qu’il faut suivre ( jean 14:6 ).
Désolé de m’introduire dans votre débat mais j’ai l’impression que certains parlent sans Rien connaître. d’abord littéralement Jésus(paix et salut sur lui) n’a jamais dit être Dieu. Certes il employait des termes trop profond mais l né l’a jamais dit.
Et tous les prophètes on parlé avec beaucoup de second Sens. Un exemple ; le Prophète Mohammed ( paix et salut sur lui) disais un jour :” avant que Adan ne fuis moi j’étais là” explications : le Prophète de l’islam est entrain de nous expliquer que dans le pedigree de Dieu c’est à dire dans l’ordre de mission,Mohammed (PSL) était là avant Adan (PSL) . J’ai aussi lu disant que Jésus (PSL) a dit :” Celui qui m’a Vu a vu le père” interprétation : voir Jésus (psl) c’est voir Dieu non pas au sens de le percevoir mais au sens de le connaître parceque il est son messager et il ordonne ce que Dieu ordonne,il interdit ce que Dieu interdit et il accomplit des miracles au nom de son créateur pas à son propre nom à lui même.
Le Gros problème de la Bible est l’interprétation des différentes personnes. Par contre le Coran interdit formellement l’être humain d’associer Dieu à d’autres choses même Jésus (psl.) Le Coran est un livre qui a gardé depuis plus de 1400 son texte original ce qui n’est pas le cas de la Bible. Et faite un peu fonctionné votre matière grise, la Bible a été écrite par les proche de Jésus qui l’on bien observé durant toute sa vie mais le Coran à été récité d’abord par quelqu’un qui n’es jamais allé à l’école pour apprendre à lire et à écrire, puis finalement écrites. Vous vous imaginez l’authenticité de deux livres ? Je ne dis pas que la Bible n’est pas véridique mais je dis seulement que cet livre n’a jamais gardé son originalité parcequ’elle a été traduit en différentes langues aujourd’hui et la science nous prouve que toutes traduction est trahison de l’original. Le plus grand problème est l’interprétation des versets ; faut il interprèté toute la Bible à la mémoire de Jésus Christ (psl)?
Si telle était le cas limitée toujours la parole du Christ (psl) qui a dis” je n’ai été envoyé qu’au brebis perdu de la maison d’Israël !” Donc c’est claire et limpide car cette phrase est une forme restrictive et évité détendre sa mission..
Alî,
Vous pouvez commencer par lire le n°1 de cette page : https://www.islam-et-verite.com/jesus-nest-il-quun-prophete-venu-confirmer-la-torah/
Ali
Vous pouvez chercher tous les prétextes que vous voulez, Jésus lui-même a dit qu’il est le chemin,
la vérité et la vie ( jean 14:6 ).
Jésus-Christ n’a pas besoin de votre paix car il est le prince de paix.
IL est l’Alpha et m’Oméga ( apocalypse ) et le Père éternel ( Esaie 9:5-6 ).
Maintenant vous connaissez toute la vérité.
Soit vous suivez Jésus-Christ le Messie de galilée, et vous vous faites baptiser ( marc 16:16 )
et vous serez sauvé, soit vous suivez mohamed le sanguinaire et vous irez en enfer.
Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.
Ali
Jésus-Christ dit lui-meme qu’il est Dieu dans :
jean 8 :56-58 .
Je ne vais pas me fatiguer à vous répéter ce verset que j’ai déjà cité.
Les musulmans ne cherchent pas la vérité, ils cherchent à avoir raison.
Voici, encore une fois que Jésus lui-meme dit qu’il est Dieu :
https://gloria.tv/video/EEcHc6c4y7s32gm33ygGmEqsE
Jean 12:49 :Car je n’ai point parlé de moi-même; mais le Père, qui m’a envoyé, m’a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer.
(Analysez ce verset en profondeur pour comprendre les deux premiers versets que vous aviez cités); je n’ai pas de parti prit car Dieu seul à mon avis détient la vérité.
Matthieu 28:19-20, Jean 10:30, Apocalypse 1:8, Jean 8:58. Arretez-vous de mentir.
Ali
Vous dites que Jésus n’a jamais dit etre Dieu ?
Vous vous trompez.
En voici la preuve:
https://www.youtube.com/watch?v=tIshWO7je1s
Ali,
j’ajoute au liens et explications de mes confrères ce magnifique exposé de monsieur Bonnassie ( asso Maire de Nazareth ) qui ajoute d’autres points sur la divinité de Jésus révélée :
https://www.youtube.com/watch?v=WQ38g3grIRM&t=85s
titre : “Peut-on croire en l’Évangile et refuser la divinité du Christ ? ”
points décris :
Dieu s’est révélé, progressivement, sur plusieurs siècles dans l’Ancien Testament
Jésus se révèle ensuite et le Nouveau Testament lui attribue tout ce qui était réservé à Dieu
Tous les titres de Dieu lui sont attribués
On doit à Jésus tout ce qu’on doit à Dieu
Jésus accepte toutes les formes de culte
Rien n’est excessif pour Lui
Il a été condamné pour blasphème et crucifié pour cela
Plusieurs passages le désignent comme Dieu
Jésus déploie un autorité stupéfiante, reconnue d’emblée par les premiers chrétiens
Jésus révèle l’ensemble de la Trinité
mais je doute de votre bonne fois et que cela ajouté a tout les liens de mes camarades et explications suffisent car vous ne souhaitez pas comprendre ou des réponses a vos questionnement, comme le dit @Pietros Les musulmans ne cherchent pas la vérité, ils cherchent à avoir raison.
Ali :
“faites fonctionner votre matière grise : “vous avez musulman une espèces d’arrogance incroyable que l’on retrouve chez les athés..
vous sortez des arguments qui n ‘en sont pas et toujours appuyé sur le coran ,que seul les bédouins reconnaissent…. vous ne pouvez pas vous faire témoins de vous même ..
vous croyez que vos allégations récurrente aux musulmans et jamais étayer n ‘ont pas été traité depuis des siècles par les pères et savant de l église .. vous affirmez et point
vous n avez ni même étudié les textes
“Le Gros problème de la Bible est l’interprétation des différentes personnes. Par contre le Coran interdit formellement l’être humain d’associer Dieu à d’autres choses même Jésus (psl.) Le Coran est un livre qui a gardé depuis plus de 1400 son texte original ce qui n’est pas le cas de la Bible. ”
toujours les même allégations appuyé sur le coran bien sur
heureusement Ali est la pour l interpréter … la bible est falsifié parceque le coran le dit mais ou quest ce qui est falsifié etc ça rien … allah dit de s y référer pourtant…
la véracité de la bible et sa préservation durant des siècles est attestées depuis des lustres par le nombres de copie de part le monde et les peuples depuis le premier siècle
Matthieu 28:19-20, Jean 10:30, Apocalypse 1:8, Jean 8:58. Arretez-vous de mentir.
Les Trinitaires affirment que Jésus ordonnant aux Disciples de baptiser au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit représente une formule trinitaire :
“Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit” [Matthieu 28:19].
Ce verset fait partie de la fin de Matthieu et est connu sous le nom de Grande Commission. Il s’avère qu’il existe de sérieux doutes quant à la fiabilité de ce verset dans Matthieu. L’une des raisons est que si Jésus avait vraiment ordonné à ses disciples de baptiser au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, alors nous devrions nous attendre à ce que chaque fois que le Nouveau Testament mentionne des baptêmes, ils auraient été obéissants à Jésus en prononçant cet exact formule.
Cependant, ce que nous constatons, c’est que dans le Livre des Actes, qui se produit longtemps après que la Grande Commission aurait eu lieu, Pierre et les Disciples baptisent systématiquement au nom de Jésus uniquement :
“Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint Esprit.” [Actes 2:38].
“Car il (Saint-Esprit) n’était encore descendu sur aucun d’eux; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus.” [Actes 8:16].
“Et il ordonna qu’ils fussent baptisés au nom du Seigneur. Sur quoi ils le prièrent de rester quelques jours auprès d’eux.” [Actes 10:48].
“Sur ces paroles, ils furent baptisés au nom du Seigneur Jésus.” [Actes 19:5].
Il n’y a pas une seule occurrence des Disciples baptisant qui que ce soit selon la soi-disant formule trinitaire, et aucune explication rationnelle pour leur apparente désobéissance. Tous les récits du Nouveau Testament montrent que les gens n’étaient baptisés qu’au nom de Jésus.
D’ailleurs Eusèbe de Césarée, surnommé « le Père de l’histoire de l’Église », a cité ce passage à plusieurs endroits sans la formule baptismale trinitaire. Dix-sept fois dans ses travaux avant le Concile de Nicée en 325, Eusèbe cite Matthieu 28:19 comme « Allez et faites de toutes les nations des disciples en mon nom » sans mentionner la formule du baptême de la Trinité. Par exemple, dans le livre III de son Histoire, chapitre 5, section 2, qui traite de la persécution juive des premiers chrétiens, nous lisons :
“Mais le reste des apôtres, qui avaient été sans cesse complotés en vue de leur destruction, et qui avaient été chassés du pays de Judée, allèrent vers toutes les nations pour prêcher l’Évangile, s’appuyant sur la puissance du Christ, qui avait dit leur dit : « Allez et faites de toutes les nations des disciples en mon nom ».”
Eusèbe, au moins avant le Concile de Nicée en 325, semblait lire une version différente de l’Évangile de Matthieu qui ne contenait pas la formule du baptême de la Trinité.
Maintenant, même si le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont mentionnés dans le texte original de ce verset, cela ne prouve pas la Trinité. La doctrine de la Trinité stipule que les trois personnes de la Trinité – le Père, le Fils et le Saint-Esprit – forment “un seul Dieu”. Ce verset fait référence à trois individus, mais il ne dit jamais qu’ils sont “un”.
Le raisonnement des Trinitaires est que pour être baptisé dans quelque chose, ce quelque chose doit être Dieu. Mais ce raisonnement est manifestement faux, car la Bible déclare que les Israélites ont été « baptisés en Moïse » :
“qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer,” [1 Corinthiens 10:2].
Il serait clairement absurde de prétendre que parce que les Israélites ont été baptisés en Moïse, Moïse est donc Dieu !
Enfin, en lisant l’Évangile de Matthieu, on constate qu’il n’y a aucune présentation de la doctrine de la Trinité. Si la mention du baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit est vraiment une formule trinitaire comme on le prétend, alors il est vraiment étrange que Jésus introduise la doctrine de la Trinité pour la première fois ici dans l’avant-dernier verset dans l’Évangile sans qu’il soit mentionné plus tôt.
,,La Bible a été écrite par les proche de Jésus qui l’on bien observé durant toute sa vie mais le Coran à été récité d’abord par quelqu’un qui n’es jamais allé à l’école pour apprendre à lire et à écrire” VOila, vous commencer d’utiliser votre cerveau. Mais ca c’est faux aussi, car le coran a ete ecrit apres Mahomet. Preuve? Prennez la sourate 12:20 qui parlent des dirhams qui n’existaient qu’au minimum dans le temps de Mu’awiya(661-680 apres J.-C), sinon Abd al Malik(685-705 apres J.-C).
Devant Tout ceci, je Tombe des nues. Mes Frères, la Bible dit vous connaîtrez la Vérité et elle Vous affranchira. Les Musulmans, même les imams savent que Jésus est Dieu. Pourquoi donc Fuir la Vérité ? À quoi sa sert? Que Le Seigneur permette à ce que vous venez à lui avant l’enlèvement.
Boanerges
Effectivement Jésus est Dieu.
Jésus dit lui-même qu’il est Dieu , c’est-à-dire YHWH ( JE SUIS ) , dans jean 8:56-58
https://www.youtube.com/watch?v=2Jz5WsCsN0E
Guy pagès tu a raison
Moi j’ai juste une chose a dire aux musulmans :
Si le Coran et la bible atteste que Jésus n’a jamais péché, ça voudrais dire que lorsque Jésus dis un mot qui sort de sa bouche cela est donc véridique.
Si en revanche les musulmans disent que les paroles de Jésus sont fausse cela irai en contradiction avec leur livre sacré qui est le Coran, et donc le Coran serait contradictoire au fait qu’il prétend que Jésus est un enfant “pur” sans péchés alors que nous pouvons entendre certains musulmans dire etc : la bible est falsifié, Jésus dis pas qu’il est Dieu.
Pourtant Jésus le fait largement comprendre qu’il est Dieu :
La preuve, même les juifs comprenaient que Jésus se faisait Dieu (d’où la lapidation et la peine de mort ) pourtant Jésus n’a pas dit : Je suis Dieu, adorer moi ! Pourtant les juifs ont bien compris qu’il se faisait égal a Dieu ! Alors pourquoi les musulmans ne peuvent pas comprendre que Jésus se fait Dieu par ses discours, son comportement et ses miracles !???
J’ai l’impression que les musulmans ne veulent pas admettre la vérité parce qu’il défende mahomet et le Coran afin de discrédibiliser la bible, mais bon si tu cherche vraiment Dieu tu n’a pas a défendre ton orgueil mais chercher honnêtement la VÉRITÉ car une fois de plus Jésus le dis lui même : JE SUIS LE CHEMIN LA VÉRITÉ ET LA VIE.
Toni
Excellente analyse.
Seulement, il faut comprendre que les musulmans , dès leur petite enfance ont été conditionnés et formatés pour rejeter la vraie parole de Dieu: l’Evangile de Jésus-Christ.
Juste une chose.
Jésus-Christ dit qu’il est Dieu en :
-jean 8:56-58
-apocalypse 1:89 :” Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin, dit le Seigneur , qui est , qui était et qui vient, LE TOUT-PUISSANT “.
Excusez-moi d’intervenir pour nous qui recherchons la vérité, je ne trouve pas en ce verset de Jean8/56-58 “56 Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu’il verrait mon jour: il l’a vu, et il s’est réjoui. 57 Les Juifs lui dirent: Tu n’as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham!
58 Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis.” que Jésus Christ soit Dieu puisque le Prophète Muhammad (s.a.w) a aussi dit:” qu’avant d’Adam soit, je fût.” se sont des métaphores pour dire que dans l’ordre de mission de ses messagers, ils existaient déjà …
Aussi: apocalypse 1:89 est répondu en Jean 14/24 :”Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé. “Lorsque l’Esprit de Dieu parle au travers de Jésus, c’est Dieu qui parle et non Jésus…
Wath sides
Vous pouvez cherchez tous les subterfuges pour tenter de nier
la divinité de Jésus-Christ.
En faisant cela , vous vous damnez pour l’éternité.
L’islam a été annoncé par Jésus-Christ en faisant comprendre à ses disciples que l’islam représente l’ivraie dans matthieu 13:24-30.
Voici , une fois de plus les preuves bibliques qui attestent que Jésus-Christ est Dieu:
https://www.youtube.com/watch?v=HECp5295DMA
Mahomet est un pedophile, pas un prophete. Quel prophetie a-t-il fait? NULLE.
Non seulement, Jésus-Christ est Dieu, mais il le dit lui-même dans plusieurs versets.
Tout d’abord, il faut savoir que le nom propre de Dieu est révélé dans exode 3:14-16.
Ce nom est YHWH qui signifie JE SUIS.
-jean: 8:58 “Avant qu’abraham fut , JE SUIS”.
-jean 10:30 ” Mon Père et moi , nous sommes UN “.
-jean 8:56 :”Abraham, a vu mon jour ; il l’a vu et s’est réjoui”
-Timothée 3:16:” Et sans contredit, le mystère de la piété est grand, Dieu a été manifesté en Chair”.
-2 pierre :” De la part de simon-pierre, serviteur et apotre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu, par la justice DE NOTRE DIEU et SAUVEUR JESUS-CHRIST, une foi du meme prix que la notre”.
Il y a beaucoup d’autres versets qui parlent de la divinité de Jésus, mais en faire la liste serait trop long.
On parle meme de la divinité du Messie dans l’ancienne alliance :
-Esaie 9:5 :”En effet , un enfant nous est né, un Fils nous a été donné, et la souveraineté reposera sur son épaule; on l’appellera Merveilleux, Conseiller, DIEU PUISSANT, PERE ETERNEL,, Prince de la paix”.
très bien résumé et je voudrai ajouter aussi le texte de jean
Jean 1,1 Au commencement était le Verbe
et le Verbe était tourné vers Dieu,
et le Verbe était Dieu.
2 il était au commencement tourné vers Dieu.
3 Tout fut par lui, et rien de ce qui fut ne fut sans lui.
4 En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes,
5 et la lumière brille dans les ténèbres,
et les ténèbres ne l’ont pas comprise.
6 Il y eut un homme, envoyé de Dieu : son nom était Jean.
7 Il vint en témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous croient par lui.
8 Cet homme n’était pas la lumière,
mais il était là pour rendre témoignage à la lumière.
9 Le Verbe était la vraie lumière, qui, en venant dans le monde,
illumine tout homme
10 Il était dans le monde, et le monde fut par lui,
mais le monde ne l’a pas reconnu.
11 Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu.
12 Mais à ceux qui l’ont reçu, à ceux qui croient en son nom,
il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu.
13 Ceux-là ne sont pas nés du sang,
ni d’un vouloir de chair, ni d’un vouloir d’homme
mais de Dieu.
14 Et le Verbe s’est fait chair et il a planté sa tente parmi nous,
et nous avons vu sa gloire,
la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité.
15 Jean lui rend témoignage et proclame :
“Voici celui dont j’ai dit :
lui qui vient derrière moi, il a pris place devant moi car avant moi il était”
16 De sa plénitude en effet, tous, nous avons reçu, et grâce sur grâce.
17 Si la Loi fut donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
18 Personne n’a jamais vu Dieu ;
le Fils unique, qui est dans le sein du Père, c’est lui qui a conduit à le faire
en résumer se texte prouve que jesus et dieu car si il et venu dans le monde et que on la pas reconnu et que le monde fut par lui mes que lui même était dans le monde alie sa prouve que jesus nest autre que dieu car il est le chemin la vérité et la vie et que je reprend une de ses phrase si vous ne coter pas se que je suis vous mourirer dans vos péché point final Mahomet n’est rien d’autre que un homme qui a eu la révélation d un ange déchu qui n’est autre que Satan lui même car Satan se déguise lui même en ange de lumière car il et le père du mensonge il est lacusateur le destructeur louer sois le seigneur Jésus Christ gloire à notre dieu et sauveur amen
franck,
En effet:
jean 1:1 et
-jean 1:14 sont très clairs.
La parole est Dieu, et cette parole qui est Dieu s’est faite chair.
Les Témoins de Jéhovah croient-ils en Jésus ?
Oui, nous croyons en Jésus. « [Il est] le chemin, et la vérité, et la vie. Personne ne vient vers le Père sinon par [lui] » (Jean 14:6). Nous croyons que Jésus est venu du ciel sur la terre et qu’il a offert sa vie parfaite en sacrifice pour racheter l’humanité (Matthieu 20:28). Grâce à sa mort et à sa résurrection, il sera possible de vivre éternellement — à condition d’exercer la foi en lui (Jean 3:16). Nous croyons aussi que Jésus est aujourd’hui le Roi du Royaume céleste de Dieu, royaume qui établira bientôt la paix sur toute la terre (Révélation 11:15). Par contre, Jésus a dit clairement : « Le Père est plus grand que moi » (Jean 14:28). Ainsi, il n’est pas le Dieu Tout-Puissant. C’est pourquoi nous ne lui vouons pas de culte.
La Parole était-elle “ Dieu ” ou bien “ un dieu ” ?
CETTE question s’impose aux traducteurs de la Bible dès lors qu’ils abordent le premier verset de l’Évangile de Jean. Dans la Traduction du monde nouveau, ce verset est rendu ainsi : “ Au commencement la Parole était, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était un dieu. ” (Jean 1:1). D’autres traductions rendent la dernière partie du verset de manière à exprimer l’idée que la Parole était “ divine ”, ou quelque chose d’équivalent (A New Translation of the Bible, de James Moffatt ; Bible du Centenaire). Cependant, de nombreuses traductions traduisent cette partie comme suit : “ Et la Parole était Dieu. ” — Traduction Œcuménique de la Bible ; Bible de Jérusalem.
La grammaire grecque et le contexte du verset donnent de solides raisons de penser que la solution retenue par la Traduction du monde nouveau est correcte et que “ la Parole ” ne devrait pas être identifiée au “ Dieu ” dont il est question précédemment dans le verset. Cependant, du fait que la langue grecque du Ier siècle ne possédait pas d’article indéfini (“ un ” ou “ une ”), certains jugent qu’il y a matière à débat. L’examen d’une traduction de la Bible dans une langue parlée au cours des premiers siècles de notre ère se révélera dès lors très instructif.
La langue en question est le sahidique, un dialecte copte. Le copte a été parlé en Égypte durant les siècles qui ont suivi immédiatement le ministère terrestre de Jésus ; le dialecte sahidique était une forme littéraire primitive de cette langue. À propos des premières traductions de la Bible en copte, on lit dans un dictionnaire biblique (The Anchor Bible Dictionary) : “ Puisque la [Septante] et les [Écritures grecques chrétiennes] étaient en cours de traduction en copte au IIIe siècle de notre ère, la version copte est basée sur des [manuscrits grecs] qui sont bien plus anciens que la grande majorité des [documents] témoins ayant subsisté. ”
Le texte copte sahidique est intéressant pour deux raisons en particulier. Premièrement, comme cela vient d’être indiqué, il reflète une compréhension de l’Écriture datant d’avant le IVe siècle, époque où la Trinité devint une doctrine officielle. Deuxièmement, la grammaire copte est assez proche des grammaires anglaise et française sur un aspect important. Les Écritures grecques chrétiennes furent traduites d’abord en syriaque, en latin et en copte. Le syriaque et le latin, comme le grec d’alors, ne possèdent pas d’article indéfini. Le copte, en revanche, possède cet article. Le linguiste Thomas Lambdin, dans son Introduction au copte sahidique (angl.), écrit : “ En copte, l’emploi des articles, définis et indéfinis, correspond à quelque chose près à celui des articles en anglais. ”
Par conséquent, la traduction copte fournit une indication précieuse sur la manière dont on comprenait Jean 1:1 à l’époque. Or, que constate-t-on ? La traduction en copte sahidique emploie un article indéfini devant le mot “ dieu ” dans la dernière partie du verset. C’est pourquoi, une fois traduite en anglais moderne, elle se lit ainsi : “ Et la Parole était un dieu. ” Manifestement, pour ces traducteurs du temps passé, les paroles de Jean 1:1 ne signifiaient pas que Jésus devait être identifié au Dieu Tout-Puissant. La Parole était un dieu, pas le Dieu Tout-Puissant.
Wath Sides,
Vous pensez devoir nier la nature divine de Jésus du fait qu’Il a la nature humaine, mais cela ne L’empêche pas d’avoir les deux. Tel est le mystère de l’Incarnation : Dieu n’a pas cessé d’être Dieu pour avoir assumé en vue de la sauver, la nature humaine qu’Il a créée. Cf. https://www.islam-et-verite.com/jesus-nest-il-pas-dieu/
La résurrection de Lazare est un témoignage éblouissant de la nature divine de Jesus Christ, Verbe incarné, Fils de Dieu engendré par la volonté du Père. Qui peut ressusciter un corps décomposé qui sent après quatre jours ? Seul Dieu. Les membres du Sanhédrin, pendant quatre jours, se sont réjouis, à mesure que le temps passait, de l’absence de Jesus, voulaient y voir la supercherie de celui qui guérit les lépreux mais pas son ami, victime d’une maladie incurable. Ainsi, pendant quatre jours, ils ont attendu en se réjouissant de l’absence de Jesus, sans considération pour la douleur de Marie et de Marthe, les sœurs de Lazare. Puis, Jesus est venu et devant tous, il a ressuscité son ami Lazare. Tous ont vu, beaucoup ont cru. Gamaliel, grand docteur, fut témoin, mais il attendait un second signe. Entre Gamaliel et Marie Magdala ou Marie de Lazare, c’est l’intelligence du cœur et la volonté qui permettent de connaître Jesus Christ. Gamaliel est un juste mais il lui faudra le second signe pour reconnaître la nature divine de Jesus Christ. Marie est touché par la grâce car sa volonté est tout entière tournée vers le Christ. La plus grande des libertés est de servir le Christ. “Si tu peux le croire, tout m’est possible, car tout est accordé à celui qui croit.”
Jésus n’a jamais dit qu’il était dieu ! Cette phrase n’existe nulle part, au contraire il a déclaré plusieurs fois qu’il était un envoyé de Dieu, il est donc son messager et son prophète. Jésus est un être humain comme tout le monde, il est le fils de Marie et il n’a pas de père ! La vie de Jésus est expliquée en détail dans le Coran. Jésus a dit (dans le Coran et même dans la Bible) qu’un envoyé de Dieu va venir après moi (il s’agit bien sûr de Mohammed, l’ultime messager de Dieu)….
mekkisoft,
“Jésus n’a jamais dit qu’il était dieu !”
Ça, c’est vous qui le dites, avec tous ceux qui se damnent (Jn 8.24).
“Cette phrase n’existe nulle part,”
Parce que c’est à Dieu à S’exprimer comme vous le voulez, ou à vous à recevoir Sa Révélation telle qu’elle est ?
“au contraire il a déclaré plusieurs fois qu’il était un envoyé de Dieu,”
Jésus a deux natures : la nature divine, en tant qu’Il est la Parole de Dieu, et la nature humaine, reçue de la Vierge Marie, qu’Il est venu assumer pour notre salut.
“Jésus est un être humain comme tout le monde,”
Ah bon, parce que tout le monde est né d’une vierge ? Tout le monde est sans péché ? Tout le monde fait des miracles ? Tout le monde est le Messie ? Tout le monde est au Ciel ?
mekkisoft
Le nom du Vrai Dieu dans la bible est : YAHWEH ( JE SUIS )
jean 8:56-58 :”Jésus dit: Abraham , votre père a tressailli de joie de ce qu’il verrait mon jour; il l’a vu, et il s’est réjoui.
Les juifs lui dirent: tu n’a pas encore cinquante ans, et TU AS VU ABRAHAM ! Jésus leur dit:
En vérité, en vérité, avant qu’abraham fut, JE SUIS.”
exode 3:14 ” Et Dieu dit à moise: JE SUIS qui JE SUIS. Et il dit aussi: tu diras ainsi aux enfants d’israel; Celui qui s’appelle
JE SUIS , m’a envoyé vers vous”.
jean 10:30 ” Jésus dit: Moi et le Père, NOUS SOMMES UN”.
Apocalpse 1:8 :” Jésus dit : Je Suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin, dit LE SEIGNEUR, QUI EST , QUI ETAIT
ET QUI VIENT, LE TOUT-PUISSANT”
jean 11:25-26 :” Jésus dit: JE SUIS la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, meme s’il meurt. Et quiconque vit et croit en moi, ne mourra jamais”.
jean 8:24 :” C’est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés; car si vous ne croyez pas que JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés”.
jean 14:8-9 :” Philippe dit à Jésus: Seigneur, montres-nous le Père et cela nous suffit. Jésus lui répondit: JE SUIS depuis si longtemps avec vous , et tu NE M’AS PAS CONNU , philippe. Celui QUI M’A VU , a vu MON PERE.”
SI VOUS DITES QUE JESUS CHRIST EST DIEU, JE NE VOUS CONTREDIRAI PAS MAIS POURQUOI CES VERSETS BIBLIQUES DISENT LE CONTRAIRE DE VOS ANALYSES
Esaïe 45/18 : « Car ainsi parle Yahvé, le Créateur des cieux: C’est lui qui est Dieu, qui a modelé la terre et l’a faite, c’est lui qui l’a fondée; il ne l’a pas créée vide, il l’a modelée pour être habitée. Je suis Yahvé, il n’y en a pas d’autre. »
· Marc 12/29-34 : « Marc 12, 29 Jésus répondit: “Le premier c’est: Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur, Marc 12, 30 et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Marc 12, 31 Voici le second: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là.” Marc 12, 32 Le scribe lui dit: “Fort bien, Maître, tu as eu raison de dire qu’Il (Dieu) est unique et qu’il n’y en a pas d’autre que Lui;
Marc 12, 33 l’aimer de tout son coeur, de toute son intelligence et de toute sa force, et aimer le prochain comme soi-même, vaut mieux que tous les holocaustes et tous les sacrifices. ” Marc 12, 34 Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque pleine de sens, lui dit: “Tu n’es pas loin du Royaume de Dieu.” Et nul n’osait plus l’interroger… »
· Jean 12/44-50 : « Jean 12, 44 Jésus a dit, il l’a clamé: “Qui croit en moi, ce n’est pas en moi qu’il croit, mais en celui qui m’a envoyé, Jean 12, 45 et qui me voit voit celui qui m’a envoyé. Jean 12, 46 Moi, lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Jean 12, 47 Si quelqu’un entend mes paroles et ne les garde pas, je ne le juge pas, car je ne suis pas venu pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Jean 12, 48 Qui me rejette et n’accueille pas mes paroles a son juge: la parole que j’ai fait entendre, c’est elle qui le jugera au dernier jour; Jean 12, 49 car ce n’est pas de moi-même que j’ai parlé, mais le Père qui m’a envoyé m’a lui-même commandé ce que j’avais à dire et à faire connaître; Jean 12, 50 et je sais que son commandement est vie éternelle. Ainsi donc ce que je dis, tel que le Père me l’a dit je le dis.” »
· Matthieu 7/21 : “Ce n’est pas en me disant: Seigneur, Seigneur, qu’on entrera dans le Royaume des Cieux, mais c’est en faisant la volonté de mon Père qui est dans les cieux.
Actes 7/55-56 : « Actes 7, 55 Tout rempli de l’Esprit Saint, il fixa son regard vers le ciel; il vit alors la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu. Actes 7, 56 “Ah! dit-il, je vois les cieux ouverts et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu.” »
Exode 44 /6 soutient par ses mots qu’il n’y a point d’autre Dieu à part Dieu par ce propos : « Ainsi parle l’Eternel, roi d’Israël et son Rédempteur, l’Eternel des armées : Je suis le premier (début) et je suis le dernier (fin), et hors moi, il n’y a point de Dieu. »
1 Timothée 2/5 : « Car Dieu est unique, unique aussi le médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ Jésus, homme lui-même.»
Ces versets et bien d’autres tel Marc 12/29 : « Et Jésus lui répondit : le premier de tous les commandements est : écoute Israël, le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur. »
Wath Sides,
Les versets que vous citez ne disent pas que Jésus n’est pas Dieu. Jésus a deux natures : divine, en tant qu’Il est le Verbe éternel, et humaine, en tant qu’Il a assumé pour notre salut la nature humaine reçue de la Vierge Marie. Cf. https://www.islam-et-verite.com/jesus-nest-il-pas-dieu/
Wath sides
Voici la réponse à votre question:
https://www.youtube.com/watch?v=hF2B4hDAoTE
Wath sides
Le coran ne rconnait pas le christianisme , ni le Christ Sauveur et rédempteur.
Le coran croit en issa, un faux jésus qui n’est pas mort crucifié sur la croix du calvaire.
En réalité, l’islam est un anti-christianisme.
L’islam nie tout ce qui fait le christianisme.
Le coran nie:
– la divinité de Jésus ( pourtant attestée dans les saintes écritures bibliques )
-la mort et la résurrection du Christ
-la sainte trinité
-le role divin , messianique et salvateur final du Christ venu clore la révélation biblique.
https://www.youtube.com/watch?v=WQ38g3grIRM&t=85s
voici un superbe exposé vous expliquant comment le christ a révélé sa divinité .. après cela il faut vraiment ne pas avoir envie de comprendre et on ne peut rien y faire … ( permettez moi d’ailleurs de douter de votre réelle envie d ‘avoir une réponse a votre question qui n en est pas une .. vous dites ne pas vouloir contredire tout en le faisant … )
mekkisoft,
le jésus-issa qui est cité dans votre coran est un faux jésus.
D’ailleurs , jésus nous met en garde contre la venue de faux prophètes dans
matthieu 24:11 :” Jésus dit: il s’élèvera de faux prophètes qui en séduiront plusieurs”.
L’islam affirme que marie a accouché seule dans le désert sous un palmier.
FAUX: Jésus-Christ de nazareth est né dans une étable , en compagnie de Joseph,
d’un ane et d’un boeuf.
Une fois né, Jésus a été mis dans une mangeoire ( crèche ).
Dans le coran , jésus-issa parle dans son berceau , et une fois enfant, il fait des oiseaux en argile , souffle sur eux et ils deviennent vivants.
FAUX : la source islamique de cette histoire vient d’un texte apocryphe, ” l’évangile de l’enfance”,
qui est sans valeur.
Le coran affirme que marie la mère de jésus est la soeur d’aaron.
FAUX. Le coran a confondu myriam, la soeur de moise et d’aaron qui a vécu 1300 ans avant marie, mère de Jésus .
Vous dites que un envoyé de Dieu va venir après Jésus ?
FAUX. Jésus met en garde ses disciples, de la venue de faux christs et de faux prophètes après lui.
matthieu 24:24-25: ” Car il s’élevera de faux christs ( issa ) et de faux prophètes ( mohamed )…”
matthieu 7:15-16 :”Jésus dit: gardez-vous des faux prophètes . Ils viennent à vous en habits de brebis, mais au-dedans, ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaitrez à leurs fruits.
Cueille t-on des raisins sur des épines ou des figues sur des chardons ?
Vous les reconnaitrez donc à leurs fruits”.
Le faux jésus-issa du coran n’a pas été crucifié, donc les musulmans ne sont pas sauvés.
Le vrai Jésus-Christ du nouveau testament a été crucifié.Il y avait des témoins, dont marie sa propre mère
et jean son plus proche disciple, ainsi que marie de magdala.
Une autre preuve que votre issa est un faux jésus: les arabes chrétiens
appellent Jésus-Christ Yassua al massih.
Vous voyez vous-meme que issa n’a ruen à voir avec Yassua ( prononcer Yassoua ).
Yassua vient du nom araméen de jésus : Yeshua ( prononcer Yeshoua ) qui signifie Dieu est le Sauveur.
L’autre nom de Jésus est Emmanuel qui signifie: Dieu avec nous.
mekkisoft, je vous en prie, lisez le nouveau testament de Jésus-Christ.
“La vie de Jésus est expliquée en détail dans le Coran.”
ce n ‘est pas un livre venu un demi siècle après la venue du Christ, en dehors de la terre sainte, du peuple des prophètes et du messie lui même et de tout ceux qui l’ont suivis des années, qui va expliquer mieux et en vérité la vie du messie … tout cela en faisant abstraction des centaines de prophéties de l ancien testament expliquant les traits de la vie future du messie .. cela ne vous pose aucun questionnement .. le peuple juifs et chrétiens devrait tout d un coup croire en la réécriture totalement contradictoire de la vie de jésus… réfléchissez un peu voyons .. Dieu aurait trompé volontairement ceux qui le suivait et sa propre mère pour réécrire chez les bédouins la réalité de sa vie et de sa mort …mais voyons cela n’a aucun sens ouvrez les yeux .. il aurait laissé des centaines de chrétiens mourrir en martyr sur de fausse croyance ? allons bon
regardez cette vidéo et si vous êtes de bonne fois vous comprendrez
mekkisoft :
https://www.youtube.com/watch?v=WQ38g3grIRM&t=85s
de plus ce que vous appelez “la vie en détail de jésus dans le coran est plagié sur des évangiles apocryphes existant avant le coran … sacré Mahomet
colossiens 2:8-9:”Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie,et par de vaines tromperies, conformes à la tradition des hommes et aux rudiments du monde, et non pas à la doctrine de Christ.
Car en lui habite TOUTE LA PLENITUDE DE LA DIVINITE”.
Une autre preuve que Jésus est Dieu :
1 thimotée 3 : 16 :”Et sans contredit, le mystère de la piété est grand : DIEU a été manifesté EN CHAIR, justifié par l’Esprit, vu des anges, préché aux gentils, cru dans le monde, et élevé dans la gloire.”
La venue de Jésus-Christ qui est Dieu annoncée dans :
Apocalypse 19:11 à 16: “Puis, je vis le ciel ouvert,et voici parut un cheval blanc.
Et celui qui était monté dessus s’appelle FIDELE ET VERITABLE, et il juge et combate avec justice.
Et ses yeux étaient comme une flamme de feu; Il y avait sur sa tete plusieurs diadèmes, et il avait un nom écrit que personne ne connait, si ce n’est lui-meme.
Il était revetu d’un vetement teint de sang, et son nom s’appelle LA PAROLE DE DIEU.
Les armées qui sont dans le ciel, le suivaient sur des chevaux blancs, revetus de fin lin blanc et pur.
De sa bouche, sortait une épée tranchante pour frapper les nations; Il les gouvernera avec un sceptre de fer, et il foulera la cuve du vin de l’indignation et de la colère du Dieu Tout Puissant.
Et sur son vetement et sur sa cuisse étaient écrits ces mots : LE ROIS DES ROIS ET LE SEIGNEUR DES SEIGNEURS.
La venue de Jésus-Christ qui est Dieu annoncée dans :
Apocalypse 1 : 7 à 8 :”Voici, il vient avec les nuées,et tout oeil le verra, et meme CEUX QUI L’ONT PERCE.
Et toutes les tribus de la terre se lamenteront devant lui.Oui, amen! JE SUIS L’ALPHA et l’OMEGA, le commencement et la fin, dit LE SEIGNEUR, QUI EST, QUI ETAIT ET QUI VIENT, LE TOUT PUISSANT.
Démonstration magistrale de la divinité de Jésus-Christ.
Quand des musulmans disent que Jésus n’a jamais dit :”Je suis Dieu , adorez-moi” ,c’est de la mauvaise foi manifeste.
D’ailleurs ,ils sont animés d’un esprit antichrist.
Non seulement, Jésus a proclamé sa divinité, par exemple en disant:”Le Père et Moi , nous somme UN”, mais il l’a prouvé.Jésus dit “Je suis la résurrection”.Jésus ressuscite des milliers de gens qui étaient morts.
Vous ne savez plus ce que vous allez écrire… Vous serez surpris de le voir venir comme annoncé et vous allez comprendre qu’il est DIEU.
exact,en un instant beaucoup se rendront compte de leur aveuglement,d’autres le hairont pour cela,comme ceux qui l’on fait cruxifier pour le voir descendre de la croix…
Guy pagès tu a raison
Moi j’ai juste une chose a dire aux musulmans :
Si le Coran et la bible atteste que Jésus n’a jamais péché, ça voudrais dire que lorsque Jésus dis un mot qui sort de sa bouche cela est donc véridique.
Si en revanche les musulmans disent que les paroles de Jésus sont fausse cela irai en contradiction avec leur livre sacré qui est le Coran, et donc le Coran serait contradictoire au fait qu’il prétend que Jésus est un enfant “pur” sans péchés alors que nous pouvons entendre certains musulmans dire etc : la bible est falsifié, Jésus dis pas qu’il est Dieu etc.
Pourtant Jésus le fait largement comprendre qu’il est Dieu :
La preuve, même les juifs comprenaient que Jésus se faisait Dieu (d’où la lapidation et la peine de mort ) pourtant Jésus n’a pas dit : Je suis Dieu adorer moi ! Pourtant les juifs ont bien compris qu’il se faisait égal a Dieu ! Alors pourquoi les musulmans ne peut pas comprendre que Jésus se fait Dieu par ses discours, son comportement et ses miracles !???
J’ai l’impression que les musulmans ne veulent pas admettre la vérité parce qu’il défende mahomet et le Coran afin de discrédibiliser la bible, mais bon si tu cherche vraiment Dieu tu n’a pas a défendre ton orgueil et chercher honnêtement la VÉRITÉ car encore une fois Jésus le dis lui même : JE SUIS LE CHEMIN LA VÉRITÉ ET LA VIE.