Mise en œuvre du Plan d’action de l’OSCE pour la promotion de l’égalité des sexes
OSCE, Varsovie, 20.09.2019, a.m., Session 8
Modérateur: Mr. Marcin Walecki, Head, Democratization Department, ODIHR
Je voudrais dénoncer le fait que la promotion de l’égalité des genres continue à être utilisée pour diffuser un autre enseignement, dit du « gender », qui n’a en soi rien à voir avec l’égalité des personnes. Cette fausse théorie fait croire que l’identité sexuelle n’est pas un fait de nature, comme si nous ne naissions pas homme ou femme, au point que chacune de nos cellules est sexuée. Sans notre corps nous n’existons pas. Nous ne pouvons devenir que ce que nous sommes depuis notre conception : soit homme, soit femme. Il y a quelques années il n’aurait pas été nécessaire de rappeler un tel truisme, mais aujourd’hui l’idéologie du genre, qui est au service du lobby LGBT, a réussi à faire croire que la sexualité peut être déconnectée du corps, que l’humanité n’est plus composée d’hommes et de femmes, mais d’homosexuels et d’hétérosexuels, que les différences homme/femme implique une hiérarchie, une inégalité, et donc une injustice. Au lieu de reconnaître dans la complémentarité homme-femme la source de l’humanité, et dans l’altérité la condition de l’amour, les tenants du Gender veulent détruire la merveilleuse création divine et la remplacer par des chimères. Pour eux, la femme doit être un homme comme un autre, libérée de l’injustice de la maternité, et les hommes doivent pouvoir être appelé maman ! Ils ne se contentent pas de vivre entre eux ce qu’il y a peu de temps encore était considéré comme une perversion, mais ils la diffusent dans toute la société, notamment à l’école. L’Éducation nationale, en France, enseigne l’indifférenciation sexuelle sous couvert d’égalité, et fait la promotion de l’homosexualité et de la transsexualité sous couvert de lutte contre l’homophobie et la transphobie… Un de leurs objectifs est de faire accepter comme normal le fait de « changer de sexe ». C’est ainsi que de plus en plus d’enfants ont des troubles de l’identité et finissent par se suicider. Chaque jour un adolescent entre dix et quinze ans change de sexe anatomique au Royaume-Uni (The Telegraph, 8 juillet 2017)… Des médecins ont beau tirer la sonnette d’alarme, ils ne sont pas écoutés. Selon le député et médecin français Bernard Debré, l’enseignement de la théorie du genre forme « des êtres hybrides, psychologiquement diminués, complexés et pour beaucoup en révolte contre la société ». Une génération de jeunes blessés dans leur identité, ayant un accès libre à la pornographie, à la contraception et à l’avortement, tombe dans le désespoir de n’être plus personne.
Ma recommandation : Stopper l’imposture idéologique de la théorie du genre. Mon association appelle les responsables politiques à oser s’opposer de tout leur pouvoir à l’enseignement du gender, et à promouvoir une éducation respectueuse de l’égalité et de la complémentarité des sexes, dans l’émerveillement de leur différence si féconde. Le rôle de l’école n’est pas de déconstruire, et les parents ont le droit et le devoir d’exiger que leurs enfants ne soient pas pervertis par un enseignement niant la différence sexuelle et son sens anthropologique.
Cf. http://www.vigi-gender.fr/la-complementarite
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La vidéo originale : https://www.osce.org/odihr/hdim_2019_Live_English
Ci dessous, une proposition pour le recensement en Ecosse de 2021 indiquant 21 choix possibles d’orientations sexuelles, en attendant mieux :
Un théoricien du genre avoue : « J’ai tout inventé »
Voilà un témoigne qui entame sérieusement la crédibilité des études de genre… L’historien canadien Christopher Dummitt a avoué dans le journal en ligne australien « Quillette » avoir falsifié les conclusions de ses recherches, au service de la théorie du genre.
« Je passais de nombreuses soirées à débattre du genre et de l’identité avec d’autres étudiants – voire avec n’importe qui avait la malchance de se trouver en ma compagnie. Je ne cessais de le répéter : « Le sexe n’existe pas. » Je le savais, un point c’est tout. Parce que j’étais historien du genre », rappelle-t-il en guise de préambule à ses aveux.
« À l’époque, pas mal de gens n’étaient pas de mon avis. Toute personne – c’est-à-dire pratiquement tout le monde – n’ayant pas été exposée à ces théories à l’université avait bien du mal à croire que le sexe n’était globalement qu’une construction sociale, tant cela allait à l’encontre du sens commun. Mais, aujourd’hui, ma grande idée est partout », poursuit-il.
« Aujourd’hui, j’aimerais faire mon mea culpa », annonce-t-il. « Mais je ne me contenterai pas d’être désolé pour le rôle que j’ai pu jouer dans ce mouvement. Je veux détailler les raisons qui me faisaient faire fausse route à l’époque, et celles qui expliquent les errements des socio-constructionnistes radicaux contemporains. J’ai avancé les mêmes arguments qu’eux et je sais qu’ils sont faux. »
Après avoir détaillé ses travaux universitaires et ses méthodes, M. Dummitt reconnaît que son travail était celui d’un militant, et non d’un historien : « J’avais tort. Ou, pour être un peu plus précis : j’avais partiellement raison. Et pour le reste, j’ai globalement tout inventé de A à Z. Je n’étais pas le seul. »
Sa conclusion est une bombe pour ces collègues : « Les erreurs de mon propre raisonnement n’ont jamais été dénoncées – et n’ont en réalité qu’été confirmées par mes pairs. »
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