A l’issue d’une « rencontre de la fraternité » ayant rassemblé quatre cent représentants de toutes les religions à Abu Dhabi le 4 février 2019, le Pape François et le Grand Imam d’Al-Azhar (Égypte), Ahmad Al-Tayyeb, ont cosigné le « Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune ».1 Pourquoi eux deux seulement et pas aussi les trois cent quatre vingt huit autres représentants religieux ont-ils signé ce document sur la … fraternité ? N’est-ce pas là une énorme bévue qui semblerait obérer la sincérité de la démarche ?
Évidemment, cette condamnation de la haine et de sa violence, que ce soit sous la forme de la contrainte religieuse (Coran 2.193 ; 4.89 ; 9.5 ; 60.4), du terrorisme (Coran 3.151 ; 8.12,60 ; 9.111 ; 33.26 ; 59.2,13 ; 61.4), du mépris des femmes (Coran 2.228 ; 4.34,43 ; 5.6), etc. ne concernait véritablement qu’un seul des deux partenaires … Dès lors, quel besoin avait le Pape de signer cette Déclaration ? A-t-il donc accepté de servir de cache-misère à Al-Azhar n’ayant pas eu l’initiative de la « révolution religieuse » à laquelle le Président égyptien Abdel Fattah Al-Sisi a appelé dans un admirable discours du 1er janvier 2015 ?
Je reconnais que le Grand Imam de l’Université d’Al-Azhar a formellement fait un « pas en avant »… de géant. Toutefois, ce ne sont pas les paroles qui suffisent à faire la preuve de la sincérité, mais les actes, et l’avenir montrera ce que valaient celles-ci. En attendant, si le Grand Imam d’Al-Azhar a joué gros en condamnant des « pratiques d’Allah qui ne peuvent pas être révoquées (Coran 33.62 ; 35.43 ; 48.23) » … il savait cependant, en bon connaisseur de la takiya, qu’Allah « ne lui reprochera pas la frivolité de ses serments (Coran 2.225) », l’autorisant même à les rompre le moment venu (Coran 66.2). Allah est « le meilleur de ceux qui rusent. (Coran 3.54 ; 8.30 ; 27.50) » Il ne faut pas l’oublier.
Aussi l’opération se justifie amplement : ce qui va être empoché dépasse largement l’investissement consenti : désormais, l’islam va pouvoir partout se présenter, sous le sceau du Pape, comme religion de paix, de tolérance et d’amour… que seules de mauvaises interprétations peuvent rendre haïssable ! En un temps où les peuples d’Occident semblent se réveiller et vouloir rejeter l’islam, je trouve que c’est un coup de maître de la part des chefs de l’islam (Cf. Ep 6.12).
De son côté, qu’est-ce que l’Église gagne et perd dans cet accord ? Ce qu’elle gagne, incontestablement, c’est l’estime du monde, et peut-être aussi de bonnes relations, au moins momentanées, avec certains milieux musulmans. Ce qu’elle perd, un peu plus, c’est l’annonce du caractère absolu de la foi chrétienne, et la cohérence doctrinale qui en assure la force de proposition. En effet, non seulement n’apparaît jamais dans ce document d’allusion au salut éternel, objet pourtant premier de sa mission, mais des propos typiquement musulmans, et donc contraires à la foi catholique, y sont ratifiés… par le Pape. Ainsi, écrire que « le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains », valide :
- la confusion typiquement musulmane entre la nature (race, sexe …) et la culture (langue, religion), confusion faisant ainsi passer l’islam pour une réalité voulue par Dieu au même titre que la nature, le rendant donc aussi bon et nécessaire qu’elle ;
- la schizophrénie d’Allah qui crée plusieurs religions (Coran 7.16 ; 22.66)… pour que l’islam les détruise (Coran 2.193 ; 9.30,33) !
En islam, la division spirituelle et morale de l’humanité est voulue par Allah (Coran 7.168 ; 22.66) parce qu’il est l’auteur du bien comme du mal (Coran 15.40 ; 32.13 ; 38.82 ; 91.8 ; 113.2), mais en régime chrétien, la division spirituelle de l’humanité est due au péché de l’humanité (Gn 11), et non à Dieu. Le rejet de la précieuse distinction entre l’ordre naturel et l’ordre surnaturel apparaît encore dans le discours de François de ce même 4 février aux membres du Conseil musulman des Anciens à la Grande Mosquée du cheikh Zayed : « La fraternité certainement exprime aussi la multiplicité et la différence qui existent entre les frères, bien que liés par la naissance et ayant la même nature et la même dignité. La pluralité religieuse en est une expression. ». Si la pluralité religieuse est une expression de la fraternité, alors, Jésus a manqué de fraternité en refusant de reconnaître pour ses frères ceux qui refusaient de L’adorer (Mc 3.32-35)… comme refusent de le faire aujourd’hui les musulmans. A-t-Il eu tort de les traiter de “fils du diable (Jn 8.44)” ?
La reconnaissance du « pluralisme et les diversités de religion » qui découleraient d’« une sage volonté divine » fondant « le droit à la liberté de croyance et à la liberté d’être différents », a pour corollaire l’impossibilité pour l’Église d’affirmer que la religion catholique est la seule vraie religion voulue par Dieu en laquelle tous doivent s’efforcer d’entrer (Mt 28.18-19 ; Lc 14.23), et l’impossibilité de reconnaître que l’islam est d’autant plus démoniaque qu’il se prétend d’origine divine… N’est-ce pas un accord cher payé pour l’Église ?
L’Église ne peut pas dire que la division spirituelle actuelle de l’humanité est voulue par Dieu puisque Jésus est venu rassembler dans l’unité les enfants de Dieu dispersés (Jn 11.52) au prix de Sa mort sur une croix ! Dieu veut au contraire que tous, nous soyons un, comme Il est Un (Jn 17.21). Il veut qu’il y ait « un seul troupeau et un seul berger (Jn 10.16) ». Combien donc est-il malheureux de voir celui qui assume aujourd’hui cette mission de berger renier le fondement divin de celle-ci… La division spirituelle et morale de l’humanité n’a rien à voir avec la diversité des couleurs de l’arc en ciel !
Mais si les différentes religions sont voulues par Dieu, alors on comprend que le dialogue interreligieux pour le dialogue interreligieux soit toujours plus à la mode, et que l’appel à la conversion des musulmans soit combattu… par des ecclésiastiques eux-mêmes. Ainsi le père Féroldi, Président du Service national des relations avec les musulmans, de la Conférence des évêques de France, se refuse à « donner comme horizon du dialogue la conversion de l’autre à une religion » (idem)… Celui qui rougit du Christ, le Christ rougira de lui (Mc 8.38).
Les erreurs dont regorge cette Déclaration trahissent la double condition requise pour réellement pacifier les relations entre musulmans et non-musulmans : l’abandon de l’islam et la conversion à Jésus-Christ, que ni François ni Al Azhar n’ont le courage d’affirmer. Pour ne citer que quelques unes d’entre elles :
- « La foi amène le croyant à voir dans l’autre un frère à soutenir et à aimer ». Or, le Coran éructe continuellement la haine du non-musulman. De quelle foi parle ici la Déclaration ? D’une foi hors confession, hors révélation, ou bien de celle révélée par l’Amour de Jésus-Christ ?
- Les affirmations : « De la foi en Dieu, qui a créé l’univers, les créatures et tous les êtres humains – égaux par Sa Miséricorde » et « Au nom de Dieu qui a créé tous les êtres humains égaux en droits», laissent croire qu’elles concerneraient également l’islam. Mais c’est faux : Allah ne crée pas les hommes et les femmes égaux (Coran 2.228), ni les hommes égaux entre eux (Coran 89 ; 16.75,76), raison pour laquelle il s’oppose à l’abolition de l’esclavage (Coran 16.71). Il en prédestine même certains à l’Enfer (Coran 7.179,186 ; 32.13). Puisque les signataires ne parlent manifestement pas d’Allah, l’ont-ils pour autant rejeté ?
- Si Dieu a donné la liberté « à tous les êtres humains, les créant libres et les distinguant par elle.», pourquoi laisser croire que ce Dieu soit Allah, puisque celui-ci guide ou égare qui bon lui semble, sans recours possible (Coran 88,143 ; 6.149 ; 7.178 ; 9.51 ; 25.2 ; 74.31…) ?
- « Les religions n’incitent jamais à la guerre et ne sollicitent pas des sentiments de haine, d’hostilité, d’extrémisme, ni n’invitent à la violence ou à l’effusion de sang. » Les religions ont-elles vraiment toutes le même discours ? Le Coran, la vie de Mahomet, l’histoire de l’islam, donnent-ils vraiment un enseignement semblable à l’Evangile, à la vie de Jésus-Christ et de l’Eglise ?
- « La forte conviction que les vrais enseignements des religions invitent à demeurer ancrés dans les valeurs de la paix. » Jésus a commandé l’amour des ennemis (Mt 5.44) et l’a pratiqué à la perfection (Lc 23.34). Allah commande au contraire la haine : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) ». Qui peut venir APRES le Christ, sinon l’Antichrist ?
- « Le terrorisme détestable qui menace la sécurité des personnes, aussi bien en Orient qu’en Occident, au Nord ou au Sud, répandant panique, terreur ou pessimisme n’est pas dû à la religion – même si les terroristes l’instrumentalisent – mais est dû à l’accumulation d’interprétations erronées des textes religieux…» Il n’est pas question ici de « mauvaise interprétation » puisqu’il s’agit de faits, et que le Coran est d’autre part une parole « évidente (Coran 4.174 ; 6.57) », « explicite (Coran 44.2) », « sans ambiguïté (Coran 18.1) »…
- « C’est une nécessité indispensable de reconnaître le droit de la femme à l’instruction, au travail, à l’exercice de ses droits politiques. (…) Il est aussi nécessaire de la protéger de l’exploitation sexuelle et du fait de la traiter comme une marchandise ou un moyen de plaisir ou de profit économique. » Les musulmans sont-ils vraiment prêts à rejeter le modèle de Mahomet, qui a enseigné l’infériorité ontologique des femmes (Coran 2.228), avec le devoir de les battre (Coran 4.15,34), lui à qui Allah a donné autant de femmes qu’il voulait (Coran 33.50), réduisant une foule d’entre elles en esclavage (Coran 33.52), abominable commerce dont il s’est enrichi (Coran 8.41 ; 59.6) ?
D’où vient l’« espérance en un avenir lumineux pour tous les êtres humains » d’Al-Tayyeb et de François, si l’islam doit remplacer toutes les religions (Coran 2.193) ? L’avenir que Jésus nous a promis ici-bas n’est-il pas apocalyptique (Mt 24) ?
Pour François, « il y a un seul grand danger en ce moment : la destruction, la guerre, la haine entre nous ». Pour moi, le seul grand danger, maintenant et jusqu’à la fin du monde, est celui de la damnation. Vouloir lui échapper donne la force de porter la Croix, seul moyen de vaincre les puissances de l’Enfer et d’éviter les compromissions qui y conduisent. Si Jésus n’avait eu d’autre souci que d’éviter la destruction, la guerre et la haine, Il ne serait pas venu exciter la haine de tous (Mt 10.34 ; Mc 13.13 ; Lc 12.51 ; Jn 15.25), n’aurait pas envoyé ses disciples comme des brebis au milieu des loups (Mt 10.16), ni ne les aurait invités, chacun, à porter sa croix (Lc 9.23 ; 14.27) … En conclusion, gardons les si religieusement incorrectes recommandations de saint Paul : « Ne formez pas d’attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l’impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle entente entre le Christ et Satan ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? (2 Co 6.14-15) ».
Abbé Guy Pagès, auteur de Interroger l’islam, Mille et une questions à poser aux musulmans, DMM, 4ème édition, 2018.
Article paru sur le site du Professeur Sami Aldeeb ; et le Salon Beige ;
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NB : Le professeur Josef Seifert termine ainsi l’article par lequel il dénonce lui-même cette déclaration : “Il n’est ni impossible ni honteux pour un pape de rétracter les erreurs qu’il a commises dans ses enseignements non infaillibles. Le premier pape, institué par Jésus-Christ lui-même, Pierre, l’a fait sur réprimande de saint Paul lors du premier Concile apostolique de l’Église. Le pape Jean XXII a révoqué sur son lit de mort une hérésie sur les âmes séparées qu’il avait commise dans un document précédent, et qui fut une seconde fois condamnée comme hérésie par son successeur. Par conséquent, nous avons tous de bonnes raisons d’espérer que le pape François révoque une phrase qui constitue une rupture totale avec la logique ainsi qu’avec l’enseignement biblique et religieux. S’il ne le fait pas, je crains que le droit canonique puisse s’appliquer selon lequel un pape perd automatiquement son office pétrinien lorsqu’il professe une hérésie, en particulier lorsqu’il professe la somme de toutes les hérésies.” (Cf. La réaction de Mgr Schneider).
En sens inverse, voici l’avis du père Laurent Stalla-Bourdillon (en charge pour le diocèse de Paris des rapports avec les médias), et celui du père Candiard (dominicain vivant au Caire).
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“ C’est aux lèvres du prêtre de garder le savoir et c’est de sa bouche qu’on recherche l’enseignement : il est messager de Dieu.
Mais vous vous êtes écartés de la voie;
vous en avez fait trébucher un grand nombre par l’enseignement;
vous avez détruit l’alliance (…)
Et Moi Je vous ai rendus méprisables et vils à tout le peuple, dans la mesure où vous n’avez pas gardé Mes voies
mais avez fait acception de personnes par votre enseignement. (…)
Juda a agi en traître : une abomination a été perpétrée (…) Il a épousé la fille d’un dieu étranger. (Ml 2.1-11)”
La “Maison de la Famille Abrahamique” de François à Abou Dhabi, qui sera composée d’une église, d’une mosquée et d’une synagogue, ne peut pas avoir de croix extérieure car cela est illégal dans les Emirats Arabes Unis. Selon Specola, les EAU ont adopté en décembre 2020, une loi anti-blasphème qui interdit tout enseignement contre l’islam, y compris les enseignements bibliques qui pourraient être considérés comme “offensants” (InfoVaticana, 5 octobre) …
- L’adjectif pléonastique « commune » ajouté à « coexistence » semble trahir ce que celle-ci a de problématique… [↩]
Merci p. Pagès pour votre analyse. Elle suscite beaucoup de commentaires. J’espère qu’elle suscite autant de prière!
Bonjour. Je ne dois pas avoir les mêmes bibliographies du fondateur des chrétiens, car j’ai beau les relire plusieurs fois, je ne vois pas notre fondateur vouloir convertir quiconque. De sa condition de Dieu, Il s’est rabaissé à la condition de sa créature pour lui montrer le chemin de son créateur. Il faut être fou… fou d’Amour pour vouloir cela. S’il ne cherche pas à convertir les gens pour respecter leur liberté, il veut témoigner de l’Amour de Dieu notre Père pour nous. C’est cela qui attire les gens humbles et rebute les orgueilleux qui veulent convertir les autres en se croyant supérieur aux autres parce qu’ils ont les écritures. Il exhause les humbles demandes, il renvoie ceux qui sont riches de leur écritures. A ses disciples qu’il envoie deux par deux, il ne leur demande pas de convertir les gens. Non, il leur demande de chasser les esprits impurs et d’annoncer une année de bien fait. Bref il demande de respecter la liberté de chacun.
Savez vous ce que le Christ nous a gagné sur la croix ? La liberté, la liberté de le crucifier. Alors pourquoi vouloir la retirer aux autres ? Or quel temoignage donnons nous ? Rabaisser les autres ne leur donne pas le goût de s’élever. Comme dit Mère Térésa : si tu juge les gens, tu n’a pas le temps de les aimer. Or c’est l’Amour que les gens ont besoin pour aller à Dieu. Or ce qui empêche l’Amour, ce n’est pas la haine mais la peur.
Quel est ce Dieu qui accepte de faire lever son soleil sur les bons et les méchants, bref de faire lever son soleil qui est nécessaire à la vie, pour moi mais aussi pour celui qui me martyrise ? Peut être pour je sois un témoin de l’Amour de Dieu pour mon bourreau… Comme cette résistante suisse, Maïti Girtanner, qui a écrit : “Même les bourreaux ont une âme”. Après avoir eu la colonne vertébrale complément brisée pendant les interrogatoires de la gestapo, elle ne vivait que pour que son bourreau sauve son âme. 40 ans, après la guerre, son ancien bourreau l’a contacté car devant les angoisses de sa mort prochaine, il n’avait que le souvenir de cette résistante qui l’attirait. Elle le reçu et lui dit : “vous qui preniez la vie aux autres, c’est à vous de donner votre vie aux autres”. Alors qu’elle était complètement épuisée par ses souffrance, elle senti une force surhumaine qui lui a fait prendre la tête de son ancien bourreau pour l’embrasser. Elle su que ce n’est qu’à ce moment qu’elle lui avait vraiment pardonné. Son ancien bourreau finit sa vie en faisant des oeuvres de bienfaisance. Comme dit le Pape François, les gens n’ont que faire de notre moral, ils veulent nos prières et notre témoignage, pour aller au paradis. Bien à vous.
Jésus ne voulait pas convertir ? “Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. (Mt 28.18-19)”
Pnfo
Avec ce que vous dites ,ce sont les martyrs qui doivent se retourner dans leurs tombes.
Vos propos sur la conversion bousculent 2000 ans de christianisme .
Vous faites mentir le Christ et ses apôtres ,vous crachez sur les saints qui ont tant fait pour les conversions .
D’où provient votre nouvel évangile ???
Estes vous témoin de jéhova ???
Bonjour Aurore, il y a une différence entre “vouloir convertir les gens” et “vouloir que les gens se convertissent”. C’est l’ humilité et la liberté. Jésus, les apôtres et beaucoups de martyr ont voulu que les gens se convertissent. Bien à vous.
Bonjour. Oh non pas vous. Vous valez mieux que ceux qui veulent ranger les autres dans leur petite case.
De quel martyr parlons nous ? De ceux qui ont témoigner de l’Amour de Dieu jusqu’à déranger certain et qui ont accepté d’être martyrisé en pardonnant à leurs bourreaux, comme le Christ sur la Croix, comme ce missionnaire au début du film Christeros… Leur témoignage a touché le centurion romain et le petit enfant qui avait martyrisé le missionnaire par une pomme… Ils se sont alors converti à l’Amour infini de leur ennemis. Ce qui est impressionnant c’est de voir que, si l’on est chrétien, c’est parce que le temoignage des premiers martyrs, touchaient des spectateurs qui se convertissaient alors qu’ils savaient qu’ils mourraient sûrement en martyr. Qu’est-ce qui pouvait bien attirer ces seconds chrétiens, si ce n’est la force et la paix intérieure des premiers chrétiens ?
De quel martyr parlons nous ? De ceux que l’on veut faire martyr parce qu’ils nous ont défendu ainsi que le Christ contre tous ceux qui nous veulent du mal… comme ce Pierre qui avait sorti son épée et qui a été rembarré par le Christ. On peut comprendre qu’il a renier le Christ car, le Christ n’était plus dans ses schémas à lui. Comme ce général qui tuait les ennemis de l’église pour sauver les chrétiens et qui s’est fait avoir quand il s’est accordé un peu de confort…
Ce n’est pas le Christ, les apôtres, les martyrs qui doivent se retourner dans leur tombe, mais ceux qui ont voulu faire du christianisme une force politique basée sur un rapport de force parce qu’il leur manquait la foi. Bien à vous.
Qui sont “CEUX qui ont voulu faire du christianisme une force politique basée sur un rapport de force “???
Qu’es ce que ça veut dire “se convertir à l’amour infini de ses ennemis”
C’est quoi tout ce langage totalement déjanté?
Bonjour Aurore. Ah bon le fondateur des chrétiens était déjanté quand il a demandé à ses disciples d’aimer ses ennemis, qui a repris Pierre lors de son arrestation en lui disant range cette épée, qui combat par l’épée périra par l’épée…? Ah bon, Mère Térésa était déjantée quand, elle qui avait monté un orphelinat, elle est allée voir le riche voisin qui faisait tout pour faire partir cet orphelinat ? Il l’insultat, lui cracha sur elle… Elle n’a rien dit jusqu’au moment où elle lui a dit : merci monsieur vous m’avez donné tout ce dont j’avais besoin. Qu’est-ce que vous aller donner à mes enfants. Il fut tellement bouleversé qu’il devient administrateur de l’orphelinat.
Ah bon, Maïti Girtanner qui a ecrit son témoignage sur le pardon dans le livre Même les bourreaux ont une âme, était déjantée ? Ah bon et plein d’autres saints… qui ont aimé mis en pratique de façon héroïque le précepte de leur Maître, étaient déjantés. Bien à vous.
C’est le temps de l’Apocalypse. “Tout ce qui est caché sera dévoilé.” On y est !
Merci Mr l’Abbé
Bonjour Gérard Barthélémy. Youpi car l’apocalypse le retour de notre bien aimé. Celui qui s’aneantit dans un moreceau de pain et une goutte de vin pour qu’il soit broyé, non pas sous les cros des lyons mais sous mes dents. Tout cela pour que je le laisse prendre possesion de moi. Il a voulu être docile à ses ennemis jusqu’à être anéanti sur une croix. Il veut être docile à ses amis jusqu’à être un morceau de pain quand un prêtre veuille bien dire une messe. Bon apocalypse dans la paix du Christ plutôt que d’avoir la peur des athées pieux. Bien à vous.
Il n’y aura pas de paix tant que cette horreur venue du 7 ème siècle continuera d’avoir des adeptes.
Le dialogue islamo-chrétien est une farce.
L’islam nie tout ce qui fait le fondement de la foi chrétienne.
Il ne faut rien attendre des oulémas et des chefs religieux musulmans.
Ils pratiquent la takkia à fond la caisse.
Avec leur démographie galopante, ils n’auront meme pas besoin de prendre les armes .
Une fois devenus majoritaire, ils installeront leur république islamique avec la charia qui va avec.
La belgique est quasiment un pays musulman; quant à l’angleterre, les tribunaux de la charia poussent partout dans ce pays.
La faute à qui ? Aux gouvernants occidentaux qui ont trahi leurs peuples depuis 50 ans, pour quelques pétrodollars.
Le pire est que l’immigration-invasion s’est accélérée par la mise sous tutelle de l’Union européenne de la france.
L’islamisation est VOULUE par les élites traitres.
Bonjour Ariana. Mère Térésa repondait à quelqu’un qui lui faisait part du mal dans le monde : les problèmes dans le monde viennent de vous et moi… parce que nous ne pas assez saint. Ce qui impressionnant dans la bible c’est le passage après la mer rouge à pied sec. Le peuple juif est resté 40 ans dans le désert car ils avaient peur d’une peuplade qui était sur leur chemin. Alors qu’enfin de compte, cette peuplade avait peur des juifs, car ils avaient entendu le recit de la mer rouge. Ce qui empêche l’Amour ce n’est pas la haine mais la peur. Ayez confiance en votre Dieu et en cette petite flame enfouie par une multitude de péchés qui est dans le coeur de nos ennemis. Elle ne demande que notre témoignage pour qu’elle brule tout du feu de l’Amour. Bien à vous.
Merci mr L”Abbe, j’aime bien vous lire et j’approuve ce que vous dite, car je les connais bien
Ceci ne nous annonce-t-il pas l’apocalypse décrit par Saint Jean ? Pour ma part je ne connais qu’une religion, c’est la nôtre. L’Islam serait plus une secte qu’une religion.La religion par essence ne s’occupe que du “Spirituel” alors que l’islam est loi spirituelle et temporelle.Je pense que notre pape est victime de tayah (je n’écris peut-être pas correctementle mot) mais dans lequel le mensonge est permis pour vaincre ses ennemis.Qu’en pensez-vous mon Père ?
1) Il est certain que l’Apocalypse se rapproche chaque jour un peu plus.
2) Il n’y a effectivement qu’une seule vraie religion, celle qui subsiste dans l’Eglise catholique.
3) L’islam n’est pas plus une secte, il est une secte : https://www.islam-et-verite.com/lislam-est-il-une-religion-1/
4) Le Pape ne peut pas être victime de la takiya, tant les ficelles sont grosses.
N*4, je pense malheureusement que le Pape sait très bien ce qu’il fait.
Ce n’est que la juste punition de Dieu pour toutes nos impiétés et nos blasphèmes ce qui nous attend …
Bonjour monsieur l’abbé,
l’expression de saint Jean ‘Fils du diable ‘ n’est-elle pas contradictoire avec le fait que tous les hommes , même les pires, sont enfants de Dieu, en tout cas créatures de Dieu et non du diable ?
Pensez-vous réellement que Jésus ou saint Jean puissent se contredire ? “Qui n’est pas avec Moi est contre Moi. (Mt 12.30)” dit Jésus. Qui n’est pas avec Dieu est avec le Diable. Ainsi devient-il son fils en l’imitant dans son refus de Dieu et de son Christ.
Bonjour Lemaire. Il suffit de voir un possédé soit dans les évangiles soit lors d’un exorcisme. L’enfant de Dieu n’est plus mettre de lui car c’est le diable qui a pris possession du corps de l’enfant de Dieu. Il devient alors fils du diable. Dieu respecte notre volonté même si on est enfant de Dieu. Ceux dont Dieu a fait fuir le diable de leur corps ne se rappelle même plus ce qu’ils ont dit ou fait.
Un jour, le prêtre exorciste avait souhaité que son évêque assiste à l’exorcisme. Pendant les prières, l’envouté cria plusieur fois “Croissant au beurre, croissant au beurre” en direction de l’évêque. A la fin, le prêtre demanda à l’évêque ce que cela pouvait signifier. L’évêque avoua, que deux jours avant, il avait mangé 7 croissants au beurre par gourmandise. Ce n’est pas l’envouté qui pouvait le savoir. Bien à vous.