« Cette vision unidimensionnelle se retrouve dans ce que l’on désigne aujourd’hui avec les termes « racisme » et « anti-racisme ». Ces deux positions procèdent d’une même vision du monde, matérialiste et quantitative. Aussi, leur opposition est fausse et concoure, de façon complémentaire, à renforcer le système moderne, le premier par dénigrement et réductionnisme, le second par assimilation puis dilution. Elles conduisent à reconnaître ou à façonner et à glorifier une race unique. D’ailleurs, il est probable qu’à l’ultime fin de notre cycle, lorsque l’humanité sera entièrement antéchristique, « racisme » et « antiracisme » se rejoindront pour célébrer la même société. » Il est vrai que le point commun observable entre les racistes de la troisième république et les antiracistes de la cinquième, est l’athéisme ou l’appartenance à une loge maçonnique…

Captuure

Christophe Levalois dans « Les temps de confusion »

On comprend dès lors que racisme et antiracisme ne sont que des oppositions de façade, ou le passage de l’un à l’autre ne se fait qu’en fonction des mœurs du moment. D’un côté nous avons le racisme, qui exalte une entité, un pays, un peuple, une race, une catégorie, parmi d’autres, il est un contre plusieurs. Et de l’autre, nous avons l’antiracisme qui n’est que le complément et le continuateur du racisme. Il prône l’uniformisation en donnant toutes les facilités aux métissages et plus encore en les exaltant. Ce qui explique le comportement hostile de certains antiracistes devant une affiche publicitaire montrant exclusivement des personnes blondes aux yeux bleus. Cette attitude est exactement la même que celle d’un raciste devant une affiche ne montrant que des personnes de couleurs. Le plus triste c’est qu’ils ne s’en rendent même pas compte. Dans les deux cas nous constatons effectivement une volonté de façonner et glorifier une race unique. Nous dirions même un homme nouveau ! Car c’est bien de cela qu’il s’agit.

En sommes, racisme et antiracisme disparaîtront naturellement quand les français, et nos sinistres dirigeants politiques, cesseront d’avoir une vision purement matérialiste et quantitative de l’homme. Mais pour cela, l’éthique chrétienne devra refaire son apparition dans les esprits de chacun. Nos Rois futurs, dernière chance peut être de la liberté, disait Maulnier, seront les garants du respect envers tous les français. Quelque-soit les différences physiques des peuples qui constitueront le Royaume de France, le souci principal de nos Rois, sera de préserver en chacun de nous une âme française, et d’être les garants de nos libertés. La république est comme le monde matériel qu’elle défend vigoureusement au nom de l’argent, elle est éphémère. Sa fin prochaine, annonce le renouveau de notre Civilisation, comme de l’humanisme. Non pas avec des « Hommes nouveaux » si chers aux régimes totalitaires, mais bel et bien, avec notre éternel esprit français ! Celui de la courtoisie et du panache !