Les codes culturels de l’islam sont-ils en train de triompher en Europe ?
Y a-t-il un sens à parler de liberté religieuse avec l’islam ?
L’islam est-il en crise chez les croyants ?
La conversion des musulmans est-elle possible ?
Des questions stimulantes et des réponses exigeantes !
Voici sur ces sujets et sous la direction de Constance Prazel,
les interventions le 16 janvier 2021 de :
François Billot de Lochner 1″40
Pierre Cassen 22’30
Guillaume de Thieulloy 41’57
Abbé Guy Pagès 55’42
Odon Lafontaine 1.17’37
L’islam
L’islamisation de la France est en plein essor, comme en Europe, et la majorité de nos concitoyens se trouvent impuissants face à cette situation, ne comprenant pas que les musulmans ne sont pas venus pour s’intégrer, mais pour faire de l’Europe une terre d’islam. Ils ne savent plus qui ils sont, d’où ils viennent, quelle est leur histoire, qui est Jésus-Christ. L’Europe est devenue ce qu’elle a été en raison de la conviction que la vérité était connaissable. En effet, Jésus-Christ S’est présenté comme étant La vérité (Jn 14.6). Les sciences ont pu se développer en Occident sur ce fondement : la vérité existe, et elle est connaissable ! C’est là un fait qui distingue notre civilisation parmi toutes. Les musulmans sont eux-mêmes, comme nos concitoyens, endoctrinés dans l’ignorance et le mensonge au sujet du Christ et du bien qui a été fait grâce à Lui.
1) Aussi voudrais-je profiter de l’occasion pour détruire un argument important de l’apologétique musulmane, à savoir le fait que l’islam venant APRES le christianisme, il lui serait nécessairement supérieur, dans une logique de progrès, qui s’accorde très bien avec le progressisme de la société contemporaine marxisée. En effet, tout ce qui est chronologiquement postérieur n’est pas nécessairement supérieur ou meilleur. La preuve en est que la décadence, la déchéance, la perversion, la pourriture, viennent nécessairement après une période de perfection qu’elles corrompent. Qui peut venir APRES le Christ, sinon l’Antichrist ?
2) Qu’a fait le Christ ? Il a notamment détruit le mur de la haine qui séparait Juifs et non-Juifs (Ep 2.14-16) en ouvrant à ces derniers l’Alliance initiée avec Abraham. Or, six siècles plus tard, l’islam vient relever dans l’humanité ce mur de la haine en séparant à nouveau les hommes, entre musulmans et non-musulmans : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié A JAMAIS jusqu’à ce que vous soyez musulmans ! (Coran 60.4) »
3) Il ne peut y avoir deux religions universelles. « Aucun arbre mauvais ne donne de bons fruits. (Mt 7.18) »
Je voudrais aussi dénoncer la distinction entre islamistes et musulmans modérés, forgée pour faire accepter l’islam en Occident. Erdogan le dit très bien : « L’expression “islam modéré” est laide et offensante. Il n’y a pas d’islam modéré. L’islam est l’islam. (Kanal D TV, Août 2007) » Celui qui est appelé un « bon musulman » est ordinairement un homme préférant obéir à sa conscience plutôt qu’à Allah. Le bien qu’il fait, il le fait donc non pas à cause de l’islam, mais en dépit de l’islam. Un bon musulman est en réalité un mauvais musulman. La preuve en est que les islamistes le tuent comme les mécréants, puisque, comme eux, il n’obéit pas au Coran (3.166-167 ; 4.137-139,142,145 ; 9.66-68,73). L’appellation islam modéré suffit à dénoncer l’islam comme mauvais, car si l’islam doit être modéré pour être acceptable, c’est donc qu’en soi il ne l’est pas. Nul besoin de modérer le christianisme !
La France
Nul besoin d’être catholique pour reconnaître que la France a été façonnée par la foi chrétienne, qu’elle a trouvé son identité dans sa mission de défendre l’Église. (C’est Pépin le Bref, fils de Charles Martel, qui fait don à l’Eglise (Etienne II) des Etats Pontificaux.) Or, la religion des Droits de l’homme, avatar de l’idéalisme de la Révolution française, s’est substituée à la religion catholique, préférant à la France, la République, et à l’Église, l’indifférence religieuse, les livrant ainsi, l’une et l’autre, désarmées, à l’islam, qui, au nom des Droits de l’homme, réclame l’acceptation de sa différence, de ses mœurs, de sa loi. Comme il l’a fait et le fait partout, l’islam se taille chez nous son territoire, créant des zones de non-droit où tout ce qui rappelle la France doit fuir, y compris la Police sous les jets de cocktails molotov. « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. (Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, Déclaration islamique, 1970) » … Mais ce n’est pas tant l’islam qui est dangereux que la lâcheté de nos responsables… Après le renoncement en 1999 à ce que soit reconnu dans La charte du culte musulman, le droit au changement de religion (L’Express du 26/1/06, p.25), un dernier avatar de cette incapacité de l’Etat à faire face à l’islam, a été le projet de loi dit « contre le séparatisme » visant à « lutter contre l’islam radical », qui est devenu le « projet de loi visant à renforcer la laïcité et conforter les principes républicains », d’où le mot islam … a disparu ! Mais quelle blague de croire que l’islam puisse se soumettre à une autre loi que celle d’Allah : Allah interdit aux musulmans d’obéir à un non-musulman (Coran 5.60 ; 18.28 ; 60.2) !
La démographie étant reine, la charia s’installe démocratiquement. A Bruxelles, Milan, Londres, Oslo, Bobigny, Blois ou Marseille, le prénom le plus commun donné aux petits garçons est Mohamed. En Suisse, statistiquement, en 2040, la population sera à 76 % musulmane, si rien n’est fait d’ici-là. En 2045, il y aura en Allemagne 52 millions de musulmans pour 45 millions d’Allemands de souche. Mais pour le chef de la police de Cologne, l’Etat allemand aura déjà été conquis en 2030. Je rappelle ce propos d’Azouz BEGAG, Ministre de « la promotion de l’égalité des chances » sous Jacques Chirac : « Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes, les descendants de Vercingétorix… casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ce doit être comme une invasion de criquets… Partout, de manière à ce qu’on ne puisse plus revenir en arrière. (Respect Magazine, n°8, octobre-décembre 2005, pp 14-16) » Ce n’est pas sans raison que le Ministre de l’Intérieur Gérard Colomb, donnant sa démission le 3 octobre 2018, ait dit redouter un très prochain « face à face » : La République y travaille !
La mission
Il ne s’agit d’imiter ni la confusion islamique de la religion et du politique, ni leur séparation propre à la laïcité française, mais de retrouver leur juste relation. Il s’agit de retrouver l’alliance de l’Etat et de l’Eglise, dans laquelle l’État aide l’Église à accomplir sa mission de salut des âmes, et l’Église offre à l’Etat un point d’appui hors de lui-même, lui permettant de garder la mesure, de ne pas perdre le nord, qui l’empêche de s’auto-diviniser. Si cette alliance n’est pas retrouvée, l’État va continuer à servir l’islam jusqu’à devenir lui-même musulman, et l’Église finira par disparaître, comme c’est le cas dans les pays soumis à la charia. La France, et l’Église qui est en France, disparaîtront, ou se sauveront ensemble. C’est ainsi que l’islamisation de la France peut être transformée en miséricordieux remède permettant et à la France et à l’Église qui y est présente, de retrouver chacune son identité, dans leur juste relation.
Pour que cela arrive, il est indispensable qu’une majorité de Français soit d’abord convaincue de la nécessité de rejeter l’islam, que cela est moralement nécessaire et techniquement possible. A cette fin le site internet la chaineverte.org s’est consacré. Cette libération est moralement nécessaire parce que l’islam, qui signifie « soumission » est un projet politique si totalitaire qu’il se prétend même religion, comme le confesse Dalil Boubakeur : « L’islam ne doit pas être considéré comme une simple religion […] C’est un phénomène sociopolitique, c’est une idéologie de lutte et d’agression (idem, BFM TV, 3.01.2011) » On ne saurait mieux dire ! Le député Stanislas de Clermont-Tonnerre, devant l’Assemblée nationale en décembre 1789, disait : « Il faut tout refuser aux juifs comme nation et tout accorder aux juifs comme individus. » C’est vrai aujourd’hui pour les musulmans.
Cette libération de l’islam est techniquement possible par la mise en œuvre des mesures de bon sens que présente cette association et qui sont les suivantes :
• Retirer à l’islam la qualification de religion pour lui donner celle de projet politique.
• Retrouver la liberté de critiquer l’islam par l’abrogation des lois liberticides : Pleven, Gayssot, Taubira…
• Signaler la nocivité du Coran en exigeant des éditeurs un avertissement explicite au sujet des appels au meurtre et à la haine dont il est rempli.
• Déchoir de la nationalité française les auteurs d’actes terroristes, et les expulser ainsi que les étrangers fichés S.
• Imposer l’organisation de référendum locaux pour que la population puisse légalement s’opposer aux projets de construction de mosquées.
• Interdire l’abattage halal, qui est contraire à notre législation en matière d’hygiène sanitaire et de respect de la vie animale.
• Reprendre le contrôle de l’immigration en soumettant par référendum aux Français des mesures telles que l’abolition du regroupement familial et du droit du sol.
• Accorder une protection spéciale aux apostats de l’islam.
Seules ces mesures sont capables de nous épargner, et la guerre civile, et la soumission.
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