Les musulmans sont prompts à condamner ‒ et jusqu’à la peine de mort ‒ toute critique de l’islam, mais n’ont aucun problème à blasphémer eux-mêmes la foi chrétienne (Coran 5.75, 116 ; 6.100-102 ; 9.28,30,31). Et bien que l’islam soit le blasphème et l’AntiChrist par excellence (1 Jn 2.22) pour les chrétiens, ils ne haïssent pas pour autant les musulmans ni ne leur font du tort… Mais la perversion de l’islam n’est pas seulement de blasphémer la Vérité, révélée une fois pour toutes en Jésus, le Messie (Jude 1.3), que d’en accuser à tort autrui. Il voile ainsi la vérité aux yeux des musulmans qu’il damne, en échange du beau rôle de redresseur de torts qu’il leur offre … Ce comportement semble relever en psychiatrie de la « perversion narcissique ». Vérifions.

Pour le psychiatre Paul-Claude Racamier, l’un des plus grands psychanalystes du XXe siècle, le pervers narcissique se caractérise « par la capacité à se mettre à l’abri des conflits internes, […] en se faisant valoir au détriment d’un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir » . Et de fait, l’islam manipule le christianisme pour en faire si bien un faire valoir que Jésus serait le prophète de Mahomet (Coran 61.6), et les chrétiens des imposteurs à « anéantir » (Coran 9.30), n’étant « qu’impureté » (Coran 9.28), « au même titre que l’excrément, l’urine, le chien, le vin » précise l’ayatollah Khomény , les « pires de la création » (Coran 98.6), « plus viles des bêtes » (Coran 8.22), tous voués au feu de l’enfer (Coran 5.72). Cette haine des chrétiens s’exprime régulièrement dans le monde musulman (cf. la demande de la Lybie à l’Église Catholique de quitter le territoire national)…

Quelle tragique et pitoyable comédie de voir les non-musulmans, et en particulier les chrétiens, être si compréhensifs à l’endroit de la « sainte » colère musulmane, qu’ils sont tout disposés à s’en croire, au moins involontairement, responsables… Cette attitude, apparentée au Syndrome de Stockholm, se manifeste par la condamnation unanime de « l’islamophobie », et jusqu’à la mise en œuvre de la charia par les institutions occidentales elles-mêmes ! Ainsi Elisabeth Sabaditsch-Wolff a-t-elle été condamnée par la Justice autrichienne pour avoir affirmé que Mahomet était un pédophile, au motif que si Aïcha avait bien six ans lorsque Mahomet l’épousa et neuf ans lorsqu’il la déflora, elle était cependant toujours son épouse à sa mort

Cet autre psychiatre et psychanalyste français, Alberto Eiguer, fait ainsi parler le pervers narcissique : « Il faudrait que vous agissiez de sorte qu’il ne reste aucun doute que vous êtes moi… et que tout ce que vous faites, dites ou éprouvez, confirme que je suis le seul, moi, le plus grand et cela même au prix de votre propre disqualification. » De fait, pour l’islam, il n’y a jamais eu que l’islam (Coran 3.19), en sorte qu’il ne doit y avoir que l’islam (Coran 2.193). Quatre chrétiens viennent d’être condamnés en Iran à 80 coups de fouets pour avoir bu du vin lors de leur célébration de la Cène… L’autre doit être disqualifié, fautif, car sa prétendue faute sert à l’islam de marchepied pour tenter de s’élever au-dessus de son néant. Elle lui sert à bâtir, en s’y opposant, sa propre image, valorisante !

Que cette image soit fausse ne lui importe pas : « Quelle que soit l’énormité du mensonge, le pervers s’y accroche et finit par convaincre l’autre. » prévient la psychiatre Marie-France Hirigoyen. Et en effet, qui, avec le père Michel Lelong, personnage vénéré de l’officiel dialogue islamo-chrétien, n’est pas convaincu que « l’islam est une des trois grandes religions de la Révélation de Dieu » ?

« Vérité ou mensonge, cela importe peu : ce qui est vrai est ce qu’ils disent dans l’instant. » Cette phrase pourrait être une définition de la takyia, principe permettant aux musulmans de mentir jusqu’à dissimuler leur foi, voire la renier, afin de sauver leur vie ou leurs intérêts, identifiés évidemment avec ceux de l’Islam (Coran 3.28-29 ; 16.106) . « Le Coran permet au musulman de cacher la vérité au chrétien et de parler et agir contrairement à ce qu’il pense et croit. », dénonçait courageusement Mgr Beylouni, archevêque d’Antioche, au Synode pour le Moyen-Orient, à Rome en 2010. « Ces falsifications sont parfois très proches d’une construction délirante. Le mensonge correspond simplement à un besoin d’ignorer ce qui va à l’encontre de son intérêt narcissique. C’est ainsi que l’on voit les pervers entourer leur histoire d’un grand mystère qui induit une croyance chez l’autre. » Il suffit d’avoir écouté les propos de « savants » musulmans pour se rendre compte de cette perversion. Ainsi Malek Chebel n’a pas honte d’écrire à propos de la Trinité que « le Coran invite fermement à ne point y recourir, le trithéisme étant un associationnisme de fait » , faisant ainsi croire, après deux mille ans de théologie chrétienne, et alors même qu’il est docteur en science des religions, que les chrétiens adorent trois dieux ! Pourquoi l’islam calomnie-t-il ainsi la Foi chrétienne, sinon pour justifier aux yeux des musulmans le fait de ne pas être chrétiens ?

Bref, s’« Il n’y a rien à attendre de la fréquentation des pervers narcissiques, on peut seulement espérer s’en sortir indemne » , comment gérer nos rapports avec l’islam ?
Peut-être le docteur Paul-Claude Racamier nous fournit-il la solution : « Tuez-les, ils s’en foutent, humiliez-les, ils en crèvent ! » Et il est vrai que la perspective de la mort ne saurait désarmer un bon musulman, puisqu’il n’attend rien tant que d’aller jouir des houris qu’Allah lui a promises, mais si humilier l’islam lui est fatal, alors pourquoi ne pas commencer par dénier à l’islam le titre de religion ?

Car, de fait, l’islam ne mérite pas d’être regardé comme une religion, et ce pour plusieurs raisons :
1. L’islam ne relie pas à Dieu (Allah est trop grand, et sa transcendance est telle qu’il ne saurait rien avoir en commun avec ce que nous sommes, raison pour laquelle Jésus ne peut être Son fils) ;
2. L’islam ne respecte pas la liberté de conscience (Allah commande de tuer l’apostat : Coran 4.89 ; 8.12-17). Il est facile d’entrer dans l’islam, mais impossible d’en sortir, l’islam n’est donc pas une religion, mais une secte ;
3. Il fait de la haine le principe de sa relation à autrui (Coran 60.4), il est donc par nature antisocial, et de fait apporte malheurs et misères insondables partout où il s’impose ;
4. L’islam est un projet politique, autrement appelé charia, qui régente méticuleusement tous les aspects de la vie, publique et privée. M. Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, dans sa « Déclaration islamique » a le mérite de la clarté : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique.
Par les lois anti-blasphème, qu’ils ont réussi à faire appliquer même par les pays non-musulmans sous le couvert de lutte contre l’islamophobie, les musulmans, à l’exemple de Mahomet, terrorisent les non-musulmans. Le cas d’Asia Bibi est bien connu. Cette chrétienne pakistanaise fut d’abord accusée d’avoir bu l’eau d’un puits avec le récipient réservé à l’usage des musulmans, ce que, elle, impure, parce que chrétienne (Coran 9.28), ne pouvait faire, et comme elle demanda ce que Mahomet avait apporté de bon au monde, elle fut condamnée à mort pour blasphème. Si grâce à la mobilisation internationale elle a pu échapper à la mort, et fuit en Occident après avoir croupie pendant 10 ans en une infâme geôle … la populace étant décidée à l’exécuter elle-même si elle était relaxée.

Bref, il est urgent, vital, pour le salut des musulmans, comme pour celui de tous, de dénoncer l’islam comme une imposture avançant sous le masque benoît de la religion. Le zèle à défendre l’honneur d’Allah et de Mahomet sert-il à autre chose qu’à cacher aux yeux des musulmans la culpabilité que leur fait endosser l’islam ?
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N’est-ce pas que les critères suivants définissent parfaitement l’islam ! 

1- Pression du temps
En premier lieu, pour manipuler, il faut mettre de la pression :

L’offre incroyable proposée n’est bonne que pour quelques jours!
L’amour est tellement fort entre vous deux qu’il faut habiter ensemble rapidement et se voir tous les jours!
Le nouvel emploi est tellement important qu’il faut travailler sur les dossiers en fin de semaine, annulez votre fin de semaine en amoureux!
L’investissement dans ce projet doit se faire maintenant parce qu’il sera lancé dans les prochains jours!
Le besoin d’argent est tellement criant qu’il faut lui en prêter tout de suite sinon il va tout perdre ou se faire casser les jambes!
L’idée de la pression est vous empêcher de réfléchir, de prendre du recul. Le recul permet de déceler la manipulation.

2- Trop beau pour être vrai
Deuxièmement, le manipulateur ou le pervers narcissique est un expert dans l’art de faire des compliments et de vous faire sentir comme la 8e merveille du monde au début de la relation. Il donne l’impression que vous êtes exactement la perle rare recherchée, que vous avez des qualités si remarquables! L’idée est d’endormir votre méfiance, de vous rendre accro aux compliments, de faire baisser votre garde.

3- Émotions contradictoires
En troisième lieu, le manipulateur ou le pervers narcissique va vous faire vivre une montagne russe d’émotions. Il peut être très joyeux, rire avec vous, puis, dans la minute qui suit, vous trouve ordinaire, inapproprié, niaiseux, etc. L’idée derrière ça est de vous faire douter de vous parce qu’inévitablement vous allez vous demander ce que vous avez fait de mal pour susciter une telle réaction! Vous allez penser que c’est de votre faute si quelque chose ne va pas.

4- Jugement des amis
Quatrièmement, le manipulateur ou le pervers narcissique va porter un jugement sur vos amis. Il va en effet chercher à vous faire comprendre que vos relations ne sont pas assez bien pour vous, qu’elles sont sont envieuses, jalouses, bas de gamme, etc. Vous méritez “tellement plus” que ces amitiés! Il va vous faire remarquer chaque absence, chaque délai de réponse. Il va déformer les paroles de vos amis pour vous faire douter de leurs intentions. L’idée derrière ce manège est de vous amener à moins les fréquenter… afin de vous isoler de toute influence extérieure. Votre entourage pourrait en effet voir la manipulation et vous convaincre de vous éloigner du pervers narcissique!

5- Dénigrement
En cinquième lieu, avec la manipulation vient le dénigrement. Tout est toujours de votre faute. C’est à cause de vous si le manipulateur ou le pervers narcissique est en retard, s’il n’a pas de place de stationnement, s’il dort mal, s’il est malade, s’il a manqué une opportunité, s’il a livré une moins bonne performance lors d’une rencontre importante. Vous lui faites honte avec vos vêtements, votre coiffure, votre comportement. Vous êtes la source de ses problèmes et vous devriez vous compter chanceux qu’il soit dans votre vie parce que personne d’autre ne voudrait de vous… L’idée, évidemment, est de détruire votre confiance en vous pour vous empêcher de partir…

6- Jalousie
Sixièmement, le manipulateur ou le pervers narcissique est profondément jaloux. Ses crises de jalousie sont d’ailleurs impressionnantes et portent sur des scénarios inventés de toute pièce! En effet, il n’a pas aimé le regard que vous a fait le serveur. Il ne croit pas que votre retard est dû au trafic. Il considère que vous avez fait de beaux yeux à un collègues. Bref, vous n’êtes pas digne de sa confiance.

7- Projection
En neuvième lieu, le manipulateur ou le pervers narcissique vous reproche un comportement alors que c’est lui qui agit ainsi! Ce manège est extrêmement déstabilisant parce que, rationnellement, vous ne comprenez pas pourquoi il fait cela. Le manipulateur vous dit que vous ne réussirez jamais financièrement alors que c’est lui qui gère mal ses revenus. Le pervers narcissique vous accuse de flirter avec d’autre alors que c’est lui qui est mielleux avec ses collègues. Il vous reproche de lui mettre de la pression alors que cette dernière vient de lui!

8- Appropriation
Le manipulateur ou le pervers narcissique a tendance à s’approprier vos biens, vos relations, votre réussite. Ce ne sont plus seulement vos blocs appartement, mais bien les siens bien qu’ils n’aient pas investi d’argent. Votre chalet, votre maison, votre voiture, votre REER, tout devient collectif à ses yeux. Il s’approprie aussi vos réussites et vos victoires. Après tout, c’est grâce à lui si tout va bien!

9- Syndrome du sauveur
Par ailleurs, le manipulateur ou le pervers narcissique a le don de réveiller chez vous le syndrome du sauveur. Vous voulez l’aider à se refaire une santé financière, à optimiser son développement d’affaires, à passer à travers son divorce, à se remettre du décès de son partenaire de vie, etc. Bref, vous voulez l’aider… vous êtes alors tomber dans le piège!

10- Maladie
Enfin, la relation avec le manipulateur ou le pervers narcissique est tellement toxique que votre corps va chercher à vous alerter :
Diminution de la qualité du sommeil : insomnie, réveils fréquents, fatigue au lever, etc.
Augmentation du stress et de l’anxiété : fatigue, problème de concentration, problème d’attention, problème de mémoire, crise d’angoisse, etc.
Multiplication des infections virales : grippe, rhume, laryngite, otite, amygdalite, etc.
Accentuation des troubles de la digestion : brûlement d’estomac, constipation, diarrhée, maux de ventre, etc.
Apparition des problèmes de peau : urticaire, eczéma, acné, etc.

Conclusion
En conclusion, le manipulateur ou le pervers narcissique ne va pas bien. Le psychanalyste Jean-Charles Bouchoux considère qu’il rend les autres fous pour gérer sa propre folie. Une chose est certaine, il ne changera pas. Il ne le souhaite pas. Il ne sert à rien de vouloir le sauver. C’est vous que vous devez sauver de cette emprise!