N.B. : Les chiffres placés entre parenthèses (…) désignent une citation coranique, dont le premier chiffre, suivi d’un point, indique le numéro de la sourate et le suivant, celui du verset. Lorsque le premier chiffre est précédé d’une abréviation lexicale, la citation est tirée de la Bible, et lorsqu’il est précédé d’un seule lettre majuscule, il indique un article d’un des vingt six chapitres de cette série “Réponses aux musulmans”.
— 1 Si les musulmans se rendaient compte qu’Allah aime les Juifs « plus que tous les peuples de la terre (2.47,121,122 ; 7.140 ; 45.16) », croiraient-ils encore qu’ils sont « la meilleure communauté (3.110) » ? Puisqu’Allah a donné aux Juifs non seulement LE livre (45.16), mais l’Égypte (28.4-6 ; 26.52-59), et la Terre Sainte (5.20-21), qu’ils doivent repeupler (17.104 ; 7.137), pourquoi les musulmans veulent-ils conquérir Jérusalem ?
— 2 Aux Juifs, Allah a « interdit pour prix de leur méchanceté et du fait qu’ils détournaient les autres du sentier de Dieu […] des aliments délicieux qui leur étaient d’abord permis. (4.158) » Est-ce aussi pour cette raison qu’il a interdit aux musulmans le vin et le porc, et leur a même donné « un mauvais pays (7.58) » ?
— 3 Si les bons aliments sont destinés à ceux qui ont la foi (7.32 ; Si 39.27), et que les musulmans doivent s’en abstenir, est-ce un signe que les musulmans n’ont pas la vraie foi ?
— 4 Sachant qu’Allah n’a ni compagne ni enfant (6.101), que Mahomet n’est pas leur père (33.40), mais que ses épouses sont leurs mères (33.6), les musulmans sont-ils enfants adultérins, comme sont enfants du Diable ceux qui refusent d’adorer le Christ (Jn 8.39-47) ?
— 5 Dieu ne peut pas régner par la violence (Cf. Os 1.7 ; Mt 5.44 ; 11.29) : Il est Amour ! Il ne règne ici-bas que dans le cœur de ceux qui L’accueillent librement (Mt 6.10), font de leur croix le chemin du Paradis (Mt 16.24 ; 2 Co 7.4 ; Ph 4.13), et transforment la vie de ce monde en un temps de miséricorde et de grâce (Mt 6.33). Jésus a libéré l’humanité de la tentation de faire advenir le Paradis sur terre, disant que Son royaume n’est pas de ce monde, parce qu’il est de Dieu, et que Dieu n’est pas de ce monde (Jn 18.36 ; Mc 10.21 ; Mt 13.29-30 ; 1 P 1.4). Or, en dépit de cela, l’islam croit devoir imposer la charia. Après quatorze siècles et tant d’entreprises semblables, l’État islamique a voulu instaurer le califat, multipliant massacres et horreurs, mais cela n’a pas ouvert les yeux des musulmans. Tous les pays membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (sorte de califat virtuel) ont beau prétendre ne pas faire de la charia leur loi fondamentale, tous, néanmoins, en légitiment la différence ontologique entre musulmans et non-musulmans, et ne jugent de la moralité d’une action qu’en fonction de son intérêt pour les musulmans. Puisque Dieu a châtié sévèrement le peuple juif pour avoir rejeté l’Évangile (7.164 ; Lc 19.44), comment les musulmans pourront-ils échapper à la Colère qui vient (1 Th 1.10) ?
— 6 En islam, les notions de crime et de délit remplacent celle de péché, qui n’est pas rupture de la relation avec Dieu, mais infraction au règlement d’Allah. Si les non-musulmans sont déclarés « les plus viles des bêtes (8.55 ; Cf. 8.55) », c’est parce qu’à l’instar de celles-ci ils ne se réfèrent pas au Coran. Grâce au dénigrement de la raison que cache le recours à Allah, qui sait mieux (voir L 59d ; V 7,14), la vie religieuse est remplacée par l’obéissance à des préceptes allant jusqu’à indiquer de quel pied entrer aux toilettes, et avec quelle main s’y torcher (Boukhari 59.534 ; Mouslim 2.458,507,534). À ce sujet, un hadith rapporte d’ailleurs avec fierté : « Votre prophète vous a tout enseigné, même comment déféquer ! (Mouslim 262 ; Abu Daoud 7 ; Tirmidhi 16 ; Ibn Hazm Al Mouhalla, 1.96) »Qui pourrait encore oser douter que l’islam « ordonne le convenable (3.104,110,114 ; 2.143 ; Voir V 2) » ?
— 7 Puisqu’aux musulmans « sont permises les bonnes nourritures (…), la nourriture des gens du Livre (5.5) » et que « Allah veut la facilité pour ses serviteurs (16.115) » en sorte que la pratique de sa loi relève du jugement de chacun (2.173,185 ; 4.101,104 ; 6.145 ; 16.115), il n’y a donc pas vraiment d’interdit alimentaire en islam : « Ils te demanderont ce qui leur est permis. Réponds-leur : tout ce qui est bon et délicieux vous est permis. (5.4,5) » Quelle est donc la raison d’exiger la pratique du ramadan ou de la consommation halal, sinon celle de se glorifier bêtement aux dépens des non-musulmans, jusqu’à méchamment vouloir leur imposer l’islam ?
— 8 « Dans la liberté par laquelle le Christ nous a affranchis, tenez ferme et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. C’est moi, Paul, qui vous le dit : Si vous vous faites circoncire, le Christ ne vous servira de rien. […] Pour moi, mes frères, s’il est vrai que je prêche encore la circoncision, pourquoi suis-je encore persécuté ? (Ga 5.1-2,11) » ; « Car il y a, surtout parmi les circoncis, bien des gens insubordonnés, vains discoureurs et séducteurs des âmes. Il faut fermer la bouche à ces gens-là, qui bouleversent des familles entières et qui enseignent, pour un vil intérêt, ce qu’on ne doit pas enseigner. […] fables judaïques et […] prescriptions de gens qui se détournent de la vérité. Tout est pur pour ceux qui sont purs ; mais pour ceux qui sont souillés et incrédules rien n’est pur ; au contraire, leur esprit est souillé, ainsi que leur conscience. Ils font profession de connaître Dieu et ils le renient par leurs actes, abominables qu’ils sont, rebelles et incapables de toute bonne œuvre ! (Tt 1.10-16) » Ces textes, témoins des polémiques de saint Paul avec les nazaréens, les proto-musulmans, rappellent que la vraie circoncision voulue par Dieu est celle du cœur (Ps 50/51 ; Jr 9.25 ; 2 Co 5.12 ; Ga 6.12-16 ; He 13.9), laquelle ridiculise le légalisme religieux issu du judaïsme (Es 9.11-12 ; Neh 10.28-31 ; 13.3,25 ; Jn 4.9 ; 18.28 ; Ac 10.28 ; 21.28) exprimé par l’obsession halal-haram/permis-défendu (Ac 11.1-18). La circoncision, comme les autres pratiques de l’Ancienne Alliance, avaient pour vocation de former et distinguer le peuple juif en lequel devait naître le Messie. Elles n’ont plus de raison d’être depuis Sa venue (4.171). Désormais, l’ensemble du genre humain est invité à être l’unique et vrai peuple élu qu’est l’Église (Ph 3.3). Mais l’islam, imitant le judaïsme, rejette le salut offert par le Christ et re-divise l’humanité en purs et impurs (4.49 ; 7.82 ; 8.55 ; 9.28 ; 24.21). Allah éduque ses fidèles à la haine des non-musulmans : « Qu’Allah anéantisse les mécréants ! (2.141) » ; « Ô Croyants ! Si vous obéissez aux incroyants, ils vous feront renier, et vous serez perdants ! (2.149) » ; « Ne croyez que ceux qui suivent votre religion ! (3.73 ; 9.23,68 ; 30.45 ; 60.4) » Aussi les musulmans réclament-ils des régimes d’exception pour ne point se mélanger aux non-musulmans, qu’ils considèrent impurs et indignes de leur estime (9.28-29 ; voir V 2+). Au Pakistan, en mars 2010, dans le district de Kasur, un couple de chrétiens, Munir Masih et Ruqqiya Bibi, a été condamné à 25 ans de prison pour avoir contaminé le Coran en le touchant sans s’être lavé les mains (Cf. Mc 7.1-22). Les musulmans en pays non-musulmans demandent à être enterrés à part des impurs. En Arabie saoudite les chrétiens n’ont pas droit à une sépulture, pour ne pas souiller la terre musulmane, et leurs cadavres sont déterrés en Algérie pour le même motif. En bien des pays les non-musulmans ne peuvent utiliser la vaisselle réservée aux musulmans. Mais la chose arrive en France puisque, par exemple, la chaîne d’alimentation rapide Quick impose dans plusieurs de ses restaurants la vente exclusive de produits halal , dont la préparation ne doit pas être contaminée par de la nourriture impure … De même qu’en Arabie saoudite certains lieux sont interdits aux non-musulmans, dans telle cantine européenne des musulmans refusent de s’asseoir à côté de qui mange du porc. Cette obsession de la pureté rituelle conduit encore les populations musulmanes à pratiquer l’endogamie, cause d’abâtardissement génétique qui explique que la consanguinité avoisine 67% en Arabie Saoudite et 70% au Pakistan, et que les naissances d’enfants pakistanais d’environ 3% au Royaume-Uni y représentent 33% des pathologies génétiques, par exemple. La création du Pakistan et du Bengladesh après le départ des Britanniques n’avait pas d’autre raison que la volonté des musulmans indiens de ne plus vivre avec leurs concitoyens non-musulmans. Alors que le Christ est venu rassembler tous les hommes dans l’unité de la Vérité qu’Il est Lui-même (Jn 14.6), quelles que soient leurs races, sexes, nations, conditions (Rm 10.12 ; 1 Co 1.24 ; 12.13 ; Ga 3.28 ; Ep 2.14-18 ; Col 3.11), que propose de mieux l’islam ?
— 9 Tandis que le chrétien rendu participant de la nature divine (2 P 1.4) appartient avant toute autre société à celle du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, mystère qui transcende le monde et dont l’Église est le signe visible (Jn 17.21), le musulman appartient à l’Oumma, société entièrement de ce monde. Pour autant, puisqu’il n’y a pas de droit naturel en islam (voir S 2,4 ; V 2), l’Oumma n’est pas non plus une société civile et politique. Son seul but étant la réalisation du Coran, la séparation du pur et de l’impur (3.110), l’Oumma n’est soluble dans aucune société humaine : « Ô croyants ! N’entretenez de relations qu’entre vous ; les infidèles ne manqueraient pas de vous corrompre : ils désirent votre perte ! (3.114 ; 9.71) » L’Oumma est par nature révolutionnaire et expansionniste : « Le verset : “Vous [les musulmans] êtes le meilleur des peuples jamais créés dans l’humanité” signifie le meilleur des peuples pour les gens, puisque vous les avez amenés enchaînés par le cou jusqu’à ce qu’ils se convertissent à l’islam. (Boukhari 60.80) » C’est ainsi qu’à Paris M. Erdogan, Président de la Turquie, demandait aux immigrés turcs d’être le cheval de Troie de l’Islam : « Personne ne peut vous demander d’être assimilés. Pour moi, le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité. […] La France vous a donné un droit à la double nationalité : demandez-la ! (6-7.04.2012) »Quelque temps auparavant, il déclarait : « Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats. (06.12.1997) » Mais puisque même « Si tous les arbres de la terre étaient changés en plumes à écrire, et tous les océans en un océan d’encre, il serait impossible d’écrire toutes les paroles d’Allah (31.27) », comment les musulmans peuvent-ils croire qu’Allah a « parachevé l’islam (5.3) » ?
— 10 Le lien qui unit les membres de l’Oumma ne repose pas sur des relations interpersonnelles, mais sur leur commune sujétion à la divinité coranique. Puisque le pouvoir n’appartient qu’à Allah (12.40), l’Oumma délégitime constamment les pouvoirs politiques existants (19.18) pour constituer une extraordinaire communion de masse sur la base de la seule volonté d’Allah … inconnaissable (6.59 ; 7.188 ; 27.65 ; 72.26). Aussi, l’autorité islamique n’a pas le pouvoir d’établir une loi, mais de faire appliquer la mystérieuse charia, qui nie la distinction des pouvoirs politique et religieux, les notions de droit naturel, de personne (voir S 1), de communauté de personnes, de liberté, de propriété, de contrat (8.58) … L’aumône, par exemple, a la valeur d’un tribut qui ratifie le consentement à la servitude. De même, la prière quotidienne, les récitations coraniques, le jeûne, le pèlerinage, le sacrifice sanglant, ne sont que des procédés indistinctement cultuels et culturels destinés à perpétuer l’ordre islamique. Hassanal Bolkiah, sultan de Brunei, au moment d’instaurer la charia dans son pays, le 1er mai 2014, avertissait : « Allah lui-même a dit que sa loi est juste ! » Alors, puisque la loi d’Allah est juste, pourquoi refuser d’obéir au Sultan qui la commande ?
— 11 Jésus a pourvu la communauté de ses disciples d’une institution visible assumant la charge de Son autorité (Mt 16.18-19 ; Lc 22.32 ; Jn 21.15-17). Ainsi continue-t-Il à la guider, aujourd’hui, personnellement, comme Il l’a promis (Mt 16.13-19 ; 18.18 ; 28.19 ; Lc 10.16 ; Jn 10.16 ; Ep 4.11-13), notamment par le ministère du Pape, signe et instrument de l’unité de l’Église, doué pour cela d’infaillibilité en matière de foi et de mœurs. À la différence de Jésus, Mahomet n’ayant confié son autorité à personne, personne en islam ne peut légitimement s’exprimer au nom d’Allah. Dès lors, à quel avenir est vouée l’Oumma, sinon à celui d’un panier de crabes ? C’est pourquoi sa seule forme possible de gouvernement est la tyrannie. Alors que les trente-trois premiers papes sont tous morts martyrs, les treize premiers califes se sont tous entretués … à l’exemple de Mahomet ayant fait la guerre à sa propre tribu. L’islam est né et s’est développé dans la violence et les guerres civiles. À contrario, et paradoxalement, l’autorité divine dévolue à l’Église n’a jamais conduit l’État pontifical à se croire la réalisation du Royaume de Dieu sur terre, ni même le centre d’un Empire appelé Chrétienté. Il s’est toujours voulu un État parmi d’autres. « N’y a-t-il pas là un signe pour les gens qui raisonnent ? (16.67) »
— 12 Mahomet n’ayant confié son autorité à personne, celle-ci serait assurée par l’unanimité des croyants, l’ijma, selon ce hadith : « Ma communauté ne se réunira pas sur une erreur. » Or, obtenir l’unanimité de tous les musulmans est impossible, aussi, affirmer le contraire est source d’injustices et de violences. C’est ainsi qu’Allah définissant le non-musulman comme ennemi, avec mission de l’anéantir (voir U), le silence de l’ignorance, ou celui de la peur, tenant lieu de consensus, les communautés musulmanes ne peuvent échapper au mécanisme sacrificiel basé sur la violence mimétique (cf. René Girard, Je vois Satan tomber comme l’éclair, Grasset, 1999). Par exemple, les lois punissant de mort le blasphème poussent les individus à massacrer celui qui en est incriminé pour ne pas risquer d’être accusé de manquer d’indignation … La cohésion de l’Oumma est cimentée par la violence mimétique, propre au processus aussi archaïque que démoniaque du bouc émissaire, si bien décrit par René Girard (Ibid.). Quel moyen peut délivrer l’humanité du pouvoir du Démon et de son culte homicide, sinon le sacrifice volontaire de la divine Victime : « C’est pour cela que le Père M’aime, parce que Je donne Ma vie, pour la reprendre. Personne ne Me l’enlève ; Je la donne de Moi-même. (Jn 1.29 ; 10.18) » ?
— 13 Ignorant le péché originel et la profondeur de son enracinement dans la nature humaine, l’islam croit, comme tous les messianismes, que sa praxis, la charia, ramènera l’humanité à son âge d’or … qu’elle connut au VIIe siècle sous le règne de Mahomet. La charia commande par exemple : « Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez leurs mains, en rétribution pour ce qu’ils ont fait, comme châtiment de la part d’Allah. Allah est fier et sage ! (5.38) » Et si le présumé coupable récidive, c’est l’amputation du pied opposé à la main amputée (5.33). Le Code pénal adopté à l’unanimité par le Conseil arabe des Ministres de la Justice, et publié en 1996, commande de couper les mains du voleur (article 153) et de lapider l’adultère (article 141). L’islam s’apparente dans l’inconscient collectif à la pureté originelle, qui vaudrait tous les sacrifices et toutes les transgressions morales. Mais la pratique de la charia, a-t-elle jamais amené une société ou une personne à la perfection, ou bien a-t-elle apporté ruines et malheurs sans fin partout où elle a été imposée ?
— 14 Plus un discours dénonce l’impureté et plus son auteur est pur. La surenchère dans la recherche de la pureté originelle conduit fatalement à l’éradication des impurs. C’est ainsi, par exemple, qu’en Arabie saoudite, les enfants sont éduqués à dénoncer leurs parents s’ils enfreignent le jeûne ou omettent la prière, et que partout où se trouvent des musulmans en nombre, l’acte le plus banal devient prétexte à la violence. Boire un verre ou écouter de la musique est perçu comme un péché, une provocation, et un simple contrôle d’identité peut déclencher des émeutes. N’est-ce pas qu’« Allah n’aime pas les injures sauf quand on a été injustement provoqué (4.148) »?
— 15 Bien que l’on ne trouve pas en islam l’équivalent de la sainteté du Christ, de Son évangile, de nos Saints, ou de nos immémoriales œuvres de charité, certains avancent le mal fait par certains chrétiens pour faire accroire à l’équivalence du christianisme et de l’islam. À ceux-là il faut faire remarquer que lorsqu’un chrétien fait le mal, il ne peut s’autoriser ni de l’exemple ni de l’enseignement de Jésus, tandis que lorsqu’un musulman fait la même chose, ou pire, il peut toujours s’autoriser et de l’exemple de Mahomet et de l’enseignement d’Allah. Si donc le monde est malheureux, c’est parce qu’il rejette le Christ, et si l’islam ne porte pas de bons fruits, c’est parce qu’il est pratiqué. Le mythe musulman garde cependant ses soumis culpabilisés et ainsi manipulables : n’est-ce pas qu’ils ne pratiquent pas assez bien l’islam ?
— 16 À la source de chaque culture, il y a une religion, une conception de Dieu. Tel Dieu, tel homme. Parce que le Dieu des chrétiens est Amour (1 Jn 4.8), et S’est incarné, Il a de quoi susciter une civilisation vraiment humaine. « Tout ce que vous avez fait au plus petits des Miens, c’est à Moi que vous l’avez fait. (Mt 25.40) » L’enseignement de Jésus-Christ a conduit l’homme tant à se dépasser dans la morale du don qu’à refuser les utopies. Ce n’est pas un hasard si les hôpitaux et les hospices, les universités et les écoles, l’interdiction de l’avortement et de l’esclavage, ont vu le jour en Occident. À la différence d’Allah, le Dieu des chrétiens ne Se tient pas éloigné du monde, et ne l’écrase du haut de sa transcendance. Ni Brahmâ, ni le Tao, ni Bouddha, ni Allah ne peuvent dire : Imitez-moi. Seul Jésus-Christ le peut. C’est pourquoi une société chrétienne est une société sans cesse en progrès, où l’on s’exerce à faire toujours mieux, dans tous les domaines. Parce que le Dieu des chrétiens est un “Je” Se disant éternellement à Lui-même, en Lui-même et par Lui-même, pure conscience de soi en qui tout est connu (1 Jn 1.5), la civilisation chrétienne est une civilisation de la conscience, jusqu’à la critique de soi, notamment par le sacrement de confession. Mais l’islam étant la meilleure des communautés (3.110), soumise à un destin aussi inconnu qu’absolu (7.34), quelle raison aurait-il de vouloir s’améliorer ?
— 17 Aristote enseignait déjà que la fin de l’homme et la perfection de sa nature sont la contemplation de la vérité, qui, in fine, est Dieu (Éthique à Nicomaque, I, 1097 b 23). Or, non seulement le chrétien reçoit de partager la nature divine (2 P 1.4), d’entretenir donc des relations avec chacune des personnes divines, mais découvre ainsi à nouveaux frais l’intériorité, l’intelligence et la liberté d’un être créé à l’image de Dieu (Jn 8.32 ; Ga 5.1 ; 1 P 2.16 ; Jc 2.12). Il devient une personne accomplie, divinisée. Si la vocation de la société est de fournir à chacun les moyens matériels et spirituels nécessaires à la réalisation de sa fin, qui est de connaître, aimer et servir Dieu (Jn 17.3 ; 1 Jn 3.2), quelle autre société que chrétienne le peut ? « De la forme donnée à la société, en harmonie ou non avec les lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes, en sorte que les hommes, tous appelés à être vivifiés par la grâce du Christ, respirent dans les contingences terrestres du cours de leur vie, soit l’air sain et vivifiant de la vérité et des vertus morales, soit le microbe morbide et souvent mortel de l’erreur et de la dépravation. Devant de telles considérations et prévisions, comment pourrait-il être permis à l’Église, Mère si aimante et si soucieuse du bien de ses fils, de rester indifférente à la vue de leurs dangers, de se taire, ou de faire comme si elle ne voyait pas et ne comprenait pas des conditions sociales qui, volontairement ou non, rendent ardue ou pratiquement impossible une conduite chrétienne, conforme aux commandements du Souverain Législateur ? (Pie XII, 01.06.1941) » Parce que les hommes ne dépendent pas moins de Dieu individuellement que collectivement, les sociétés politiques ne peuvent pas sans crime faire comme si Dieu n’existait pas, ou se choisir une religion au mépris de celle qu’Il a instituée (Cf. Léon XIII, Immortale Dei). Or, parce qu’Allah n’est lié ni par la rationalité, et pas même par sa parole (voir À 4,7), et qu’il est obsessionnellement antichrétien (4.48 ; 9.30), son pouvoir est au service de l’arbitraire politique et de la persécution des chrétiens. Alors que Jésus a révolutionné le rapport dominant/dominé : « Si donc Moi, le Seigneur et le Maître, Je vous ai lavé les pieds, vous devez, vous aussi, vous laver les pieds les uns aux autres (Jn 13.14-15 ; cf. Mc 10.43-45) », Allah exige des relations d’humiliation et d’oppression, des rapports de force et de soumission servile. Comment le mondialisme nihiliste ne verrait-il pas dans l’islam un allié dans sa lutte contre l’Église ?
— 18 Quand Jésus commande, de façon tout à fait révolutionnaire : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu (Mc 12.17) », Il dédivinise le pouvoir temporel et sanctifie le pouvoir spirituel (Mt 23.13 ; Jn 18.36), détruisant les deux formes possibles de tyrannie. Beaucoup n’ont pas remarqué que lorsqu’Il sort César et Dieu de leur confusion, Il ne les sépare pas pour autant, mais ordonne leur juste relation, aussi vrai qu’Il ne veut pas couper en deux les personnes qui sont à la fois sous l’autorité de César et sous celle de Dieu, ni les rendre schizophrènes. César n’est pas un autre Dieu, mais étant par Lui créé, doit lui aussi L’adorer. C’est le refus d’absolutiser le pouvoir temporel, d’adorer la Bête (Ap 13), qui a valu à l’Église tant de persécutions au long de son histoire. Jésus, distinguant l’autorité de Dieu ET celle de César, a ouvert entre eux un espace où la liberté humaine peut s’épanouir dans l’exercice de la responsabilité. Si les laïques idolâtrent le pouvoir temporel en refusant l’autorité de Dieu, les musulmans idolâtrent Dieu en refusant la juste autonomie de l’ordre temporel. Hypnotisée par sa divinité unique et tyrannique, l’Oumma, à la suite de Mahomet, ne peut être gouvernée que par un seul homme, ayant en mains la totalité des pouvoirs spirituels et temporels. Athéisme (ou laïcisme) et islam niant tous deux le dogme du péché originel ne peuvent que traiter sans miséricorde l’homme censé être parfait. À la différence d’Allah ou du petit livre rouge, le Dieu des chrétiens n’a pas tout dicté de la conduite humaine, mais donné les principes que chacun doit mettre en œuvre, dans la singularité de chaque situation, inventant une réponse inédite, une preuve personnelle d’amour. « Contrairement aux autres grandes religions, le christianisme n’a jamais imposé à l’État et à la société un droit révélé ni un règlement juridique découlant d’une révélation. Il a, au contraire, renvoyé à la nature ET à la raison comme vraie source du droit. (Benoît XVI, Berlin 22.09.2011) » Grâce à Jésus — qui n’a pas voulu être confondu avec un chef politique (Jn 6.15) —, la perfection individuelle et l’harmonie sociale se trouvent dans le respect de l’équilibre des devoirs rendus à Dieu ET à César. C’est ainsi que les chrétiens, gouvernés par le Pape ET le Roi, ont pu échapper aux tyrannies, et développer LÀ civilisation … sur les ruines de laquelle le monde vit encore. Ils ont usé de leur clé d’interprétation de la réalité, toute entière contenue dans ce petit mot : ‘ET’, désignée par le signe ‘+’, qui unit le Ciel ET la terre, la gauche ET la droite, la matière ET l’esprit. Les chrétiens adorent en effet Dieu un ET trine, en esprit ET en vérité (Jn 4.23), grâce à la connaissance ET à l’amour de Jésus, qui est Dieu ET homme, né de Marie vierge ET mère, Lui qui venu éclairer les uns ET aveugler les autres (Jn 9.39), et qui avant de mourir ET ressusciter, a donné Son corps ET Son sang, Sa vie ET l’Esprit, afin que nous puissions nous sauver par la foi ET les œuvres, ainsi que l’enseignent l’Ancien ET le Nouveau Testament, à l’école de Dieu qui « fait lever son soleil sur les méchants ET sur les bons, et tomber la pluie sur les justes ET sur les injustes (Mt 5.45) ». C’est ainsi que l’Église, Corps mystique du Christ ET institution humaine, donne la vie, personnelle ET sociale, humaine ET divine … Dieu n’est pas le tyran qu’imaginent les musulmans et que refusent les athées : S’Il a lavé les pieds de ses disciples la veille de Son libre Sacrifice et nous a commandé de nous aimer les uns les autres comme Il nous a aimés, peut-on avoir peur de Lui, ne pas L’aimer, ne pas vouloir qu’Il règne ? Serait-ce parce qu’Allah ne leur a fait don « que de peu de science (17.85) » que les musulmans, avec « les incrédules, dont le dieu de ce monde a aveuglé l’entendement, ne voient pas briller l’Évangile de la gloire du Christ, qui est l’image de Dieu (2 Co 4.4) » ?
— 19 L’islam conjure sa congénitale infériorité intellectuelle, sociale et économique, par le complexe de supériorité (3.110), en présentant sa reconnaissance de l’existence d’Allah comme preuve de sa supériorité face à l’Occident athée et perverti, et le Coran comme le remède, la solution (cf. Harun Yahya, La solution : les valeurs du Coran, Éditions Arrissala, 2004) … nonobstant qu’il n’ait jamais rien apporté d’autre que malheurs et misères sans fin. L’Arabie saoudite, par exemple — grâce au génie des koufars ayant su exploiter son pétrole —, a amassé des richesses au-delà de toute imagination, mais se traîne cependant et lamentablement à la 131ème place des pays développés. Une autre manœuvre de propagande pour assurer les musulmans de leur supériorité consiste à rappeler leur passé : les victoires de Mahomet et les foudroyantes conquêtes qui ont suivi sont présentées comme autant de sujets de fierté … et la promesse d’un avenir radieux, s’ils s’engagent eux-aussi dans le jihad. Le nombre actuel et exponentiel de musulmans est aussi exhibé comme preuve de la vérité de l’islam et motif d’espérance. Comme si Jésus n’avait pas prononcé la parabole de l’ivraie (Mt 13.24-30,36-43) ! Comme si les pays ayant culturellement et socialement progressé le devaient à la charia ! Comme si l’islam ne leur avait pas été imposé par la terreur ! Comme si la vérité était affaire de nombre ! Comme si le nombre des adorateurs de l’Oignon s’accroissant, l’Oignon méritait d’être plus adoré ! Le communisme ayant rassemblé sous sa bannière tant de monde et en si peu de temps est un autre phénomène montrant à quel point il est possible d’établir un consensus non en fonction de la vérité, mais la vérité en fonction d’un consensus. C’est pourquoi le Seigneur commande : « Tu ne suivras point la multitude pour faire le mal. (Ex 23.2) » Mais les musulmans n’aiment-ils pas l’islam plus que Dieu ?
— 20 « Ô croyants ! Ne prenez pas pour amis juifs ni chrétiens. (5.51 ; 4.144) » Parce que le mot traduit ici par ami signifie aussi : protecteur, tuteur, gouverneur, allié, plusieurs nient qu’Allah interdise d’aimer les chrétiens. Mais sachons dénoncer cette feinte en faisant remarquer que si les musulmans ne peuvent prendre pour alliés les chrétiens, à plus forte raison ne peuvent-ils les prendre pour amis. En effet, si un ami ne peut être un allié, qui pourra l’être ? Un allié peut-il être un ennemi, ou un ami n’être pas un allié ?
— 21 Un musulman ne peut que ressentir comme insupportable l’autorité d’un non-musulman : « Ô croyants ! Si vous obéissez à l’un de ceux à qui on a donné le Livre, il vous rendra mécréants ! (3.100 ; 3.149 ; 18.28) » ; « S’ils vous dominent, ils seront vos ennemis et vous feront du mal, de leurs mains et de leurs langues contre vous ; souhaitant que vous deveniez mécréants. (60.2) » ; « Vos protecteurs sont Allah et son apôtre et ceux qui croient. (5.60) » Aussi, l’hijrah est le devoir de tout musulman de quitter le lieu où il ne peut vivre selon l’islam, pour aller là où il le peut : « Les anges enlèveront leurs âmes en disant : ‘Où en étiez-vous [de votre religion] ?’ ‘Nous étions impuissants sur terre’, diront-ils. Alors les anges diront : ‘La terre d’Allah n’était-elle pas assez vaste pour vous permettre d’émigrer ?’ Voilà bien ceux dont le refuge est l’enfer ! (4.97 ; Cf. 42.6 ; 58.55) » Que font donc les musulmans dans les nations non-musulmanes, même s’ils y attendent, en ennemis cachés, et avec les aides sociales, le jour du Mahdi (voir W 6,19,21), sinon servir l’Enfer ?
— 22 La vieille idée messianique du paradis sur terre, refusée par le Christ (Jn 6.15), est reprise par l’islam : « La terre sera l’héritage de nos bons serviteurs. (21.105) » L’Occident n’est-il pas suicidaire d’accueillir et de naturaliser des musulmans pour qui tout mécréant est « un ennemi déclaré (4.101) » ?
— 23 Le bienheureux Charles de Foucauld, vivant en Algérie, écrivait à René Bazin, de l’Académie française : « Tout musulman croit qu’à l’approche du Jugement Dernier le Mahdi surviendra, déclarera la guerre sainte et établira l’islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non-musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui, musulman, ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve. […] D’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Mahdi, en lequel ils soumettront la France. (Bulletin du Bureau catholique de presse, n°5, octobre 1917) » Hassan II, Roi du Maroc et Commandeur des Croyants ne dit pas autre chose : « N’essayez pas de faire des Français avec des musulmans, vous n’y arriverez pas. Vous n’en feriez que de mauvais Français et de mauvais musulmans. (Entretien télévisé avec Anne Sinclair le 16 mai 1993) » Puisque la fausse philosophie de Descartes dit que rien n’existe hors de la pensée (Cf. ‘Je pense, donc je suis.’), pourquoi les thuriféraires des Droits de l’homme ne penseraient-ils pas que l’islam est « une chance pour la France (Le Premier Ministre de France au Conseil Français du Culte musulman le 4.05.2003) ?
— 24 Pourquoi ne reste-t-il que peu de documents de la brillante civilisation perse ? Pourquoi les bibliothèques de Séleucie et d’Alexandrie ont-elles été incendiées par le calife Omar ? Pourquoi Persépolis a-t-elle été détruite, les statues géantes du Bouddha en Afghanistan dynamitées, des millénaires d’Histoire (au musée de Mossoul, Irak) anéantis, les fameux taureaux ailés gardiens des palais assyriens pulvérisés, l’antique Palmyre rasée, et 98% du patrimoine historique d’Arabie saoudite détruit depuis 1985 ? Pourquoi l’islam déclare-t-il superbement tout témoignage de culture antérieure à sa venue appartenir aux temps de l’ignorance, de la Jahiliyya (3.154 ; 5.50), sinon parce qu’il y voit le témoignage de son incapacité à produire une culture digne de ce nom ? Mais n’est-ce pas une vérité confirmée par l’Histoire que la tentative de repartir de zéro s’est toujours soldée par la mort, de nombreux morts, et la destruction de ce qui aurait pu servir de pierre d’attente au développement et au salut de l’humanité ? La Grèce traduit à elle seule en un an cinq fois plus de livres que tout le monde arabe (Eugene Rogan, Indice de la censure, vol. 33, numéro 2 Avril 2004, p.152-157). 70% des citoyens turcs n’ont jamais lu un livre (APA, 23.02.2009). Lorsque les ennemis du christianisme l’accusent d’avoir détruit idoles et cultures païennes, ils occultent le fait que celles-ci ne furent pas détruites par de violents étrangers, mais par les peuples devenus chrétiens qui choisirent eux-mêmes de s’en libérer. La grâce du Christ ne vient détruire la nature ni la culture, mais les purifier du péché, les sauver et les diviniser. L’Église apprécie si bien ce qu’il y a de bon dans les différentes cultures, qu’elle l’intègre jusque dans sa liturgie, son art et ses ses traditions, ce que les musulmans, ne sachant pas différencier foi et culture, interprètent comme une preuve de la corruption de l’Église par le paganisme (voir H 5). Depuis l’an 847 où le calife Al-Mutawakkil a fermé les portes de l’effort intellectuel (l’Ijtihad), les réflexions sur les applications légitimes du Coran, mais aussi sur tout autre sujet, sont réputées inutiles. C’est ainsi que Ibn Khaldun condamna l’étude de la physique (Sylvain Gouguenheim, Aristote au Mont Saint-Michel, Le Seuil, 2008, p.150). L’islam ne condamne l’ignorance des temps passés que pour mieux l’imposer à ceux d’aujourd’hui : « Ne posez pas de question sur des choses qui, si on vous les expliquait, pourraient vous porter malheur ! (5.101) » L’islam n’a d’autre théologie qu’une apologie défensive, le kalam, la répétition immuable de contestations devenues sans objet. C’est pourquoi « L’islam ne s’appuie pas sur la force des arguments, mais sur celle du glaive, comme s’il ne pouvait compter sur la discussion pour s’imposer et redoutait d’être mis à nu. (Pape Pie II (Enea Silvio Piccolomini),Lettre à Mehmet II, Payot & Rivages, 2002, p.36) » N’est-ce pas parce que Jésus nous ouvre à la révélation complète de la Vérité (Jn 15.15 ; 16.13), que les chrétiens furent les premiers, et sont souvent encore les seuls, à étudier l’islam d’un point de vue scientifique ?
— 25 Les moines chrétiens ont défriché les terres d’Europe et les premiers hôpitaux et premières universités y ont été fondés (Bologne, Paris…). Mais que ce soit en Afrique du Nord, qui fut le grenier à blé de l’Empire romain, en Syrie, qui fut celui de l’Empire byzantin, au Moyen-Orient, ou ailleurs, la terre dominée par l’islam a toujours été transformé en désert. La chose prend le temps que les non musulmans cessent de former la majorité de la population, et que s’épuise la dynamique de leur civilisation. C’est ce que constatait le grand historien musulman du XIVe siècle, Ibn Khaldoun : « Quand une nation est peuplée d’Arabes elle a besoin de gens d’un autre pays pour construire. Le naturel farouche des musulmans en a fait une race de pillards et de brigands. Si les musulmans ont besoin de pierres pour servir d’appui à leurs marmites, ils dégradent les bâtiments afin de se les procurer. S’il leur faut du bois, ils détruisent les maisons pour en avoir. La véritable nature de leur existence est la négation de la construction, au fondement de la civilisation. Ils sont hostiles à tout ce qui est édifié. […] En raison de leur nature sauvage, les musulmans sont des pillards et des destructeurs. Ils pillent tout ce qu’ils trouvent. […] Les pays conquis par les musulmans s’écroulent. Les musulmans sont une nation sauvage aux habitudes de sauvagerie invétérées. […] C’est leur nature de piller autrui. S’ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils pillent tout à leur aise. Il n’y a plus rien pour protéger la propriété et la civilisation est détruite. » De nos jours, Ahmed Zweil, un ressortissant égyptien et musulman, émigré en Californie et titulaire du prix Nobel de chimie 1999, relève à son tour l’apport négatif des musulmans à la civilisation : « Où se situent les Arabes sur la carte scientifique du XXIe siècle ? Cette région est riche en ressources humaines ; certains pays sont riches sur tous les plans. Cependant, l’ensemble des institutions scientifiques arabes réunies ne peut rivaliser avec une seule institution israélienne comme l’institut Wiseman. La population arabe n’a jamais créé une seule organisation scientifique de niveau international. (L’Islam face à la violence, au terrorisme et à la guerre, in Réalités (Tunis), n°926, 25.10.03, p.18-21) » Est-ce que l’enseignement islamique (60.4), la radicalisation qui s’en suit, les quartiers de non-droit, les émeutes récurrentes, la dégradation du bien public et des lieux de vie, la situation d’assistés perpétuels, le pourcentage de prisonniers de droit commun musulmans, disent autre chose de l’islam ?
— 26 À la différence du Dieu biblique, lors de la création, Allah ne demande pas à Adam d’exercer son intelligence en nommant les créatures, mais c’est lui qui impose leur nom (2.31). Ce n’est donc pas un hasard si les progrès humains de tous ordres ont vu le jour dans le sillage de la prédication chrétienne, puisqu’elle enseigne que la nature a été créée par un Être intelligent et bon, qui a donné aux hommes la raison pour saisir l’intelligibilité de Son œuvre. Mais de peur de voir Allah soumis à une loi qui limiterait son action, l’islam a nié l’existence de la Loi naturelle. Pour lui, il n’y a aucun lien nécessaire entre deux états successifs d’un même corps, mais seulement des habitudes d’Allah, qui peut faire lever le jour… en plein midi ! La relation de cause à effet n’existe pas : l’ombre n’est pas l’absence de lumière, mais elle est causée positivement. Seule la religion du Dieu fait homme a donné à celui-ci le juste rapport à Dieu, à soi, à autrui, à la société, au monde, et lui a offert un avenir littéralement inespéré. Si Jésus, « lumière véritable qui éclaire tout homme (Jn 1.9) », nous a fait connaître tout ce que Père Lui a enseigné (Jn 15.15-16), comment un chrétien pourrait-il rester ignorant ?
— 27 En Somalie, où la charia est mise en œuvre avec sérieux, les personnes soupçonnées de conversion au christianisme sont exécutées sans procès. L’adultère y est puni de la lapidation, le vol par une main tranchée, et d’autres infractions par une quantité variable de coups de fouet. Ont été interdits les cinémas, les spectacles musicaux, les jeux vidéo, la musique non-islamique, les sonneries de téléphone ne débitant pas des versets coraniques, la télévision dans des lieux publics, les coiffures occidentales, la balle au pied, chanter, danser, fumer… Les femmes doivent être entièrement couvertes, et ne peuvent pas exercer d’activités commerciales, être en contact avec les hommes, voyager avec eux ou leur serrer la main. Les hommes n’ont pas le droit de se couper la barbe, et leurs pantalons doivent descendre jusqu’aux chevilles. Etc. Toutes les activités commerciales doivent s’arrêter pour les cinq prières quotidiennes. Qui a envie d’habiter en ce paradis islamique ?
— 28 Comment est-il possible d’affirmer qu’islam signifie paix, et vanter le dijhad ; affirmer honnête la monogamie, mais aussi la polygamie (4.3 ; 33.49-52,59) ; réprouver le divorce, mais louer son institution (2.231,232,237 ; 65.1) ; proclamer : « en religion, point de contrainte ! (2.256) », mais persécuter les non-musulmans (5.33) ; maudire les menteurs (51.10), mais légitimer le mensonge (Voir C 1 ; L 40 ; U 14) ; haïr l’idolâtrie, mais ne pas souffrir la critique de Mahomet, ou tourner sept fois autour de la Kaaba, ou faire du Coran un talisman ; penser que manger du cochon est un péché (2.273), mais que tuer un Juif ou un chrétien ne l’est pas (2.191 ; 9.30) ; croire qu’il faille châtier ou tuer ceux qui forniquent ou boivent du vin ‒ car le vin est une abomination inventée par Satan (5.92) ‒, mais désirer aller au paradis y forniquer et y boire du vin (47.15) ; etc. Allah ne veut-il pas rendre les musulmans schizophrènes (Cf. Anne-Marie Delcambre, La schizophrénie de l’Islam, DDB, 2006) : « Informe mes serviteurs que c’est moi le Pardonneur, le Très Miséricordieux, et que mon châtiment est certes douloureux ! (15.49-50) »?
— 29 Puisque la religion parfaite d’Allah (5.3 ; 6.153) requiert le sacrifice de chameaux (22.36), comment les musulmans européens peuvent-ils espérer leur salut ?
— 30 La vie des musulmans est hantée par les démons et des djinns. Ces derniers sont apparentés aux elfes, aux fées, aux génies, mais peuvent être aussi malfaisants que les premiers, prenant l’aspect d’hommes ou d’animaux. Dans cet univers pseudo-spirituel, les djinns font office de divinités secondaires, secourables ou méchantes, affectées aussi bien aux accouchements qu’à la navigation, ou à n’importe quoi d’autre. Ils existent vraiment puisque mentionnés dans le Coran (6.100 ; 11.119 ; 37.158 ; 46.29 ; 55.15 ; 72.1-17 ; 113.1-4) ! Ils peuvent être musulmans (51.56), ou non, mâles ou femelles, procréer entre eux, ou s’unir aux humains, ce qui donne lieu à des traités rédigés par des imams. Si, par exemple, une femme se refuse à son mari, certainement est-ce dû à un djinn qui a pris son esprit. Le remède consiste à faire jeter des étoiles depuis le ciel pour détruire cette vermine (67.5). Certaines espèces de djinns sont particulièrement redoutables, celles des ifrits (27.39) et des mârids (37.7), mais plus encore celle des ghwal (ogres), mâles ou femelles, parce que les uns avalent les voyageurs, et les autres vous transforment en chien ou en serpent, vous mettant ensuite, qui plus est, au service de sorcières (113.4). Il faut alors lancer des incantations, porter des amulettes (telle la main de Fatma destinée à éloigner le mauvais œil), des talismans contenant des versets coraniques, et à la moindre occasion se purifier, passer une pierre ou les mains sur son corps, accomplir des rituels pour se prémunir de ceux qui nouent l’aiguillette ou soufflent sur les nœuds (113.4), en lançant notamment en l’air de l’eau, et du sel. Bref, la vie quotidienne est un enfer, et la terrifiante, stricte et tatillonne religion d’Allah, qui n’est ni Père ni Sauveur, conduit les musulmans à chercher secours dans les ténèbres de l’occultisme, à vivre dans un univers magique, ensorcelé, soumis en fait au règne de Satan. Est-ce un hasard si prospèrent en terres musulmanes marabouts et sorciers, et si les islamistes souffrent couramment de TOC (troubles obsessionnels compulsifs) ?
— 31 Ceux qui ont reçu la mission « de commander le bien et d’interdire le mal (3.104,110 ; 22.40-41 ; 31.17) » n’ont pas reçu celle d’être miséricordieux (Voir Z3 ; Lc 6.36), aussi ne voit-on pas chez eux (sauf exceptions) de personnes, d’associations, de mouvements dénonçant les injustices dont sont victimes des personnes non-musulmanes, comme on le voit dans ce qui reste du monde autrefois chrétien. Bien plutôt, lorsque l’un d’eux décapite un Samuel Paty ou se fait exploser parmi les mécréants, les masses musulmanes exultent de joie dans les rues de Gaza ou de Lahore, sans rougir de devoir leur subsistance aux fonds alloués par l’ONU ou l’UE. L’argent du pétrole n’est pas utilisé pour créer du travail dans les pays pauvres, mais pour construire dans le monde, et surtout dans les pays autrefois chrétiens devenus destination et résidence de l’émigration islamique, mosquées et centres islamiques où enseigner la haine des infidèles (60.4). Sans le pétrole et les aides humanitaires de l’occident apostat, l’islam existerait-il encore ?
— 32 La fonction religieuse du pouvoir politique est l’une des indéniables données fondatrices de l’islam : le calife est non seulement le successeur du prophète fondateur de la meilleure nation (3.110,139), mais encore le lieutenant d’Allah, celui qui doit imiter le Prophète dans la conquête de la terre sainte qu’est devenue la terre entière. Une telle mission ne manque pas de susciter à chaque époque de nouvelles vocations, telle celle de Sheikh Farook al-Mohammedi, responsable de l’United Mouslim Nations International, s’exprimant ainsi en 2012 : « Le christianisme doit être détruit et effacé de toute la surface de la terre. C’est un système mauvais, démoniaque et anti-christ, tous les chrétiens sont dans une ignorance totale. […] La puissance islamique est revenue sur la surface de la terre et le califat global reconstitué a jeté les yeux sur l’Occident pour débarrasser une fois pour toutes le monde du christianisme, et vous ne pourrez-vous y opposer. […] J’ai fait le serment que je ferai tout mon possible pour islamiser tout l’Occident dans un court délai. […] Personne ne résistera, vous vous soumettrez ! L’islam conquerra les cœurs de toute la chrétienté : c’est une réalité définitive. Tous les gouvernements devront se rendre au califat global reconstitué et les nations qui résisteront seront soumises à une police d’État sur leur territoire. […] Les dhimmis n’ont ni le pouvoir ni le droit de gouverner où que ce soit dans le monde. La terre nous appartient, toute la terre. » Qui peut venir APRÈS le Christ, sinon l’Antichrist ?
— 33 Comment les musulmans auraient-ils la mission de régir l’humanité (3.110), si cela revient aux chrétiens (5.47), dont l’Évangile condamne l’islam comme démoniaque (Mt 13.24-30,36-43) ?
— 34 La conception fondatrice de l’Europe, dès la fin de l’Antiquité, a été la recherche de la vérité, parce que Jésus a dit : « Je suis la Vérité (Jn 14.6) ». En effet, croire en Jésus a rendu la vérité connaissable, et révélé la dignité de l’homme, créé à l’image de Dieu (Gn 1.26-27) et racheté par Lui à si haut prix. Pour le christianisme, la vérité est la mesure commune de Dieu et de l’homme, à la fois transcendante et immanente, absolue et néanmoins connaissable. L’idée de vérité implique que le monde n’est pas une illusion, que les choses sont réelles, cohérentes, rationnelles. Ainsi fut reconnue et fondée en Occident la liberté de penser, donc de critiquer, d’où le progrès et la recherche, mais aussi la responsabilité dont on ne peut se défausser sur la fatalité ou la divinité. Et parce que la vérité est une instance extérieure s’imposant à tous, le règne de l’arbitraire n’y était plus admis. Les Droits de l’homme ne sont pas nés en Occident par hasard. La démocratie découle de la reconnaissance de la dignité inaliénable de chaque homme à connaître la vérité, et de l’égalité de tous les hommes devant Dieu. La vérité étant par définition universelle, l’ouverture à l’universel caractérise la civilisation chrétienne. Cette conception de la vérité accessible à la raison humaine est totalement refusée par l’islam, pour qui la vérité est aussi inconnaissable qu’Allah. Allah ne peut être qu’obéi, jamais pensé. Dans le christianisme, Dieu, qui est la Vérité, peut être pensé et obéi, obéi parce qu’aimé, aimé parce que pensé… En déclarant incompatibles pensée et adoration, comment l’islam n’idolâtrerait-il pas Dieu et ne déshumaniserait-il pas l’homme et la société ?
— 35 Comment la France peut-elle accueillir l’islam sans rejeter son identité issue de l’accueil de la Parole du Christ : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu (Mc 12.17) » ? Jésus distingue les pouvoirs politique et religieux, non pour les opposer (César est lui-aussi débiteur de Dieu), mais pour les unir en une juste relation où le politique est dédivinisé, et le religieux, humanisé. Or, comme le montre le fait que pas un seul pays musulman ne respecte la liberté religieuse, non en raison d’un retard passager de la civilisation musulmane vers l’inévitable société multiculturelle et démocratique vendue par le mondialisme négateur de toute frontière et de toute différence (y compris celles du bien et du mal, de la vérité et du mensonge), l’islam est un projet politique des plus totalitaires qui soit. Et face à lui, la République française et maçonnique oppose son indifférence de principe vis-à-vis de toute religion ! Or, cette indifférence rend elle aussi impossible l’exercice de la liberté religieuse, car si toutes les religions se valent, aucune n’a de raison d’être choisie, et la liberté est alors sans objet. Cette prétendue neutralité est aussi totalitaire (Cf. Mt 12.30) : elle haït l’Église en raison de sa prétention à être l’unique vraie religion, et se soumet à l’islam qui prétend la même chose. Un tag sur la porte d’une mosquée suscite les réactions indignées du Gouvernement, mais des dizaines de profanations d’églises ne font de sa part l’objet d’aucune considération. Le Conseil d’État valide la construction de mosquées, de minarets, l’interdiction des crèches dans l’espace public, la dérogation à la législation en matière d’abattage, mais interdit la présence de la croix sur un monument dédié au pape Jean-Paul II… La crèche et le sapin de Noël sont bannis de l’espace public, mais la fin du ramadan est fêtée joyeusement sous les ors républicains de l’Hôtel de Ville de Paris ; la participation municipale au renouvellement du Vœu des Échevins à la basilique de Fourvière est annulée, mais la première pierre de la mosquée de Gerland est posée la même semaine (07.2020) … Dans le droit fil du tropisme imprimé par Jean-Jacques Rousseau à la Révolution (« Mahomet eut des vues très saines, il lia bien son sistême politique, & tant que la forme de son Gouvernement subsista sous les Caliphes ses successeurs, ce Gouvernement fut exactement un, & bon en cela (Du contrat social, IV, ch. 8) »), le Maire de Strasbourg : « Nous servons [À la cantine] de la viande halal par respect pour la diversité, mais pas de poisson le vendredi par respect de la laïcité. (Roland Ries, 11 avril 2011) » Qui peut ne pas rougir de parler ainsi ?
— 36 Pour s’exercer, la liberté religieuse implique la reconnaissance d’une hiérarchie de valeur, et donc une différence de traitement des religions, ce que les États trahissent au nom du principe d’égalité, ou pervertissent au profit de l’islam. L’égalité de nature des hommes n’est pas transposable aux réalités humaines : nature et culture ne s’identifient pas. C’est cette même négation d’ordre ontologique, ressortissant à celui de la vérité, qui se retrouve aujourd’hui servie par la promotion du délit d’islamophobie, par lequel les libertés de conscience et d’expression sont refusées au nom de la liberté religieuse : la critique de l’islam est assimilée à du racisme ! Comme si être musulman était un fait de nature et non pas de culture ! Et pour mieux ignorer le caractère propre de la religion catholique, et ce qu’elle lui doit, la République française veut voir dans l’islam un autre christianisme, et, au nom du principe d’égalité, lui donner part à l’héritage mérité par l’Église. Ainsi les mosquées sont-elles assimilées à des églises — alors que l’islam n’a ni clergé ni sacrifice à offrir à Dieu —, et des aumôneries musulmanes sont-elles créées — alors que l’islam, n’ayant pas accès au monde de la Grâce, n’a aucun sacrement à donner … Bref, les responsables de la chose publique devraient considérer que si l’acte de foi suppose la liberté (qu’ils doivent protéger même chez ceux qui ne satisfont pas à l’obligation de chercher ou d’adhérer à la vérité, pourvu que soit préservé l’ordre public juste), cette liberté est donnée pour que les hommes adhèrent à la Vérité, et non pas parce qu’ils y adhèrent, pour qu’ils agissent selon leur conscience, et non pas parce qu’ils agissent selon leur conscience. À défaut de quoi, ils promeuvent, sous couvert de religion, la liberté de faire n’importe quoi. La liberté n’est pas le pouvoir de faire n’importe quoi, mais celui de choisir le bien (Jn 8.35-36). C’est pourquoi à l’autorité publique est donné le devoir et le pouvoir de déterminer les limites de la liberté religieuse par des règles juridiques conformes aux exigences du bien commun et de l’ordre moral objectif (CEC n°2109). Si donc il n’y a pas de liberté sans relation à la Vérité, et si l’existence de Dieu et de Sa loi éternelle sont accessibles à la raison humaine, le droit à la liberté religieuse peut-il être seulement l’exemption de contrainte pour agir ou non selon sa conscience, ou bien implique-t-il aussi le droit à n’être pas trompé ?
— 37 Faire du mode de vie de la communauté de Mahomet, qui ne travaillait pas, ne cultivait pas la terre, vivait du banditisme (Voir Q 34+ ; U 8+), de l’esclavage (voir S 5+,34,35,37), le modèle idéal de société, est-ce autre chose que condamner l’humanité à vivre dans la sacralisation de l’injustice ? « Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux cheikh arabe et les interprétations abusives de générations d’imams crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la Constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l’Islam, et moi je vous dis : regardez ce qu’elle nous a couté ! […] Il est temps que la Turquie ignore tous ces Hindous et Arabes qui l’ont menée à sa perte. Il est grand temps, je le répète, qu’elle secoue définitivement le joug de l’Islam ! Voilà des siècles que le califat se gorge de notre sang. (Mustafa Kémal Atatürk [1881-1938], fondateur de la Turquie moderne) » Les prédicateurs musulmans présentent facilement l’indifférence religieuse, l’athéisme, la légalisation de l’avortement, de l’euthanasie, les dépravations sexuelles, les égoïsmes et autres injustices de l’Occident comme preuves à charge contre le christianisme, alors que ces malheurs sont précisément les châtiments mérités par l’Occident pour son apostasie de la foi chrétienne (Lc 19.12-17 ; Jn 18.37 ; Mt 28.18 ; Ap 17.14,18 ; 19.16) ! Comment le rejet du Christ, qui enseigne l’esprit de sacrifice et l’espérance, n’entraînerait-il pas mollesse, lâcheté et décadence ? À Charles Martel, qui a sauvé l’Occident de l’islam, ne s’adressaient certes pas ces paroles de saint Jean-Paul II : « Il n’existe qu’un seul problème, celui de notre fidélité à l’Alliance avec la Sagesse éternelle, qui est source d’une vraie culture, c’est-à-dire de la croissance de l’homme et celui de la fidélité aux promesses de notre baptême au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Alors permettez-moi de vous interroger : France, fille aînée de l’Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? Permettez-moi de vous demander : Fille aînée de l’Église et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l’homme, à l’Alliance avec la Sagesse éternelle ? (01.06.1980, Le Bourget) » Mais « le Fils de l’homme, quand Il viendra, trouvera-t-Il encore la foi sur la terre ? (Lc 18.8) »
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