Le 21 septembre 2013, nous vous avions parlé de l’emprisonnement d’Eugen M. Du fait que sa fille âgée de 10 ans avait manqué 2 cours d’éducation sexuelle.
Nous vous rappelons le contexte de l’affaire : Dans les écoles primaires allemandes les enfants de CM1 doivent suivre des cours de prétendue éducation sexuelle où ils sont confrontés à des sujets et du matériel documentaire sur des pratiques sexuelles qui ne correspondent ni à leur âge ni à leurs besoins. La fille d’Eugen M. se sentait tellement mal à l’aise par rapport à tout cela qu’elle a quitté la salle de classe. Ce comportement n’a pas été accepté par la commission scolaire et donc la machine administrative s’est mise en route. Une première amende infligée aux parents de la fillette a été convertie en une peine d’emprisonnement. En effet ceux-ci avaient refusé de payer l’amende car la payer revenait à dire qu’ils reconnaissaient leur culpabilité.
Prison pour des parents opposés à la théorie du genre en Allemagne…
Bravo à ces parents dignes de leur grande mission de premiers éducateurs des enfants que Dieu leur a confiés, en personne !
“Les parents sont les premiers responsables de l’éducation de leurs enfants. Ils témoignent de cette responsabilité d’abord par la création d’un foyer, où la tendresse, le pardon, le respect, la fidélité et le service désintéressé sont de règle. Le foyer est un lieu approprié à l’éducation des vertus. Celle-ci requiert l’apprentissage de l’abnégation, d’un sain jugement, de la maîtrise de soi, conditions de toute liberté véritable. Les parents enseigneront aux enfants à subordonner ” les dimensions physiques et instinctives aux dimensions intérieures et spirituelles. ” (Catéchisme de l’Eglise Catholique, n° 2223).
Un théoricien du genre avoue : « J’ai tout inventé »
Voilà un témoigne qui entame sérieusement la crédibilité des études de genre… L’historien canadien Christopher Dummitt a avoué dans le journal en ligne australien « Quillette » avoir falsifié les conclusions de ses recherches, au service de la théorie du genre.
« Je passais de nombreuses soirées à débattre du genre et de l’identité avec d’autres étudiants – voire avec n’importe qui avait la malchance de se trouver en ma compagnie. Je ne cessais de le répéter : « Le sexe n’existe pas. » Je le savais, un point c’est tout. Parce que j’étais historien du genre », rappelle-t-il en guise de préambule à ses aveux.
« À l’époque, pas mal de gens n’étaient pas de mon avis. Toute personne – c’est-à-dire pratiquement tout le monde – n’ayant pas été exposée à ces théories à l’université avait bien du mal à croire que le sexe n’était globalement qu’une construction sociale, tant cela allait à l’encontre du sens commun. Mais, aujourd’hui, ma grande idée est partout », poursuit-il.
« Aujourd’hui, j’aimerais faire mon mea culpa », annonce-t-il. « Mais je ne me contenterai pas d’être désolé pour le rôle que j’ai pu jouer dans ce mouvement. Je veux détailler les raisons qui me faisaient faire fausse route à l’époque, et celles qui expliquent les errements des socio-constructionnistes radicaux contemporains. J’ai avancé les mêmes arguments qu’eux et je sais qu’ils sont faux. »
Après avoir détaillé ses travaux universitaires et ses méthodes, M. Dummitt reconnaît que son travail était celui d’un militant, et non d’un historien : « J’avais tort. Ou, pour être un peu plus précis : j’avais partiellement raison. Et pour le reste, j’ai globalement tout inventé de A à Z. Je n’étais pas le seul. »
Sa conclusion est une bombe pour ces collègues : « Les erreurs de mon propre raisonnement n’ont jamais été dénoncées – et n’ont en réalité qu’été confirmées par mes pairs. »
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