“Sans le meurtre des apostats, l’islam n’existerait plus”…

Pour le Cheikh Al Qaradhâwî, Président de l’Union Internationale des Savants Musulmans (oulémas), Membre de la confrérie des Frères musulmans, Membre du Conseil Européen pour la Recherche et la Fatwa, et Consultant religieux pour Al Jazeera : “Sans l’assassinat des Apostats, l’islam n’existerait plus depuis la mort de Mahomet“… Que les Musulmans prennent donc leur courage à deux mains et n’aient pas peur ! Jésus n’a-t-Il pas dit : “Celui qui cherchera à sauver sa vie, la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi et de l’Évangile, la sauvera. (Mc 8.35)” ?

Les Fatwas de Qaradhâwî sont très connues dans le monde arabe grâce à l’émission religieuse qu’il anime chaque semaine sur la chaine de télévision Al Jazira, « la Charia et la vie ». Assis derrière un bureau, il prend des questions d’auditeurs, auxquelles il répond en direct. Près de dix millions d’auditeurs sont ainsi familiarisés avec ses prêches, sa barbe grisonnante, ses grandes lunettes en écailles et son chapeau traditionnel rouge et blanc.

Al Qaradhâwî et le président Morsi, des Frères Musulmans, élu un temps président de l’Egypte.

Tariq Ramadan est le propagateur des idées de Qaradhâwî en Europe. Il le cite régulièrement et dans un de ses livres écrit. « Toute personne, musulmane ou non, qui a étudié les sciences et le droit islamiques contemporains, sait quelle est la contribution de Yussuf Al-Qaradâwî au débat et combien certaines de ses propositions juridiques sont novatrices. J’éprouve un profond respect pour l’homme et le savant et serait le dernier à m’en cacher (Tariq Ramadan, Aziz Zemouri, Faut-il faire taire Tariq Ramadan ?, l’Archipel, 2005) ». Tariq Ramadan finira par être récompensé de sa dévotion à Qaradhâwî, outre une chaire dans une université britannique financé par le Qatar, il obtiendra aussi un poste dans Centre de recherche sur la législation et l’éthique islamiques (CILE), à la faculté islamique de Doha.

Voir aussi (Attention vidéo choquante) : ALLAH COMMANDE LE MEURTRE DES APOSTATS (CORAN 4.89 ; 8.11-17)

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“SANS LE MEURTRE DES APOSTATS, L’ISLAM N’EXISTERAIT PLUS”… (Cheikh Al-Qaradâwî) :

Sans le châtiment réservé à l’aspostasie, l’islam n’existerait pas aujourd’hui.
L’islam aurait trouvé sa fin à la mort du “Prophète” (Paix soit sur lui !)
S’opposer à l’apostasie est ce qui a gardé l’islam jusqu’à aujourd’hui.
Le Coran en 5.33 dit : “Le châtiment de ceux qui font la guette à Allah et à son prophète est qu’ils soient tués ou crucifiés.”

Selon l’avis de Abi Kabulaba, ce verset concerne les apostats. Beaucoup d’hadiths, et pas seulement deux ou trois, mais de nombreux, rapportés par beaucoup de
Compagnons du Prophète établissent que tout apostat doit être tué. L’hadith d’Ibn Abbas prescrit: “Tuez quiconque quitte l’islam.” Le hadith d’Ibn Massoud commande:
“Tuez ces trois criminels : l’adultère, l’assassin et l’apostat.” À ceci s’ajoutent beaucoup d’autres textes, de nombreux autres compagnons, au sujet de l’apostasie.

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Vidéo 1 Transcription anglaise:

Sheikh Al-Qaradhâwî : “Without the murder of apostates, islam wouldn’t have survived.”
(Sheikh Al-Qaradhâwî): If they had gotten rid of the apostasy punishment Islam wouldn’t exist today ;
Islam would have ended since the death of the Prophet, peace be upon him. So opposing apostasy is kept Islam to this day. Surah Al-Ma’idah (5.33) says: “The punishment of those who wage war against Allah and His apostle… is that they should be murdered or crucified.”
According to Abi Kubala’s narration this verse means the apostates. And many hadiths, not only one or two, bu many, narrated by a number of Muhammad’s companions… state that any apostate should be killed. Ibn ‘Abba’s hadith: “Kill whomever changes his faith (from Islam).”
The hadith of Ibn Massoud orders : “Kill these three criminals: the adulterer, the murderer and the apostate.” This is in addition to a big number of other narrations, by other companions, about apostasy.

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Vidéo 2 Transcription : Voilà ce qu’il en coûte de vouloir quitter l’islam : “Puisque tu as quitté l’islam, mon fils, tu dois être tué (Coran 4.89l 8.11-17)”

(Mustafa): Maman, pourquoi mon père veut-il que nous allions en Syrie?

(Mère): À cause de toi chéri.

(Mustafa): Qu’est-ce que j’ai fait, maman?

(Mère): Tu as quitté ta religion.

(Mustafa): Quand j’ai quitté la religion, ai-je blessé quelqu’un?

(Mère): Ce sont nos lois, notre religion est l’Islam, que cela nous plaise ou non.
Voici ce que vous avez.

(Mustafa): Pourquoi devrions-nous allez en Syrie? ISIS est là!

(Mère): C’est ta punition.

(Mustafa): Es-tu sérieuse!!

(Mère): Oui oui, je t’ai dit que c’était ta punition que tu nous respectais pas plus notre religion.

(Mustafa): Je t’ai insulté? Ai-je fait quelque chose pour vous manquer de respect?

(Mère): Non, vous ne l’avez pas insulté ni manqué de respect, mais vous ne l’avez pas cru,
et le châtiment de l’apostasie est une exécution.

(Mustafa): Es-tu sérieuse?

(Mère): Oui, je ne plaisante pas avec toi maintenant, parce que tu es devenue rebelle tant que
tu parles avec nous de cette façon, nous ne voulons plus de toi.

(Mustafa): Parler avec vous de quelle manière?! Qu’est-ce que je t’avais dit? Je ne parlerai plus
avec vous à ce sujet après ce jour.

(Mère): Tu vis avec nous dans la même maison.

(Mustafa): Oui, je vis avec toi et qu’est-ce que cela signifie?

(Mère): Nous ne voulons pas de quelqu’un qui n’est pas musulman avec nous, que vous deveniez comme nous
ou que nous voulons plus de vous et nous vous emmènerons en Syrie.

(Mustafa): Mais pourquoi allons-nous en Syrie? Je serai tué là!

(Mère): Il n’y a pas de problème si tu te fais tuer.

(Mustafa): Tu me traites comme un chien?

(Mère): C’est ton problème, tu es un chien comme n’importe quel chien de rue, maintenant sors
et ne me parle plus après aujourd’hui.

(Mustafa): Pourquoi me mettre à la porte?

(Mère): Je ne veux pas te parler.

(Mustafa): Mais pourquoi?

(Mère): Ne nous parle plus.

(Mustafa): Pourquoi es-tu comme ça? Parlez-vous sérieusement? Je suis ton fils!

(Mère): Tu es mon fils, mon fils aîné, mais tu as fait quelque chose de mal et nous ne voulons plus

de toi. Maintenant, sors et ne me parle pas. Pas un mot après aujourd’hui. Sortez!

(Mustafa): Mais-

(Mère): Sors et ne discute plus avec moi.

(Mustafa): Je vais être tué là-bas!

(Mère): C’est bon, nous ne voulons plus de toi! Maintenant dégage!

(Mustafa): Vous ne voulez pas de moi, mais pourquoi voudriez-vous m’emmener là-bas?

(Mère): Je t’ai dit de sortir!!

(Mustafa): Es-tu vraiment sérieuse?!

(Mère): Oui, je suis sérieuse maintenant sors !

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Transcription en français de la vidéo 3 :

“Apostat et sa mère sections doctrine Islam sans le meurtre des apostats”

(Questionneur) : Vous considérez-vous comme un radical?

– (Homme musulman) : Non… Le christianisme (ou le judaïsme) est une religion. L’islam n’est pas simplement ou seulement, une religion. L’islam est un mode de vie, basé sur une religion. Donc l’islam est une allégeance politique. L’islam est un système politique. L’islam est un système financier. L’islam est un système social. L’islam est une vie personnelle. L’islam couvre tout.

– (Questionneur) : Vous savez, étant un homme intelligent, que lorsque vous dites que quitter l’islam est punissable de la peine de mort, cela est absolument criminel.

– (Homme musulman) : Je ne suis pas certain que la peine de mort constitue un crime. La punition pour l’apostat est la peine de mort, selon la loi islamique. Voilà l’opinion dominante en islam. En fait, tous les savants s’accordent à cet effet. Cette personne qui a quitté l’islam, elle sera le premier ennemi de l’islam et des musulmans et de l’islam et des pays musulmans. La plus importante loyauté est la loyauté à l’islam dans son ensemble. L’apostat, d’une perspective islamique ne va pas à l’encontre de sa religion parce que l’Islam n’est pas une religion. L’islam est un mode de vie. Ainsi, il sera en train de changer son mode de vie incluant son allégeance politique, incluant son allégeance religieuse, incluant tout! Donc, définitivement, cette personne sera une menace pour l’État, pour les individus, pour tout le monde. Et voilà pourquoi la punition est la peine capitale.