Il faut d’abord rappeler que le halal ne concerne pas uniquement la nourriture et le mode d’abattage des animaux. Halal veut dire « licite », « autorisé », « pur » pour la « charia » ou loi islamique, qui concerne TOUS les actes de la vie, même les plus prosaïques.

C’est un moyen de contrôle social des populations musulmanes pour les maintenir dans la « soumission » ( signification du mot « islam » ), au même titre que le ramadan, le voile, et autres prescriptions.

En ce qui concerne l’abattage des animaux, le halal contrevient à 3 principes :

  • souffrance inutile, l’animal peut mettre ¼ d’heure à perdre conscience, tolérée par dérogation, le plus souvent largement violée par commodité et laxisme, voir même complicité.
  • violation des principes de sécurité sanitaire, car la saignée est pratiquée par un égorgement large jusqu’aux vertèbres, sectionnant la trachée et l’œsophage, avec des regurgitations stomacales. Sur un animal étourdi on peut sectionner avec précision les vaisseaux et épargner la trachée et l’œsophage. Là aussi une dérogation permets de procéder à cet égorgement contraire aux règle scientifiques d’hygiène.
  • Perception d’une « taxe » alimentant les mosquées, et les circuits islamistes. Une grande enquête fiscale serait nécessaire pour tracer ces finances estimées entre 5 et 7 milliards d’euros.
    Comme aucun étiquetage informatif n’est demandé, nous avons tous consommé du halal et financé l’islam sans le savoir !

Tout peut être halal : céréales Kellog’s, protections féminines, finance halal, loisirs, etc… tout est bon pour financer l’islam : chaque fois qu’un produit a le « label » halal, il y a eu une somme versée à des circuits islamiques. Le halal est le fruit de l’alliance du mercantilisme marchand et de l’obscurantisme islamique.

Le processus est tellement au point que l’on a inventé une nouvelle expression soft pour le halal et la soumission à la charia : on parle d’« islamic way of life », c’est beaucoup plus classe.

Halal marqueur de l’islamisation :

Dans un interview en 2011, Azouz Beggag, ancien secrétaire d’Etat du gouvernement Villepin et chercheur au CNRS , déclarait qu’il y avait au moins 15 millions de musulmans en France, contredisant le chiffre, toujours le même, de 5 millions qui nous est servi depuis 20 ans !

La poussée du halal est donc le marqueur fidèle de cette islamisation de la France, décrite par de nombreux auteurs dont, récemment, Mrs Davet et Lhomme journalistes du Monde qui découvrent l’eau chaude et parlent d’halalisation de la Seine Saint Denis. Avant eux, il y a plus de 15 ans, Georges Bensoussan parlait déjà de « territoires perdus de la République », ainsi que Gilles Kepel, et bien d’autres. Faisons confiance au système pour refermer le couvercle aussitôt ces « révélations » données en pâture au bon peuple. Aucune mesure ne sera prise bien entendu…

Ce marché en évolution rapide attire de nombreux acteurs empressés, attirés par un miroir aux alouettes trompeur, selon la formule du regretté Lénine : « les capitalistes vendront la corde pour les pendre ». Et tout cela est logique : plus il y aura de musulmans et plus le halal va se développer.

Et les acteurs qui s’y seront précipités se verront remplacer peu à peu par des acteurs musulmans car jamais un « kouffar » ( mécréant) ne pourra s’occuper des affaires des musulmans.

L’AFNOR, qui avait réussi à sortir aux forceps une norme halal à l’usage des industriels a été obligée de la retirer quelques mois après sous la bronca de TOUTES les associations musulmanes, même « modérées ». Le halal est donc en quelques sortes le thermomètre de l’importance numérique et l’influence de la population musulmane . Comme le dit avec son sens de la formule Eric zemmour : « une boucherie halal c’est du commerce, 10 c’est de la colonisation ».

Le halal vecteur de l’islamisation :

Cette halalisation n’est pas le fruit du hasard, ni d’un phénomène naturel. Elle est pensée, organisée par les islamistes dans une volonté de conquête et de revanche de la colonisation, des croisades et de toutes choses que l’islam a ressenti comme une humiliation, du fait de la supériorité du monde occidental chrétien, alors que l’islam s’est assoupi au cours des siècles du fait de ses règles sclérosantes. Trop nombreux sont les commentateurs, politiques et décideurs qui n’ont pas la moindre idée des textes fondateurs de l’islam et qui pérorent en affirmant que l’islam ce n’est pas cela. Pour exonérer l’islam, ils conçoivent toutes sortes de termes comme « radicalisé », « islamiste », « salafiste », « intégristes » « islam politique » etc. Il font penser à ceux qui, du temps du communisme, et pour masquer ses crimes et ses échecs, parlaient de stalinisme ou maoïsme, le communisme étant réputé bon par nature.

Or c’est dans les textes « sacrés » du coran et des haddiths qu’il faut chercher les causes du comportement des musulmans « extrémistes ».

L’islam est une idéologie essentiellement politique, la charia est un système suprémaciste, misogyne, esclavagiste, irréformable et applicable en tous lieux et à toutes les époques.

Les 57 pays où la charia est appliquée se sont regroupés dans l’OCI (Organisation de la Conférence islamique) organisme parallèle à l’ONU, ayant mis au point le concept d’islamophobie et promulgué une « déclaration des droits de l’homme en islam » où tous les droits sont reconnus…si ils respectent la charia !

Conjointement à l’OCI, existe l’ISESCO, destiné à l’action culturelle, équivalent de l’UNESCO qui a conçu une stratégie pour les musulmans vivant en terre non régulée par la charia, afin qu’ils ne se mélangent pas aux infidèles et ne soient pas contaminés. Halal, ramadan, voile etc.. sont les moyens de ce contrôle social . En Décembre 2010, à la tribune du congrès mondial du halal à Islamabad, Mustafa Ceric, grand mufti de Bosnie et membre des Frères musulmans déclarait : « nous allons conquérir le monde par le mouvement halal »

Conclusion : Le halal est bien un marqueur et un vecteur de l’islamisation, un soft power complétant le hard power du jihad. Pour paraphraser Ségolène Royal on peut même dire que l’halalitude est le prélude à la dhimmitude !

Alain de Peretti


Ces problèmes sont bien sûrs réels. Il en est un autre qui nous concerne tous et mérite d’être évoqué, une question essentielle et occultée : l’aspect sanitaire et de sécurité alimentaire.

Dans l’abattage halal l’animal est tourné vers la Mecque, saigné sans étourdissement ;  il est pratiqué une très large incision de la gorge jusqu’aux vertèbres, sectionnant tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides pour la saignée, mais aussi la trachée et l’œsophage. Cette pratique entraîne les conséquences anatomo-physiologiques suivantes :

  • Une régurgitation du contenu de l’estomac par l’œsophage, lequel se trouve anatomiquement juste à côté de la trachée.
  • L’animal continue de respirer, même très fort du fait de l’agonie qui peut durer jusqu’à 1/4 h rappelons le, et inspire ces matières souillées riches en germes de toutes sortes.
  • Ces matières inspirées jusqu’aux alvéoles pulmonaires larguent leurs germes  dans le sang d’autant plus facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très mince et que la circulation sanguine, rappelons le, est toujours en cours dans cette période d’agonie, et même accélérée par le stress au niveau des organes  essentiels.
  • Un risque énorme de contamination en profondeur de la viande est donc encouru.
  • On observe de plus, du fait du stress intense, 2 phénomènes physiologiques qui  se conjuguent : la chute de tous les mécanismes de défense immunitaires, et la concentration du sang dans les organes essentiels, on peut dire que l’animal « retient son sang ». C’est un processus naturel de survie qui entraîne vraisemblablement d’ailleurs une saignée moins bonne contrairement aux allégations des tenants de cette pratique. Il y a de plus une forte production de toxines.
  • La longueur de l’agonie entraîne enfin des soubresauts violents accompagnés de défécation et émission d’urine, le tout éclaboussant toute la zone d’abattage !!!


On voit donc bien les conséquences pour la sécurité alimentaire des consommateurs.

C’est si vrai que le règlement européen, CEE 853/2004, dans son annexe, chapitre IV intitulé Hygiène de l’abattage, paragraphe 7, alinéa (a) dit : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE « ( avec une dérogation pour l’abattage rituel…).

Le problème est que, selon des estimations récentes, 50% environ de la viande consommée est maintenant halal.  Car si les musulmans sont encore minoritaires, ils ne consomment que certains morceaux, et qu’on ne peut laisser perdre le reste de la carcasse. De plus les industriels trouvent plus simple et plus profitable de n’avoir qu’une seule chaîne d’abattage : ainsi des bêtes entières qui seront consommées hors du marché halal sont néanmoins égorgées selon ce rite oriental. 

Conclusion : On enfreint le sacro saint principe de précaution, pour respecter une pratique exotique irrationnelle, insoutenable sur tous les plans, basée sur une superstition moyenâgeuse absurde. Dans ces conditions, les actuelles dérogations à la réglementation européenne permettant l’abattage rituel sont elles acceptables ?

La multiplication des cas de toxi-infections alimentaires est en tous cas prévisible… et elle touchera surtout des non musulmans, inconscients de ces risques incontrôlés et dont les habitudes culinaires les amènent  à  consommer la viande beaucoup moins cuite.

Alain de Peretti, Docteur vétérinaire, pour Novopress France.